Si le gouvernement refuse de faire un lien direct entre la prise d'otage mardi des sept Français dans le nord du Cameroun et l'intervention de la France au Mali, les experts sont beaucoup plus affirmatifs.

Oscar Pistorius comparaissait à nouveau ce mercredi devant le tribunal de Pretoria, pour demander sa libération sous caution. Le parquet a révélé qu'un témoin avait entendu une violente dispute la nuit du drame, contredisant la version de l'athlète qui affirme avoir tiré sur sa compagne Reeva Steenkamp par erreur. Par ailleurs, selon la police, il avait déjà été arrêté par le passé pour une agression.

Deux accidents coup sur coup, dont le dernier impliquant un enfant de 4 ans mardi à Combloux, en Haute-Savoie, posent la question de la sécurité des télésièges dans les stations de ski. Selon la préfecture, les équipements étaient aux normes.

Les circonstances de l'enlèvement commencent à se préciser au lendemain du rapt des sept Français dans le nord du Cameroun. D'après les autorités camerounaises, la famille et leurs ravisseurs se trouveraient désormais au Nigeria voisin. Les preneurs d'otage n'ont pas revendiqué l'enlèvement, mais Paris y voit la marque d'Ansaru, une faction de la secte islamiste Boko Haram.

Invité mercredi de France Info, le ministre de l'Education nationale a plaidé une nouvelle fois pour sa reforme des rythmes scolaires. Il a parlé d'un effort dans l'intérêt des élèves. Et accusé l'opposition d'instrumentaliser le sujet.