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Ukraine : la garde nationale impliquée dans des exécutions de masse et le trafic d’organe

jeudi 2 octobre 2014 à 09:24
Ukraine : la garde nationale impliquée dans des exécutions de masse et le trafic d’organe

Des morts pour des organes

Ukraine : la garde nationale impliquée dans des exécutions de masse et le trafic d’organe

 

 

Un nouveau charnier vient d’être découvert en Ukraine près de Donetsk, dans une zone auparavant sous contrôle des unités de la garde nationale. Plus de 400 corps ont été retrouvés et se trouvent actuellement à la morgue afin d’y être autopsiés. Un groupe d’observateurs européens a pu inspecter les charniers en compagnie des représentants de Novorossia. Selon Ainars Graudins, militant letton des droits de l’homme, le nombre de corps devrait malheureusement augmenter au fur et à mesure des exhumations qui sont toujours en cours.

Human Right Watch a appelé à une « enquête immédiate », précisant par la voix de son directeur adjoint pour l’Europe Rachel Denber que l’enquête devait  s’effectuer  « avec la participation d’experts médico-légaux indépendants et impartiaux », ce qui revient à remettre en doute de manière insidieuse les premières constatations faites par les représentants de Novorossia mais aussi par les observateurs de l’OSCE et du comité d’enquête russe pour le Donbass. Quant on sait les liens et les conflits d’intérêts qui existent entre HRW et le département d’état américain, une telle demande de la part de l’organisation ne peut qu’être interprétée comme une volonté de décrédibiliser les premières constatations et d’étouffer le bruit médiatique de l’affaire en reportant ses éventuelles conclusions dans un futur éloigné, la même technique fut employée pour le crash du vol MH 17 dont les conclusions de l’enquête, qui établiront très probablement la responsabilité de la junte de Kiev, ont été renvoyées aux calendes grecques…

Le comité d’enquête russe a précisé détenir les preuves de l’implication de la garde nationale et du groupe Pravy Sektor dans la création des fosses communes. Rappelons que cette zone est restée sous occupation des troupes de la junte pendant plus d’un mois suite au repli des forces de Novorossia de Slaviansk.

Enfin, une information de la plus grande importance vient d’être confirmée par une des représentantes de l’OSCE présente sur place, Madina Dzharbusynova, qui a affirmé que de nombreux corps avaient été vidés de leurs organes internes. Elle a évoqué la probabilité de la vente des organes prélevés sur les corps et confirme donc les soupçons de trafic d’organe évoqués précédemment, notamment par le premier ministre Zakharchenko à la suite de la découverte de fosses communes à Nyzhnia Krynka.

 

Lu sur les Moutons enragés

Coupures d’eau : comment les multinationales ignorent délibérément la loi

jeudi 2 octobre 2014 à 09:17

Coupures d’eau : comment les multinationales ignorent délibérément la loi

 

Près de deux millions de personnes en France ne disposent pas d’un accès suffisant à l’eau, du fait de leur situation précaire… ou des pratiques illégales de leur fournisseur. Bien que les coupures d’eau soient interdites depuis un an, les compagnies en charge de ce service – Veolia et Suez en tête – ne semblent pas pressées de respecter une loi qui va à l’encontre d’habitudes commerciales bien établies. La société civile se mobilise pour les obliger à respecter les nouvelles dispositions légales, au besoin en saisissant la justice, et à renforcer la reconnaissance officielle du droit à l’eau en France. Un droit dont sont encore privés des dizaines de milliers de sans domiciles.

En France, il est désormais formellement interdit, depuis le vote en avril 2013 de la loi Brottes (du nom du député socialiste de l’Isère, François Brottes), de procéder à des coupures d’eau chez des particuliers pour factures impayées, quelle que soit la période de l’année. Problème : ces nouvelles dispositions légales, qui viennent consacrer la notion de « droit à l’eau », restent largement ignorées sur le terrain. Après avoir recueilli depuis cet été des dizaines de témoignages de personnes victimes de coupures d’eau de la part de leurs fournisseurs – au premier rang desquels les grands groupes privés Veolia, Suez et Saur –, la Coordination Eau Ile-de-France et la fondation France Libertés ont porté l’affaire en justice. Elles ont obtenu, le 25 septembre, une première victoire juridique contre la Lyonnaise des eaux. La filiale de Suez environnement a été condamnée à verser plusieurs milliers d’euros à une mère de famille dont l’eau était coupée depuis 50 jours.

Le 28 juillet 2010, à l’instigation de la Bolivie, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies reconnaissait officiellement le « droit à l’eau » parmi les droits humains fondamentaux. Selon les derniers chiffres de l’Onu [1], 750 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable. La proportion est encore bien supérieure en ce qui concerne l’accès à l’assainissement. Mais l’enjeu ne concerne pas seulement les zones rurales africaines ou les bidonvilles asiatiques. En France, selon le rapport 2014 de la Fondation Abbé Pierre sur le mal-logement, 140 000 personnes sans domicile fixe n’ont pas accès à l’eau potable. Et pas moins de deux millions de personnes ne bénéficient pas d’un accès suffisant à l’eau et à l’assainissement, ou voient cet accès menacé du fait de conditions de logement précaires, de revenus insuffisants… ou tout simplement du fait d’un litige avec leur fournisseur.

Au moins 100 000 coupures d’eau par an en France

Le cas très médiatisé il y a quelques mois d’un employé de Veolia Avignon licencié pour avoir refusé de procéder à des coupures d’eau pour impayés (lire notre article), est venu rappeler l’ampleur du problème : 500 coupures d’eau par an à Avignon (sur 45 000 usagers) ! 750 coupures et 2 000 « lentillages » à Lyon en 2012 sur 260 000 abonnements selon la CFDT [2]. Un « lentillage » consiste à introduire une pastille dans l’arrivée d’eau pour en limiter fortement le débit. Seul un un mince filet d’eau coule alors du robinet. Cette solution alternative à la coupure radicale, beaucoup plus coûteuse pour les prestataires, n’est expérimentée que dans deux villes gérées par Veolia, Lyon et Marseille. Sa légalité est elle aussi contestée par les associations. En reportant ces chiffres de coupures d’eau à l’échelle nationale, cela représente plusieurs dizaines de milliers de cas potentiels. Environ 1% des usagers seraient ainsi concernés chaque année.

La Fédération professionnelle des entreprises de l’eau (FP2E), qui représente le secteur privé, et dont les membres desservent 72% de la population française, admettait 100 000 cas de coupures d’eau en 2010. Comme il s’agit d’un besoin vital pour la consommation directe comme pour un grand nombre d’usages tout aussi nécessaires (cuisine, hygiène, chauffage...), couper l’eau peut générer des situations dramatiques. De nombreux autres pays européens interdisent d’ailleurs déjà ces coupures pour impayés, ou les limitent strictement. En France, du fait notamment de la prédominance de la gestion privée de l’eau, les pouvoirs publics semblaient jusqu’à présent se désintéresser de cet enjeu.

Couper l’eau : une pratique pourtant illégale

Le décret d’application de la loi est paru le 27 février 2014 [3]. Il interdit clairement les coupures d’eau, quelle que soit la période de l’année. Mais au quotidien, il n’en est rien. Suite à la publication d’un article du juriste Henri Smets, l’un des principaux inspirateurs de la notion de « droit à l’eau », la Coordination Eau Ile-de-France a reçu de nombreux appels à l’aide de familles privées d’accès à l’eau. Elle a lancé avec France Libertés un appel à témoignages, qui leur a permis de documenter plus d’une centaine de cas, de Perpignan à la région lilloise, en passant par l’Île-de-France.

Les deux associations accompagnent les familles concernées. Dans la plupart des cas, « quelques coups de téléphone suffisent pour faire rétablir l’eau, surtout lorsque l’on commence à parler l’alerter la presse », explique Stefania Molinari, qui suit le dossier pour la coordination. Dans le cas de la Lyonnaise des eaux, ces pressions n’ont pas suffi. Elles se sont donc portées parties civiles aux côtés de la victime en déposant un référé en urgence. Le tribunal de Soissons vient de leur donner raison sur quasiment tous les points. « Nous espérons que cette décision de justice aura valeur préventive et poussera tous les fournisseurs d’eau à se mettre en conformité avec la loi », espère Emmanuel Poilane, directeur de France Libertés. Dans le cas contraire, les deux associations pourraient initier une « action de groupe » avec plusieurs dizaines de victimes, dont les implications financières pourraient être autrement plus importantes pour les entreprises.

