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Y a t-il un false flag nucléaire contre la Russie en préparation ?

mercredi 17 décembre 2014 à 18:05
Y a t-il un false flag nucléaire contre la Russie en préparation ?

Le directeur de l’institut des problèmes liés à la globalisation et conseiller d’état Mikhail Delyagin a révélé dans une interview à la radio Pravda que l’Ukraine préparait une provocation à grande échelle à l’encontre de la Russie.

Chelyshev :

- Bonjour Mikhail Gennadievich, allons nous discuter du discours du président Poutine ?

Delyagin :

- Le discours du président Poutine à l’Assemblée fédérale est extrêmement important. Et bien sûr, il serait nécessaire d’en discuter de manière prioritaire. De plus, il nous a donné de nouvelles perspectives. Après la gestion du rattachement de la Crimée j’ai un grand respect pour le président.

J’ai eu différentes appréciations sur sa politique, mais après la Crimée je n’ai plus de doutes. Mais malheureusement, comme le secrétaire à la défense américain l’a dit : « il y a des choses plus importantes dans le monde. » J’espère que vous avez écouté ce discours, vous pouvez toujours le lire et écouter les commentaires des experts. Je veux plutôt vous parler d’informations exceptionnelles, malheureusement. Elles sont d’un caractère extrêmement préoccupant et nous menacent tous directement.

Chelyshev:

- Quel genre d’informations ?

Delyagin:

- Elles concernent la géopolitique. Pourquoi la crise ukrainienne est survenue, quelle en est la raison fondamentale ? Pourquoi les américains se sont-ils autant impliqués ? Les européens ont suivi à cause des actifs, comme les allemands en 1941, afin d’acquérir davantage de territoires, d’usines, d’installations énergétiques, des ports et des mines. Les américains se sont engagés dans cette confrontation car dans le monde d’aujourd’hui il y a trois acteurs majeurs : les USA, la Chine, et l’Union Européenne. Mais l’UE est un acteur indépendant et un égal des USA et de la Chine seulement dans le cas où elle coopère avec la Russie. Il ne s’agit pas d’une intégration, bien sûr, mais seulement d’un partenariat économique et stratégique. La destruction de la coopération entre l’UE et la Russie a permis d’éliminer un acteur indépendant de la compétition pour le leadership mondial. Les américains ne se sont pas lancés dans cette aventure pour conquérir la Russie. Malgré tout mon patriotisme, 2% du pib mondial, cela ne fait pas de la Russie un acteur majeur de l’économie mondiale.

Les grandes puissances sont constituées de trois acteurs dans la compétition globale, si vous éliminez l’Union Européenne, il n’en reste que deux. L’Union Européenne n’existera plus en tant qu’acteur mondial. Il s’agissait de l’objectif stratégique des états-unis, et nous également, comme les européens l’ont réalisé.

Nous l’avons également compris mais nous étions focalisés sur des problèmes locaux : comment apaiser Yanoukovitch. Comment aurions nous pu lui expliquer qu’il aurait dû accepter notre argent pour le donner aux européens ?

Les américains ont obtenu un succès éclatant. Nous sommes maintenant dans une nouvelle guerre froide. L’Ukraine est plongée dans la guerre civile. Les pourparlers sur le cessez-le-feu n’effacent pas les exactions, et des civils pacifiques sont tués tous les jours. Et le problème n’est toujours pas résolu. En dépit du fait que la fédération de Russie n’ait pas envahi l’Ukraine, n’est pas impliquée dans la guerre, en dépit de l’agressivité de l’Union Européenne, cette dernière ne souhaite pas se quereller avec la Russie. Son état d’esprit est le suivant : les russes ont peut-être raison ou tort, mais ils sont une nation importante et nous avons besoin de ce débouché. S’ils ont tort, nous ferons confiance à nos leaders politiques, continuons à commercer avec eux en prenant de la distance. Mais pourquoi détruire nos relations commerciales ? L’Europe souffre de nombreux maux, elle souffre également de notre pauvreté. Si seulement 40 de nos touristes arrêtent de voyager en Europe ce sera une saignée très sévère à l’industrie du tourisme européenne. Ils penseront qu’il s’agit d’une conséquence de leurs sanctions économiques et non le résultat de notre stupidité. Il y a une très forte disposition à restaurer les relations économiques avec la Russie, peu importe que cette dernière ait tort ou raison.

