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Les États-Unis admettent avoir financé les manifestations étudiantes à Hong Kong

lundi 13 octobre 2014 à 23:26
Les États-Unis admettent avoir financé les manifestations étudiantes à Hong Kong

Dollar and go

Les États-Unis admettent avoir financé les manifestations étudiantes à Hong Kong

 

 

Au même titre que les États-Unis avaient admis (peu de temps après que le chaos du printemps arabe avait commencé à se propager au Moyen-Orient) qu'ils avaient, plusieurs années à l'avance, entièrement financé, entraîné et équipé les deux meneurs du mouvement [1], ainsi que lourdement armé les terroristes, il est maintenant admis que le Département d'État américain est derrière les manifestations de Hong Kong Occupy Central [2], à travers une myriade d'organisations et d'ONG. 


Ainsi le Washington Post révèle, dans un article intitulé Hong Kong en feu, même si la Chine resserre les vis sur la société civile [3], que : 

« Échaudées par plusieurs autres manifestations pendant l'année, les autorités chinoises avaient progressivement durci les contrôles sur les organisations civiques agissant sur le continent et qui étaient soupçonnées d'être le bras de puissances étrangères. 

Selon les experts, ces contrôles visent à protéger la Chine d'idées Occidentales subversives telles que la démocratie et la liberté d'expression, ainsi que plus précisément de l'influence de groupuscules américains qui tentent peut-être de promouvoir ces valeurs en Chine. De tels contrôles existaient depuis longtemps, mais ils ont été renforcés sous le président Xi Jinping, en particulier après le renversement du président ukrainien Viktor Ianoukovitch après les manifestations qui avaient duré des mois à Kiev et qui avaient été perçues en Chine comme explicitement soutenues par l'Occident. » 

Le Washington Post rapporte également que : 

« Sous couvert d'anonymat, un expert en politique étrangère a déclaré que M. Poutine avait appelé Xi pour partager son inquiétude au sujet du rôle joué par l'Occident en Ukraine. Selon des membres de la société civile, ces préoccupations semblent avoir filtré, et faire désormais partie des conversations tenues autour d'une tasse de thé dans toute la Chine : 

« Ils sont très préoccupés par ces 'Révolutions de Couleur', ils sont très préoccupés par ce qui se passe en Ukraine », déclarait le directeur d'une ONG internationale, dont l'organisation est en partie financé par la

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Même si le Washington Post aimerait que ses lecteurs pensent que le business de la Fondation nationale pour la démocratie est la promotion de la liberté d'expression et de la démocratie, il reste que les intérêts financiers représentés au conseil d'administration de la NED sont loin d'être les champions de ces principes, et sont même plutôt connus pour des principes précisément opposés. 

Le simple concept que les États-Unis sont en train d'œuvrer à la promotion de la démocratie peut sembler scandaleux, si l'on considère que les États-Unis sont impliqués dans un scandale mondial de surveillance, d'invasion dans la vie privée ; coupables de persécutions sur la planète entière (guerre après guerre et chacune plus impopulaire que l'autre) contre la volonté même de leur propre peuple, et en utilisant des mensonges avérés ; coupables de brutalités et de violences sur leurs propres citoyens, jusque dans leur propre foyer, par exemple à Ferguson dans le Missouri. En comparaison, les actions de la police chinoise contre les manifestants font pâle figure. Promouvoir la démocratie, c'est une façon de tout simplement cacher un programme d'expansion hégémonique, bien au-delà de ses propres frontières, au détriment des nations souveraines qui sont les cibles de ce programme, y compris au détriment des Américains eux-mêmes. 

En 2011, dans un article intitulé Des groupuscules américains ont contribué à faire grandir les soulèvements arabes[6], le New York Times avait porté à l'attention du public des révélations similaires, quand il avait couvert l'ingérence des États-Unis dans ce qui a été appelé le printemps arabe. Le New York Times avait alors révélé que : 

« Un certain nombre de groupes et d'individus directement impliqués dans les révoltes et les réformes qui balaient la région, y compris le « 

mcCain

Traduit par Alex pour vineyardsaker.fr 

Source : 
US Now Admits it is Funding « Occupy Central » in Hong Kong(landdestroyer.blogspot.ca, anglais, 01-10-2014) 