Lobbying des multinationales pour changer la loi

Coupures sans préavis, non-respect des procédures, opacité administrative, refus du dialogue, pénalités qui s’accumulent, absence de prise en compte des situations exceptionnelles… Les témoignages recueillis illustrent une réalité bien différentes de l’image de « mauvais payeur » ou de « fraudeur » que voudraient renvoyer les entreprises de l’eau. « Ces témoignages montrent que les coupures d’eau peuvent arriver à n’importe qui, souligne Stefania Molinari. Cela peut vous arriver en raison de difficultés financières passagères, parce que vous étiez à l’hôpital, à cause d’une erreur administrative, ou tout simplement parce que vous êtes en litige avec votre fournisseur. » Le cas porté devant la justice illustre les procédés parfois cavaliers des opérateurs et le drame humain que constitue une telle privation. La victime, une mère de deux enfants, s’était mise d’accord avec un prestataire de la Lyonnaise pour un paiement échelonné de sa dette. Elle en a scrupuleusement respecté les termes… jusqu’à ce que la Lyonnaise décide que cela ne suffisait pas. Sans eau courante pendant 50 jours, elle devait parcourir 18 kilomètres pour chercher de l’or bleu chez un membre de sa famille.

Contactée par Basta !, Suez environnement assure que les coupures d’eau sont très encadrées. L’entreprise reconnaît cependant des erreurs d’appréciation en ce qui concerne le cas visé par la justice. Une enquête interne serait en cours pour identifier les causes de ces manquements. En revanche, l’entreprise conteste l’interprétation du droit avancée par les associations, en soulignant que certains alinéas du Code de l’action sociale et des familles semblent encore envisager la possibilité d’une coupure d’eau pour impayé. Selon des documents internes obtenus par la Coordination Eau Ile-de-France, les dirigeants de Veolia évoquent également une situation d’« incertitude juridique » [4] (Veolia n’a pas souhaité répondre à nos questions sur ce sujet).

Pour la Coordination Eau Ile-de-France, ces contradictions ne sont pas suffisantes pour ne pas respecter la loi. Si les entreprises de l’eau s’y refusent, c’est bien parce que cette interdiction sape les fondements mêmes de leur modèle de gestion. Elles feraient d’ailleurs pression pour que les législateurs reviennent sur l’amendement interdisant les coupures d’eau, voté semble-t-il sans qu’elles n’aient eu le temps de réagir. Dans les documents que la coordination Eau Ile-de-France s’est procurée, la DRH de Veolia Eau France évoque même une « opération de lobbying » en cours.

Quasiment pas de coupures d’eau dans les régies publiques

Du point de vue des entreprises, l’impossibilité de recourir aux coupures revient à les priver de tout moyen de contrôle sur les usagers. Elles font valoir que des procédures sont déjà en place pour accompagner les familles en réelle difficulté et que l’interdiction pure et simple des coupures ne peut que favoriser ceux qui auraient, en réalité, les moyens de régler leurs dettes. « La coupure d’eau est notre seule arme contre les mauvais payeurs », affirmait ainsi un dirigeant de Veolia lors d’un comité d’établissement du groupe. L’interdiction des coupures ne revient aucunement à effacer les dettes dues par les usagers, répliquent les associations. Cette dette est toujours due, et pose la question de la négociation entre l’usager et le distributeur.« Dans plusieurs litiges, la coupure d’eau est un moyen de pression pour ne pas négocier, pour que les usagers acceptent les conditions que leur imposent les sociétés », constate Jean-Claude Oliva, directeur de la Coordination Eau Ile-de-France.

Les multinationales françaises de l’eau, Veolia et Suez environnement, n’ont pourtant jamais laissé passer une occasion de clamer leur adhésion au principe du « droit à l’eau ». La mise en avant de la notion de « droit à l’eau » reste cependant étroitement corrélée à la lutte contre la privatisation de ce qui est considéré comme un bien commun. C’est le cas avec la première « initiative citoyenne européenne » Right2Water (lire notre article.) Et cela se vérifie avec les dizaines cas de coupures d’eau répertoriés par la Coordination Eau et France Libertés : cette pratique ultime demeure très largement le fait des entreprises privées.

