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Enorme bourde d'un trader japonais qui dépense pour 617 milliards de dollars d'actions !

samedi 4 octobre 2014 à 16:59
Enorme bourde d'un trader japonais qui dépense pour 617 milliards de dollars d'actions !

Une boulette récupérée in extremis

L'énorme bourde d'un trader japonais

 

L'employé, qui avait notamment passé des ordres pour acquérir près de 57% du capital de Toyota, aurait appuyé sur la mauvaise touche de son clavier.

On a peut-être frôlé un vent de panique sur les marchés financiers. Au Japon, un trader a failli faire passer par erreur des ordres d'une valeur équivalente à...617 milliards de dollars. Fort heureusement, l'erreur a pu être rattrapée en catastrophe, mais ce n’est pas la première du genre. 

C'est ce qu'on appelle le "fat finger", la fameuse erreur de clavier. Sauf que celle-là aurait pu coûter particulièrement cher. Le trader, dont l'anonymat a été requis, aurait donc passé des ordres équivalents au produit intérieur brut de l'Argentine.

18 minutes pour annuler

Si ces ordres étaient passés, il aurait racheté des titres d'une quarantaine de grandes valeurs japonaises, dont pas moins de deux milliards d'actions Toyota. C'est à dire l'équivalent de 57% des titres disponibles sur le marché du leader mondial de l'automobile.  

Heureusement pour lui, les ordres ont été passés en dehors des heures d'ouverture de la bourse, ce qui a permis de les annuler sans trop d'encombres. Le tout 18 minutes après l'envoi malheureux.
Ce n'est pas la première fois que le doigt d'un trader ripe sur le clavier mais l'ampleur de l'ordre, s'il avait été validé, aurait été sans précédent. Ce type de mésaventure avait même failli coûter la faillite, il y a deux ans, du fond d'investissement américain Knight Capital. 

 

http://bfmbusiness.bfmtv.com/bourse/la-bourde-a-617-milliards-de-dollars-d-un-trader-japonais-838069.html

La Suède est le premier pays de l'UE à reconnaître l'Etat palestinien

samedi 4 octobre 2014 à 15:57
La Suède est le premier pays de l'UE à reconnaître l'Etat palestinien

Il est temps que le reste de l'UE s'y mette

La Suède est le premier pays de l'UE à reconnaître l'Etat palestinien

 

​La question de la reconnaissance de la Palestine en tant qu’état semble être l’un des tous premiers dossiers, auquel s’est attaqué le nouveau gouvernement de centre-gauche suédois. Faisant ainsi de la Suède l’un des tous premiers pays européens à franchir cette étape, selon les dires du premier ministre en exercice Stefan Lofven, dans une déclaration ce vendredi.

Cette reconnaissance de la Palestine en tant qu’Etat avait été amorcée devant l’Assemblée des Nations Unies en 2012, mais dans le même temps, l’Union européenne était restée muette sur la question, plusieurs pays européens n’ayant pas reconnu officiellement la Palestine.

"Le conflit entre Israël et la Palestine ne peut être résolu qu’avec une solution à deux états, au terme d’une négociation conforme au droit international", a expliqué le Premier ministre devant le Parlement suédois lors de son discours de politique générale.

La Suède étant elle-même considérée comme avant-gardiste en matière de relations internationales et très souvent reconnue pour son influence diplomatique, elle donne ainsi aux autorités palestiniennes une opportunité important pour débloquer la situation, notamment au sein de l’Union européenne.

Au sein de cette Union, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie avaient certes déjà reconnu la Palestine en tant qu’Etat, mais elles l’avaient fait avant même d’intégrer l’UE, faisant de la Suède le premier pays européen à franchir ce cap. Ce qui ne manquera pas selon différents experts d’agacer Israël et les Etats-Unis qui souhaiteraient avant tout qu’une négociation soit menée avant de reconnaître l’Etat de Palestine. Le gouvernement suédois préfère envisager le problème dans l’autre sens.

 

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La prison de Dracula a-t-elle été retrouvée ?

samedi 4 octobre 2014 à 15:02
La prison de Dracula a-t-elle été retrouvée ?