Notes 

[1] 
2011 - Year of the Dupe. A timeline & history : One year into the engineered « Arab Spring, » one step closer to global hegemony (landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 24-12-2011) 

[2] 
Hong Kong's « Occupy Central » is US-backed Sedition (journal-neo.org, anglais, 01-10-2014) 

[3] 
Hong Kong erupts even as China tightens screws on civil society(washingtonpost.com, anglais, 30-09-2014) 

[4] 
NED & Freedom House are run by Warmongering Imperialists(landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 15-05-2013) 

[5] 
mpire's Double Edged Sword : Global Military + NGOs(landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 18-02-2012) 

[6] 
U.S. Groups Helped Nurture Arab Uprisings (nytimes.com, anglais, 14-04-2011)

[7] 
The Arab Spring : 'A Virus That Will Attack Moscow and Beijing'(theatlantic.com, anglais, 19-11-2011) 

[8] 
Naming Names : Your Real Government - When dark deeds unfold, point the finger in this direction (landdestroyer.blogspot.fr, anglais) 

[9] 
US Openly Approves Hong Kong Chaos it Created (landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 30-09-2014) 

Via : 
Vineyardsaker

Ça se réchauffe 

 

Source

Contre TAFTA, « une victoire est tout à fait possible »

lundi 13 octobre 2014 à 17:12
Contre TAFTA, « une victoire est tout à fait possible »

TAFTA gueule à la récrée

 

Contre TAFTA, « une victoire est tout à fait possible »

 

 

Les négociations sur le Grand marché transatlantique (GMT), de plus en plus contestées, arrivent à tournant. Hélène Cabioc'h, membre du CA d'Attac, fait le point sur leurs enjeux et les objectifs de la journée d'action européenne de samedi. 


Ouvertes dans la plus grande opacité, symptomatiques du poids des lobbies sur les décisions politiques, porteuses de régressions démocratiques et de risques pour la santé et l'environnement, les négociations sur l'accord de Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement [1] se poursuivent (lire aussi"C'est quoi le Partenariat transatlantique ?"). 

Après le 
rejet par la Commission européenne, le 11 septembre, d'une proposition d'Initiative citoyenne européenne (ICE) visant à obtenir des États membres qu'ils ne concluent pas ce traité (ni celui entre l'UE et le Canada - CETA), la mobilisation va connaître un moment important avec la Journée d'action européenne organisée samedi dans toute l'Europe. Les explications d'Hélène Cabioc'h, membre du conseil d'administration d'Attac

Regards. Où en sont les négociations du Traité transatlantique à ce jour ? Quelles sont ses prochaines échéances ? 

Hélène Cabioc'h. Un nouveau cycle de négociations s'est ouvert la semaine dernière, sur lequel nous n'avons pas beaucoup d'informations sinon celles indiquant que plusieurs dossiers sont en stand-by. Déjà, sur le précédent cycle qui s'était déroulé à Bruxelles, la communication de la Commission avait été assez édifiante puisque nous ne disposions que de la liste des secteurs concernés. Les discussions se déroulent en tout cas moins bien que les négociateurs ne l'auraient espéré, grâce à la mobilisation internationale - et aussi du fait que le renouvellement de la Commission ralentit leur rythme. 

Les négociateurs ont-il changé d'attitude quant au manque total de transparence des discussions, largement dénoncé ? 

La Commission prétend que ces négociations sont plus transparentes que toutes celles qu'elle a menées précédemment, mais ce n'est pas un argument. Des"papiers de position", très généraux, sur différents secteurs, ont été mis en ligne, mais ce ne sont pas des documents de négociation. Selon les toutes dernières informations, plusieurs États membres auraient décidé de publier enfin le mandat de négociation, ce qui mettrait terme à une farce puisque ce mandat avait fuité dès le départ - sous réserve d'une énième marche arrière. Cette publication n'est de toute façon qu'une nécessité élémentaire, il n'y a pas matière à s'en féliciter : l'argument avancé par les États, jusqu'à présent, était que cela pourrait créer un précédent pour les négociations commerciales à venir ! 

« Fleur Pellerin a maintenu un flou total sur les différents sujets » 

Dans quelle mesure les mobilisations ont-elles infléchi le cours des négociations ? 

