Arrivé deuxième au premier tour de la primaire, Manuel Valls a jugé qu'il y avait, chez Benoît Hamon, "des ambiguïtés et des risques d'accommodements" avec l'islamisme radical.
Le gouvernement israélien mise sur la bienveillance à son égard du président américain Donald Trump. Mais pour le Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, il s'agit aussi de plaire à sa majorité.