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Des chercheurs français ont créé un embryon imprimé en 3D

dimanche 28 septembre 2014 à 18:25
Des chercheurs français ont créé un embryon imprimé en 3D

une avancée d'importance

Des chercheurs français ont créé un embryon imprimé en 3D

 

Des chercheurs français sont parvenus à imprimer en 3D la morphologie d’un embryon humain. Une prouesse qui ouvre la voie vers une meilleure fécondation in vitro (FIV) en augmentant ses chances de réussite.

A l’heure où deux FIV sur trois se soldent par un échec, le travail des scientifiques du CHU de Montpellier pourrait révolutionner la technique. En effet, grâce à une nouvelle approche basée sur l’impression 3D, ils ont pu reproduire une réplique exacte et précise d’un embryon. Le but consiste à mieux évaluer la forme et la santé des embryons, afin de faciliter la sélection durant la phase préimplantatoire. De cette manière, il devient possible de repérer les imperfections et trouver ainsi l’embryon « idéal » à implanter dans l’utérus. Pour cela, les chercheurs sont partis d’une série d’images réalisées au microscope. Un logiciel se charge ensuite de les reconstituer en 3D avant de les transférer à une imprimante 3D pour la reproduction.

Ce modèle d’embryon imprimé en 3D devrait faciliter la tâche aux médecins. C’est également un moyen de mettre toutes les chances du côté des parents ayant recours à la fécondation un vitro.

 

Tom"s guide

Géoglyphes : plus de 50 "lignes de Nazca" découvertes au Kazakhstan grâce à Google Earth

dimanche 28 septembre 2014 à 18:00
Géoglyphes : plus de 50 "lignes de Nazca" découvertes au Kazakhstan grâce à Google Earth

Le miracle de google earth

Géoglyphes : plus de 50 "lignes de Nazca" découvertes au Kazakhstan grâce à Google Earth

 

 

Google Earth a permis à une équipe d'archéologue de découvrir plus de cinquante géoglyphes au Kazakhstan, dont certains atteignent 400 mètres de long. Ils rappellent les exemples mondialement connus de Nazca, mais ils n'ont pas encore été datés et leur utilité n'est pas connue.

Si les archéologues se servent régulièrement de truelles et de brosses, il leur faut aussi utiliser des outils moins conventionnels. C’est ainsi qu’une cinquantaine de géoglyphes ont été découverts au Kazakhstan grâce à… Google Earth ! Il s’agit principalement de talus en terre dont la forme et la disposition rappellent les grandes lignes de Nazca, au Pérou.

La découverte n’a a priori pas encore fait l’objet d’une publication scientifique, mais elle a été présentée lors du meeting annuel de l’association européenne d’archéologie à Istanbul. L’équipe, qui rassemble des chercheurs de l’université kazakhe de Koustanaï et celle de Vilnius en Lituanie, étudie le site depuis un an à l’aide de fouilles, de mesures radar et de photographies aériennes.

D’après les chercheurs, ces marques dans le paysage sont très difficiles à voir sans le recul de l’altitude malgré leur taille impressionnante, entre 90 et 400 mètres. On y retrouve des motifs géants tels que des carrés, des cercles, des croix et des swastikas.

Des raisons mystérieuses

 Si une des croix gammées a été construite à l’aide de bois, les autres formes sont dessinées par des talus en terre. Pour l'heure, ils n'ont pas été datés et leur utilisation reste sujette à débat, même si deux possibilités se dégagent. Il pourrait avoir s’agi de cadre pour divers rituels, ou alors de marqueurs pour signifier à qui appartenaient ces terres.

"Pour l’instant nous ne pouvons dire qu’une seule chose : ces géoglyphes ont été bâtis par un peuple ancien", avouent à Livescience Irina Shevnina et Andrew Logvin de l’université de Koustanaï. "Par qui et pour quelles raisons ? Cela reste un mystère".

D'autres géoglyphes à travers le monde

Les géoglyphes fascinent par leur taille et le mystère quant à leur signification. Si ceux de Nazca sont les plus connus, les archéologues en ont retrouvé un peu partout dans le monde, aussi bien en Russie, qu’au Brésil ou au Royaume-Uni.

