Le tribunal de commerce de Paris a placé lundi le groupe Virgin en redressement judiciaire avec une période d'observation et un administrateur judiciaire. La société qui emploie plus de 1.000 personnes en France a déposé le bilan mercredi dernier.

Les trois grandes villes du nord Mali où les forces françaises ont commencé dimanche à frapper les positions djihadistes sont sous le contrôle de trois groupes armés : Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique), Ansar Dine (Défenseurs de l'islam) et Mujao (Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'ouest). A Kidal, Gao et Tombouctou, ils avaient supplanté en juin dernier les rebelles indépendantistes touareg.

Depuis septembre 2011, le site de la Maison-Blanche a ouvert une rubrique qui connaît un succès grandissant. Intitulée "We the people", cette page permet à n'importe quel citoyen de déposer une pétition en ligne. Si le seuil des 25.000 signataires est franchi, le gouvernement est tenu de répondre, favorablement ou pas, à la demande des citoyens. Au total, 236 pétitions sont en ligne, des plus sérieuses aux plus farfelues.

L'Agence nationale des fréquences a fait ses comptes : au 1er janvier, 1.779 antennes étaient en service, alors que Free Mobile avait lui-même annoncé viser l'objectif de 2.500 antennes... Rien d'inquiétant, la seule obligation légale porte sur la couverture : 75% de la population couverte en 2015 - elle était 37,3% au 1er juillet dernier.

Des jihadistes basés dans le nord du Mali ont annoncé qu'ils allaient "frapper le cœur de la France" en représailles de l'intervention française au Mali. Ces menaces ont été proférées par Abou Dardar, l'un des responsables du Mujao, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest.