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Aux USA, les retraités n’ont toujours pas fini de rembourser leur crédit… étudiant !

mercredi 1 octobre 2014 à 12:34
Aux USA, les retraités n’ont toujours pas fini de rembourser leur crédit… étudiant !

Edifiant !

Aux USA, les retraités n’ont toujours pas fini de rembourser leur crédit… étudiant !

 

Il fallait évidemment que je m’arrête sur ce sujet. On ne peut pas parler de la « reprise » aux USA, ou encore de croissance américaine, alors que le nombre de retraités n’ayant pas encore remboursé leur crédit étudiant a augmenté de plus de 500 % !

D’ailleurs, cela doit tout de même nous faire poser quelques questions sur ce que nous sommes devenus et sur le retour sur investissement même des études alors que le chômage est devenu endémique.

Quel est aujourd’hui l’intérêt financier de payer des études supérieures qui non seulement ne vous assurent plus d’avoir un  mais qui, en plus, vont vous enchaîner à vie avec des crédits aux montants colossaux.
En France, pays de l’éducation gratuite, ce débat peut paraître surprenant et pourtant nous y allons, comme nos amis américains y sont allés.

Progressivement, les frais de scolarité augmentent, les parents ayant de moins en moins d’ font de plus en plus appel à des crédits étudiants. Alors pour le moment, les montants en jeu en France ne sont pas encore au niveau de ceux atteints aux USA mais la « privatisation » de l’éducation a en réalité commencé de façon particulièrement insidieuse en France. Jusqu’au bac, la différence de niveau entre privé et public n’est plus un secret pour personne. En dehors de quelques établissements publics d’excellence, l’Éducation Nationale prend l’eau de partout et les moyens déversés ne changeront plus rien au naufrage de l’école de Jules Ferry qui doit se retourner dans sa tombe. De fait, l’éducation de qualité a déjà été privatisée dans notre pays rendant illusoire toute idée de mixité sociale.

Des études pour quoi faire ?

Cette question déroutera de très nombreux parents pourtant elle doit être posée. Attention, je ne parle pas d’instruction ou d’éducation, tout cela est évident, non, je parle de  d’études supérieures plus ou moins fumeuses qui, pour certaines, ouvrent tout droit le chemin vers la case chômage (sociologie, psychologie, poterie, voire même parce que cela existe « tricot » car oui, sachez qu’en France nous avons quelques professeurs de fac de… tricot) et où, pour d’autres, la possibilité de trouver un emploi convenablement rémunéré est faible, très faible.

Mon fils, passe ton bac d’abord, sauf que, comme tous les parents veulent que le fils passe son bac et qu’ils l’ont tous, un bac ne vaut plus rien, et les études supérieures guère plus. Finalement, avec la loi de l’offre et de la demande, ce qui est devenu rare ce n’est pas le BTS action co non, c’est le CAP de couvreur, de plombier ou d’électricien. Aujourd’hui, ces gars-là ont du travail et gagnent bien leur vie, bien mieux que les millions de prétendants petits « cadres non encadrants ».

Le meilleur conseil que je puisse donner aujourd’hui pour affronter le monde de demain, c’est de développer un savoir-faire non délocalisable et non robotisable. Si votre métier correspond à ces deux critères, alors vous devriez être en bien meilleure posture que tous ces vrais faux cols blancs qui se précipitent vers des emplois de bureau sans avenir. Par exemple, un plombier va réparer une fuite ici et le robot plombier n’est pas encore au point, et il faudra encore du temps pour qu’il le soit. Si c’est pour travailler dans un centre d’appel, tôt ou tard vous serez remplacé par un « téléphoniste » marocain. Pour les informaticiens, par un développeur indien. Pour les petits banquiers des agences d’en bas (n’y voyez aucune condescendance), vous êtes progressivement en train d’être remplacés par des automates et des serveurs Internet de banque en ligne. À ce propos, j’ai été bluffé par le dernier appareil de la BNP. Je suis allé déposer un chèque. Le type (un humain ayant deux bras et deux jambes) à qui je donne naïvement le chèque me propose (de façon un peu autoritaire) d’utiliser l’automate de remise de chèque. Je mets ma carte bleue. L’ordinateur identifie mon compte. J’insère mon chèque. Il me propose de vérifier le montant (c’est le bon), je valide en appuyant sur le bouton et hop ! le chèque est crédité et je reçois une belle feuille avec imprimé dessus le scan de mon chèque tout juste déposé. Fantastique… mais autant dire que le métier de guichetier, c’est terminé. Fini. Basta, wallou, nada. Rien.
Alors je repose la question, financer des études pour quoi faire ? Encore une fois, s’il s’agit de financer les études de médecine ou l’entrée à Centrale 
, la question ne se pose pas, mais pour tous les autres ? Pour les millions d’autres ?