C’est ce qui s’est passé à Milan récemment. Notre délégation d’hommes d’affaires, après des négociations difficiles et pas très fructueuses, cherchait un restaurant authentique, où les italiens mangent tous les jours. Ils l’ont trouvé et ont pénétré à l’intérieur. Il y a eu un moment de silence car tous les nouveaux arrivants étaient en costume. Qui étaient-ils ? Il s’agissait d’un restaurant de quartier. Le personnel de la délégation avait décidé de se détendre, demandant si par hasard il y avait de la vodka russe. On leur a demandé : vous êtes probablement russes ? Oui, nous sommes russes. Chuchotements. La vodka est apparue. Après cinq minutes de chuchotements, les clients italiens se sont levés et ont applaudi. Puis ils ont crié : « Poutine ! Russie ! » Cela a duré environ cinq minutes.Puis chacun est retourné à ses affaires, pour ne pas déranger les hommes d’affaire russes. Cela aurait été inimaginable une année ou deux auparavant. Les gens ont le sentiment en Europe que leurs dirigeants les ont vendu aux américains. Cela n’était jamais arrivé auparavant. Enfin presque. Peut-être dans les années 50.

La démocratie, même pervertie, est encore préservée, et cette pression populaire se fait ressentir sur le pouvoir. Et le projet américain de séparer la Russie de l’Europe, n’est pas encore réalisé. L’Europe ne veut pas du gaz de schiste américain, plus cher et instable. Elle préfère les gazoducs russes. L’Europe ne veut pas abandonner le marché russe pour y écouler ses voitures et son vin. Elle ne souhaite pas détruire ses relations commerciales. Le coup monté du Boeing malaisien a échoué, rien n’en est sorti de compromettant pour la Russie. Maintenant les anglais affirment pouvoir démontrer que les impacts sur les fragments du Boeing correspondent à des impacts de missile Buk. Mais personne ne croit plus ces affirmations. Car tout le monde se souvient comment l’hystérie anti-russe s’est calmée lorsque le gouvernement de Russie a commencé à poser des questions sur cette affaire. Cela s’est arrêté immédiatement. Et c’était une réponse sur les véritables responsables de la destruction du Boeing.

La suite va venir. Il y aura une autre provocation. Et quelle pourra t-elle être ? Nous avons certaines informations à ce sujet. La première information vient de Kharkov. Et je n’étais pas très incliné à la prendre au sérieux parce que l’Ukraine est engagée dans un phénomène de psychose de masse et est saturée de rumeurs. Mais une confirmation est venue directement. J’espère vraiment qu’il s’agit d’un fake, de propagande. Mais vous savez, mieux vaut prévenir que guérir. L’information serait que l’armée ukrainienne va lancer une offensive. Ils n’en ont cependant pas les capacités et le niveau de démoralisation est monstrueux. Cependant, ils prétendent attaquer. Les soldats opérationnels préparent un pilonnage d’artillerie massif.

Tous les médias occidentaux, sans mentionner les médias ukrainiens, parlent à l’unisson de la libération de 300 m2 de l’aéroport de Donetsk, par exemple. Après cela, une arme nucléaire tactique explosera dans la zone de l’offensive de l’armée ukrainienne. Tout le monde condamnerait donc l’usage d’une arme nucléaire par les horribles russes. Les discussions sur la réorientation de notre doctrine militaire tournent autour de ce point. L’intelligentsia libérale pousse déjà des hurlements à ce sujet. Une telle accusation sera extrêmement difficile à démentir. Même si notre armée n’est pas capable d’un tel acte, même théoriquement. Pourtant cela semblerait tout à fait plausible pour les américains car tous les cas d’usage d’armes nucléaires dans l’histoire sont de leur fait. Utiliser une arme nucléaire pour la troisième fois ne leur poserait pas de problème.

