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Israêl veut avaler 400 ha de terres en Cisajordanie

dimanche 31 août 2014 à 12:26
Israêl veut avaler 400 ha de terres en Cisajordanie

Photo: Sale type

Israêl veut avaler 400 ha de terres en Cisajordanie

 

Israël a l'intention de s'approprier 400 hectares de terres situées en Cisjordanie occupée, dans le secteur de Bethléem, a indiqué dimanche l'armée.

Il s'agit d'une décision "sans précédent" par son ampleur depuis les années 1980, s'est alarmée l'organisation anticolonisation "La Paix maintenant". Les autorités ont annoncé le lancement de la procédure déclarant propriété de l'Etat israélien ces 400 hectares proches de la colonie de Gva'ot, a dit l'armée.

Elle n'a pas fourni de justification à la décision prise par "les instances politiques" et précisé que les parties concernées avaient 45 jours pour faire appel. "La Paix maintenant" considère cette déclaration comme "la preuve que le Premier ministre (Benjamin) Netanyahu (...) continue à dresser les obstacles devant la vision de deux Etats (israélien et palestinien) et de promouvoir une solution avec un seul Etat".

 

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2022746/2014/08/31/Israel-veut-s-approprier-400-hectares-de-terres-en-Cisjordanie.dhtml

Des pays de l'OTAN créent une force militaire sous commandement britannique

dimanche 31 août 2014 à 12:17
Des pays de l'OTAN créent une force militaire sous commandement britannique

En réponse à la crise ukrainienne

Des pays de l'OTAN créent une force militaire sous commandement britannique

 

 

Des Etats de L'OTAN créent une nouvelle force multilatérale - constituée de 10.000 hommes sous commandement britannique afin de répondre à la crise en Ukraine
Article originel : 
NATO states create new multilateral force – British-led unit of 10,000 formed in response to Ukraine crisis

Financial Times

Traduction SLT

La Grande-Bretagne et six autres Etats vont créer une nouvelle force expéditionnaire conjointe (Joint Expeditionary Force: JEF) d'au moins 10 000 personnes pour renforcer la puissance de l'OTAN en réponse à l'agression russe en Ukraine.

Cette force sera l'une des décisions les plus audacieuses prises par des membres de l'OTAN en réponse à la crise ukrainienne. L'objectif est de créer une force pleinement opérationnelle, de la taille d'une division, susceptible d'effectuer un déploiement rapide et, des exercices réguliers et fréquents.

Les responsables dans la planification de cette force déclarent qu'elle aura la capacité d'augmenter de manière significative la taille de ses unités.

Cette force intégrera des unités aériennes et navales ainsi que des troupes au sol et sera dirigée par un commandement britannique, avec les autres nations participantes qui devraient fournir des troupes spécialisées ainsi que des unités.

A l'heure actuelle, les pays concernés sont le Danemark, la Lettonie, l'Estonie, la Lituanie, la Norvège et les Pays-Bas. Le Canada a également exprimé son souhait d'intégrer cette nouvelle force.

L'annonce de la création de cette force est prévue la semaine prochaine, par la voix du Premier ministre britannique, David Cameron, qui sera l'hôte du sommet de l'Otan au Pays de Galles.

Le modèle pour cette nouvelle force (JEF) sera la force expéditionnaire franco-britannique, qui a mis des années à se construire et devrait être pleinement opérationnelle d'ici 2016. La coordination d'une force issue de sept pays sera sans doute un défi encore plus important.

L'invasion de la Crimée par la Russie et l'intervention armée en Ukraine a fragilisé l'OTAN qui doit à présent faire en sorte de trouver des ripostes vigoureuses pour lutter contre toute nouvelle agression de Moscou.

Alors que l'alliance des 28 Etats de l'OTAN ​​a arrêté de déployer des troupes permanentes en Europe de l'Est - une mesure qui irait à l'encontre de plusieurs accords de longue date avec la Russie - elle s'est engagée à constituer un programme d'exercices militaires conséquents et à développer de forces de réaction plus flexibles et rapides.

