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La France s'enfonce dans une dictature idéologique

mardi 26 août 2014 à 10:06
La France s'enfonce dans une dictature idéologique

Pensée unique: Le Libé et le Figaro l'ont compris et se sont entendus (poussés par F.Hollande ?) pour sortir la même Une. Une première pour deux journaux diamétralement opposés, jusqu'à hier, et la fin de Valls I.

La dictature se met en place en France

 

Le 14 juillet 2013, certains opposants à la loi Taubira ont crié « Hollande dictateur ! » : la clameur a pu paraître excessive compte tenu de la bonhomie du président de la République et de sa recherche constante du compromis.
Encore faut-il noter que cette recherche du consensus se fait sur la ligne de la plus grande pente idéologique, et que le chef de l'Etat - quel qu'il soit - inscrit sa démarche dans un Système de plus en plus verrouillé.


A y regarder de plus près, ce qui se met en place c'est une dictature pépère à base de monopole idéologique, de confusion des pouvoirs, de médias univoques, de société de surveillance, de prise de contrôle de l'enfance, de viol des consciences et de persécutions des dissidents.

Une idéologie unique : la recherche d'un monde indifférencié

Les régimes totalitaires se caractérisent par un monopole idéologique du parti au pouvoir. Notre situation est pire : derrière un pluralisme de façade, c'est celle d'une idéologie unique qui impose partout l'idée d'un monde indifférencié fondé sur le mondialisme, le libre-échangisme, la rupture des traditions, la déconstruction des identités (de sexe, de race, de culture), la culpabilisation permanente et l'antiracisme.

La collusion des pouvoirs : politique, économique, médiatique

Cette idéologie unique, tous les pouvoirs se coalisent pour l'imposer : l'État, les collectivités territoriales, les associations subventionnées, les grandes entreprises, les médias. Les dépenses de communication et de publicité représentent plusieurs points du produit intérieur brut : une telle débauche d'argent en faveur du conditionnement de l'opinion est sans précédent historique.

Des médias univoques : le canal unique

Dans les médias de l'oligarchie, du Monde à Libération en passant par Le Figaro, de Canal+ à TF1 en passant par France 2, c'est le canal unique, c'est le même message qui passe en boucle en faveur de la société multiculturelle, du capitalisme sans frontières, des guerres « justes » de « l'Empire du bien » et de l'abolition des identités dans le grand tout. A coups de désinformation, de censures, de bobards et de novlangue.

La société de surveillance : Big Brother partout

La prophétie orwellienne de 1984 se réalise pleinement : les mots disparaissent, comme le mot « race » de la Constitution, d'autres mots les remplacent et une novlangue s'impose. Dans le même temps une société de surveillance se met en place : le monde est truffé de caméras et les écoutes numériques sont généralisées. Défenseur de « l'Empire du bien », Luc Rozenzweig explique dans Causeur de l'été 2013 « qu'il n'y a pas de scandale Prism » puisque « mieux vaut la NSA qu'Al Qaïda ». Il confirme ainsi implicitement l'analyse du philosophe suisse Eric Werner pour qui la montée (réelle) de l'insécurité et la mise en scène (accomplie) du terrorisme servent à justifier la mise en place d'une société de contrôle.

La prise de contrôle de l'enfance

La marchandisation de la société conduit à placer les enfants (crèches, centre aérés, écoles) et les grands vieillards (foyers médicalisés) dans des structures collectives. Cela facilite l'endoctrinement du berceau à la tombe. Dans les EPHAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), des psychologues forment les personnes âgées aux « nouvelles valeurs ». Dans les crèches et les écoles la consigne officielle est de nier les différences de sexe et d'enseigner la « théorie du genre » dès l'école primaire, voire maternelle. Pour faire bonne mesure, le ministre de l'Education Vincent Peillon, homme de secte s'il en est, préconise diverses mesures pour couper les liens des parents avec leurs enfants et leur école : semaine de 5 jours pour décourager les femmes de s'occuper de leurs enfants le mercredi, bannissement des devoirs à la maison.

La persécution des dissidents

Le but du système est clair : produire un type d'homme conforme d'où les dissidents sont bannis des médias et marginalisés, voire licenciés, dans les entreprises et les administrations. La règle qui s'applique dans les faits est celle du « Berufsverbot » créé par les nazis et repris par la République fédérale d'Allemagne : les militants identitaires Damien Rieu et Benoît Couëtoux, victimes d'interdits professionnels pour avoir contesté la construction de mosquées, en sont les exemples vivants.