Il y a des rapports sur le formidable port estonien de Padiski, un ancien état balte, qui est maintenant un grand entrepôt de déchets radioactifs pour toute l’Estonie et même probablement pour d’autres états. Du vieux matériel médical de radiographie et d’autres choses du même genre. Et là, l’OTAN a fait accoster un cargo radioactif, mais il ne s’agit pas de matériel usagé destiné à la poubelle. Les déchets radioactifs sont juste utilisés comme couverture. Il y a également quelques autres histoires étranges. Par exemple, des experts de compagnies militaires privées sont arrivés au début du conflit. Un de ces experts (son nom est connu) a été placé en isolement à cause des radiations. Apparemment il en serait mort. L’histoire à propos du père des armes chimiques est un peu différente mais l’homme qui créa les armes chimiques sous Saddam Hussein vint aux négociations avec des représentants de l’Union Européenne à Kiev et il fut assassiné. Comment les démocraties y prêteraient-elles attention ? Mais ce genre d’incident est très troublant.

Le schéma est le suivant : comme nous avons été incapables de convaincre quiconque que le Boeing malaisien a été détruit par les animaux russes nous allons expliquer aux gens que les barbares russes ont utilisé une arme nucléaire contre l’armée ukrainienne sans défense.

Chelyshev:

- Avez-vous des informations sur la manière dont cette arme nucléaire allait être mise en action dans la zone de l’armée ukrainienne ?

Delyagin:

- Non. Je ne suis pas l’autorité compétente. En principe, cela pourrait être un missile de croisière qui pourrait être lancé d’assez loin et voler à basse altitude, selon les spécialistes. Cela pourrait être la commande.

Chelyshev:

– Est-ce que le script est connu ?

Delyagin:

– C’est très simple. Ils ont tous commencé à affirmer, comme nous l’avons vu dans l’affaire du Boeing de la malaysian airlines, que Poutine est personnellement responsable. Actuellement dans la fédération de Russie, aucun général ni aucun sombre idiot ne peut déployer une arme nucléaire tactique sans ordre direct du commandant suprême. Toute l’intelligentsia libérale s’est donc mise à s’excuser auprès de l’occident pour son régime criminel et méprisable. Cela a commencé avec l’affaire du Boeing malaisien. Ensuite le régime a été déclaré criminel, les relations ont été coupées incluant les transactions bancaires. Et parmi les hommes politiques européens il n’y a personne pour dire, même pas parmi les français ou les allemands : écoutez, il s’est certainement passé quelque chose de très grave, mais nous continuerons à acheter leur gaz parce que c’est avantageux. Parce qu’on va leur montrer des enfants ukrainiens brûlés par les radiations. Et ce ne sera pas comme pour Hiroshima ou Nagasaki, car les américains étaient les vainqueurs. Nous serons les perdants. C’est la différence. Les médias de masse sont étroitement contrôlés par les américains. Je pense que Russia Today sera interdite de diffusion dans tous les pays occidentaux et au Japon, et dans tous les pays qui veulent maintenir des relations commerciales avec les états-unis et le Japon. C’est très possible, bien que cela semble théoriquement impossible, étant donné le cynisme infini de « notre » Amérique.

Etant donné cela, Obama, s’il n’est pas un coq boiteux, est de toute manière un canard boiteux dans la classification américaine. Le parlement lui est hostile. Son pouvoir est très limité. Il a besoin de faire quelque chose pour survivre et ne pas être dévoré morceau par morceau. Il doit changer radicalement la situation. Poroshenko est dans une situation similaire. Il a essayé de changer radicalement la situation le 1er novembre. Il a voulu lancer une grande attaque frontale. La milice, autant que je peux en dire, connaissait ce plan à l’avance. Donc une préparation d’artillerie a été menée, et dans certains cas il ne restait plus personne pour attaquer. Un mini Koursk s’est produit. Il est impopulaire de parler de cela ici comme en Ukraine ou à l’ouest. La même chose est arrivée aux forces spéciales géorgiennes pendant la guerre de 2008. Personne n’aime le rappeler. Mais cette provocation peut avoir de terribles conséquences, pas seulement pour l’histoire de la Russie, pas seulement pour l’Europe, mais pour l’humanité entière. J’insiste: j’étais très fier de cette opération. Je maintiens qu’ils ont essayé d’allumer une troisième guerre mondiale en Ukraine mais que cela n’a pas fonctionné parce que le tas de bois était humide. Des gens qui se battent là bas et sont morts ont été offensés. Mais dans la perspective d’une troisième guerre mondiale il est vrai que le tas de bois était humide. Il ne s’agit pas de l’état islamique.

