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Norvège : Les robots vont pouvoir tirer sur des citoyens

lundi 27 octobre 2014 à 22:15
Norvège : Les robots vont pouvoir tirer sur des citoyens

Image extraite du film « I, Robot » d'Alex Proyas sorti en 2004 - capture d'écran

Norvège : Les robots tueurs suscitent l'inquiétude

 

Le gouvernement norvégien finance le développement de robots qui pourront, sans intervention humaine, prendre la décision de tirer sur leur cible. La Ligue pour la paix estime que ce projet viole le droit international. 

« Robots tueurs » pour les uns, « munitions partiellement autonomes » pour les autres : depuis plusieurs mois, le gouvernement norvégien finance le développement de nouveaux missiles pour équiper ses avions de combat. Leur particularité : « ils auront la capacité d'identifier une cible et de prendre la décision de tuer - ou non - sans intervention humaine », rapporte la version norvégienne du site d'actualité The Local

« Cette technologie soulève plusieurs questions morales, notamment sur ce qui se passe si l'humain disparaît totalement du champ de bataille au profit des machines, ou encore sur qui sera tenu responsable en cas d'erreur ou d'attaque violant le droit international », pointe The Local

« L'arme devient le combattant » 

Alexander Harang, de la Ligue norvégienne pour la paix, réclame un débat au sein du Parlement norvégien. « Au printemps dernier, après que le gouvernement a décidé d'allouer un budget de 2,2 milliards de couronnes norvégiennes [260 millions d'euros] au groupe Kongsberg [qui développe le robot], Alexander Harang a contacté tous les partis du pays pour réclamer un débat sur les conséquences potentielles de cette technologie autonome en regard du droit international. Le débat n'a jamais eu lieu. » 

Le rapporteur de l'ONU Christof Heyns s'inquiète également des implications d'une telle technologie. « 

Ces dix dernières années, on a vu s'accroître la distance entre le soldat et sa cible. Mais ce qui se passe là, c'est que l'arme devient le combattant. La Norvège est un gros exportateur d'armes. Nous devons donc être particulièrement attentifs aux questions éthiques que soulève ce projet », précise-t-il. 

La ministre norvégienne de la Défense, Ine Eriksen Søreide, confirme que la question est complexe. mais elle refuse que le projet soit mis en suspens en attendant qu'un débat ait lieu.

 

Source

« Le téléphone portable m'a détruit la santé » avoue l'ex-directeur de technologie chez Nokia

lundi 27 octobre 2014 à 17:01
« Le téléphone portable m'a détruit la santé » avoue l'ex-directeur de technologie chez Nokia

© emfwise.com/children
Matti Niemelä Il est particulièrement inquiet pour les enfants et l’utilisation qu’ils font du téléphone portable, car la distance recommandée à maintenir entre l’appareil et l’oreille ou la tête n’est pas du tout respectée

« Le téléphone portable m'a détruit la santé » avoue l'ex-directeur de technologie chez Nokia

 

 

Matti Niemelä, ex-Directeur de Technologie chez Nokia, a participé au développement des premiers téléphones portables dans le monde, mais lui-même est tombé gravement malade à cause de leurs rayonnements. En outre, on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques. Certaines études indiquent que les rayonnements peuvent accroître le risque de développement de cette maladie. 

Pour Matti Niemelä, établi à Tampere, 44 ans, la vie était comme dans un film, lorsque jeune homme, il a été recruté et formé par Nokia en 1997. En presque dix ans, ce jeune surdoué est devenu le Directeur technologique de Nokia, et a participé au développement des premiers téléphones portables dans le monde, des clés USB et des connections WLAN / WIFI. En 2007, la santé de Niemelä s'étant détériorée, sa carrière a pris fin brutalement. Aujourd'hui, cet homme n'est capable de se déplacer qu'avec l'aide d'un déambulateur (ou marchette). Niemelä refuse d'utiliser un fauteuil roulant. 

