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La Chine teste un missile hypersonique

vendredi 12 décembre 2014 à 11:00
La Chine teste un missile hypersonique

Le ministère chinois de la  a confirmé avoir testé avec succès un   WU14, annonce vendredi le journal japonais Yomiuri.

« La tenue d’essais scientifiques et techniques sur le territoire chinois est un phénomène courant, ces essais ne visant aucun pays et aucun site concret », indique le ministère chinois.

Selon le journal japonais, ce missile serait capable de déjouer les systèmes de défense américains. Il s’agit du troisième test de ce missile, le premier s’étant déroulé en janvier et le deuxième en août 2014.

Le WU14 est un missile hypersonique capable d’atteindre Mach 10, soit 12.000 kilomètres/heure.

http://fr.ria.ru/defense/20141212/203208507.html

USA: Impressionnant tsunami de glace dans le Wisconsin

vendredi 12 décembre 2014 à 09:54
USA: Impressionnant tsunami de glace dans le WisconsinUSA: Impressionnant tsunami de glace dans le WisconsinUSA: Impressionnant tsunami de glace dans le Wisconsin

Les Américains le surnomment "Ice Shove" comme la glace qui pousse ou encore "Ice tsunami", pour le tsunami de glace. Ce phénomène d’une extrême intensité se produit rarement selon les spécialistes. Il n’en reste pas moins dangereux.

 

On l’observe le long des rives de vastes étendues d’eau, comme les grands lacs d’Amérique du Nord. Il se caractérise par un énorme mur de glace déferlant sur la terre ferme tel une vague dévastatrice. C'est précisément ce phénomène que des Américains vivant dans le Wisconsin aux abords du lac Winnebago ont récemment filmé et les images sont impressionnantes.

 

A travers la séquence, on peut voir une énorme digue de glace se dresser le long de la rive jusqu’à atteindre la route. L’auteur de la vidéo a immortalisé les dernières minutes de la survenue de cet impressionnant événement. Fort heureusement, le tsunami de glace n’a fait aucune victime même si celui-ci a provisoirement bloqué la circulation.

 

La glace poussée par les vents et les courants

 

Le phénomène est le fruit de plusieurs facteurs faisant intervenir les vents, les courants et de brusques changements de température. Il se produit généralement lorsqu’un lac gelé se met à fondre trop rapidement suite à une période de redoux. La puissance des vents et des courants force alors la glace en surface à s’accumuler sur la rive.

 

Les blocs s’amassent et forment un barrage jusqu’à céder et provoquer un déferlement. Celui-ci est si puissant qu’il peut causer de graves dommages à tout ce qui se trouve sur son passage : arbres, routes ou mêmes habitations. En mai 2013, une vague de glace avait ainsi endommagé voire détruit une douzaine de maisons dans le Minnesota aux Etats-Unis et au Canada.

 

Les morceaux de glace avaient progressé jusqu'à pénétrer à l'intérieur des habitations. Certaines avaient même été emportées sous la force de la glace.
 

Une nouvelle vidéo relate la survenue d’un impressionnant phénomène. Surnommé Tsunami de glace, celui-ci se produit rarement. On l’observe aux abords des grands lacs d’Amérique du Nord, comme celui de Winnebago aux Etats-Unis. 

En savoir plus: 
http://www.maxisciences.com/tsunami/un-impressionnant-tsunami-de-glace-se-forme-pres-d-039-un-lac-aux-etats-unis_art33967.html

Un Ovni a visé la Terre avec un laser rouge et a été filmé depuis l’ISS (Vidéo)

vendredi 12 décembre 2014 à 09:45
Un Ovni a visé la Terre avec un laser rouge et a été filmé depuis l’ISS (Vidéo)Un Ovni a visé la Terre avec un laser rouge et a été filmé depuis l’ISS (Vidéo)

Scott Waring de UFO Sightings Daily : Cet ovni a été filmé via la webcam de l’ISS et on peut le voir viser la Terre avec un laser rouge.

 

Bien que des ovnis rouges ont déjà été observés aux abords de l’ISS, c’est la première fois qu’on en voit un viser la Terre avec un laser. On a de la chance, Streetcap1 était là pour enregistrer cette anomalie. Il continue d’observer tout objet suspect proche de l’ISS. LA question est, devrions-nous nous inquiéter des effets de ce laser ?