La prison pour les mal-pensants

D'autres hommes ont connu la prison exclusivement en raison de leurs opinions : Nicolas Bernard-Buss, détenu 20 jours en raison de son opposition à la loi Taubira ; Esteban Morillo, détenu préventivement depuis trois mois pour « délit de sale crâne » et de « sales idées » alors qu'il a agi en état de légitime défense face à l'agression dont il a été victime de la part d'un militant d'extrême gauche ; le révisionniste Vincent Reynouard, qui a passé un an en prison en 2010 simplement pour avoir diffusé un opuscule de 16 pages aux idées jugées, il est vrai, « nauséabondes ».

La question n'est pas ici de savoir si on partage ou non les engagements de ces militants-là, ni si leurs idées sont sympathiques ou odieuses, mais de constater la réalité : en France il y a des prisonniers politiques, c'est-à-dire des gens emprisonnés en raison de leurs opinions.

Et d'ailleurs les maires qui, en conscience, veulent refuser de procéder à des parodies de mariage entre paires homosexuelles risquent cinq ans de prison ferme. N'est-ce pas là aussi du délit d'opinion et du viol de conscience ?

Un arsenal répressif considérable

Soyons clairs : le Système dispose d'un arsenal répressif considérable (lois Pleven, Gayssot, Taubira, Perben, notamment) : s'il n'y a pas plus de détenus politiques en France ce n'est pas parce que le régime est pépère c'est parce que beaucoup d'opposants le sont. Au fond, si nous vivons dans une dictature pépère, ce n'est pas tant parce que ceux qui l'exercent sont débonnaires, c'est parce que ceux qui s'y opposent sont bien prudents. Et surtout parce que ceux qui devraient soutenir les libertés politiques - en France, pas au Kamtchatka - préfèrent souvent détourner les yeux.

Et pourtant nul ne devrait transiger avec la défense de nos libertés. Les pouvoirs totalitaires ne sont forts que de la lâcheté de leurs opposants et de leur manque de solidarité les uns vis-à-vis des autres.

 

Face à la dictature pépère une seule attitude possible : unité, solidarité !

 

http://www.polemia.com/france-la-dictature-pepere-2/

Braconnage: le site WildLeaks traque les réseaux et leurs protecteurs

mardi 26 août 2014 à 08:54
Braconnage: le site WildLeaks traque les réseaux et leurs protecteurs

Un site web pour balancer les assassins de la nature....

Braconnage: le site WildLeaks traque les réseaux et leurs protecteurs

 

 

Les réseaux de braconnage qui déciment notamment éléphants et rhinocéros d'Afrique bénéficient souvent de protections haut placées mais des militants espèrent mettre fin à leur impunité grâce à un site internet permettant de dénoncer crimes et criminels de façon confidentielle.

Les fondateurs de WildLeaks - sorte de WikiLeaks de la vie sauvage - le présentent comme la première plateforme en ligne sécurisée de lancement d'alerte dédiée à l'environnement et aux crimes contre la nature.

Alors que sur le terrain, les gardes des parcs affrontent les armes à la main des braconniers équipés de matériel militaire et toujours plus déterminés, WildLeaks espère rassembler des informations sur les têtes des réseaux et leurs protecteurs.

«Nous avons par exemple reçu un tuyau très intéressant sur un individu très puissant au Kenya, lié au gouvernement et qui est derrière le trafic d'ivoire», a affirmé à l'AFP à Dar es Salaam le fondateur de WildLeaks, Andrea Crosta.

Ce genre de personne «ne sera jamais pris de l'intérieur. Ils sont trop puissants. Il faut de l'aide de l'extérieur. Donc dans l'immédiat, nous essayons de collecter des preuves», poursuit cet ancien consultant en sécurité et protecteur de l'environnement de longue date, âgé de 45 ans.

Le braconnage des éléphants et des rhinocéros a explosé ces dernières années en Afrique, alimenté par la forte demande d'ivoire et de corne en Asie où ils ont atteint des prix astronomiques qui font saliver gangs criminels internationaux et groupes armés.

- Commerce de grands singes -

 

M. Costa se dit certain que WildLeaks peut être une arme cruciale contre le braconnage qui menace la survie des pachydermes d'Afrique. Le site a reçu son premier tuyau dans les 24 heures qui ont suivi son lancement en février et a récolté depuis 45 informations et fuites, dont 28 jugées utiles.

Les renseignements recueillis sont de toutes sortes, et vont du braconnage du tigre à Sumatra à la coupe illégale de bois dans l'est de la Russie ou au Mexique, en passant par la contrebande de faune et flore sauvage vers les Etats-Unis.

Certaines de ces informations sont transmises à des agences de répression, d'autres partagées avec des organisations de défense de l'environnement spécialisées dans le domaine concerné. WildLeaks a également lancé à deux reprises sa propre enquête et une troisième devrait l'être prochainement.