« L'ironie dans tout ça, c'est que je ne peux plus utiliser les appareils que j'ai développé », dit Niemelä en souriant. Niemelä est l'un des malheureux ayant présenté de graves symptômes dus aux rayonnements. « Je me déplaçais partout dans le monde avec un transmetteur à la main, l'exposition aux rayonnements était très forte du matin au soir, et même la nuit. Peu de gens en ont eu une telle dose », dit Niemelä. 

Les premiers symptômes s'étaient déjà manifestés au terme de sa première année de travail chez Nokia. « Je jouais alors au badminton, et je n'arrivais plus à servir le moineau, bien que j'y jouais depuis un moment. » Au début, Niemelä n'osa pas aller chez le médecin, principalement à cause de la peur du cancer du cerveau qui était déjà présente. Les symptômes ont empiré d'année en année. « Je ne pouvais pas parler sur le téléphone portable tout en marchant, parce que cela me causait des problèmes de coordination. » Plus le rayonnement était intense, plus il avait des troubles de l'élocution. « De plus, mon oreille était chaude lorsque je parlais longtemps. J'ai insisté jusqu'au jour où je n'ai plus senti ma peau. Alors il a fallu aller chez le médecin », explique Niemelä. 

En 2001, des imageries par résonance magnétique et des échantillons de liquide céphalo-rachidien ont permis de révéler la triste vérité : la sclérose en plaques.« Je fus même un peu soulagé, car on peut vivre avec la sclérose en plaques, mais pas avec le cancer du cerveau. » D'après Niemelä, les membres du personnel médical ne souhaitent pas se prononcer sur le fait que la sclérose en plaques ait été déclenchée par le téléphone portable. Les résultats d'études préliminaires montrent cependant que les rayonnements augmentent le risque d'apparition de cette maladie. « Je suis un profane, pas un médecin. Il y a certainement plusieurs raisons à l'émergence de la sclérose en plaques, et pas seulement les radiations du téléphone cellulaire. Pourtant, les radiations multiplient bel et bien les symptômes de ma maladie. En outre, les symptômes de la sclérose en plaques peuvent être facilement confondus avec les symptômes de radiation du téléphone portable », explique Niemelä. 

Durant l'interview, Niemelä a de plus en plus de mal à articuler. Il y a un panneau dans le couloir qui demande au public d'éteindre son téléphone. Une petite dose de radiation, c'est déjà trop. « Je ne suis plus en mesure d'aller au cinéma ou de rester très longtemps dans les espaces publics, avec plein de rayonnements. Je ne suis pas sorti depuis longtemps », dit Niemelä, la quarantaine, qui doit désormais accepter que les murs de sa maison sont ceux d'une prison. 

Bien que Niemelä y ait laissé sa santé, sa carrière, et plus récemment son mariage, il n'en rend personne responsable. « Je n'ai pas d'amertume, c'était mon choix de travailler chez Nokia. » Il ne veut pas non plus effrayer trop de monde avec les dangers du téléphone portable. « Une personne en bonne santé peut utiliser un téléphone portable de façon raisonnable. » 

Niemelä admet que de rendre son histoire publique comporte un gros risque. « J'ai peur d'en parler en public, parce que je ne veux pas être traité de fou. » Niemelä explique que chez Nokia, le sujet de la radiation des téléphones cellulaires a toujours été un tabou permanent. « On n'était pas autorisé à aborder ce sujet au sein de l'entreprise. Pourtant, parmi le personnel, il a été spéculé que les rayonnements pouvaient faire des dégâts. Cependant, personne n'a osé en parler, de peur de se faire renvoyer. » 

Niemelä dit avoir abordé la question pour la première fois avec le médecin en 2006. « Le médecin m'a dit qu'il avait plusieurs patients qui souffraient des mêmes symptômes que moi », confie Niemelä. Niemelä est particulièrement inquiet pour les enfants et l'utilisation qu'ils font du téléphone portable, car la distance recommandée à maintenir entre l'appareil et l'oreille ou la tête n'est pas du tout respectée. « Ces choses ont été mises sous silence pendant trop longtemps. J'espère qu'à l'avenir, il sera possible de parler sans crainte et ouvertement de ces symptômes. »

 

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Des tribus et des agriculteurs s’unissent pour mettre fin à l’expansion de la culture du palmier à huile aux Philippines

lundi 27 octobre 2014 à 15:32
Des tribus et des agriculteurs s’unissent pour mettre fin à l’expansion de la culture du palmier à huile aux Philippines

Les plantations de palmiers à huile ont envahi les terres où les Palawan cultivaient les noix de coco.