 

Observation du 5 décembre 2014:

La pollution fait baisser le QI des enfants

vendredi 12 décembre 2014 à 09:17
ça, et les chemtrails

ça, et les chemtrails

Ils étaient déjà taxés de «destructeurs de testostérone», les voici «brideurs de QI». Des chercheurs de l'Université de Columbia, à New-York ont établi un lien entre l'exposition aux phtalates chez le fœtus et le quotient intellectuel (QI) des enfants quelques années plus tard. Les fœtus exposés à des niveaux élevés de ces substances chimiques ont ainsi un QI plus bas que la moyenne, indique l'étude.

Les phtalates concernés sont le dibutyle (DnBP) et le dedisobutyle (DiBP). On les trouve dans une grande variété de produits de consommation comme dans les feuilles d'assouplissant pour sèche-linge, le vinyle, certains rouges à lèvres, laques pour les cheveux, vernis à ongles ou encore savons, précise l'étude parue dans la revue scientifique américaine PLOS ONE.

Interdits dans les jouets aux Etats-Unis

Depuis 2009 aux Etats-Unis, plusieurs phtalates sont interdits dans des jouets et d'autres articles pour enfants. Mais aucune mise en garde particulière n'a été prise pour informer les femmes enceintes. Les phtalates figurent rarement sur les listes des composants des produits.

Pour cette étude, les auteurs ont suivi 328 femmes et leurs enfants à New York dont les revenus sont modestes. Ils ont mesuré dans leur urine, au troisième trimestre de leur grossesse, les niveaux de quatre phtalates (DnBP, DiBP, di-2-ethylhexyle et diéthyle). 

Le QI des enfants a été testé quand ils avaient sept ans. Ceux qui avaient été exposés in utero aux concentrations les plus élevées de phtalates DnBP et DiBP avaient un QI de 6,6 à 7,6 points plus bas que ceux qui avaient été en contact avec des niveaux plus faibles.


Source © AFP

Le Big-Bang aurait créé deux univers, l'un qui avance, l'autre qui recule dans le temps !

vendredi 12 décembre 2014 à 08:41
Crédits : Stephen van Vuuren, de "Outside In" (http://www.outsideinthemovie.com)

Crédits : Stephen van Vuuren, de "Outside In" (http://www.outsideinthemovie.com)

Une nouvelle théorie suggère que le Big-Bang n'aurait pas créé un seul univers (le notre), mais deux univers, évoluant parallèlement : alors que notre univers avancerait dans le temps, ce deuxième univers... reculerait dans le temps.

Des physiciens ont réalisé une expérience qui suggère l'idée pour le moins fascinante que le Big Bang aurait créé deux univers parallèles, au lieu d'un seul : l'un de ces deux univers avancerait dans le temps (c'est notre univers), tandis que l'autre… reculerait dans le temps.

Or cette hypothèse, pour l'instant évidemment bien difficile à démontrer, intéresse au plus haut point les physiciens. En effet, elle les aiderait à résoudre une énigme majeure de la physique moderne : pourquoi le temps ne va-t-il que dans un seul sens ?

De fait, toutes les lois fondamentales de la physique, telles que la relativité restreinte et générale d'Einstein, fonctionnent tout aussi bien si le temps s'écoule avant... ou en arrière. Et d'ailleurs, les modèles physiques créés par les physiciens pour simuler de façon simplifiée le fonctionnement de notre univers ne nécessitent généralement pas qu'une direction préférentielle soit affectée à l'écoulement du temps (sauf si des conditions initiales spécifiques doivent être fixées).

Mais alors, pourquoi notre univers se déplace-t-il vers l'avant dans le temps ? Pourquoi les étoiles émettent de la lumière plutôt que d'attirer cette lumière à elles ? Pourquoi encore nous souvenons-nous du passé, plutôt que de l'avenir ?

A l'heure actuelle, pour expliquer l'aspect directionnel de la fléche du temps qui caractérise notre univers, les physiciens font principalement appel à l'idée que la direction de la flèche du temps est contrôlée par les lois de la thermodynamique, et plus particulièrement par l'entropie.

L'entropie ? Il s'agit d'une mesure du niveau de désordre dans un système : un système à faible entropie est sera un système extrêmement organisé et prévisible, alors qu'un système à haute entropie sera beaucoup moins prévisible.