Mais soudain il y a une nouvelle perspective d’allumer une telle guerre. Car il s’agit d’un crime absolu, et qu’il n’y aura aucune preuve. Il ne s’agit pas d’un Boeing malaisien avec trois tonnes de fret et tout le monde tournant autour de l’épave en prenant des photos. Il n’y aura rien à photographier. Et prouver que nous ne sommes pas responsables sera impossible.

Des représentants occidentaux se faisant passer pour des journalistes russes font le siège de Donetsk en cherchant des preuves de l’implication militaire de la Russie. Nous les connaissons. De super professionnels et en même temps des gens absolument débiles. Ils n’ont aucune prudence et ne savent pas quoi chercher. Ils sont restés là-bas pendant les mois où les hostilités étaient les plus intenses et n’ont rien trouvé. Mais ce n’est pas une preuve pour eux ni pour personne. Ils ont dit : nous n’avons rien vu mais nous savons que des militaires russes étaient sur le terrain. Personne ne se soucie de la réalité. Ils inventèrent le mythe que la Russie est responsable de la guerre civile en Ukraine et ils travaillent sur la base de ce mythe. Ils imposent des sanctions le lendemain d’un accord de paix obtenu par la Russie. Ils violent cet accord, bombardent les villes, menaçant de provoquer un génocide au début de l’hiver. Et c’est la faute de la Russie, c’est normal.

Mais quand ce mythe prend appui sur l’explosion d’une arme nucléaire tactique il sera impossible de nous défendre. Etant donné les proportions qu’a prise la propagande libérale en Russie. Etant donné la bêtise de la propagande libérale en Russie. Etant donné l’influence des institutions libérales sur les autorités d’état. Etant donné le peu de poids des gens qui aiment la Russie comparés aux libéraux. Ce sera une situation catastrophique. Et malheureusement cela risque d’arriver très prochainement, à la mi-décembre. Car pour un plus grand impact émotionnel cela doit se produire un jour férié. Je peux peut-être me tromper sur certains détails, car il s’agit de données indirectes. Je n’étais pas dans le secret des préparatifs, je n’ai pas d’agents à ma solde pour vous apporter des preuves. De plus, je fais souvent des erreurs concernant les dates. Je pensais qu’une opération serait montée par les nazis ukrainiens pour l’ouverture des jeux olympiques et c’est arrivé le dernier jour. J’ai commis une erreur, cela arrive…

Source : FortRuss.blogspot.fr

Traduction Ender pour les moutons enragés

Alerte: La radiation de Fukushima a augmenté de 50 000 % en un an !

mercredi 17 décembre 2014 à 18:01
Alerte: La radiation de Fukushima a augmenté de 50 000 % en un an !

(NaturalNews) Les niveaux de radiations Beta arrivent à des sommets dans les sites de surveillance dans toute l’Amérique du Nord, selon de nouveaux rapports. Mais les experts blâment ces pics de rayonnement sur ​​pratiquement tout, sauf sur Fukushima. 

Les données recueillies auprès des unités de détection en Californie, Arizona, Illinois et ailleurs révèlent des niveaux de rayonnement jusqu’à 50 000% supérieurs par rapport à ce qui a été observé à la même période l’an dernier, et dans certains cas par rapport aux niveaux observés l’été dernier.

EnviroReporter.com révèle que les sites touchés sont dispersés dans tout le pays et ne se limitent pas qu’à la côte Ouest. Des résultats près de Los Angeles; Chicago; Montgomery, Alabama; et Madison, Wisconsin, révèlent des niveaux de radiation beta (CPM) dépassant largement le seuil de 100 CPM considéré par le gouvernement comme étant problématique.

A Tucson, en Arizona, par exemple, un relevé de 460 CPM a récemment été enregistré, ce qui est plus de 10 fois plus élevé que la relevé de l’année dernière, le 27 Novembre. De même, à Phoenix dans l’Arizona, on retrouve un résultat de 735 CPM ce qui est 21 fois plus élevé que le résultat de l’an dernier.

