La ministre de la Santé recevra les urgentistes "pour faire le point", une fois qu'elle aura "éclairci les différents problèmes qui se sont succédé" autour du refus de la prise en charge de Naomi Musenga par le Samu de Strasbourg, le 29 décembre dernier. 

Les proches de la jeune femme, morte après n'avoir pas été prise au sérieux par une opératrice téléphonique du Samu, déposeront une plainte sans intention de "charger" l'employée, a déclaré l'un de leurs avocats, mercredi. 

Selon le parquet de Bruxelles, "plusieurs personnes ont quitté la gare en panique" mais "personne n'a été blessé". L'individu ayant tiré le coup de feu est toujous activement recherché. 

La suppression de cette taxe ne remettra pas en cause les objectifs de déficit public du gouvernement, a également affirmé Matignon mercredi. 

L'enregistrement de l'appel de Naomi Musenga au Samu peu de temps avant son décès a mis en évidence des manquements dans la procédure. Mais en quoi celle-ci consiste-t-elle ?