Quelques cas ont bien été recensés à la société publique locale du Ponant, qui dessert Brest et ses environs, ou à la régie Noréade qui couvre plusieurs dizaines de petites communes du Nord, aux environs de Maubeuge. Mais aucun cas n’a été signalé dans les grandes régies publiques que sont Paris [5], Nantes, Strasbourg ou Grenoble.« 90% des cas concernent Veolia. Cette entreprise semble avoir fait de la coupure d’eau une véritable stratégie commerciale », accuse Emmanuel Poilane. Aux impayés s’ajoutent rapidement des pénalités de retard, des frais de gestion pour la coupure, puis pour le rétablissement de l’eau, de sorte que les dettes des usagers peuvent rapidement exploser, pour le plus grand bénéfice financier des prestataires.

Quel accès à l’eau pour les sans abris ?

« Dans le contexte actuel, il est important de rassurer nos concitoyens sur l’application de la loi face au pouvoir économique. Dans la plupart des cas, il s’agit de personnes isolées qui ont besoin de notre soutien, en tant qu’associations, pour faire valoir leurs droits face aux multinationales », estime Emmanuel Poilane. Parallèlement à la bataille qu’elles ont engagées autour de l’application de la loi, France Libertés et la Coordination Eau Ile-de-France, aux côtés d’autres organisations de la société civile et avec le soutien de députés comme Jean Glavany (PS, Hautes-Pyrénées) militent pour l’adoption d’une nouvelle loi. Objectif : reconnaître explicitement le droit à l’eau et préciser les obligations des pouvoirs publics dans ce domaine. La proposition a été déposée au Parlement le 18 septembre dernier [6].

Autre enjeu : celui de l’accès des sans domicile fixe à des équipements adaptés, dans un contexte social difficile. Par souci d’économie ou dans l’intention délibérée de chasser les sans domicile fixe de leurs centres urbains, des municipalités ont tendance à supprimer les toilettes et les douches publiques. Affections cutanées, hépatite A, saturnisme… les difficultés d’accès à l’eau des plus exclus peuvent avoir des conséquences sanitaires très sérieuses. La situation à Marseille, en particulier, a plusieurs fois défrayé la chronique. « Dans cette ville, il n’y a ni toilettes publiques, ni bains douches, et les fontaines, quand elles ne sont pas cassées, se comptent sur les doigts de la main et plutôt dans les quartiers privilégiés que dans les quartiers pauvres », écrivaient dans Le Monde deux responsables de Médecins du monde, à propos de la ville qui a accueilli le forum mondial de l’eau en 2012... La ville de Paris fait encore une fois exception, du fait de sa politique volontariste de promotion du droit à l’eau : la capitale dispose de 240 fontaines publiques, 400 sanitaires gratuits et 18 bains douches municipaux.

La proposition de loi déposée en septembre vise à garantir l’installation de fontaines, toilettes et douches accessibles gratuitement dans les communes dépassant un certain seuil de population. Elle propose également l’instauration d’une « aide préventive » pour les populations précaires ayant des difficultés à payer leur eau, laquelle serait financée par une taxe sur l’eau en bouteille. A suivre.

Olivier Petitjean

Photo : CC Erio (une) / CC Petras Gagilas

Source; Bastamag

Notes

[1Voir ici.

[2Source.

[3Voici le texte de l’article L115-3 du Code de l’action sociale et des familles après modification par la loi Brottes : « Du 1er novembre de chaque année au 15 mars de l’année suivante, les fournisseurs d’électricité, de chaleur, de gaz ne peuvent procéder, dans une résidence principale, à l’interruption, y compris par résiliation de contrat, pour non-paiement des factures, de la fourniture d’électricité, de chaleur ou de gaz aux personnes ou familles. Ces dispositions s’appliquent aux distributeurs d’eau pour la distribution d’eau tout au long de l’année. »

[4Selon les termes d’une DRH de Veolia Eau lors d’un Comité d’établissement de l’entreprise, dont la Coordination Eau-Ile-de-France s’est procurée le procès-verbal.