San Diego semble être l’une des zones les plus touchées, avec un résultat 650 CPM le 1 Octobre. Ce chiffre est 60 fois plus élevé qu’il ne l’était l’année dernière à la même date, en dépit du fait que le taux de rayonnement de San Diego stagne généralement autour de 20 CPM.

« L’agence de protection environnementale américaine RadNet a détecté des pics de dangereux rayonnements beta atmosphériques à travers le pays », explique EnviroReporter.com sur ce phénomène inexplicable.


« Plus d’une douzaine de sites de tests métropolitains ont enregistré des pics sur quatre mois lors de l’évaluation globale la plus récente de EnviroReporter.com ».

Le site de monitoring près de Chicago enregistre des niveaux de rayonnement des milliers de fois plus élevé que le seuil de sécurité maximale.

Commentant la situation, un lecteur d’EnviroReporter.com a offert sa propre analyse considérant que ces relevés sont « astronomiquement élevés. » Il n’a pas tardé à dénoncer Fukushima comme une cause possible, ajoutant cependant que ce ne serait possible que si « quelque chose avait radicalement changé. »

En tout cas, les niveaux de rayonnement détectés sont encore une cause majeure de préoccupation. Tout ce qui dépasse 100 CPM est considéré par la California Highway Patrol (CHP) comme étant une situation potentielle de matières dangereuses nécessitant le déploiement de protocoles adaptés (hazmat).

Sur un site de tests à St. Charles, Illinois, situé juste à l’ouest de Chicago, un pic récent de 7298 CPM a attiré l’attention de certains militants écologistes, qui ont réprimandé les médias qui gardent le silence sur la question. Cette lecture représente une augmentation du rayonnement de près de 7300 % au-delà du seuil de sécurité du CHP. Ce site a apparemment connu une série de pics massifs de rayonnement commençant à environ 01h00 et durant au moins six heures.

En Californie, les autorités accusent les ustensiles en plastique alimentaire de ce pic de rayonnement et insiste que ce ne peut pas être Fukushima

En Californie, les fonctionnaires du comté de San Mateo ont enregistré des niveaux de 100 micro-REM par heure de rayonnement sur ​​une plage locale, soit 1 microsievert par heure, ce qui est cinq fois la quantité normale. Selon le « Half Moon Bay review », le directeur de la santé environnementale locale Dean Peterson n’a pas tardé à dénoncer que ce niveau présentait un risque pour la santé humaine.

Lorsqu’on lui a demandé d’ou pouvaient venir les rayonnements, Peterson a admis qu’il était très étonné, mais a également nié que Fukushima pouvait être une cause. Au lieu de cela, dit-il, cela peut être dû à un excès d’utilisation d’ustensiles alimentaires jetables polluant la région (Ndt: elle est bien trouvée celle là…). « Je pense honnêtement que le résultat final de ceci est que ce sont seulement des niveaux élevés de rayonnement de fond », a déclaré Peterson au « Half Moon Bay review », ajoutant que les ustensiles jetables peuvent également contribuer au rayonnement localisé.

Note Fawkes:

Natural News ne le précise pas explicitement dans son article mais les derniers relevés de l’eau au niveau du réacteur 2 de Fukushima indiquent que les niveaux de Strontium-90 sont passés de 2.1 Bq/litre le 22 Novembre 2013 à 990 000 Bq/litre le 02 Octobre 2014. Ce niveau a donc été multiplié par 470 000 en un an…

Source: Naturalnews

Traduction+Nombreux graphiques sur Fawkes News

Moïse n'a jamais ouvert les eaux de la mer rouge ? Expliation scientifique

mercredi 17 décembre 2014 à 11:40
Moïse n'a jamais ouvert les eaux de la mer rouge ? Expliation scientifique

Une étude scientifique propose une explication au miracle de la mer Rouge décrit dans le livre biblique de l’Exode. Selon les conclusions, le phénomène de la séparation des eaux pourrait être lié à l’intervention d’un fort vent d’Est.

