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Dieudonné présent à la marche républicaine

dimanche 11 janvier 2015 à 13:05
Dieudonné présent à la marche républicaine

Dieudonné annonce sa participation à la "marche"

Le polémiste Dieudonné, plusieurs fois condamné pour des propos antisémites, a annoncé dimanche sur son compte twitter qu'il participerait à Paris à la "marche républicaine" en hommage aux victimes de Charlie Hebdo et du magasin casher.

"Présent à la marche aux côtés des défenseurs de la liberté d'expression. Pensées pour tous ceux qui n'ont jamais eu peur de mourir de rire", écrit Dieudonné sur le réseau social.

Dieudonné est depuis un an dans le viseur du gouvernement, qui avait fait interdire certaines de ses représentations fin 2013 et début 2014. Il est aussi dans le collimateur de la justice, notamment pour fraude fiscale, blanchiment, abus de biens sociaux, et pour avoir lancé un appel aux dons afin de régler ses amendes.

Petit rappel de l'amour que porte CH à Dieudonné

Petit rappel de l'amour que porte CH à Dieudonné

BFM a failli donner la mort à 6 otages ! affirme une femme d'un otage de l'Hyper cacher

dimanche 11 janvier 2015 à 12:13
BFM a failli donner la mort à 6 otages ! affirme une femme d'un otage de l'Hyper cacher

La femme d'un otage de Saint Mandé, porte de Vincennes, accuse BFM télé d'avoir poussé au crime enr révélant sur un bandeau la présence de 6 otages dont un bébé. Le terroiste a regardé BFM deux minutes après un entretien privé de la chambre froide. Heureusement, il n'a pas lu le bandeau car les 6 personnes cachées auraient aà coup sûr été abttu par le preneur d'otages Coulibaly.

L'immense bourde de BFM montre à quel point les médias peuvent être dangereux dans leur désir d'information. 

 

Ghisham Doyle pour WikiStrike

 

Autre article sur le sujet

 

 

Vendredi soir, une scène inhabituelle a attiré l'attention des internautes. A l'antenne de BFM-TV, une femme présentée comme la compagne d'un des otages du supermarché casher de porte de Vincennes, a accusé la chaîne d'information en continu d'avoir mis en danger la vie de certaines personnes retenues par Amedy Coulibaly, qui s'étaient cachées :

 

« Vous avez failli faire une grosse grosse erreur, BFM. Parce que vous étiez en direct avec les gens qui étaient dans la chambre froide. Ils vous ont dit qu'ils étaient six en bas, avec un bébé. Et deux minutes après, c'est passé sur BFM. Et le terroriste a regardé BFM.

 

Heureusement qu'il n'a pas vu la bande, la bande qui passait en bas, sinon mon mari et les cinq autres étaient morts, parce qu'il descendait et il les mitraillait tous, parce qu'il était persuadé qu'il n'y avait plus personne en bas. Et BFM a marqué “5 personnes en bas plus un bébé”. »

 

« Trop d'information tue l'information », lance enfin cette dame, interrogée lors du rassemblement qui a eu lieu près du lieu de prise d'otages, à Saint-Mandé, et qui, pendant le drame, plus tôt dans la journée, dit qu'elle était en face de l'épicerie, avec la police.

 

 

« NOUS N'AVONS PAS ÉTÉ EN CONTACT AVEC LES OTAGES »

 

 

Joint par Le Monde, Hervé Béroud, directeur de la rédaction de BFM-TV, dit ne pas vouloir « polémiquer » avec cette femme et « ne [pas] doute[r] de sa bonne foi ». Mais estime ne pas avoir commis les fautes décrites.

« Nous sommes très surpris : nous n'avons, à BFM-TV, jamais été en contact avec les gens retenus en otage dans la chambre froide. Nous étions au courant de leur existence, de source policière, mais nous n'avons pas été en contact avec eux. »

 

« La dame dit aussi que nous avons écrit que des otages étaient cachés dans notre bandeau écrit en bas de l'écran. Or, nous n'avons, pendant l'opération, jamais écrit aucun bandeau mentionnant des gens cachés », ajoute le dirigeant de la chaîne, qui dit avoir fait revisionner toutes les images de la prise d'otages à l'antenne.