Selon un officier militaire de haut rang impliqué dans la planification de cette nouvelle force, si les détails de la nouvelle force expéditionnaire dirigée par les Britanniques doivent être éclaircies, il y aura probablement des exercices réguliers importants en Europe et ailleurs.

Les analystes estiment que ces mesures importantes seront essentielles pour envoyer un message fort au Kremlin. "Nous devons mettre fin à l'idée que les zones de sécurité en Europe soient hétérogènes", a déclaré Jonathan Eyal, directeur international au Royal United Services Institute, basé à Londres.

"Nous devons parler de prépositionnement, de rotation régulière des troupes et il est très clair que nous n'acceptons plus que les Européens de l'Est aient des statuts différents dans leur adhésion à l'OTAN."

La Grande-Bretagne va entreprendre beaucoup de démarches dans l'organisation et la logistique de cette structure, les responsables britanniques espèrent que cela apportera des avantages conséquents. L'armée britannique a fait un intensif lobbying pour effectuer plus de déploiements à l'étranger afin de se maintenir en ordre de combattre.

Pour la première fois de leur histoire, après que leur retrait d'Afghanistan soit terminée, la quasi-totalité des forces terrestres de la Grande-Bretagne sera basée en permanence sur le sol britannique.

Les responsables britanniques pensent également que l'armée sera également un outil diplomatique puissant dans la consolidation des relations économiques avec l'Europe de l'Est.

De même les exigences des Etats participants pour s'intégrer dans une structure de contrôle et de commandement harmonieux de l'OTAN pourrait fournir des opportunités favorisants l'utilisation de l'équipement britannique.

 

 

http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2014/08/des-etats-de-l-otan-creent-une-nouvelle-force-multilaterale-constituee-de-10-000-hommes-sous-commandement-britannique-afin-de-repond

Ukraine: Le prêt de 17 milliards assorti d'une clause spéciale OGM & Monsanto

dimanche 31 août 2014 à 10:58
Ukraine: Le prêt de 17 milliards assorti d'une clause spéciale OGM & Monsanto

Traduction : Jean-Jacques pour vineyardsaker

Crise ukrainienne et OGM

 

Finalement, un aspect secondaire de la crise ukrainienne commence à recevoir une attention internationale. Le 28 juillet, l'Institut Oakland, basé en Californie, a publié un rapport révélant que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), selon les termes de leur prêt de $17 milliards à l'Ukraine, ouvriraient ce pays aux cultures génétiquement modifiées (GM), ainsi qu'aux OGM dans l'agriculture. Le rapport est intitulé vu de l'Ouest : la Banque mondiale et le FMI en Ukraine [1]. 

Fin 2013, le président ukrainien du moment, Viktor Yanukovych, a rejeté l'agrément d'association à l'Union européenne lié au prêt de $17 milliards, dont les termes viennent seulement d'être révélés. Au contraire, Yanukovych a opté pour une aide russe de $15 milliards, assortie d'une réduction sur le prix du gaz naturel. Sa décision a été un facteur majeur des protestations mortelles qui s'ensuivirent et qui l'ont renversé du pouvoir en février 2014, ainsi que de la crise en cours. 

Selon l'Oakland Institute« alors que l'Ukraine n'autorise pas l'utilisation des OGM dans l'agriculture, l'Article 404 de l'accord avec l'UE, en rapport avec l'agriculture, inclut une clause qui est généralement passée inaperçue : cette clause indique, entre autres, que les deux parties vont coopérer pour étendre l'utilisation des biotechnologies. » Il ne fait aucun doute que cette clause rencontre les attentes de l'agro-industrie. Comme Michael Cox, directeur de recherche à la banque d'investissement Piper Jaffray, l'a observé, « l'Ukraine, et de manière générale l'Europe de l'Est, sont parmi les marchés en croissance les plus prometteurs pour le géant de l'équipement en matériel agricole Deere, ainsi que pour les producteurs Monsanto et Dupont » [2]. 