Le site utilise un système informatique de cryptage pour préserver l'identité de ses informateurs.

«C'est vraiment une idée intelligente», estime Mimi Arandjelovic, chercheuse à l'Institut Max Planck pour l'Anthropologie de l'évolution, partenaire de WildLeaks dans le combat contre le commerce des grands singes en Afrique centrale et occidentale. «Les gens peuvent rencontrer des blocages quand il s'agit de dénoncer ces choses, donc pouvoir le faire de façon anonyme ne peut être que positif».

Selon Richard Thomas de l'ONG TRAFFIC, principal réseau de surveillance du commerce de flore et faune sauvage, «il s'agit d'une nouvelle approche contre les crimes contre l'environnement» mais «elle fera ses preuves dans le temps, si des informations utiles sont recueillies et adressées aux agences spécialisées pour des actions concrètes».

Principal enjeu pour que le projet WildLeaks réussisse: le faire connaître auprès du public et gagner la confiance des informateurs potentiels, admet M. Crosta, qui était à Dar es Salaam pour rencontrer des partenaires potentiels et passer le mot sur son projet.

WildLeaks n'a pour l'heure reçu aucun renseignement venu de Tanzanie, pays d'Afrique de l'Est dont les éléphants et rhinocéros sont actuellement décimés.

En 2011, M. Crosta avait mené - sur ses fonds propres, affirme-t-il - une enquête sous couverture de 18 mois sur le braconnage d'espèces sauvages et était parvenu à rencontrer des trafiquants.

Ses conclusions suggéraient notamment que le trafic d'ivoire était un élément-clé du financement des insurgés somaliens shebab, des résultats néanmoins contestés par des experts de l'ONU.

Mais le message de WildLeaks est clair: faire cesser le braconnage nécessite d'agir contre les chefs, richissimes et influents, de gangs criminels bénéficiant souvent de connexions à hauts niveaux dans certains pays.

«Nous ne traquons pas les braconniers ou trafiquants de petite envergure, mais ceux qui sont au-dessus d'eux, y compris les responsables gouvernementaux corrompus», explique Andrea Crosta.

Pour l'heure WildLeaks n'a permis aucune arrestation, mais son fondateur l'attribue à la jeunesse du projet et au fait qu'il est plus difficile d'atteindre les échelons supérieurs des réseaux criminels.

«Vous ne pouvez pas simplement continuer à attraper et incarcérer les braconniers, parce qu'il y en a une réserve infinie par ici», assure-t-il, «ce n'est pas la solution».

 

http://www.20minutes.fr/planete/environnement/1432021-20140825-braconnage-site-wildleaks-traque-reseaux-protecteurs

Les conducteurs du convoi russe témoignent sur la situation à Lougansk

mardi 26 août 2014 à 08:45
Les conducteurs du convoi russe témoignent sur la situation à Lougansk

Une famine à faire peur

Les conducteurs du convoi russe témoignent sur la situation à Lougansk

 

 

Après avoir constaté les conséquences de l’opération « antiterroriste » des autorités ukrainiennes à Lougansk, les conducteurs du convoi humanitaire russe ont l’intention de travailler gratuitement, écrit lundi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

« Les habitants nous ont accueillis les larmes aux yeux. Nous sommes arrivés à temps – la famine dans la ville a atteint une telle ampleur que les gens ramassaient les graines de sarrasin tombées de certains sacs percés », déclare Andreï Koneev, volontaire venu de la région d’Orenbourg, conducteur du camion 234.

Aujourd’hui, la ville de Lougansk est privée d’électricité et de communications : les habitants ont été informés de l’arrivée du convoi par le biais de haut-parleurs. Des volontaires pour décharger les camions étaient recherchés partout dans Lougansk, et étaient transportés par bus vers les points de déchargement.

Puis sont venus les gens ordinaires. Des habitants de la ville. Des femmes sont arrivées avec des photos de leurs enfants et pleuraient, demandaient de ne pas les abandonner.

« C’est terrible à regarder. La nuit j’aidais à décharger le camion quand une fillette d’environ neuf ans s’est approchée de moi. Je lui ai donné de la confiture de la ration et elle s’est jetée dessus comme si elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours. Je lui ai donnée toute la ration, elle s’est éloignée de moi, a mangé encore quelque chose et est repartie avec le reste. Peut-être pour sa famille, si elle est encore en vie, ou peut-être pour plus tard… Je n’ai même pas eu le temps de demander d’où elle venait à une heure aussi tardive… », raconte Serguei, conducteur de la région de Volgograd.

De nombreux conducteurs ont partagé leurs rations avec les habitants.