 

 

Hervé Béroud ajoute :

 

« A une occasion, le journaliste Dominique Rizet, en plateau, a évoqué une femme qui se serait cachée dans une chambre froide. Mais il l'a fait parce qu'il était en contact avec une personne du RAID sur place, qui lui avait dit que ces personnes-là n'étaient plus en danger car les forces d'intervention avaient pris position près de la chambre froide. Pourtant, M. Rizet s'est ensuite dit que ce n'était pas la peine de redire cette information, par prudence. »

 

« Enfin, la dame dit que le preneur d'otages regardait BFM-TV, relève le directeur de la rédaction de BFM-TV. Je ne sais pas si c'est vrai mais nous n'avons jamais entendu que c'était le cas et quand nous l'avons eu au téléphone vers 15 heures, il ne nous a rien dit de tel. »

 

Le dirigeant estime avoir fait la couverture des opérations en s'efforçant de ne pas mettre la vie d'otages en danger : la chaîne a ainsi « retenu » et pas diffusé les informations qu'il a obtenues en parlant au téléphone avec le preneur d'otages dans l'après-midi, affirme M. Béroud : le fait que M. Coulibaly était seul et qu'il y avait quatre morts. Il ajoute enfin qu'à la demande des forces de l'ordre BFM-TV n'a pas diffusé l'assaut en direct.

 

 

Source

Les attentats de Paris sont un prélude à une offensive de l'EI en Europe (NSA)

dimanche 11 janvier 2015 à 11:56
Les attentats de Paris sont un prélude à une offensive de l'EI en Europe (NSA)

L'agence américaine de renseignements NSA (National Security Agency) a établi que les récents attentats de Paris seraient une prélude à une série d'attaques du groupe jihadiste Etat islamique en Europe, a annoncé dimanche le journal allemand Bild am Sonntag.

Selon le journal, les agents de la NSA ont intercepté il y a quelques mois des communications téléphoniques dans lesquelles des dirigeants de l'EI annonçaient une vague d'attentats visant d'autres villes européennes, parmi lesquelles Rome.

Le chef du service de contre-espionnage britannique Mi5 Andrew Parker a déclaré en janvier que le réseau terroriste international Al-Qaïda préparait des attaques contre des pays occidentaux, notamment contre la Grande-Bretagne. Selon lui, les attaques viseraient notamment des moyens de transport ou des objectifs symboliques.

Ces derniers jours, la France a fait face à une série d'attaques terroristes qui ont fait au total 17 morts dont trois policiers. Trois terroristes, auteurs des attaques, ont été abattus vendredi dans le cadre de deux opérations spéciales lancées par la police française.

 

Source

Charlie Hebdo : jusqu'à 7 ans de prison pour les messages d'apologie

dimanche 11 janvier 2015 à 11:47
Le Patriot Act à la'européenne est lancé

Le Patriot Act à la'européenne est lancé

 

Le ministère de l'intérieur suit activement les signalements de messages publiés sur Internet qui se réjouissent de l'opération meurtrière réalisée dans les locaux de Charlie Hebdo. Les auteurs, s'ils sont poursuivis, risquent jusqu'à 7 ans de prison.

 

Selon Le Monde.fr, "Bernard Cazeneuve a indiqué aux préfets que 3 721 messages faisant l'apologie des attentats avaient été recensés sur les réseaux sociaux depuis l'attaque" menée contre Charlie Hebdo, le mercredi 7 janvier. Très vite, alertée par des internautes qui s'indignaient de voir la publication de messages applaudissant les deux assassins, la police avait demandé au public d'utiliser la plateforme PHAROS mise en place pour centraliser les signalements de messages litigieux :

 

 

Charlie Hebdo : jusqu'à 7 ans de prison pour les messages d'apologie
 
 

 

Même si le moment n'est pas encore pour les autorités de parler de la réponse judiciaire qui sera éventuellement apportée à ces signalements, il fait peu de doute qu'au moins une partie de leurs auteurs sera poursuivie en justice. Ils risquent gros.

