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VIDEO. A Kaboul, "Envoyé spécial" a suivi trois Afghanes dont le destin allait basculer avec l'arrivée des talibans

jeudi 2 septembre 2021 à 20:07
Kaboul, fin juillet 2021. Nous sommes quinze jours avant la prise de la ville par les talibans, avant que l'on efface les femmes de l'espace public. "Envoyé spécial" a rencontré trois Afghanes dont le destin allait basculer. Que vont devenir Atifa la collégienne, Naïma la musicienne, et Salima la sage-femme ?

Équipe de France : touché au mollet, Kylian Mbappé quitte le rassemblement des Bleus

jeudi 2 septembre 2021 à 19:55
L'attaquant du PSG s'est blessé mercredi contre la Bosnie-Herzégovine et quitte prématurément le rassemblement des Bleus.

VIDEO. "Envoyé spécial" dans une maternité à Kaboul avant l'arrivée des talibans, pour qui les sages-femmes sont des "femmes à abattre"

jeudi 2 septembre 2021 à 19:50
"Je reçois constamment des menaces par téléphone", confiait cette sage-femme à "Envoyé spécial" deux semaines avant la chute de Kaboul. Aujourd'hui, elle craint de ne plus pouvoir exercer son métier : pour les talibans, il est inacceptable de proposer une contraception aux Afghanes afin de les protéger des risques qu'elles encourent avec des grossesses à répétition...

VIDEO. Financement des fake news : quand les sites conspirationnistes encaissent des millions grâce à la publicité

jeudi 2 septembre 2021 à 19:48
Pour les producteurs de fausses informations, il existe une source de financement particulièrement lucrative et qui semble échapper à tout contrôle : le marché de la publicité. Dans le Missouri, aux Etats-Unis, une équipe de "Complément d'enquête" est allée à la rencontre d'un homme parti de rien qui a fait fortune avec son site. Extrait d'un document à voir le 2 septembre 2021, "Fake news, la machine à fric".

Discours d'Emmanuel Macron à Marseille : "Il n'y a absolument rien de concret dans ce qu'il a dit", déplore le Collectif des écoles de Marseille

jeudi 2 septembre 2021 à 19:40
Julien Houlès s'est également dit "particulièrement choqué" par les propos d'Emmanuel Macron qui a affirmé qu'il y avait "trop de grèves" dans les écoles marseillaises.