Vous n’avez peut-être pas entendu cette explosion. Pourtant elle s’est bel et bien produite.
Une revue de la Collaboration Cocherane, une équipe de chercheurs respectée et connue du monde entier a passé en revue tous les éléments de preuve et a fourni sa conclusion.
Chez les adultes en bonne santé, aucun vaccin contre la grippe ne confère une protection contre la maladie.
Boum !
Le vaccin ne protège pas non plus contre la transmission de personne à personne du virus de la grippe.
Boum !
Donc toute la promotion, tout le proxénétisme, toutes les tactiques de peur, tous les « avis d’experts médicaux » et toute la couverture médiatique … inutile, sans valeur, non pertinente.
Des milliards pour des mensonges sur les vaccins contre la grippe, ce n’était que cela : des mensonges.
Il y a pire parce que toute la théorie vaccinale qui traite de la manière dont fonctionnent les vaccins se trouve maintenant sur le fil du rasoir, prête à tomber dans l’abîme des comtes de fées qui n’intéressent plus personne.
On nous a dit que les vaccins stimulaient le système immunitaire à la manière d’une répétition générale de ce qui se produira quand la maladie se présentera. Le système immunitaire sera alors fin prêt pour attaquer le germe et le détruire.
Mais puisque les vaccins contre la grippe ne protègent pas contre la maladie et n’arrêtent même pas la transmission de personne à personne du virus de la grippe, la soit disant « répétition générale » du système immunitaire ne relève finalement plus que de la légende, du mythe.
En outre, on peut aussi oublier la légende pourtant tellement vantée de l’« immunité de groupe ». Comment un groupe pourrait-il être immunisé alors que les vaccins sont incapables d’empêcher la transmission du virus de personne à personne ?
Comme elle l’a toujours fait, la Collaboration Cocherane a réalisé une revue exhaustive de toutes les études existantes sur les vaccins contre la grippe. Elle a rejeté les études mal faites. Dans certains cas, les responsables de la Revue ont contacté individuellement les chercheurs pour pouvoir compléter et affiner leurs données.
Les conclusions de Cocherane représentent le nec plus ultra de la littérature publiée sur les vaccins contre la grippe. Comme la Collaboration Cocherane ne doit rien aux compagnies pharmaceutiques, elle a dès lors analysé la littérature sur la question avec humilité d’esprit.
Un commentaire intéressant de leur analyse précise : notre examen a montré que les éléments de preuves fiables sur les vaccins anti grippaux sont minces, mais nous savons qu’il existe des preuves de la manipulation généralisée des conclusions…
Qui donc pourrait bénéficier d’une telle manipulation?... Ca c’est une autre histoire !
La revue Cocherane a été publiée le 7 juillet 2010 par John Wiley.
Aurions-nous raté cette immense couverture médiatique. Peut-être étions-nous en train de pêcher ce jour-là, ou avions-nous décidé d’acheter de nouveaux pneus pour notre voiture ; nous étions peut-être en vacances sur notre yacht en Méditerranée ?
Quoi ? Il n’y aurait pas eu de large couverture médiatique ? Impossible ! Je pense qu’il y a sûrement eu…
Le phénomène de dé-dollarisation continue à s'étendre, et cela au profit de la monnaie chinoise, le renminbi (ou yuan, alias RMB). Les accords d'échanges de devises directs avec la Chine se multiplient partout dans le monde : Canada, Qatar, Corée du Sud, etc., précipitant la fin du dollar US comme monnaie de référence pour les échanges commerciaux.
La Chine signe un accord avec le Canada...
Au cours des derniers jours, la Chine a signé des accords monétaires directs avec le Canada, qui devient ainsi le premier centre de Renminbi [alias yuan] offshore [1] en Amérique du Nord, comme le relatent les analystes de CBC [2], qui suggèrent que « cela pourrait doubler, voire tripler le niveau du commerce canadien avec la Chine », diminuant la nécessité d'utiliser le dollar.