Ces merveilles archéologiques ont également attisé de nombreuses spéculations pseudo-scientifiques car certains les ont jugées trop complexes pour être réalisées par des peuples peu avancés sur le plan technologique, mais des archéologues comme Joe Nickell ont prouvé que ces prouesses étaient tout à fait à leur portée.

Vidéo et source:

http://www.maxisciences.com/g%e9oglyphe/geoglyphes-plus-de-50-lignes-de-nazca-decouvertes-au-kazakhstan-grace-a-google-earth_art33552.html
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Le cube des Georgia Guide Stones a été retiré et révéle un code mystérieux

dimanche 28 septembre 2014 à 16:51
Le cube des Georgia Guide Stones a été retiré et révéle un code mystérieux

MM, 16, 20, 14, 8, JAM". Tel est le code derrière le 20 14


Le cube des Georgia Guide Stones a été retiré et révéle un code mystérieux

 

Décidément les "Georgia Guide Stones" n'ont pas fini de nous étonner ! Ces stèles de granit étaient déjà célèbres pour leur profession de foi visant à limiter la population mondiale et il y a quelques jours, elles sont revenues sur le devant de la scène quand une internaute s'est aperçu que l'on y avait rajouté un mystérieux cube où étaient inscris les nombres 20 et 14.

Nouveau rebondissement le 25 septembre. L'homme chargé de la maintenance du monument a retiré le fameux cube et le public présent a pu se rendre compte que ses autres faces portaient également des inscriptions. Ainsi, en plus de 20 et 14, il faut dorénavant rajouter  "MM, 16, 8, JAM". 
On a donc affaire à une véritable énigme dont le code est "MM, 16, 20, 14, 8, JAM".


La première question que l'on est en droit de se poser, c'est de savoir pourquoi a t-on gravé les autres faces alors que seules 2 sont visibles ? Logiquement, cela signifie qu'il était prévu dés le départ que cette pierre soit descellée afin que l'on puisse voir ce qui était caché.
  
Maintenant, de deux choses l'une, soit le cube a bel et bien été inséré à l'intention des générations futures, soit il contient un message destiné aux gens de notre époque.

Dans la première hypothèse, le cube constituerais probablement une sorte de signature du ou des concepteurs et contiendrais la date où a été finalisé le monument (par exemple le 16/08/2014 si la pierre a bel et bien été rajoutée ce jour là).

Dans la seconde hypothèse, cette affaire se résumerait à un jeu de piste destiné à créer le buzz. De ce point de vue, le monument ne servirait qu'à attirer les touristes dans cette région. Ce qui expliquerais pourquoi tantôt on rajoute ou on retire le fameux cube. 

En dernier ressort, il faut également envisager que les autorités aient procédé au retrait et à la destruction de cette pierre en raison de troubles à l'ordre public.  Dans le contexte actuel où les cataclysmes se succèdent de manière routinière, il est évident qu'on ne peut permettre qu'un monument tel que le monument des "Georgia Guide Stones" fasse référence à une année explicite et inquiéter ainsi inutilement la population.

 

#NotInMyName: La campagne est administrée par un ancien responsable de l'OTAN. Révélations

dimanche 28 septembre 2014 à 10:17
#NotInMyName: La campagne est administrée par un ancien responsable de l'OTAN. Révélations

Propagande ?

 

La campagne des "musulmans contre Daesh" est administrée par un ancien responsable de l'OTAN. Révélations. 

Il fut un temps où le journalisme professionnel consistait à rechercher le dessous des cartes : à en croire l'attitude exprimée aujourd'hui par Rue89 et ses confrères, cette époque est révolue. 

Ce jeudi 25 septembre, à 13h, un 
article a ainsi été mis en ligne par Rue89 au sujet d'une campagne d'opinion britannique (en images) dénommée "Not In My Name" ("Pas En Notre Nom"): le site y brocarde ce clip représentant des musulmans hostiles à Daesh.

Pourquoi demande-t-on aux musulmans de se désolidariser de l'assassinat d'Hervé Gourdel en Algérie ? 

Pourquoi des musulmans ressentent-ils la nécessité de condamner, plus fortement que les autres, cet acte odieux ? 

Pourquoi des musulmans anglais ont-ils lancé une campagne antiterroriste sous le slogan "Not in My Name" ?