Pour les non-croyants, les miracles décrits dans la Bible sont de l’ordre de la fiction ou de la métaphore. Pour Carl Drews et son équipe, en revanche, l’un de ces prodiges se serait bien réellement passé. Le chercheur s’attèle en effet depuis des années à l’étude de la division des eaux de la mer Rouge survenue lors de l'épisode de la sortie d’Égypte et décrite dans le livre biblique de l’Exode.

 

Selon ses conclusions, le phénomène pourrait bel et bien être explicable grâce aux lois de la physique. Pour en arriver là, le chercheur en ingénierie informatique a mené de nombreux travaux qui ont débuté il y a longtemps alors qu'il était encore étudiant en master et œuvrait à sa thèse de fin d’étude. Par la suite, le modèle scientifique mis au point par ses soins a été révisé et peaufiné.

Les résultats qui en découlent ont d’ailleurs fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique. Si la capacité de Moïse à diviser les eaux de la mer Rouge peut être remise en question, l'évènement lui, aurait donc bien pu se produire, grâce à des conditions météorologiques très particulières. 

 

Un vent très puissant

 

Les conclusions de l’étude de Carl Drews suggèrent la possibilité qu’un fort vent d’est pourrait être à l’origine du phénomène. C’est cette violente bourrasque survenue durant toute la nuit de la sortie d’Égypte qui pourrait avoir conduit à faire reculer les flots. "Les simulations collent assez étroitement au récit de l'Exode", déclarait il y a quelques années, Carl Drews qui travaille au National Center for Atmospheric Research (NCAR). 

 

 "La division des eaux peut être comprise grâce à la dynamique des fluides. Le vent s'est déplacé dans l'eau d'une façon qui s'accorde avec les lois physiques, créant un passage sûr avec de l'eau des deux côtés et permettant ensuite brusquement à l'eau de revenir à toute vitesse", a-t-il poursuivi.

 

Toutefois, la scène n'aurait pas été aussi spectaculaire que les films veulent nous le faire croire. D'ailleurs, ça ne se serait même pas passé dans la Mer Rouge, comme le veut le récit biblique. Celle-ci étant bien trop vaste, le phénomène des vents n'aurait pas pu avoir l'impact escompté.

 

Dans les eaux du lac Tanis

 

Selon les hypothèses émises par les chercheurs, ce serait les eaux du lac de Tanis, situé à l’Est du delta du Nil, qui auraient fait l’objet de l'étonnante division. Ces conclusions se basent sur de nombreuses données archéologiques et sur des simulations informatiques prenant en compte les interactions entre vents et eaux. 



 

Il est ainsi possible qu’un vent, poussant les eaux du lac dans la même direction, soit parvenu à créer un passage à sec temporaire permettant même la traversée à sec du plan d’eau. Dans les textes religieux, Moïse et les Hébreux seraient passés à pied grâce au couloir tandis que les soldats du pharaon, lancés à leur poursuite, se seraient fait engloutir pas les eaux.

 

Dans leur étude publiée en 2010, dans la revue PLoS ONE, Carl Drews et ses collègues vont même plus loin dans les hypothèses : le modèle montre qu'un vent de 101 km/h, soufflant durant 12 heures, pourraient avoir écarté les flots, créant un passage de 3-4 kilomètres de long pour une largeur de 5 kilomètres. Un couloir qui serait resté ouvert durant 4 heures.  

 

Un débat relancé par Hollywood

 

Si l'hypothèse de Carl Drews peut étonner, selon le Washington Post, il n’a rien d’un illuminé. Il fait partie de ces "nombreux chrétiens qui acceptent la théorie scientifique de l’évolution", explique le quotidien. Pour lui, ses croyances religieuses n’influencent pas ses convictions scientifiques. Une perspective qui lui vaut le respect de ses pairs et le soutien du centre au sein duquel il travaille.

 

Alors que le film Exodus de Ridley Scott s'apprête à sortir en salles, le débat sur la véracité de la séparation de la mer Rouge a été relancé et les travaux de Carl Drews remis sur le devant de la scène. "Les gens ont toujours été fascinés par l'histoire de l'Exode, se demandant si cela provenait de faits historiques", expliquait le chercheur repris par ABC News.