La loi ukrainienne interdit aux agriculteurs de cultiver des plantes génétiquement modifiées. Longtemps considérée comme« le grenier à blé de l'Europe », l'Ukraine, avec les riches terres noires de son sol, est idéale pour la croissance des céréales. Ainsi, en 2012, les agriculteurs ukrainiens ont produit plus de 20 millions de tonnes de céréales. 

L'investissement de Monsanto 

En mai 2013, Monsanto a annoncé un plan d'investissements de $140 millions dans une usine de semences de céréales non OGM en Ukraine, avec le porte-parole de Monsanto en Ukraine, Vitally Fechuk, confirmant que « Nous travaillerons seulement avec des semences conventionnelles parce que ce sont les seules autorisées en Ukraine pour la production et l'exportation ». 

Mais, en novembre 2013, six grandes associations d'agriculteurs ukrainiens avaient préparé un projet d'amendement à la loi, poussant à « créer, tester, transporter et utiliser des OGM dans le cadre de la législation sur les semences génétiquement modifiées » [4]. Le président de Ukrainian Grain Association, l'association des semenciers ukrainiens, Volodymyr Klymenko, a dit lors d'une conférence de presse à Kiev que : « Nous pourrions réfléchir à cette question très longtemps, mais nous, avec les associations [agricoles], avons signé deux lettres pour modifier la loi sur la biosécurité, dans lesquelles nous avons proposé la légalisation des semences OGM pour nos agriculteurs, semences qui ont été testées depuis longtemps aux États-Unis » (en fait, les semences génétiquement modifiées ainsi que les OGM n'ont jamais été soumis à des tests indépendants sur le long-terme aux U.S.). 

Les amendements des associations agricoles coïncidaient avec les termes de l'association avec l'UE et avec le prêt FMI/Banque Mondiale. 

Le site web sustainablepulse.com, qui traque les nouvelles sur les OGM au niveau mondial a fustigé les propositions des associations agricoles, avec le directeur Henry Rowlands déclarant : « L'agriculture de l'Ukraine sera sérieusement endommagée si le gouvernement autorise les semences génétiquement modifiées dans le pays. Les agriculteurs verront se réduire les marchés à l'exportation à cause des sentiments anti-OGM en Russie et dans l'UE ». Rowlands a dit que les investissements de Monsanto en Ukraine « pouvaient atteindre $300 millions sur plusieurs années. Est-ce-que l'agriculture ukrainienne veut faire totalement confiance au succès ou à l'échec d'une compagnie U.S.? » [5] 

Le 13 décembre 2013, le vice-président de Monsanto (Corporate Enaggement), Jesus Madrazo, a dit à la conférence U.S-Ukraine à Washington D.C. que la compagnie voyait « l'importance de la création d'un environnement favorable [en Ukraine], qui encourage l'innovation et émule le développement continu de l'agriculture. L'Ukraine a l'opportunité de développer encore plus le potentiel des cultures conventionnelles, là où nous concentrons actuellement nos efforts. Nous espérons aussi que, le moment venu, la biotechnologie sera un outil disponible pour les agriculteurs ukrainiens dans le futur » [6]. 