Or, les lois de la thermodynamique stipulent que l'entropie d'un système isolé, comme notre Univers par exemple, ne peut que croître. En d'autres termes, notre univers ne peut pas passer d'un état de forte entropie à un état de plus faible entropie. Dit autrement, cela signifie que notre univers se dirige inéluctablement vers un état de désordre toujours plus important, et cela de façon totalement irréversible.

La plupart des physiciens acceptent généralement l'idée que l'entropie explique pourquoi la fléche du temps est dirigée dans un seul sens, et donc pourquoi le temps avance. En gros, la vision de la majorité des physiciens consiste à poser qu'à la naissance de notre Univers, tout était très ordonné : de ce fait, le sens du temps est le même que le sens d'une entropie croissante (c'est à dire d'un niveau de désordre croissant).

Mais pour que cette vision soit valide, encore faudrait-il prouver que des conditions de faible entropie étaient réellement présentes au début de l'Univers. Or, il s'agit précisément de quelque chose que les physiciens ne savent actuellement pas montrer...

Face à ce mur théorique, de nouvelles théories émergent, suggèrant que l'entropie n'est peut-être pas la seule façon d'expliquer pourquoi le temps ne s'écoule que dans un seul sens.

Parmi ces théories, on trouve les travaux de Julian Barbour (Université d'Oxford, Royaume-Uni) et de son équipe, récemment publiés dans la prestigieuse revue Physical Review Letters, et qui suggèrent que la direction de la flèche du temps ne serait en réalité par contrôlée par la thermodynamique, mais par la gravité.

Que dit le modèle de Julian Barbour et de ses collègues ? Il avance qu'il n'est pas besoin de postuler que l'Univers était à ses début un système à faible entropie pour expliquer le fait que le temps ne s'écoule que dans un seul sens : selon ces chercheurs, l'écoulement du temps ne serait que le résultat inévitable... de la gravité.

Pour parvenir à cette conclusion, Julian Barbour et ses collègues ont étudié un modèle physique très simple, simulant notre univers, et composé uniquement de 1000 particules. Via des simulations informatiques, ils ont analysé comment ces particules interagissent uniquement sous l'influence des lois de la gravité.

Résultat : Julian Barbour et ses collègues ont découvert que, quelque soit le niveau initial de désordre (faible ou élevé), les particules finissaient de toute façon toutes par se retrouver serrées les unes contre les autres, et cela donc sous le seul effet des lois de la gravité.

Sur la base de ce résultat, Julian Barbour et ses collègues ont émis l'hypothèse selon laquelle il n'est pas nécessaire de convoquer des conditions de faible entropie pour que la flèche du temps se dirige dans un seul sens : les lois de la gravité suffisent pour cela.

Mais ce n'est pas tout. Car lors de ces simulations, un phénomène étrange s'est produit : après cet état très condensé où les particules étaient serrées les unes contre les autres, le système s'est élargi vers l'extérieur... dans deux directions différentes, chacune des deux parties ayant sa propre flèche du temps, dont la direction était symétriquement opposée à celle de l'autre partie. En d'autres termes, un système où le temps pouvait aller dans les deux sens, du passé vers l'avenir, et de l'avenir vers le passé.

De ce constat, les auteurs de ces travaux en ont tiré cette deuxième hypothèse, selon laquelle deux univers auraient été créés lors du Big Bang, chacun dotés d'une flèche du temps pointant dans une direction opposée à l'autre. En d'autres termes, ce que nous pensons comme notre passé serait en réalité l'avenir de cet autre univers. Et de la même manière, en imaginant que des êtres intelligents habitent dans cet autre univers et qu'ils prennent conscience de l'existence de ces deux univers aux flèches du temps opposées, ils réaliseraient alors que ce qui se dessine comme notre avenir n'est en fait que leur lointain passé...

Evidemment, cette hypothèse est actuellement totalement indémontrable. Mais en attendant, elle ouvre le débat sur le rôle de la gravité dans la direction de la flèche du temps. Avec peut-être à la clé, d'ici quelques années, la possibilité de produire des prédictions issues de cette hypothèse, et testables expérimentalement.

Les travaux de Julian Barbour et ses collègues ont été publiés dans la revue Physical Review Letters, sous le titre "Identification of a Gravitational Arrow of Time".

 

Source