[5Où, il est vrai, la plupart des factures sont acquittées au niveau des immeubles, par les syndics, ce qui réduit les risques de coupures d’eau directe.

[6Son texte est disponible ici.

Réchauffement climatique: 35 000 morses s'échouent sur une plage de l'Alaska

jeudi 2 octobre 2014 à 08:51
Réchauffement climatique: 35 000 morses s'échouent sur une plage de l'Alaska

Précisons encore une fois que le réchauffement est naturel et certainement pas la faute de l'Homme, même si celui-ci y participe à une échelle infime de 0,1%. Le cycle du réchauffement est tout à fait naturel.

 

Réchauffement climatique: 35 000 morses s'échouent sur une plage de l'Alaska

 

Quelque 35.000 morses se sont échoués sur une plage d'Alaska à cause de la fonte des glaces de l'Arctique, conséquence du réchauffement climatique, affirme l'institut américain de géophysique.

© reuters.
© afp.

Le 27 septembre, les morses ont été observés par voie aérienne près de Point Lay. Quatre jours plus tôt, ils n'étaient que 1.500, ont expliqué des experts de l'USGS. 

Megan Ferguson, spécialiste de la surveillance aérienne des mammifères marins pour l'agence américaine océanographique et atmosphérique (NOAA) a également noté que davantage d'ours bruns avaient été remarqués au même endroit et qu'en revanche, des baleines grises qui étaient présentes dans les environs jusque dans les années 90, avaient disparu, "signe d'un changement de l'environnement arctique". 

D'après Chadwick Jay, chercheur à l'USGS, ce nombre anormal de morses échoués "est vraiment une conséquence du réchauffement climatique" et de la "diminution de la couche de glace" dans l'océan Arctique à la fin de l'été. 

D'ordinaire, les animaux vivent sur la banquise et pêchent dans des eaux peu profondes. Mais avec la fonte importante des glaces cet été, les morses se sont retrouvés à des profondeurs trop importantes pour pouvoir se nourrir et ils ont donc cherché refuge sur la terre ferme pour y pêcher plus facilement, a expliqué M. Jay.

 

Source 7s7

Le chlorure de magnésium peut stopper les effets du virus Ebola !

mercredi 1 octobre 2014 à 22:59
Le chlorure de magnésium peut stopper les effets du virus Ebola !

La Bourse ou la Vie ? La Bourse, bien sûr...

 
 

Le chlorure de magnésium peut stopper les effets du virus Ebola !  

 

On est en train d’affoler toute la planète avec l’épidémie africaine causée par le virus Ebola. La médecine conformiste avoue son impuissance : elle ne dispose d’aucun traitement efficace.

Pourtant les laboratoires du complexe pharmaco-industriel mondial sont en effervescence et s’appliquent fiévreusement à trouver un médicament ou un vaccin contre le nouvel ennemi public N° 1.

Bien entendu, aucun des ultra-diplômés penchés sur le problème ne songe à examiner si quelque substance naturelle ayant fait ses preuves ne pourrait pas venir à bout du monstre microscopique. Pourquoi en effet étudier cette hypothèse, dont l’inconvénient majeur, si elle se révélait positive, serait de ne pas rapporter le moindre dollar ? Car enfin, soyons réalistes, gardons un oeil sur le CAC 40 et si l’on vous propose le fameux choix «la Bourse ou la Vie», c’est évidemment la Bourse qui doit l’emporter.

Heureusement, il existe encore des personnes désintéressées dont le seul souci est la santé de leurs semblables et qui préfèrent la Vie à la Bourse. Telle est mon amie Marie-France Billi, ancienne conseillère municipale de Nice, qui s’était déjà illustrée lors de l’épidémie de chikungunya qui désola la Réunion en 2006. Cette femme de cœur et de courage connaissant depuis trente ans les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium, s’était dit qu’il pourrait bien être efficace contre le chikungunya. ( Le chlorure de magnésium est reconnu pour son action anti-stress, pour le renforcement du système immunitaire et la stimulation de l’organisme.)

