Jason Fried, le patron et cofondateur de Basecamp, avait publié lundi un article de blog expliquant six nouvelles règles adoptées par l'entreprise, notamment l'interdiction des "discussions sociétales et politiques sur le compte de Basecamp".
L'organisation de fêtes rassemblant plusieurs dizaines, voire centaines de personnes, en plein couvre-feu et en dépit des mesures sanitaires, déclenche à chaque fois de nombreuses réactions. Mais leurs organisateurs sont-ils réellement condamnés ?