 

Depuis la loi du 13 novembre 2014 renforçant les dispositions relative à la lutte contre le terrorisme, l'utilisation d'Internet est en effet devenue une circonstance aggravante dans la qualification des actes d'apologie du terrorisme.

 

L'article 421-2-5 du code pénal dispose que "le fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l'apologie de ces actes est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende", et précise que "les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 € d'amende lorsque les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne".

 

La première étape sera, pour les autorités judiciaires, d'obtenir la collaboration de Twitter, Facebook ou tout autre réseau social ayant servi à diffuser les messages de soutien aux djihadistes, pour réunir les éléments d'identification des auteurs. Il s'agit essentiellement des adresses e-mail d'inscription, et adresses IP utilisées au moment de la publication. Ce ne devrait pas être une difficulté, les deux principaux réseaux sociaux ayant désormaisaccepté le principe d'une transmission des données sans passer par les juridictions américaines.

 

Par ailleurs comme l'expliquait Twitter à L'Express, le réseau social est lui-même actif pour suspendre les comptes signalés qui contreviennent à ses conditions d'utilisation, ce qui peut apparaître contradictoire dans le contexte d'une défense républicaine de la liberté d'expression. Où tracer la limite entre ce qui relève de la simple provocation choquante mais légale, et ce qui relève de la véritable apologie d'actes terroristes ? Pas simple. 


http://www.numerama.com/magazine/31818-charlie-hebdo-jusqu-a-7-ans-de-prison-pour-les-messages-d-apologie.html

 

 

Même si le moment n'est pas encore pour les autorités de parler de la réponse judiciaire qui sera éventuellement apportée à ces signalements, il fait peu de doute qu'au moins une partie de leurs auteurs sera poursuivie en justice. Ils risquent gros.

 

Depuis la loi du 13 novembre 2014 renforçant les dispositions relative à la lutte contre le terrorisme, l'utilisation d'Internet est en effet devenue une circonstance aggravante dans la qualification des actes d'apologie du terrorisme.

 

L'article 421-2-5 du code pénal dispose que "le fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l'apologie de ces actes est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende", et précise que "les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 € d'amende lorsque les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne".

 

La première étape sera, pour les autorités judiciaires, d'obtenir la collaboration de Twitter, Facebook ou tout autre réseau social ayant servi à diffuser les messages de soutien aux djihadistes, pour réunir les éléments d'identification des auteurs. Il s'agit essentiellement des adresses e-mail d'inscription, et adresses IP utilisées au moment de la publication. Ce ne devrait pas être une difficulté, les deux principaux réseaux sociaux ayant désormaisaccepté le principe d'une transmission des données sans passer par les juridictions américaines.

 

Par ailleurs comme l'expliquait Twitter à L'Express, le réseau social est lui-même actif pour suspendre les comptes signalés qui contreviennent à ses conditions d'utilisation, ce qui peut apparaître contradictoire dans le contexte d'une défense républicaine de la liberté d'expression. Où tracer la limite entre ce qui relève de la simple provocation choquante mais légale, et ce qui relève de la véritable apologie d'actes terroristes ? Pas simple. 


http://www.numerama.com/magazine/31818-charlie-hebdo-jusqu-a-7-ans-de-prison-pour-les-messages-d-apologie.html

"L'Emir" de Kouachi est infirmier-stagiaire à la Pitié-Salpêtrière !

dimanche 11 janvier 2015 à 11:14
Farid Benyettou a été condamné à six ans de prison en 2008 dans le cadre du démantèlement de la « filière des Buttes-Chaumont ». Sorti en 2011, il est aujourd’hui infirmier stagiaire à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, depuis le mois de décembre. DR.)

Farid Benyettou a été condamné à six ans de prison en 2008 dans le cadre du démantèlement de la « filière des Buttes-Chaumont ». Sorti en 2011, il est aujourd’hui infirmier stagiaire à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, depuis le mois de décembre. DR.)