Et c’est cela que nous enseigne l’exemple américain où une population est réduite massivement en esclavage par la dette et arrive à l’âge de la retraite avec un passif que ses revenus n’ont pas permis d’apurer.

Plus de 18 milliards de prêts étudiants toujours pas remboursés par les retraités !

C’est un petit article de La Tribune concernant ce sujet et reprenant une dépêche Reuters qui nous apprend que « entre 2002 et 2013, le nombre d’Américains dont les prestations de retraite ont été affectées pour payer le remboursement de leurs prêts étudiants a quintuplé ».

Cette formulation nous indique pudiquement que les pensions de retraites sont gentiment saisies directement à la source par les banques pour se faire rembourser… Je vous laisse évidemment imaginer le niveau de pauvreté de ces seniors-là et la fin de vie dramatique à laquelle ils font face.

Voilà donc ce que raconte La Tribune : « Difficile de rembourser une éducation extrêmement coûteuse aux États-Unis, y compris pour les personnes âgées, dont certaines n’ont toujours pas fini de payer leurs prêts étudiants et voient désormais leurs retraites ponctionnées par l’État, qui veut récupérer son argent. Aux États-Unis, la dette étudiante des 65 ans et plus a atteint en 2013 quelque 18,2 milliards de dollars, selon un nouveau rapport du Government Accountability Office (GAO), l’équivalent de la Cour des Comptes en France. »

Et de rajouter : « Ainsi, dans plus de la moitié des cas, les individus de plus de 75 ans font défaut sur le remboursement de leur prêt, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas effectué de paiement depuis au moins 270 jours. »

Rien ne va mieux aux États-Unis

Vous pourrez donc me publier toutes les statistiques que vous voulez, m’expliquer que les taux vont remonter, me dire que la croissance est là, que la reprise est forte, je continuerai à vous dire que presque 50 millions d’Américains sont à la soupe populaire, que désormais les retraités n’ont toujours pas remboursé leurs crédits étudiants et je ne vous parle même pas des millions d’Américains qui y arrivent mais lors de leurs dernières années d’activité professionnelle, je vous parlerai de la misère aux États-Unis, des soins dont sont privés tous les faibles ou les pas-riches, je vous raconterai ces montagnes de crédits sur lesquels repose cette illusion de croissance économique, de la dette de l’État fédéral, de celle des États fédérés, de celle des comtés ou encore des villes qui ferment et virent des centaines de flics ou de pompiers car elles n’ont plus les moyens.

Alors tout cela tient encore ; mieux, la Bourse monte encore… mais pour combien de temps ? Combien de temps cet immense mensonge pourra-t-il encore durer et combien de temps les populations consentiront-elles à rester les victimes consentantes d’un système absurde ?

La dette c’est l’esclavage volontaire

N’oubliez jamais, jamais encore plus aujourd’hui qu’hier car hier il y avait de la croissance pour rembourser vos dettes. Vos revenus futurs vous garantissaient de rembourser progressivement. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Faire le pari de l’endettement sur 25 ans est une folie pour la grande majorité d’entre nous.

Une fois endetté, vous êtes, jusqu’à l’apurement de votre dette, privé de votre liberté. Vous êtes devenu un esclave volontaire du système et vous en serez réduit à n’être plus qu’un « intermittent du spectacle capitaliste ». Je n’endetterai donc jamais mes enfants pour financer leurs études (je m’endetterai éventuellement moi et je me débrouillerai) mais je refuserai toutes études financées à crédit pour voir mes enfants chercher leur premier boulot la boule au ventre avec déjà 100 000 euros à rembourser…

Je refuse de jouer. Je refuse ces règles du jeu absurdes, je ferai autrement, je ferai différemment, mais je ne jouerai pas le jeu de l’asservissement du système totalitaire marchand. Ce monde est rempli d’autodidactes brillants et de diplômés roupillant. Les études ne sont plus une garantie et deviennent prohibitives financièrement. Encore une fois, ne confondons pas instruction, éducation et « diplomite ». Quoi qu’en dise Peillon pour qui les enfants appartiennent à l’école, les parents peuvent encore instruire leurs enfants, leur apprendre de multiples choses en plus et en dehors de l’école.