Elles ont d'abord eu un impact sur la question de la transparence et de la mainmise des multinationales sur ces négociations, et sur celle du mécanisme d'arbitrage investisseur-États [2] qui a suscité un rejet massif. La Commission a été contrainte de lancer au printemps une consultation, qui a recueilli 150.000 réponses durant trois mois, ce qui est d'autant plus considérable, et rare, qu'une grande part était individuelles. Elle a été obligée de prendre position sur les normes alimentaires à propos des OGM, du bœuf aux hormones ou du poulet chloré, en assurant qu'il n'y aurait pas de nivellement par le bas - même si les négociateurs états-uniens font entendre un tout autre son de cloche à ce sujet. 

Quelle attitude le gouvernement français a-t-il adoptée à l'égard des négociations et des contestations qu'elles suscitent ? 

Il reste particulièrement silencieux. On avait beaucoup entendu la France, au début, sur l'audiovisuel et les services culturels. Mais autant la ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq avait pris des positions assez fermes, notamment sur le mécanisme investisseurs-États, autant Fleur Pellerin a maintenu un flou total sur ces différents sujets. François Hollande avait affirmé, en début d'année aux États-Unis, qu'il fallait accélérer les négociations sous peine de voir les peurs et les crispations s'accumuler... Lors des auditions parlementaires organisées à la suite d'une l'initiative du Front de gauche, avant les élections européennes, Fleur Pellerin avait martelé qu'il y avait des lignes rouges - sans par ailleurs préciser lesquelles - , tout en suggérant qu'il fallait attendre l'aboutissement des négociations pour se prononcer, y compris sur le mécanisme investisseurs-États...Attac souhaite que le gouvernement prenne des positions beaucoup plus fermes, à l'instar d'autres États membres. 

« La vision de la Commission consiste toujours à déréguler à tout-va » 

Les membres du gouvernement ne semblent de toute façon pas exprimer d'opposition idéologique au principe même de ces traités internationaux... 

Fleur Pellerin expliquait en mai qu'il était très difficile pour les producteurs de pommes et de poires d'avoir accès au marché américain, avec l'argument qu'un accord technique pourrait faciliter les échanges, sans du tout remettre en cause le modèle derrière cette volonté : quel est le sens d'exporter des pommes aux États-Unis ? Le gouvernement prend les questions comme elles lui arrivent, sans vision claire des implications de cet accord - si ce n'est l'idée de défendre les multinationales françaises dans la perspective de l'ouverture des marchés publics aux États-Unis. 

Y a-t-il une chance que les négociations n'aboutissent pas, ou bien le processus est-il difficile à enrayer ? 

Une victoire est tout à fait possible. Les négociations peuvent durer très longtemps, à l'image de l'accord UE-Canada dont la négociation s'est étalée de 2009 à aujourd'hui. Il y a toujours des points qui les font achopper. Certains estiment qu'un accord est impossible à atteindre sur le TAFTA du fait de divergences trop importantes de chaque côté de l'Atlantique. Mais, d'une part, la pression des multinationales est vraiment très puissante et, d'autre part, la vision de la Commission consiste toujours à déréguler à tout-va et de sécuriser les accès à des marchés tiers, tout en isolant la Chine et les pays émergents avec la solidification d'un espace commun que définissent le TAFTA et l'accord UE-Canada. Cependant, les mobilisations en Europe et en Amérique du Nord sont si fortes - et on a vu à quel point elles pouvaient l'être par le passé autour de l'AGCS et de l'AMI [3] - , si décentralisées qu'elles témoignent d'une vraie opposition. 

« L'opposition s'est considérablement structurée et étendue » 

Cette opposition s'exprime-t-elle au-delà des cercles militants traditionnellement mobilisés sur ces sujets ? 

Oui : elle s'élargit aux mouvements contre les gaz de schiste, à ceux qui agissent dans le domaine de la culture, aux associations de consommateurs, au-delà de la seule mouvance altermondialiste. Il y a aussi une dynamique autour des collectivités locales qui adoptent des résolutions pour se déclarer "zones hors-TAFTA", en France, en Allemagne, en Autriche, en Espagne, en Belgique, etc. S'ajoutent les engagements de groupes comme les Biocoop en France ou les régies des eaux en Allemagne, et d'autres secteurs de la société qui prennent position contre cet accord. La Confédération paysanne travaille par exemple auprès des chambres d'agriculture pour mettre la question à leur ordre du jour. 