 

Charlie Hebdo : l'étonnante reconversion de l'«émir» des frères Kouachi

Farid Benyettou, l'ex-«émir» de la «filière des Buttes-Chaumont» qui a formé les frères Kouachi à l'idéologie radicale, occupe depuis le mois de décembre un poste d'infirmier stagiaire dans le service des urgences de l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.

Dans un contexte d'immense émotion, l'information semble improbable. Farid Benyettou, l'ex-« émir » de la « filière des Buttes-Chaumont » qui a formé les frères Kouachi à l'idéologie radicale, occupe depuis le mois de décembre un poste d'infirmier stagiaire dans le service des urgences de l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l'un des principaux centres hospitaliers ayant accueilli les victimes de la fusillade de « Charlie Hebdo ».

Né le 10 mai 1981, Farid Benyettou était une figure du XIXe arrondissement et de la mosquée Adda'wa, où il n'hésitait pas à prêcher des paroles radicales aux fidèles.

Suivi par les renseignements généraux dès le début des années 2000, qui notent sa proximité avec le Groupe salafiste pour la prédication du combat (GSPC), il rencontre les frères Kouachi, à qui il inculque sa vision radicale de la religion, et en fait ses premiers élèves, qu'il souhaite envoyer mener le jihad en Irak.

En 2005, il est mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », avant d'être condamné -- en compagnie de Chérif Kouachi -- à six ans de prison en 2008 par le tribunal de 
Paris. Entendu par les enquêteurs dès 2005 sur sa relation avec Farid Benyettou, Chérif Kouachi déclarait devant les enquêteurs à propos des cours coraniques dispensés par son mentor : « J'avais vraiment l'impression que la vérité était là, devant moi, quand il parlait. »

Sorti de prison en 2011, Farid Benyettou s'inscrit l'année suivante à une formation au sein de l'Institut de formation des soins infirmiers (Ifsi), avant d'intégrer au début du mois dernier le service des urgences de la Pitié-Salpêtrière. Selon plusieurs témoignages recueillis auprès du corps médical qui décrivent « un élève studieux et discret », les événements tragiques de ces derniers jours ont crispé le climat dans l'hôpital. A tel point que l'encadrement a pris soin de retirer mercredi soir le planning du service où apparaissait l'emploi du temps du jeune homme, avant de le réafficher en ayant préalablement rayé au crayon ses journées de travail.

Selon ce document, Farid Benyettou ne travaillait pas mercredi et jeudi, mais devait être présent la nuit de vendredi à samedi ainsi que les deux suivantes. « On ne peut pas imaginer que cet homme -- que tout le monde présente comme l'un des principaux mentors des frères Kouachi -- aurait pu accueillir les victimes de ses anciens protégés », s'émeut un médecin de l'hôpital. « Et je ne peux imaginer que la direction de l'AP-HP et celle de l'hôpital n'étaient pas au courant de son passé », ajoute-t-il.

Mais, parmi ses collègues, la stupéfaction est immense, eux qui mettent en avant le règlement lié à l'emploi d'infirmier. « Selon les règles du ministère de la Santé, on ne peut pas prétendre à un poste d'infirmier avec un casier judiciaire chargé. On nous demande d'en produire un vierge dès la première année », s'insurge un collègue d'un service voisin. Selon nos informations, Benyettou ne l'aurait pas produit. Si le ministère de la Santé, qui émet pourtant les diplômes, s'est dessaisi de nos questions en nous dirigeant vers l'AP-HP, la direction des hôpitaux de Paris se justifie. « La situation de cet élève infirmier est régulière et elle est connue, depuis le début de sa scolarité, tant par la direction de l'école où il est scolarisé que des services de police », précise l'AP-HP.

« Les événements dramatiques de cette semaine nous ont conduits à prendre l'initiative, en liaison avec les autorités de police, de ne pas le maintenir dans le planning du service où il terminait son dernier stage. Une condamnation portée sur le casier judiciaire interdit d'être recruté sur un emploi public, mais sans interdire de passer le diplôme, qui peut être valorisé dans d'autres lieux d'exercice que les établissements publics. »

 

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