Je pense que le moment est venu de voir les choses différemment pour amener nos enfants vers l’âge de l’autonomie et que ce qui fonctionnait dans les 30 dernières années ne marchera plus dans les 30 prochaines, et c’est exactement cela que nous enseigne l’exemple dramatique des retraités américains miséreux se voyant saisir leur pension de retraite pour rembourser leur crédit étudiant.

Ce qui se passe aux USA n’est que le début d’un mouvement qui va fortement s’aggraver avec la crise et les générations largement moins dorées côté professionnel que celles qui arrivent aujourd’hui à la retraite. Si les montants sont importants, le nombre de retraités n’ayant pas remboursé leurs crédits étudiants reste faible. Mais pas pour longtemps.

La dette est un asservissement. Refusons-là.

Préparez-vous et restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez bien !!

Charles SANNAT

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement www.lecontrarien.com.

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Ô ironie… Les Américains ont aidé les Russes à découvrir l’un des plus grands gisements de pétrole de l’histoire

mercredi 1 octobre 2014 à 12:30
Ô ironie… Les Américains ont aidé les Russes à découvrir l’un des plus grands gisements de pétrole de l’histoire

Gisement en mer de Kara

Ô ironie… Les Américains ont aidé les Russes à découvrir l’un des plus grands gisements de pétrole de l’histoire

 

Bien qu’il semble que l’on assiste à une accalmie dans la , il ne semble pas probable qu’une solution puisse être rapidement trouvée pour régler définitivement ce problème. L’Occident marche sur des œufs, notamment parce que la  contrôle la fourniture de gaz naturel pour de nombreux pays européens qui en dépendent.

La Russie est riche en ressources, et elle dispose de réserves importantes de pétrole et de gaz sur son territoire. L’Occident peut difficilement boycotter cette source d’énergie. Par-dessus le marché, la position de  s’est récemment renforcée sur le marché mondial de l’énergie. En effet, la Russie vient de découvrir un très vaste gisement de pétrole dans le , qui promet d’être l’un des plus grands gisements du monde.

Le président  Vladimir Poutine peut se frotter les mains, car la découverte a été réalisée par la compagnie pétrolière d’Etat OAO Rosneft en collaboration avec la firme américaine ExxonMobil. Le gisement de pétrole est situé dans la mer de Kara, dans l’Océan Arctique. Le champ nouvellement découvert pourrait être plus grand que ceux du Golfe du Mexique, de l’Alaska ou du Canada, et selon les premiers forages, le puits pourrait fournir environ 1 milliard de barils de pétrole brut.

« Il a dépassé nos attentes. Cette découverte est exceptionnellement révélatrice de la présence d’hydrocarbures dans l’Arctique », a déclaré Igor Sechin, le CEO de Rosneft.

Mais ironie du sort, la coopération entre les deux compagnies pétrolières a été suspendue le 12 Septembre à la suite de occidentales contre la Russie pour son ingérence en Ukraine. Mais ExxonMobil dispose d’un délai qui court jusqu’au 10 octobre prochain avant de mettre les sanctions à exécution et suspendre cette collaboration. Après cette date, Rosneft et ExxonMobil ne pourront plus faire d’autres forages ensemble, et l’exploration de la zone sera donc reportée à une date ultérieure, en dépit de la découverte que les deux compagnies viennent de faire.

Selon le vice-ministre russe de l’énergie, Kirill Molotsov, les forages se poursuivront au cours de l’année prochaine, même sans la participation d’ExxonMobil.

L’impact sur le marché du pétrole ne doit pas être sous-estimé. La pression à la baisse sur les prix du pétrole pourrait encore se poursuivre sur les prochains mois. C’est une mauvaise nouvelle pour la Russie, parce que le gouvernement russe a besoin d’un cours du baril de pétrole compris entre 110 et  117 dollars pour couvrir les dépenses de l’Etat. Lorsque le cours tombe en deçà de 100 dollars, il peut gagner du temps grâce à quelques astuces fiscales. Mais il ne faut pas que cette situation perdure.

http://www.express.be/business/fr/economy/o-ironie-les-americains-ont-aide-les-russes-a-dcouvrir-lun-des-plus-grands-gisements-de-ptrole-de-lhistoire/208164.htm

Une ville allemande fait nettoyer ses rues par des alcooliques pour... de la bière !

mercredi 1 octobre 2014 à 09:06
Une ville allemande fait nettoyer ses rues par des alcooliques pour... de la bière !

Honteux

Une ville allemande va pouvoir être nettoyée grace à des alcooliques et des drogués en échange de bières, de tabac et d’un salaire minable

 

 

La ville allemande de Essen (ouest) démarre mercredi une opération controversée visant à employer des drogués et alcooliques pour nettoyer les rues en leur offrant en échange de la bière, du tabac et une maigre rémunération, rapportent les médias.