Selon CBC [3], « autorisée par la Banque centrale de Chine, la transaction permettra de faire des affaires, directement, entre le dollar canadien et le renminbi chinois, court-circuitant l'élément intermédiaire (dans la plupart des cas, le dollar américain). Les exportateurs canadiens, forcés d'utiliser la devise américaine pour faire des affaires en Chine, sont confrontés à la hausse des coûts de change et à des délais plus longs pour conclure des affaires. C'est quelque chose dont le Premier ministre a parlé. Il veut que les entreprises canadiennes, en particulier les petites et moyennes entreprises, fassent de plus en plus d'affaires en Chine, en y vendant des biens et des services », a déclaré depuis Pékin Catherine Cullen deCBC. »
Simon Black, du site sovereignman.com, émet des pensées inquiétantes concernant la décision du Canada... [4] :
« Ça arrive. Avec une augmentation de la vitesse et de la fréquence. Samedi [8 novembre 2014], la Banque populaire de Chine et le bureau du Premier ministre du Canada ont publié une déclaration indiquant que le Canada établira à Toronto le premier centre offshore d'Amérique du Nord pour le commerce en remimbi. La Chine et le Canada ont convenu d'un certain nombre de mesures visant à accroître l'utilisation de renminbi dans le commerce, les affaires et l'investissement. Et ils ont signé en outre un contrat bilatéral de swap de 200 milliards de renminbi.
De plus, juste aujourd'hui, tout chaud sorti des presses, les banques centrales de Chine et de Malaisie ont annoncé la mise en place de mécanismes de swap en renminbi à Kuala Lumpur, ce qui contribuera à accroître l'utilisation du renminbi en Asie du Sud-Est. Cela vient tout juste deux semaines après que le principal centre financier de l'Asie, Singapour, est devenu une plaque tournante majeure du renminbi, avec la convertibilité directe établie entre le dollar de Singapour et le renminbi. »
... le Qatar...
Mais ce n'est pas la nouvelle la plus importante de la semaine à propos de la précarité du pétrodollar. Ainsi, The Examiner [5] relate que, le 3 novembre 2014, la Chine a ouvert une nouvelle brèche dans le système des pétrodollars en signant un accord avec le Qatar. Selon cet accord, le Qatar peut utiliser le renminbi pour réaliser des échanges directs de devises avec la Chine, ce qui établit les fondations d'un nouveau commerce direct entre la Chine et ce pays membre de l'Opep, et cela au cœur même du système des pétrodollars. Comme nous en avertit Simon Black, « Ça se passe... avec une vitesse et une fréquence croissantes ».
Cet accord avec un producteur de pétrole aussi controversé que le Qatar pourrait déclencher la panique sur des pétrodollars... (comme le relate The Examiner) :
« La Banque centrale chinoise a annoncé lundi 3 novembre qu'elle a signé un accord d'échange de monnaie d'une valeur de 35 milliards de yuans (environ 5,7 milliards de dollars) avec la banque centrale du Qatar. Le contrat de trois ans pourrait être prolongé en cas d'accord par les deux parties, indique un communiqué sur le site Web de la Banque populaire de Chine (banque centrale).
Bien que ce nouvel accord entre la Chine et le Qatar ne représente que 5,7 milliards de dollars sur les trois prochaines années, le Qatar devient ainsi le 24e pays à ouvrir son marché Forex à la monnaie chinoise, et consolide l'acceptation du renminbi/yuan comme une option viable pour l'avenir au Moyen-Orient.
Le 3 novembre également, les deux parties ont signé un protocole d'accord sur le règlement de compensation en renminbis à Doha. La Chine a accepté d'étendre le système « RMB Qualified Foreign Institutionnal Investor » au Qatar, avec un quota initial de 30 milliards de yuans.
