Les déboires de François Fillon, dont la femme Penelope est visée par des soupçons d'emplois fictifs, n'inspirent pas seulement les éditorialistes politiques français, ils captivent aussi les scénaristes de séries télévisées.
Les Sages ont qualifié, vendredi, l'article du Code pénal d'"atteinte [à la liberté de communication] qui n'est pas nécessaire, adaptée et proportionnée".