Les câbles Wikileaks 

En août 2011, Wikileaks a diffusé des câbles diplomatiques U.S. montrant que le Département d'État des U.S. [Affaires étrangères, NdT] a fait du lobbying au niveau mondial pour le compte de Monsanto et d'autres multinationales de la biotechnologie, telles que DuPont, Syngenta, Bayer et Dow. L'organisme à but non lucratif, Food & Water Watch [Surveillance de l'eau et de la nourriture, NdT], après passage au peigne fin de ces câbles sur cinq ans (2005-2009), a publié son rapport le 14 mai 2013, intitulé « Ambassadeurs de la Biotechnique : comment le ministère des Affaires étrangères U.S. fait la promotion du programme global de l'industrie des semences » [10]. Le rapport montre que le ministère des Affaires étrangères U.S. a « fait du lobbying auprès de gouvernements étrangers pour qu'ils adoptent des politiques et légifèrent en faveur des biotechnologies agricoles, a réalisé des campagnes rigoureuses de relations publiques pour améliorer l'image de la biotechnologie, et a défié ouvertement les gardes-fous et les règles de bon sens, allant même jusqu'à s'opposer aux lois concernant l'étiquetage des nourritures OGM ». 

Selon un article de consortiumnews.com du 16 mars 2014, Morgan Williams est au centre du réseau d'alliances du regroupement des multinationales du business agroalimentaire (Big Ag) avec la politique étrangère des U.S. [11]. « En plus d'être président et PDG du Conseil pour le commerce U.S.-Ukraine, Williams est Directeur des affaires gouvernementales dans la firme privée d'investissement SigmaBleyzer, qui racole pour le travail de Williams « diverses agences du gouvernement U.S., membres du Congrès, commissions du Congrès, l'ambassade d'Ukraine aux U.S., des institutions financières internationales, des groupes de réflexion et autres organisations concernant les affaires U.S.-Ukraine, les questions de commerce, d'investissement et d'économie ». 

Les seize membres du Comité exécutif du Conseil pour le commerce U.S.-Ukraine viennent de compagnies agroalimentaires U.S., incluant des représentants de Monsanto, John Deere, DuPont Pioneer, Eli Lilly, et Cargill [12]. Parmi les vingt« Consultants principaux », on rencontre James Greene (ancien chef du Bureau de liaison Otan-Ukraine), Ariel Cohen (chargé de recherche principal à The Heritage Foundation [Groupe de réflexion conservateur à Washington D.C.], Léonid Kozachenko (président de la Confédération agraire ukrainienne), six anciens ambassadeurs U.S. en Ukraine, et l'ancien ambassadeur d'Ukraine aux U.S., Oleh Shamshur. 

Shamshur est maintenant un conseiller principal chez PBN Hill + Knowlton Strategies, une unité du géant des relations publiques Hill + Knowlton Strategies (H+K). H+K est une filiale du gargantuesque groupe WPP, basé à Londres, qui possède quelques douzaines de grosses firmes de relations publiques, dont Burson-Marsteller (un conseiller de Monsanto depuis longtemps). 

Stratégies de Hill + Knowlton 

Le 15 avril 2014, le journal de Toronto The Globe & Mail a publié un éditorial de l'assistant consultant de H+K, Olga Radchenko [13]. L'article fulminait contre le Président russe Vladimir Poutine et « la machine de relations publiques de Mr. Poutine », déclarant que « le mois dernier [mars 2014, un mois après le coup d'État], un groupe de professionnels des relations publiques, basé à Kiev, avait formé le Centre des médias sur la crise ukrainienne, une opération volontaire dans le but d'aider à améliorer l'image de l'Ukraine et de gérer ses communications sur la scène globale ». 

Le site web de PNB Hill + Knowlton Strategies déclare que le PDG de la compagnie, Myron Wasylyk, est un « membre du bureau du Conseil pour le Commerce U.S.-Ukraine », et que le Directeur général pour l'Ukraine, Oksana Monastyrska,« dirige les travaux de la firme pour Monsanto ». Monastyrska a aussi travaillé pour la Société financière internationale de la Banque mondiale. 

Selon Oakland Institut, les conditions du prêt accordé à l'Ukraine par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international ont déjà conduit à « un accroissement des investissements étrangers, qui entraînera probablement une expansion des acquisitions de terres agricoles sur une grande échelle par des compagnies étrangères et une future privatisation de l'agriculture du pays » [14]. 