La prison de Dracula retrouvée en Turquie ?

La prison de Dracula retrouvée parmi les vestiges d’un château en Turquie ? 

 

 

Lors d’opérations de restauration du Château de Tokat, au nord de la Turquie, des archéologues ont découvert un passage secret menant à deux donjons constitués de cellules. C’est au sein de l’une d’entre elles qu’aurait été emprisonné Vlad l’Empaleur, qui a inspiré le personnage fictif de Dracula.

Personnage de fiction inventé par l’écrivain Bram Stoker, le Comte Dracula s’inspire directement d’une figure elle bien réelle : celle du prince Vlad III Basarab. Souverain impitoyable de la principauté de Valachie, Vlad a marqué l’histoire du XVe siècle par ses pratiques impitoyables d’exécution. Sa réputation sadique et sanguinaire a traversé les âges, tout comme son surnom : "Vlad l’Empaleur".

Outre les récits sordides, certains éléments matériels de l’histoire du prince persistent encore aujourd’hui. Témoins de cette époque révolue, ils offrent aux archéologues la possibilité d’entrevoir avec plus d’exactitude qui était réellement le souverain et quelle vie il a mené. Récemment, un passage secret menant à deux donjons a été retrouvé et selon les historiens, il s’agirait des tours où Vlad l’Empaleur a été emprisonné au milieu du XVe siècle.

Un château plein de tunnels secrets

Les vestiges ont été retrouvés au sein du Château de Tokat, au nord de la Turquie. Leur découverte a été réalisée à l’occasion d’une opération de restauration programmée sur une période de 10 semaines. Selon İbrahim Çetin, membre de l’équipe en charge du projet, la structure recèle des passages secrets inconnus jusqu'ici.

Il explique au DailyNews : "Le château est complètement entouré de tunnels cachés. Il est très mystérieux". Plusieurs galeries ont en effet été identifiées dont une menant à une ancienne citadelle et une aux bains romains situés à proximité. Le constat des experts fait état quant à lui d’un labyrinthe sinueux composé de donjons secrets construits "comme une prison".

Cette partie du château contient ainsi de nombreuses cellules cachées et c'est dans l'une d'entre elles que Vlad Tepes aurait été enfermé. "Il est difficile d'estimer dans quelle pièce Dracula a été emprisonné, mais il était ici", affirme İbrahim Çetin cité par le Hurriyet Daily News. Pour en savoir plus et percer les secrets des tunnels, les archéologues entendent poursuivre les recherches.

Une détention qui a certainement marqué

Avec son frère Radu, Vlad a été pris en otage par le sultan Ottoman Mourad II, lors d’une réunion diplomatique en 1442. Les deux prisonniers ont été libérés après la mort de leur père et de leur frère aîné Mircea en 1447. Lors de leur détention, ils ont pu profiter des privilèges d'otage princier pour notamment étudier ou correspondre.

Certains historiens pensent que c’est durant cette époque que Vlad a assisté à des pratiques d’empalements, un supplice qu’il reproduira plus tard durant son régime de la terreur. Au total, l'homme aura effectué trois règnes en tant que prince de Valachie et meurt finalement au combat en 1476.

http://www.maxisciences.com/dracula/la-prison-de-dracula-retrouvee-parmi-les-vestiges-d-un-chateau-en-turquie_art33584.html

L’ONU propose de passer à la semaine de quatre jours

samedi 4 octobre 2014 à 11:58
L’ONU propose de passer à la semaine de quatre jours

Drôle d'idée

L’ONU propose de passer à la semaine de quatre jours de travail
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_10_04/L-ONU-propose-de-passer-a-la-semaine-de-quatre-jours-de-travail-6987/

 

Une semaine de quatre jours de travail est meilleure que celle de cinq jours, estime l'Organisation internationale du Travail (OIT), l’agence spécialisée des Nations Unies.

Les experts de l'OIT plaident en faveur de la réduction de la semaine de travail. Selon eux, tout d'abord, il permettra d'améliorer la santé publique, étant donné que de nombreuses maladies dans le monde d'aujourd'hui sont causées par des heures supplémentaires.