Baptisée "Pick up" mais déjà surnommée "Nettoyer pour de la bière", l'opération sera encadrée par des travailleurs sociaux et se tiendra autour de la gare centrale de cette cité de la Ruhr où se rassemblent des drogués, alcooliques et sans domicile fixe. 

Six personnes doivent commencer à nettoyer les rues et ramasser les ordures contre un émolument de 1,25 euro par heure, un repas chaud et trois bouteilles de bière, ainsi que du tabac pour les fumeurs, détaille le quotidien die Welt.

Vives critiques
Le projet a déjà suscité de vives critiques notamment d'associations d'aide aux sans-logis qui dénoncent "un travail à bas prix". Elles se sont également demandé s'il était judicieux de fournir de l'alcool à des personnes dépendantes avec les deniers publics. Les responsables du projet Suchthilfe Direkt avancent à l'inverse que cette opération, déjà menée à Amsterdam (Pays-Bas), vise à réintégrer dans la société des personnes dépendantes à l'alcool ou à la drogue.

"Les participants au projet sont des gens qui ont besoin d'une structure quotidienne pour se remettre sur pied", a assuré son coordinateur, Oliver Balgar, dans le quotidien Bild.

L'objectif est aussi de permettre à ces personnes désocialisées d'entrer en contact étroit avec des services sociaux ou médicaux qui pourront ensuite leur venir en aide. La plupart sont en effet des personnes sans emploi depuis longtemps, très dépendantes et pour qui les thérapies ont échoué, a précisé l'organisation dans un communiqué.

 

Source: 7s7

Ukraine: Un matin à Kharkov

mercredi 1 octobre 2014 à 08:53
Ukraine: Un matin à Kharkov

Un soldat ukrainien russophone pendu parce qu'il livrait des colis dans le Dombass

Ukraine: Un matin à Kharkov

 

 

Aujourd’hui, au centre de Kharkov, sur la palissade de l’église de la Nativité du Christ sur le Champ de Paul, a été crucifié par des combattants de la Garde Nationale ukrainienne un russophone, habitant de la ville et partisan d’Antimaïdan.

 

Comme l’apprit l’agence « Ural-Press-inform » par des déclarations officielles, le jeune garçon a été tué uniquement par ce qu’il faisait une collecte pour la population et les partisans du sud-est. Il envoyait des colis en secret dans le Donbass, en dépit de menaces permanentes de lui arracher la tête. Pour l’instant, la police et les autorités de Kharkov gardent le silence sur ce crime pourtant si frappant. Les membres des bataillons punitifs à Kharkov se donnent pour objectif de terroriser la population russophone de la ville avec la complicité des pouvoirs locaux. Pour la première fois, le centre industiel de l’Ukraine s’est figé dans l’attente de pogroms contre les Russes.

 

Source : Statut du père Gamaris (uralpress.ru) – Traduction de Laurence Guillon

http://www.vesti.ru/doc.html?id=2009980#

Le frère de Julien Dray (PS) est le chef du Betar

mercredi 1 octobre 2014 à 08:40
Le frère de Julien Dray (PS) est le chef du Betar

sympa la fratrie

Le frère de Julien Dray (PS) est le chef du Betar

 

 

Julien Dray , c'est l'homme proche du peuple , celui qui porte des montres à 40 000 euros ,et dont le frère est président du « betar » grande organisation democratique et ouverte aux autres


Qu'est ce que le Betar ? 

Pour appartenir au Betar, il faut être fier cruel et généreux. Cette citation est celle d' un fondateur de ce mouvement qui existe en France depuis 1929. Un groupuscule d'une centaine de membres recensés dans cinq villes française et qui occupe à Paris les mêmes locaux que le Likoud de France, un parti proche de la droite nationaliste israélienne. Cette organisation a pour objet le développement physique et intellectuel de la jeunesse juive, et une de ses missions est la protection de la communauté. 

Organisme d'autodéfense, le Betar est aussi spécialisé dans les opérations coup de poing. Des actions-éclairs menées par des groupes de jeunes masqués ou cagoulés, vêtus du Tshirt bleu et blanc de l'organisation. Ils communiquent par talkie-walkie et frappent leurs adversaires aux genoux ou aux coudes. Une technique de self défense adoptée par le GIGN. Tous les membres suivent un entraînement physique et des cours de sionisme. Le mouvement organise également des camps de vacances en Israël.

 

http://www.blog-runner.com/politique/le-frere-de-julien-dray-%28ps%29-chef-du-betar,a984768.html