Le cas de cette commune n'est pas isolé, car "les problèmes relevés sont identiques dans la plupart des communes ayant recours aux caméras-piéton, quelle que soit leur taille".
Le ministère des Armées avait autorisé le déplacement auprès des soldats sur place mais regrette "l'instrumentalisation politique" du candidat à l'élection présidentielle.