Deuxièmement, la semaine de travail réduite créera plus d'emplois. Troisièmement, les études différentes montrent que la productivité du travail est plus élevée si les personnes travaillent moins.
 

http://french.ruvr.ru/news/2014_10_04/L-ONU-propose-de-passer-a-la-semaine-de-quatre-jours-de-travail-6987/

Cameron veut sortir l'Angleterre de la Cour européenne des droits de l'homme

samedi 4 octobre 2014 à 10:43
Cameron veut sortir l'Angleterre de la Cour européenne des droits de l'homme

Cameron pense que la CE des droits de l'Homme nuit à la souveraineté de l'Angleterre

Cameron veut sortir l'Angleterre de la Cour européenne des droits de l'homme

 

 

Plus de soixante ans après avoir activement participé à son édification, le Royaume-Uni pourrait rompre avec une institution phare de l'après-guerre en Europe : la Cour européenne des droits de l'homme. Soucieux de satisfaire les eurosceptiques de son parti et de répondre au parti nationaliste UKIP qui menace ses positions, David Cameron a fait, dans son discours clôturant le congrès du parti conservateur, mercredi 1er octobre, à Birmingham, de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) un symbole de la perte de souveraineté britannique. 

« Nous n'avons pas besoin de recevoir d'instructions de juges à Strasbourg ! », a-t-il lancé sous les applaudissements. La CEDH, juridiction supra nationale siégeant à Strasbourg, est chargée de faire respecter les droits fondamentaux reconnus par la Convention européenne des droits de l'homme. Elle peut être saisie par les simples citoyens lorsque tous les autres recours nationaux sont épuisés. 

Le premier ministre britannique n'a pas explicitement annoncé la rupture avec cette institution créée en 1951 pour reconstruire l'Europe sur la base du respect des droits de l'homme, après la catastrophe du nazisme. Mais en promettant le vote d'une « British bill of rights » (« Déclaration des droits ») par le parlement britannique s'il est reconduit après les législatives de mai 2015, M. Cameron a de fait préparé une situation où les décisions de la cour de Strasbourg ne s'imposeront plus, comme c'est le cas aujourd'hui, aux juridictions britanniques. 

Droit de vote aux détenus 

« Ce n'est pas seulement la question de l'Union européenne qu'il faut régler, c'est celle de la Cour européenne des droits de l'homme », a-t-il déclaré en guise d'introduction. Tout en professant du « respect » pour les intentions initiales de la Convention, signée en 1950 par les États membres du Conseil de l'Europe, M. Cameron estime que « depuis lors, les interprétations du texte ont conduit à un ensemble de choses qui sont franchement mauvaises ». 

Il a fait allusion à la condamnation de son pays par la CEDH, pour son refus d'accorder le droit de vote aux détenus. Le conflit entre Strasbourg et Londres à ce sujet, dure depuis 2005. Seul « notre parlement, le parlement britannique a décidé qu'ils [les détenus] n'auraient pas ce droit », a dit M. Cameron en estimant que son pays n'avait pas de leçon à recevoir : « Ce pays qui n'a cessé de défendre les droits de l'homme, qu'il s'agisse de libérer l'Europe du fascisme ou de mener le combat contre les violences sexuelles dans les conflits ». 

S'il est réélu dans huit mois, David Cameron abrogera la loi sur les droits de l'homme (« Human rights act ») votée en 1998 sous Tony Blair. Ce texte oblige l'ensemble des institutions publiques britanniques à respecter la Convention européenne. Il exige des tribunaux britanniques l'application de la jurisprudence de la cour de Strasbourg « autant qu'il est possible ». 

Mais la loi de 1998 respecte la souveraineté du parlement de Westminster : en cas d'incompatibilité entre une loi britannique et une prescription de la Cour européenne, les juges ne peuvent pas faire fi de la loi, mais émettent une« déclaration d'incompatibilité ». L'abrogation de ce texte, promise par le premier ministre britannique, revient à vider de son sens l'adhésion à la Convention européenne des droits de l'homme. En 1951, le Royaume-Uni avait été l'un des premiers états à la ratifier. Bien avant la France qui ne l'a fait qu'en 1974.

 

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