Quels sont les objectifs de la journée d'action européenne de samedi ? 

Le premier est de montrer que nous menons une campagne qui s'inscrit dans une dynamique de solidarité à l'échelle de l'Union européenne, en lien avec les mouvements aux États-Unis, et qu'elle est ancrée dans tout le territoire. Il s'agit d'exprimer un mot d'ordre fort de rejet de cet accord et du pouvoir des multinationales. L'opposition s'est considérablement structurée et étendue, avec des campagnes dans plus d'une vingtaine de pays. Nous voulons porter le débat dans la rue, après toute une phase de débats publics et d'un travail d'éducation populaire au quotidien, pour monter en puissance et contrer ces accords le plus rapidement possible. Cette étape ne sera pas forcément spectaculaire car il n'y aura pas une manifestation centrale, mais au contraire énormément d'actions très diverses - une soixantaine en France, plus de trois cents en Europe. 

 

 


Notes : 

[1] Désigné sous diverses appellations : PTCI, TTIP, TAFTA ou GMT pour Grand marché transatlantique. 

[2] Ce dispositif ouvre la porte à des recours juridiques, notamment devant des tribunaux d'arbitrage privés, de la part des industriels qui s'estimeraient lésés par les règlements et les législations adoptés par les États, leur permettant de les contourner et de faire peser la mesure de lourdes sanctions financières. 

[3] Accord général sur le commerce des services et Accord multilatéral sur l'investissement. 

 

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Mensonges climatiques: Les spécialistes ont chaud et froid

lundi 13 octobre 2014 à 13:19
Mensonges climatiques: Les spécialistes ont chaud et froid

Ça se réchauffe ou pas ? Allez savoir !

Mensonges climatiques: Les spécialistes ont chauds et froids

 

 

Il y a quelques semaines les « spécialistes » de l’IPCC clamaient que finalement le réchauffement climatique qui n’avait pas eu lieu depuis près de 18 ans était tout simplement le résultat d’une plongée des eaux chaudes des océans dans les profondeurs de ces derniers. Il fallait tout de même faire très fort pour diffuser une telle information qui est encore une fois en violation directe avec des lois physiques tellement basiques qu’on finit par se demander qui sont réellement ces « spécialistes du climat » qui font la pluie et le beau temps (sans jeu de mot) auprès des gouvernements du monde entier, via des partis écologistes puissamment organisés et politisés, afin de les contraindre à réduire les émissions de CO2 à grands renforts de taxes et d’investissements à perte en dollars, euros, couronnes, yens, yuans ou pesos. La NASA qui vit comme des milliers de laboratoires dans le monde de la « manne climatique » a tout de même fini par admettre tout compte fait, honnêtement, enfin presque, et malgré toutes les tentatives pour garder bonne figure, que non, la profondeur des océans ne s’était pas réchauffée au moins ces dix dernières années. Ouf ! On est rassuré, tenter de violer une deuxième fois une loi fondamentale de la physique pour faire passer l’imposture monumentale du soi-disant changement climatique, ça commençait à faire carrément désordre. Prétendre que l’eau chaude est plus dense que l’eau froide, il fallait tout de même avoir eu l’audace d’y penser. Comme on a coutume de le dire, plus le mensonge est gros mieux il est avalé sans sourciller.

Les « scientifiques » de la NASA au JPL à Pasadena en Californie ont effectué des mesures satellitaires de la température des océans entre 2005 et 2013 corroborées par les données envoyées par 3000 bouées dispersées dans les océans un peu au hasard mais pas partout et les résultats ont montré qu’en dessous d’une profondeur de 1995 mètres (il faut admirer la précision) l’eau ne s’est pas significativement réchauffée. Ben voyons ! A cette profondeur la température de l’eau atteint au mieux une dizaine de degrés, tout y noir froid et noir, et si on va plus en profondeur on atteint 4 degrés au maximum de densité de l’eau de mer, point à la ligne.