 

 

Malheureusement, ce papier, signé par l'ensemble de la "rédaction de Rue89"(censée être salariée et disposer de temps pour effectuer un travail sérieux d'enquête), se contente de se poser la question sans tenter de chercher la moindre réponse, préférant se contenter de dénoncer "l'islamophobie" sous-jacente à la campagne. 
Une investigation éclairante des ramifications de cette opération était pourtant à portée de clic. 

Mise en ligne le 10 septembre, voici le clip en question : 


Qui a réalisé le film? La fondation Active Change. 

Qui 
dirige ce groupe? Hanif Qadir, un militant associatif pakistano-britannique en lutte contre "l'extrémisme violent" et qui fut lui-même un ancien islamiste engagé auprès des Talibans. 

Qui finance les programmes de réinsertion mis en place par la fondation? Essentiellement, 
le gouvernement britannique, à travers les départements del'Intérieur et des Affaires étrangères

Fondée en 2003, la Fondation est devenue une organisation reconnue par l'Etat et à but non-lucratif en 2008. 
Cette année-là, un personnage singulier vient rejoindre le conseil restreint d'administation de l'ACF : Christopher Donnely

Qui est-il? Un ponte de l'establishement militaire atlantiste. 
De 1989 à 2003, l'homme a été le conseiller spécial du secrétaire général de l'OTAN. En 2005, il a fondé le Advanced Reaserch and Assessement Group, un centre de réflexion initaielement lié au ministère britannique de la Défense et chargé d'évaluer les menaces stratégiques à l'encontre de la sécurité nationale. 

Selon LCI"pas moins de 80 000 messages" comportant le hashtag #NotInMyName ont été postés sur Twitter depuis le 10 septembre. 

Alors que la France est désormais rentrée en guerre contre le groupe terroriste de Daesh, une chose semble acquise. 

Les citoyens hexagonaux tenté de relayer -en bonne conscience- l'opération britannique ne devront pas compter sur Rue89 et ses confrères de la presse traditionnelle pour les informer du fait suivant: l'un des artisans de la campagne #NotInMyName a participé -en tant que conseiller spécial du patron de l'OTAN- aux bombardements contre l'Afghanistan. Entre 2001 et 2003, date à laquelle Donnely était actif au sein de l'organisation transatlantique, la guerre d'Afghanistan a provoqué -selon une estimation de l'ONU- la mort de quantité de civils innocents,
entre 6300 et 23 600.

 

Source

 

CNN révèle la fraude du CDC – L’autisme est bien causé par les vaccins

dimanche 28 septembre 2014 à 10:11
CNN révèle la fraude du CDC – L’autisme est bien causé par les vaccins

Dissimulation

CNN révèle la fraude du CDC: ils ont dissimulé au public 340% de risque d’autisme lié aux vaccins !

 

CDC-fraude-vaccins-2-

Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.

 

Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.

Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)

Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie  a confirmé que :

« Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. »

Il a fait remarquer :

«  Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »

Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.

Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».

Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.

Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.

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Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.

Lire ici la copie de la lettre obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA)

Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle  aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.

Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.

Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :

«  Les résultats des recherches ont révélé qu’entre 24 et 36 mois, la vaccination était légèrement plus fréquente chez les enfants atteints d’autisme, et que cette association était la plus forte chez les enfants de 3 à 5 ans. »

Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.

« La chose la plus probable est que tout résulte des exigences de vaccinations préscolaires »

Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme

Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfantsqui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).

Deux-bebes1

Le CDC indique également que :

« Des études complémentaires, ainsi qu’un examen rigoureux plus récent de l’Institut de Médecine ont établi que le vaccin ROR ne pouvait pas augmenter le risque d’autisme. »

Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.

* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)

* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.

La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.

La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.

Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMedpermet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.

La déclaration complète du CDC peut être lue ici.

La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté  d’empêcher la divulgation de cette information ?

L’information divulguée par NaturalNews peut être consultée ici.

Source: CNN

Voir aussi:  Les aveux, déjà en 2008 sur CBS, du Dr Bernadine Healy, ancienne Directrice du National Institute of Health (NIH). La question du lien entre autisme et vaccins n’est pas tranchée disait-elle, il existe des inquiétudes et le refus par les autorités d’appliquer une vraie Science amène à sacrifier des enfants qui vont être rendus inutilement autistes alors qu’on aurait pu les dépister…