© ALDAW

Des tribus et des agriculteurs s’unissent pour mettre fin à l’expansion de la culture du palmier à huile aux Philippines

 

 

Des peuples indigènes et des petits exploitants agricoles de la province de Palawan, aux Philippines ont appelé à l’arrêt de l’expansion des plantations de palmiers à huile qui détruisent les forêts dont ils dépendent pour survivre.

Leur récente Coalition contre l’accaparement des terres (CALG) a recueilli plus de 4 000 signatures de la part des populations indigènes et des agriculteurs affectés par les plantations et a appelé à un moratoire sur l’expansion du palmier à huile.

Palawan, qui est souvent désignée comme la ‘dernière frontière écologique des Philippines’ est une réserve de biosphère et le foyer de nombreux peuples indigènes tels que les Palawan, les Batak et les Tagbanua, lesquels dépendent de leurs forêts pour leur subsistance, leur plantes médicinales et la construction de leurs maisons.

Il a été cependant planifié la conversion de 20 000 hectares de terres tribales en plantations de palmiers à huile qui détruirait à jamais les forêts dont les peuples indigènes dépendent. L’huile de palme est utilisée pour les biocarburants et dans de nombreux aliments et produits cosmétiques.

Les plantations de palmiers à huile sont dévastatrices pour les communautés indigènes qui dépendent de leurs forêts pour survivre.
Les plantations de palmiers à huile sont dévastatrices pour les communautés indigènes qui dépendent de leurs forêts pour survivre.

© ALDAW

 

‘Pour trouver des plantes médicinales, nous devons marcher plus d’une demi-journée pour atteindre l’autre côté de la chaîne de montagnes’ a déploré un Palawan. ‘En raison de la longue distance, nous devons laisser nos enfants à la maison, par conséquent ils ne peuvent ni apprendre le nom de ces plantes ni leur usage. Les connaissances anciennes se perdent.’

Les plantations ont été catastrophiques pour les communautés locales. Les taux de pauvreté et de malnutrition augmentent rapidement dans la région qui détient la plus grande quantité de terres converties à la production d’huile de palme. Le représentant de la communauté, John Mart Salunday, a qualifié le projet de véritable ‘fiasco’ en termes de lutte contre la pauvreté.

Survival International, le mouvement pour les droits des peuples indigènes, soutient la demande de moratoire sur les plantations de palmiers à huile à Palawan et appelle le gouvernement philippin à veiller à ce les peuples indigènes de Palawan puissent donner leur consentement libre, préalable et éclairé avant de mener toute activité sur leurs territoires – tel que l’exige le droit international.

Survival France

Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

lundi 27 octobre 2014 à 11:32
Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

Après avoir rédigé cette usine à gaz de constitution européenne, l’accordéoniste et ancien président de la république Valérie Giscard d’Estaing, donne son avis sur la situation de la France. Ce monsieur avec son comparse de l’époque Pompidou (ancien PDG de la banque Rothchild) et ancien président de la république lui aussi, non content d’avoir fait la fumeuse loi de 1973 permettant à la France d’emprunter aux banksters privés avec intérêts, plutôt qu’à notre banque de France à zéro % , ose ouvrir son clapet pour nous dire que nous allons à la catastrophe. (Intro par les Moutons enragés)

Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

 

L'ancien président Valéry Giscard d'Estaing estime que la France "risque de se retrouver dans la situation qu'a connue la Grèce" et de devoir "demander l'aide du FMI", dans une interview publiée samedi dans Le Figaro. Celui qui fut chef de l'Etat de 1974 à 1981, propose, avec le soutien d'Helmut Schmidt, chancelier allemand à la même époque, de former autour de l'euro un "ensemble homogène" d'une douzaine de pays dotés des mêmes règles budgétaires et fiscales, qu'il appelle "Europa".
 