Les « spécialistes » de la NASA ont fait une immense découverte pourtant décrite par les lois de la dilatation des corps en fonction de la température auxquelles l’eau n’échappe pas. Josh Willis, l’un des auteurs du papier (toilette) paru dans Nature Climate Change, l’organe politique et pseudo-scientifique de l’IPCC, déclare avec un courage évident que ces résultats n’infirment en rien le changement climatique lui-même ! « Le niveau de la mer continue à monter, on essaye simplement de comprendre les détails et d’aller au fond des choses ». Il y a tout de même un gros problème, les prétendus gaz à effet de serre continuent à s’accumuler dans l’atmosphère et le réchauffement ne suit pas. C’est à n’y rien comprendre. Les « spécialistes » de la NASA qui disposent d’une tribune libre pour publier leurs conneries, je veux parler de Nature Climate Change (30 euros pour accéder à l’article et abonnement d’une année 178 euros), dûment reviewés par leurs pairs qui ne les contrediront jamais, ne savent plus trop où ils en sont ni de quoi il parlent. On a l’impression qu’ils sont tout simplement désemparés et qu’ils commencent à se demander s’il ne va pas falloir, un jour ou l’autre, avouer publiquement leurs turpitudes, leurs falsifications systématiques des données de leurs instruments coûteux payés par les contribuables, je veux parler des satellites et des bouées Argo, leurs modélisations abracadabrantesques pour enfin avouer leurs mensonges répétés. Mais non, il manque de la chaleur produite par l’ « effet de serre » du CO2 dont la teneur augmente inexorablement et on ne sait pas où elle est passée. Les modèles de réchauffement seraient-ils erronés ? Puisque ces modèles prédisent un réchauffement directement corrélé à l’augmentation gigantesque de CO2, quelques dizaines de parties par million en 50 ans tout au plus, et que ça ne se réchauffe pas, c’est que les océans se sont plus réchauffé que prévu depuis 35 ans, entre 1970 et 2005 pour être plus précis, de 24 à 58 % de plus que prévu ! Cette fois c’est du précis, du costaud, du vrai, tellement vrai qu’il faut le croire sans sourciller. Et puis le niveau des océans, tous calculs faits, n’a pas autant augmenté que prévu par les modèles, Al Gore peut dormir tranquille dans sa somptueuse villa au bord de la baie de San Francisco avec vue imprenable sur le Golden Gate, elle ne sera pas inondée de son vivant ! Ouf …

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Aux dernières nouvelles, la banquise antarctique a atteint cet hiver austral qui se termine une surface record, plus de 20 millions de km2, du jamais vu depuis 1979. L’illustration (NASA) montre le dépassement de la ligne rouge en de nombreux endroits, ligne qui matérialise l’extension maximale de cette banquise entre 1979 et … 2014, les premières observations satellitaires datant de 1979 et on se demande pourquoi la moyenne englobe l’année 2014 : il doit y avoir un tour de passe-passe là dessous. Les explications à ce phénomène inattendu de l’extension de la banquise sont pour le moins confuses. On sent que la NASA ne sait plus trop comment expliquer ce qui est observé car remettre en cause le « réchauffement climatique » reviendrait à voir les crédits d’équipements et de recherches lourdement amputés par l’administration américaine. Et il en serait de même pour de nombreux organismes et associations non gouvernementales dans de nombreux pays.

Quant à El Nino, il joue l’Arlésienne ! Il était attendu pour le mois de juin de cette année, rien ne s’est passé. Le mois d’octobre est bien entamé, toujours rien, peut-être pour la Saint-Sylvestre ou la saint Glinglin. La zone intertropicale de l’Océan Pacifique ne se réchauffe pas comme prévu par la NASA. Il faut dire que si l’eau chaude s’enfonce dans les abysses, rien de plus évident …

Autant dire finalement que les « mensonges climatiques » ont encore de beaux jours devant eux …

Sources : NASA press release 14-272 du 6 octobre 2014 et press release du 7 octobre 2014 (Goddard).

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Qu’y avait-il dans la soute du Boeing 777 de la Malaysian Airlines ?

lundi 13 octobre 2014 à 12:17
Qu’y avait-il dans la soute du Boeing 777 de la Malaysian Airlines ?

Pour le patron d’Emirates, on nous cache beaucoup trop de choses sur le sort du vol MH370

Qu’y avait-il dans la soute du Boeing 777 de la Malaysian Airlines ?