L'accord marque une nouvelle étape dans la coopération financière entre les deux pays, pour faciliter le commerce et les investissements bilatéraux pour aider à maintenir la stabilité financière régionale, indique le communiqué de China Daily.
Ce n'est peut-être pas un hasard si le terme de la nouvelle convention est fixé à trois ans, et tombe dans le laps de temps exact prévu par le directeur de l'Institut des finances dans le cadre du Centre de recherches pour le développement du Conseil d'État, Zhang Chenghui, pour rendre le renminbi pleinement convertible dans le système financier mondial.
Le système des pétrodollars est le cœur et l'âme de la domination de l'Amérique sur la monnaie de réserve mondiale, et leur droit d'obliger toutes les nations à acheter des dollars américains si elles veulent être en mesure d'acheter du pétrole sur le marché libre. Lié par un accord avec l'Arabie saoudite et l'OPEP en 1973, cette norme de facto a duré plus de 41 ans et a été la force motrice derrière la puissance économique, politique et militaire de l'Amérique.
Le besoin de nouveaux marchés et d'un commerce plus stable au Qatar pourrait être lié à un nouveau rapport publié la semaine dernière par la banque française BNP Paribas, qui a montré que le recyclage des pétrodollars est tombé à son plus bas niveau en 18 ans [6]. Cela signifie que même les nations productrices de pétrole du Moyen-Orient trouvent difficile de faire confiance au dollar américain et de faciliter son utilisation dans le commerce, en raison de sa dépréciation, depuis les massifs programmes d'assouplissement quantitatif (Quantitative Easing) [7] lancés par la Réserve fédérale.
Et comme Black le note, le monde entier surfe sur cette vague. Partout dans le monde, le renminbi devient rapidement la monnaie pour le commerce, l'investissement, et même pour le stockage de valeur.
« En Corée du Sud, par exemple, les dépôts en renminbis ont été multipliés par 55 en une seule année. C'est étonnant. Le gouvernement du Royaume-Uni vient juste de publier une obligation en renminbis, devenant ainsi le premier gouvernement étranger à proposer de la dette libellée en renminbis. Même la Banque centrale européenne est en train de débattre en vue d'inclure le renminbi dans ses réserves officielles, tandis que les politiciens du monde entier tirent la sonnette d'avertissements de façon pas si subtile qu'un nouveau système monétaire hors du dollar est nécessaire.
Rien ne va vers le haut ou vers le bas en ligne droite. Et comme les économies européennes et mondiale continuent à être volatiles, le dollar risque fort de subir des à-coups dans les prochains mois. Mais, sur le long terme, on voit bien où cette tendance nous mène : le reste du monde ne veut plus compter sur le dollar américain, et ça va devenir une réalité, que les États-Unis le veuillent ou non. »
Pour terminer, revenons à The Examiner : « presque chaque semaine maintenant, la Chine, la Russie ou l'un des nations des BRICS finalisent des accords qui remplacent l'ancien système du commerce en dollar ou ayant recours au système des pétrodollars. Et de nombreux pays commencent à rejeter le dollar, en raison de l'inflation exportée qui se développe dans les pays qui sont contraints de les détenir pour des achats de pétrole sur le marché mondial. Ainsi des alternatives telles que le renminbi chinois deviendront une option plus viable, surtout maintenant que la puissance asiatique a pris la première place en tant que plus grande économie du monde. »
[7] L'assouplissement quantitatif est l'équivalent moderne de la planche à billet, en plus sophistiqué dans ses modalités toutefois. Ainsi la Banque Centrale se met à acheter des bons du trésor (ce qui revient à prêter à l'État) et d'autres titres financiers : elle met donc de l'argent en circulation dans l'économie et augmente ainsi les réserves du secteur bancaire. (Wikipédia, français)
A la croisée entre un Robocop et R2D2, la startup américaine Knightscope a commencé à mettre en circulation plusieurs de ses robots patrouilleurs Knightscope K5, chargés d'aider les forces de l'ordre à assurer la sécurité.