Elle expédia à la Réunion des dizaines de télécopies conseillant son utilisation contre cette maladie, que les médecins impuissants regardaient progresser les bras ballants. Et elle reçut quelques jours plus tard des dizaines d’appels et de messages de remerciement de Réunionnais guéris grâce à elle.

Aussi continua-t-elle ses envois. La nouvelle du remède-miracle se répandit dans l’île et tous les pharmaciens furent bientôt en manque de chlorure de magnésium. Le corps médical, pour sa part, continua de traiter par le mépris l’emploi de ce magnésium, passant à la trappe les remarquables travaux du Professeur Pierre Delbet, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la première guerre mondiale les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium et qui démontra son efficacité, notamment contre le cancer. (Pierre Delbet est un des personnages du 2e tome de mon livre « Savants maudits, chercheurs exclus  », Guy Trédaniel Éditeur.)

Mon regretté ami André Passebecq, ancien directeur du Ceredor et de la revue Vie et Action, ancien chargé de cours à la Faculté de Bobigny, expédia lui-même 6 kg de chlorure de magnésium à ses amis réunionnais. Si les journaux télévisés signalèrent bien, fin mars 2006, que l’épidémie semblait stoppée, aucun ne dit le moindre mot de la campagne d’information de Marie Billi ni des effets bénéfiques du chlorure de magnésium. Même Nice-Matin, qui avait révélé l’action de Marie Billi, ne consacra pas une ligne à cette réussite. Le mensonge par omission semble parfois être devenu la spécialité des grands médias français, un peu trop soumis au complexe pharmaco-industriel.

Or, il se trouve que Marie-France Billi, émue comme tout un chacun par les actuels ravages du virus Ebola, s’est demandée si le chlorure de magnésium ne pourrait pas être une arme efficace contre ce danger. Elle s’est donc mobilisée, ainsi que les membres de son association, pour effectuer sur le terrain un test grandeur nature.

Et voici ce qu’elle m’a écrit, le 2 septembre 2014 :

« Connaissant le pouvoir exaltant du chlorure de magnésium sur les globules blancs macrophages (les premiers en ligne de défense en cas d’attaque virale de l’organisme), j’ai bien sûr tout de suite pensé au chlorure de magnésium dans cette épidémie d’Ebola. J’ai donc envoyé deux infirmiers maliens avec 40 kg de nigari sur le terrain… (Le nigari est le nom japonais du chlorure de magnésium peu raffiné sous forme de poudre blanche ou de cristaux).

Ils sont arrivés en Guinée et après moult contacts avec les autorités et les médecins, qui n’ont bien sûr rien voulu donner (je m’y attendais), il y a quand même un soignant de la Croix Rouge qui a entendu le message et distribué le nigari sans aucune autorisation officielle et qui a constaté les résultats !!! Et ça marche sur EBOLA !!!

Une petite précision : Il y a un black-out total envers les malades, qui sont pris en charge par « Médecins sans frontière », lesquels refusent de tester le nigari, prétextant le respect des protocoles, et qui refusent l’accès des malades à tout autre médecin. Donc, ce soignant de la Croix Rouge guinéenne donne du nigari à toutes les personnes présentant des symptômes de la maladie, sans les envoyer à l’hôpital. Et tous les symptômes disparaissent ! »

Au cours de ses travaux, le Professeur Delbet avait fait ressortir toutes les conséquences bénéfiques pour la santé de la supplémentation en magnésium. Il est ainsi avéré que le chlorure de magnésium :

  • favorise la disparition des crampes ;
  • augmente la résistance des ongles ;
  • évite le blanchiment prématuré des cheveux (les cheveux blancs sont carencés en magnésium) ;
  • évite la formation de calculs biliaires ;
  • préserve de l’eczéma ;
  • favorise la fixation du calcium sur les os ;
  • favorise le travail intellectuel (grand consommateur de magnésium) ;
  • fortifie le système nerveux ;
  • améliore la résistance au stress ;
  • évite les altérations de la prostate ;
  • guérit les verrues ;
  • abaisse la tension des hypertendus ;
  • facilite l’élimination des dépôts athéromateux dans les artères, diminuant ainsi les risques vasculaires ;
  • évite la gingivite expulsive (perte des dents) ;
  • améliore les performances des gens âgés (déficitaires en magnésium) et ;
  • aide à lutter contre le vieillissement.