En attendant, le Premier ministre russe, Dmitry Medvedev, a déclaré en avril 2014 : « Nous n'avons pas pour but de développer les produits OGM ici, ni de les importer. Nous pouvons nous nourrir avec des produits normaux non génétiquement modifiés. Si les Américains aiment manger de tels produits, qu'ils les mangent. Nous n'avons pas besoin de faire ça ; nous avons assez de place et d'occasions pour produire une nourriture organique naturelle » [15]. 

Hill + Knowlton, avec ses mensonges sur les « atrocités dans les incubateurs de bébés » au Koweït, a instrumentalisé le public américain pour qu'il supporte la première Guerre du Golfe en Irak au début des années 90. Maintenant la compagnie fomente une nouvelle Guerre Froide ou encore pire pour le compte de Monsanto, récemment élue « la pire » multinationale de la planète. C'est une chose dont il faut se souvenir au moment de la diabolisation tous azimuts de Poutine par les médias de masse. 

 

http://www.vineyardsaker.fr/2014/08/30/monsanto-en-ukraine-nourriture-genetiquement-modifiee-retour-hk/

Vieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civilisé

dimanche 31 août 2014 à 09:26
Vieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civilisé

Une carte de la Sibérie ancestrale qui révèle des canaux et des barrages !

Vieille de plusieurs millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civilisé

 

La pierre de Dashka fait partie de ces nombreux objets retrouvés à travers le monde, lesquels après avoir fait l’objet d’études scientifiques sérieuses, n’ont fourni aucune explication probante sur leur origine ou même leur raison d’être. Cette pierre ressemblant à une grande tablette fut trouvée dans les montagnes de l’Oural en Sibérie par le professeur de physique et de mathématiques Alexandr Chuvyrov de l’Université d’Etat de la région de Bachkirie. La pierre pèse pas loin d’une tonne, mesure 1,48 mètre de haut pour 1,05 mètre de large et serait composées de trois couches successives de matériaux très différents.

Qu’a-t-elle de si particulier ? Cette pierre de Dashka, plus tard rebaptisée pierre du créateur, vous allez comprendre pourquoi, représenterait en relief, donc en trois dimensions toute une région de la Sibérie telle qu’elle aurait pu être il y a 120 millions d’années ! Toutefois, si les chercheurs pensent reconnaître certaines montagnes et cours d’eau qui existent encore, ils sont surpris aussi de découvrir ce qui ressemble à des réseaux d’irrigation assez complexe, à des canaux larges de plus de 500 mètres et même des structures similaires à des barrages, on en compterait douze.

La couche superficielle d’à peu près deux millimètres d’épaisseur qui recouvre la pierre serait composée de porcelaine à forte densité de calcium ce qui lui assurerait une certaine protection contre l’érosion. La base de la pierre, qui ne porte aucune gravure serait de la dolomite, et la partie entre les deux couches, sur laquelle est gravée la carte serait de la diopside. D’après les chercheurs, il n’existe aucune technologie à l’heure actuelle capable de graver avec précision dans un minéral aussi dur que la diopside.

Quelques géologues semblent d’accord pour affirmer que la carte, si toutefois elle en est bien une, représenterait effectivement une grande région de l’Oural (Sibérie) qui dans les faits n’a pas beaucoup changé géologiquement depuis plusieurs millions d’années. Un groupe de chercheurs dont fait partie le professeur Chvyrov pensent également que la carte pourrait être un petit fragment d’un ouvrage plus conséquent montrant d’autres régions de Sibérie. Un autre fait curieux réside dans la fait que la carte serait gravée d’un côté de caractère hiéroglyphiques faisant penser à de l’ancien chinois. Ces caractères n’ont pas encore été déchiffrés.