Robocop existe. La jeune société de robotique Knightscope a commencé à déployer au moins cinq de ses robots patrouilleurs Knightscope K5 dans la Silicon Valley, dans l'objectif d'aider à assurer la sécurité des lieux. Equipés d'un grand nombre de capteurs en tous genres, les robots K5 peuvent « voir », « entendre », « ressentir » et « sentir », et amassent ainsi des tonnes de données en temps réel, qui sont traitées au travers d'un moteur d'analyse prédictive. S'il détecte une activité suspecte, un bruit tel qu'un bris de verre, ou même une odeur anormale par rapport à ce qu'il sait de la zone surveillée et de ce qui s'y déroule, le robot peut déclencher une alerte et mettre tous ses capteurs en éveil pour enregistrer le maximum d'informations.
En cas d'alerte, tous les internautes peuvent ainsi consulter les données ou regarder les flux vidéo transmis en temps réel, pour confirmer le problème de façon collaborative, enrichissant au passage les algorithmes prédictifs utilisés (la société affirme avoir des processus pour préserver le droit à la vie privée, mais il ne dit pas lesquels). Le robot se déplace grâce à des roues motorisées, à une centrale inertielle, à un module GPS qui lui permet de savoir où se déplacer et aller se recharger, et utilise des capteurs lasers ou encore des radars pour anticiper les obstacles :
Si l'amendement est passé, c'est que quelque chose trame... On appelle ça, la Macron-économie
es sénateurs ont-ils perdu la tête ? La réforme des retraites de 2010 repoussant l'âge minimum de la retraite de 60 à 62 ans est à peine entrée vigueur, que le Sénat vient d'adopter un amendement repoussant l'âge minimum de la retraite de deux ans supplémentaires, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale.
Ce texte veut porter l’âge minimum de la retraite à 64 ans pour les générations nées à partir de 1960, contre 62 ans actuellement. Pour ceux nés avant cette date, le relèvement se ferait alors de manière progressive à raison de 5 mois supplémentaires par génération pour ceux nés jusqu’au 31 décembre 1958 ; 4 mois supplémentaires pour celles nées en 1959 de manière à atteindre 64 ans pour ceux nés en 1960.
Mais cet amendement va encore plus loin, puisqu'il prévoit la mise en œuvre d'une réforme systémique à compter du 1er semestre 2017. L'idée est d'instituer un régime unique par points ou par compte notionnel (compte individuel permettant de calculer les droits à la retraite des assurés en fonction des cotisations réellement versées).
Pas de panique, toutefois. Le texte voté par les sénateurs a peu de chance d'aboutir en deuxième lecture l'Assemblée nationale… Ce qui est certain, en revanche, c'est que nos chers élus ont aussi validé le changement de mode de calcul de la contribution sociale généralisée (CSG). Au 1er janvier 2015, 460.000 retraités verront le taux de CSG réduitpasser de 3,8% à 6,6% en 2015.
Et la Turquie n'est(-elle pas dans l'OTAN ? Bien si...
Le député d’Antioche Dr. Mehmet Ali Ediboğlu (Parti républicain du Peuple - CHP) a révélé que, le 19 novembre 2014, un cargo états-unien est entré au port d’Iskanderun transportant illégalement des armes.
La police anti-émeutes a protégé le port durant le déchargement de la cargaison, laquelle comprenait notamment des missiles et des lanceurs lourds. Le matériel a été chargé dans deux convois de douze véhicules qui se sont dirigés vers le camp d’Al-Qaïda situé à Osmaniye [1].
L’administration Erdoğan soutient activement les groupes armés en Syrie en général, y compris l’Émirat islamique. La Justice turque a établi qu’il avait reçu secrètement le banquier d’Al-Qaïda au moins 12 fois depuis le début de la guerre contre la Syrie [2]. Depuis la mi-octobre, le CHP l’accuse de soutenir secrètement l’Émirat islamique [3].