Devant l'Institut universitaire européen de Florence, le président de la Commission européenne a jugé que la langue anglaise était, "lentement mais sûrement, en perte de vitesse en Europe", préférant s'exprimer en français. 

A l'approche du second tour, des citoyens tentent de s'organiser pour faire savoir qu'ils n'approuvent aucun des deux candidats finalistes.

Selon un sondage Ipsos/Sopra Steria, Emmanuel Macron creuse l'écart et recueille désormais 61,5% des intentions de vote.

L'individu est suspecté d'avoir voulu faire un repérage autour de la base militaire d'Evreux. 

Contacté par franceinfo, le journaliste du "Corriere della sera", auteur de l'interview, maintient pourtant sa version.