C’est le journal russe Pravda qui a fait connaître la pierre de Dashka au grand public en publiant un article en 2002 sur le sujet. Selon le journal, le professeur Chvyrov étudiait les migrations des peuples de la région de l’Oural lorsqu’il eut écho d’archives du 18ième siècle collectées par le gouverneur d’Ufa mentionnant l’existence de plus de 200 tablettes de différentes dimensions, couvertes de gravures et motifs étranges. D’après les archives, ces pierres se trouvaient près d’un village de la région de Nurimanov. Le professeur se rendit à plusieurs reprises dans la région et finit par trouver la pierre de Daska en 1999, parait t-il dans la cour d’une ferme.

Toujours selon le journal, la pierre aurait été confiée un temps au Centre Historique de Cartographie dans le Wisconsin aux Etats-Unis. Leurs conclusions auraient été les suivantes : La pierre représente en effet une cartographie qui n’a pu être réalisée qu’a l’aide de vues aériennes. Une étude comparative visant à infirmer ou confirmer l’authenticité de la « carte de pierre » en menée en ce moment même, notamment à l’aide de puissants ordinateurs et d’images satellites. Les conclusions devraient être publiées en 2010.

Source de l’article : http://leroliste.over-blog.com/article-la-pierre-de-dashka-86868018.html

Pour le moment, pas de nouvelles publication à propos de cette étrange découverte. Elle est tellement gênante qu’il se pourrait bien qu’elle reste, comme bien d’autres dans les archives d’un laboratoire d’archéologie ou dans la cave d’un musée.

Autre article sur ce sujet :

http://secretebase.free.fr/civilisations/artefacts/pierredashka/pierredaska.htm

 

 

Vieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civiliséVieille de 120 millions d'années, la pierre de Dashka, découverte en 1999, révèle un passé hautement civilisé

http://leroliste.over-blog.com/

Japon: La nouvelle île volcanique pourrait exploser

dimanche 31 août 2014 à 08:56
Japon: La nouvelle île volcanique pourrait exploser

Big catastrophe en sommeil

La nouvelle île volcanique pourrait exploser

 

L’Agence de Sécurité Maritime a fait remarquer le 26 août 2014 que la nouvelle île volcanique au large de Tokyo a vu l’un de ses cratères colmaté par de la lave, l’énergie ainsi accumulée pourrait provoquer une énorme explosion.

D’après leur exploration aérienne, l’un des cratères du nord de l’île forme un “tertre de lave” constitué par de la lave recouvrant le cratère.
Le tertre fait environ 90 m de diamètre sur 10 m de haut.
Le Pr. Nogami de l’Institut de Technologie de Tokyo déclare que cette énergie accumulée pourrait provoquer une énorme explosion.

 

English: 

The new volcanic island offshore Tokyo has had one of the craters stuck by lava, storing the energy to cause a massive explosion, the Maritime Safety Agency observed on 8/26/2014.

 

From their the aerial survey, one of the craters in the northern part of the island is forming “lava mound”, which is the accumulated lava to cover the crater.

The mound is approx. 90m diameter, 10m height.

Prof. Nogami from Tokyo Inst. of Technology comments it’s storing the energy of lava to cause a potential massive explosion.

 

Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

2 Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

3 Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

4 Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

5 Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

6 Expert New volcanic island may have a massive explosion

 

http://www.kaiho.mlit.go.jp/info/kouhou/h26/k20140827/k140827-1.pdf

 

 

You read this now because we’ve been surviving until today.

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Expert New volcanic island may have a massive explosion


2 Expert New volcanic island may have a massive explosion
3 Expert New volcanic island may have a massive explosion
4 Expert New volcanic island may have a massive explosion
5 Expert New volcanic island may have a massive explosion
6 Expert New volcanic island may have a massive explosion

http://www.kaiho.mlit.go.jp/info/kouhou/h26/k20140827/k140827-1.pdf

 

 

http://fukushima-diary.com/2014/08/expert-new-volcanic-island-may-massive-explosion/