On ne saurait donc s’étonner de ses puissants effets pour lutter contre la fièvre hémorragique causée par le virus Ebola, lequel ne fait sans doute que profiter des carences d’organismes souffrant de malnutrition.

Pierre Lance



http://www.santenatureinnovation.com/le-chlorure-de-magnesium-peut-stopper-les-effets-du-virus-ebola/#ixzz3EvfhzNhs

L'ex-avocate de Mohamed Merah : « C'était un agent des services français, ils l'ont éliminé »

mercredi 1 octobre 2014 à 20:47
L'ex-avocate de Mohamed Merah : « C'était un agent des services français, ils l'ont éliminé »

Quand l'avocate de Merah dit enfin la vérité

L'ex-avocate de Mohamed Merah : « C'était un agent des services français, ils l'ont éliminé »

 

Maitre Isabelle Coutant-Peyre, avocate du père de Mohamed Merah, dans une déclaration à la chaine 5 française, mise en ligne cette semaine sur le site internet et la page facebook, a confirmé que Mohamed Merah, était un agent des services français , et il a été abattu pour protéger les intérêts français. Selon elle, il a même été sollicité de changer de nom et de quitter le pays avant d'être éliminé. 

 


Deux ans plus tard, quelques médias étrangers reviennent sur l'affaire Merah, qui selon eux, était une tentative d'enfumage supplémentaire pour faire coller aux français la notion de terrorisme islamiste sur le sol français pour les convaincre d'accepter la politique du pouvoir français à intervenir au-delà de la France. Eh bien, on a organisé l'affaire Merah. Certains médias se sont même amusés à propager la version officielle de l'affaire Merah , mais d'autres journalistes ont eu la difficulté de gober une affaire pareille. 

Les non-dits sur l'affaire de Merah! 

-Pourquoi le portrait-robot des tueurs ne correspond-t-il pas à celui de Merah ? 
-Des témoins ont décrit un type aux yeux bleus et à la peau blanche, or Merah est de type arabe. Comment Merah, qui était coincé dans un appartement pendant deux jours, ait pu sortir pour téléphoner depuis une cabine à France 24. 
-Pourquoi a-t-on retrouvé la carte de visite d'un flic,un gilet pare balles de la police et un flinguedans le box de Merah? 
-Comment Meraha pu partir en Syrie, en Turquie, en Israël en 2010, en Egypte, au Pakistan en août 2011 et en Afghanistan, alors qu'il était inscrit au fichier des personnes recherchées et interdit de vol ? 
-Pourquoi avait-il plusieurs passeports alors qu'il était fiché depuis 2011? 
-Comment Merah, âgé de 23 ans, a-t-il pu toucher le RSA(le revenu de solidarité active) soit 460 euros par mois, alors qu'on ne peut toucher qu'à l'âge de 25 ans, comme l'a affirmé Guéant? 
-Pourquoi n'a-t-il pas été autopsié, et pourquoi l'enterrement a-t-il eu lieu hors de la présence de la famille? 
- L'avocate du père de Merah a déclaré qu'elle avait les preuves que Merah avait été liquidé par le RAID. Elle a dit avoir des vidéos qu'on n'a jamais vues, mais on n'en saura pas plus parce qu'elle a été dessaisie du dossier par son client. 
-Le monde avait écrit dans l'époque sur l'affaire de Merah : ''Comme avec l'affaire du petit Gregory et tant d'autres, nous sommes face à un véritable enfumage''. 
-Dernier élément ou ''erreur '' au sujet de l'affaire: parmi les trois islamistes qui ont atterri à Marseille il y a quelques jours et ont pu rentrer chez eux tranquillement suite à une nouvelle erreur des services de sécurité français, il y avait le mari de la sœur de Merah, sœur de Merah que les médias français affirment se trouver en Syrie. 

Rappelons que Mohamed Merah a été tué le 22 mars par une unité d'intervention de la police française après avoir abattu entre le 11 et le 19 mars sept personnes dont trois enfants.

 

Source et vidéo