Malgré une dette élevée, explique-t-il, "aujourd'hui nous sommes protégés par des taux d'intérêt très bas, mais c'est provisoire. La Fed (banque centrale américaine, ndlr) a annoncé son intention de relever ses taux d'intérêt dès que la conjoncture le permettra, probablement dans les 18 mois (...) Ce jour-là, notre pays risque de se retrouver dans la situation de la Grèce. Les pouvoirs publics seront conduits à demander l'aide du FMI".
 
Selon VGE, "le mécanisme de l'Europe a été disloqué avec le non français au référendum de 2005. Pour autant, les sondages l'attestent : une grande majorité de nos compatriotes ne veut en aucun cas abandonner l'euro ! Nous devons prendre appui sur ce soutien de l'opinion pour retrouver le fil du projet européen initial avec ceux qui, parmi nos voisins, le veulent bien. Et laisser les autres vivre leur vie". Feraient partie de cette union approfondie la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l'Espagne, le Portugal, l'Autriche, et "le moment venu la Pologne", précise-t-il, en ajoutant que "la participation de l'Irlande et de la Finlande peut être envisagée".
 
"Ces douze pays constitueraient un ensemble homogène que nous appellerons Europa. Son objectif est de compléter l'euro par une union budgétaire et fiscale, dotée à terme d'un Trésor public commun et d'un mécanisme de solidarité financière", détaille Valéry Giscard d'Estaing, qui défend cette thèse dans un livre "Europa - la dernière chance de l'Europe" (XO Editions), préfacé par Helmut Schmidt.

 

Source : Lci.tf1.fr

Cisjordanie : les bus pour colons désormais interdits aux ouvriers Palestiniens

lundi 27 octobre 2014 à 10:23
Cisjordanie : les bus pour colons désormais interdits aux ouvriers Palestiniens

Ségrégation raciale bonjour

Cisjordanie : les bus pour colons désormais interdits aux ouvriers Palestiniens

 

Les  palestiniens dans les  en 1948 ne pourront désormais plus emprunter les même bus que les colons pour rentrer en Cisjordanie, une mesure qui ravive la polémique sur la  dans les transports, a rapporté dimanche le journal israélien Haaretz.

 Des centaines de Palestiniens munis d’un permis de travail vont chaque jour travailler dans les territoires occupés, principalement sur les chantiers de construction. Jusqu’ici, ils devaient transiter à l’aller via un unique point de passage, celui d’Eyal près de Qalqiliya au nord de la Cisjordanie occupée.

Mais la mesure annoncée par le ministre israélien de la , et qui sera applicable à partir du mois prochain, les obligera désormais à « pointer » à ce même point de passage à leur retour, ce qui n’était pas le cas avant, selon la même source.

Dans les faits, ils ne pourront donc plus emprunter les bus des colons israéliens qui relient les grandes villes de l’entité  aux colonies, sans s’arrêter dans ce sens au point de passage.

Les colons de Cisjordanie exigeaient depuis des années cette mesure, arguant des dangers sécuritaires.

Mais le journal balaye l’argument sécuritaire. « Les travailleurs autorisés en Israël font l’objet d’une enquête des services de sécurités intérieurs et sont fouillés à leur entrée en Israël (…) s’ils voulaient attaquer des Israéliens, ils pourraient le faire n’importe où, pas spécialement dans le bus », affirme ainsi le général Nitzan Alon, commandant du nord de la Cisjordanie occupée, cité par le Haaretz.

« Il est temps d’admettre que cette procédure  est un cache-sexe pour céder aux demandes (des colons) de ségrégation raciale dans les bus », a réagi dans un communiqué l’ONG israélienne B’Tselem.

En 2013, cette ONG avait déjà vivement condamné la décision israélienne de lancer un service de bus destiné aux travailleurs palestiniens dans le sens Cisjordanie-.

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=199142&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=20&s1=1