Quatre jours après la catastrophe, la pression s'accentue sur Vladimir Poutine. Ce week-end, le secrétaire d'Etat John Kerry a expliqué dans les médias américains qu'il existait "des preuves circonstancielles extraordinaires" de la responsabilité de la Russie et des séparatistes prorusses mais sans toutefois les accuser directement d'avoir lancé le missile.

Réunis en urgence dans la nuit, les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations Unies ont fait part de leur "grave préoccupation", et ont appelé à la "cessation immédiate des hostilités". La journée de dimanche a coûté la vie à plus de 120 Palestiniens, et 13 Israéliens.

Les deux d'Alsace, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle et les Vosges ont été placés en vigilance orange par Météo France. Toutes les autres alertes sont levées.

Le ministre de l'Intérieur s'est rendu à Sarcelles au lendemain d'une manifestation propalestinienne qui a dégénéré. Une manifestation qui avait été interdite.

VIDEO | Un reportage de Ludovic Piedtenu et Gilles Gallinaro, envoyés spéciaux de France Info dans la bande de Gaza où une soixantaine de Palestiniens sont morts ce dimanche dans le pilonnage de Shejaiya, un quartier de Gaza-ville. Il s’agit de la journée la plus sanglante depuis le début du conflit dans la bande de Gaza où 13 soldats israéliens ont aussi été tués.