Le convoi humanitaire a fait venir à Lougansk non seulement de la nourriture, mais aussi des médicaments de premier besoin (notamment pour les cardiaques et les diabétiques), ainsi que des groupes électrogènes. Sachant qu’il sera impossible de faire le plein de carburant sur place, les conducteurs avaient préparé des batteries et rempli les groupes avec du gasoil encore dans le campement. Ceux qui ont vu Lougansk pour la première fois disent qu’ils ne s’attendaient pas à voir une « ville aussi charmante ». Les autres sont frappés par l’ampleur des dégâts. C’est le secteur privé qui a été surtout touché – dans certains quartiers une maison sur deux est détruite ou brûlée, racontent les conducteurs. Des fenêtres sont brisées dans pratiquement toutes les maisons à travers la ville. Les bris de verre recouvrent les routes et les cours des maisons. Les câbles électriques arrachés empêchent de passer, les routes sont parsemées de déchets et de journaux, ainsi que d’affaires personnelles: des jouets, des vêtements pour enfants, des livres.

« J’avais vu des choses de ce genre à la télévision et c’est très étrange de l’observer en réalité. Comme si un enfant fâché avait joué et jeté ses affaires partout dans la maison. Mais ce n’est pas un jeu. C’est la réalité. C’est épouvantable », déclare Sergueï.

Les conducteurs ont également raconté que le déchargement était accompagné par des rafales de fusils automatiques…

« On a attendu dix jours la Croix-Rouge, qui n’a pas rempli sa mission au final. Nous ne les avons pas attendus et sommes partis. C’était impossible d’attendre davantage. J’ignore ce qu’on écrit à propos de nous sur internet, mais je suis persuadé d’avoir tout fait correctement », dit Andreï.

Ce voyage a conforté beaucoup de conducteurs dans l’idée qu’il fallait poursuivre l’aide. Certains sont prêts à refaire l’expédition dès demain.

Source: Ria Novosti,

Laurent Fabius prétend que l'EIIL a été créé par....Bachar el-Assad !

lundi 25 août 2014 à 21:32
 Laurent Fabius prétend que l'EIIL a été créé par....Bachar el-Assad !

Mensonge hallucinant

Quand Fabius met l'EIIL sur le dos Bachar el-Assad

 

 

WikiStrike ne pouvait laisser passer une telle ânerie de la part de l'homme aux poches de sang contaminé, écoutez bien à 1:35, un bijou de désinformation tout simplement hallucinant:

30 états américains ont demandé l'aide du CDC pour examiner de potentiels cas d'Ebola

lundi 25 août 2014 à 20:58
30 états américains ont demandé l'aide du CDC pour examiner de potentiels cas d'Ebola

Carte des états pouvant abriter l'Ebola

30 états américains ont demandé l'aide du CDC pour examiner de potentiels cas d'Ebola

 

 

Trente États ainsi que le District de Columbia ont demandé l'aide du CDC ( Center for Disease Control) en vue de l'identification de cas potentiels d'Ebola. La carte ci-dessus est basée sur une liste de ces états fournie par le CDC.


Elle montre (en rouge vif) tous les Etats qui ont demandé l'aide du  CDC depuis le 27 Juillet. Lorsqu'il est contacté pour un avis consultatif, le CDC examine les symptômes du patient et son historique de voyage et décide si oui ou non un test sanguin est nécessaire.

Dans la plupart des cas, le CDC est en mesure de se prononcer sur le virus Ebola sans la nécessité d'une prise de sang. La chaîne ABC News a rapporté mercredi que le CDC a été contacté 68 fois depuis la fin du mois dernier. Dans 58 de ces cas, l'hypothèse du virus Ebola a été écartée. Dans les dix cas restants, le CDC a ordonné un test sanguin. Sept de ces essais se sont avérés négatifs et trois sont encore en suspens.

Le CDC n'a pas encore transmis l'information sur l'emplacement des 10 patients qui ont reçu le test du virus Ebola, mais les rapports indiquent que des patients ont été testés à New York, en Californie, au Nouveau-Mexique, dans le Maryland et dans l'Ohio. Les patients en Californie et au Nouveau-Mexique sont actuellement en attente de résultats de tests.

Deux patients qui ont été transportés aux USA après avoir contracté le virus Ebola en Afrique de l'Ouest sont sortis de l'hôpital d'Atlanta cette semaine. Les deux ont été guéris après un traitement qui comprenait un médicament expérimental appelé ZMapp.

Le CDC a prononcé la guérison de ces deux patients et a déclaré  : «Ils n'ont plus le virus Ebola dans leur sang et ne présentent donc aucun risque pour les contacts familiaux ou le public."



- Briebart

http://www.breitbart.com/Big-Government/2014/08/21/CDC-30-States-Plus-D-C-Have-Requested-Help-with-Possible-Ebola-Cases