Sir Tim Clark n’est pas exactement un adepte des théories du complot. Mais le PDG de la compagnie d’aviation Emirates dit tout haut ce que beaucoup de spécialistes de l’aviation pensent tout bas sur la disparition mystérieuse et inexpliquée du fameux vol MH370. «Il y a quelque chose qui ne colle pas et nous devons aller au fond des choses» a-t-il déclaré au magazine allemand Der Spiegel

Sept mois après la disparition du Boeing 777 de la Malaysian Airlines qui reliait Kuala Lumpur à Beijing, la version officielle des évènements soulève de nombreuses interrogations. Tim Clark estime que la thèse avancée par le bureau australien de la sécurité aérienne, selon laquelle le vol MH370 s’est dirigé vers le sud au-dessus de l’océan Indien en pilotage automatique pendant 5 heures et à cours de carburant s’est abîmé avec 239 passagers, ne tient pas.

Pour Sir Tim, il est bien plus vraisemblable que le «MH370 était sous contrôle, probablement jusqu’à la fin» et insiste sur le fait que le contenu mystérieux qui se trouvait dans la soute et qui a été retiré des documents officiels par les  malaisiennes est une pièce essentielle de l’énigme. Qu’un avion de la taille du MH370 puisse simplement disparaître sans la moindre trace «même seulement un coussin de siège» est extrêmement «suspect». «Notre expérience montre que dans les accidents dans l’eau, là où l’avion a coulé, il y a toujours quelque chose».

Pour Tim Clark, le scénario le plus plausible aujourd’hui est que «probablement on a pris le contrôle de cet avion. Je ne sais pas qui. Nous devons savoir qui était dans cet avion dans le détail, ce que à l’évidence certaines personnes savent. Nous devons savoir ce qui se trouvait dans la soute de l’avion et nous devons continuer à faire pression sur ceux qui sont impliqués dans l’analyse de ce qui s’est passé pour obtenir plus d’informations».

 

Et Tim Clark n’a pas l’intention de laisser tomber. «Je vais continuer à poser des questions et à me créer des problèmes, même si d’autres voudraient enterrer cette . En tant que dirigeant de la flotte qui opère le plus de Boeing 777 (Emirates en a 127), j’ai besoin de savoir comme quelqu’un peut mettre à mal nos systèmes».

Ce que le PDG d’Emirates ne comprend pas notamment, c’est comment l’avion a pu disparaître des systèmes qui suivaient son vol. Les enquêteurs expliquent que les transpondeurs qui se signalent aux radars ont été délibérément coupés. Mais Tim Clark explique qu’il existe un autre système pour suivre les  appelé ACARS (Aircraft Communications Addressing and Reporting System). Il est utilisé avant tout par les compagnies. Le débrancher est quelque chose de compliqué et les pilotes ne sont pas formés pour le faire.  lors du vol MH370, le système ACARS a aussi été coupé.

http://www.slate.fr/story/93259/cache-beaucoup-choses-vol-mh370

via http://fr.whatsupic.com/nouvelles-politiques-monde/1413110477.html

Bolivie: Morales confortablement réélu à la tête du pays

lundi 13 octobre 2014 à 11:25
Bolivie: Morales confortablement réélu à la tête du pays

C'est reparti

LA PAZ, 13 octobre - RIA Novosti

Le président sortant bolivien Evo Morales a été confortablement réélu à son poste pour un troisième mandat consécutif, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti à La Paz. 
Selon les résultats des sondages réalisés à la sortie des urnes, M.Morales remporte la présidentielle tenue dimanche avec 61% des suffrages. Son parti Mouvement pour le socialisme conserve quant à lui la majorité des sièges au Sénat et au parlement. 
Le principal rival de Morales, Samuel Doria Medina, du parti de l'Unité démocratique, a recueilli 24% des voix. Bien que le dépouillement ne soit pas encore terminé, les rivaux de M.Morales ont reconnu leur défaite et les partisans du président ont commencé à fêter leur victoire à La Paz. 
Le président uruguayen José Mujica a félicité M.Morales par téléphone, constatant la "poursuite de la révolution" en Bolivie. Le chef d'Etat nicaraguayen Daniel Ortega a pour sa part qualifié la victoire de Morales de nouvelle étape de la "libération" de l'Amérique Latine. 
La présidente argentine Cristina Kirchner, le numéro un vénézuélien Nicolas Maduro et le leader cubain Raul Castro ont également adressé leurs félicitations à Evo Morales. 

 

Reuters, lu sur Alterinfo