 

"Ce que nos travaux montrent, c'est que la description de la séparation des eaux a bien une explication dans les lois de la physique".

http://www.maxisciences.com/exode/ecarter-la-mer-rouge-et-si-la-science-pouvait-expliquer-le-039-039-miracle-039-039-de-moise_art34003.html

"Se faire violer en état d'ébriété est une expérience d'apprentissage"

mercredi 17 décembre 2014 à 11:06
"Se faire violer en état d'ébriété est une expérience d'apprentissage"

"Se faire violer en état d'ébriété est une expérience d'apprentissage." Voilà ce qu'a déclaré Susan Patton, auteur, sur CNN en évoquant la vague d'agressions sexuelles en hausse sur les campus américains. Elle a estimé que le viol était le plus souvent "un mélodrame qui provient d'une drague un peu maladroite".

"Ce ne sont plus des viols avec la menace d'un flingue ou d'un couteau. Il y a viol et viol. Je crois qu'il s'agit surtout de femmes qui ont beaucoup bu et qui couchent avec un homme, une relation qu'elles regrettent le lendemain. Pour moi, ce n'est pas un crime, ce n'est pas un viol. C'est une expérience d'apprentissage." 

Selon elle, les femmes doivent être "intelligentes" et apprendre à limiter leur consommation d'alcool pour s'extirper de situations dans lesquelles elles se sentent mal à l'aise.

Ce débat n'est pas passée inaperçu. Les twittos s'énervent: "Ces commentaires sont dégoûtants".

Susan Patton s'est déjà fait remarquer par le passé. Elle pousse les adolescentes à avoir recours à la chirurgie esthétique et estime que les étudiantes devraient plutôt se trouver un mari avant d'être diplômées.

 

Source

Chapeau ! Un PDG du CAC touche en moyenne 570000€ par an en plus de sa retraite

mercredi 17 décembre 2014 à 09:39
Chapeau ! Un PDG du CAC touche en moyenne 570000€ par an en plus de sa retraite
Chapeau ! Un PDG du CAC touche en moyenne 570000€ par an en plus de sa retraite

Trente patrons exécutifs du CAC 40 bénéficient d’un régime de retraites supplémentaires à prestations définies. Cette rente allouée par les entreprises leur assure une somme de 570.000 euros en moyenne par an, qui vient s’ajouter à la pension du régime obligatoire. Mais tous ne sont pas logés à la même enseigne. Cette retraite chapeau dépend du régime en vigueur dans l’entreprise, et de l’ancienneté du patron. Ce régime ne concerne pas que les patrons du CAC 40. La plupart du temps, il est mis en place pour l’ensemble du comité exécutif voire davantage.

L’ancienneté récompensée

Les retraites supplémentaires les plus élevées bénéficient la plupart du temps à des patrons qui font partie de l’entreprise depuis longtemps et qui ont contribué à façonner le groupe qu’ils dirigent. Franck Riboud, fils d’Antoine Riboud, est entré en 1980 chez Danone, après ses études. Henri de Castries a rejoint AXA en 1989. Paul Hermelin a commencé à travailler pour Capgemini en 1993. Bruno Lafont a commencé sa carrière chez Lafarge en 1983 comme auditeur interne à la direction financière. Jean-Paul Agon est entré en 1978 à sa sortie d’HEC chez L’Oréal. Jean-Pascal Tricoire a été salarié de Schneider dès 1988, deux ans après son MBA d’EM Lyon.

 

Si le patron part avant sa retraite, il perd tout

Les mandataires sociaux n’ont plus de contrat de travail. Du coup, les sommes provisionnées sont élevées. D’autant que le versement des rentes est souvent conditionné à la présence du dirigeant dans le groupe lors de son départ à la retraite. S’il part avant, il perd tout. C’est le cas de Christopher Viehbacher, contraint à la démission chez Sanofi. Il ne percevra pas les 499.932 euros qu’il aurait pu toucher. Evincé en avril 2013, Denis Hennequin, l’ancien patron d’ Accor ne touche pas non plus sa retraite chapeau. Ces risques expliquent pourquoi le dirigeant débauché se voit souvent octroyer d’office à son arrivée plusieurs années d’ancienneté. Quand Christopher Viehbacher a démissionné de GSK pour Sanofi,le laboratoire pharmaceutique lui a reconnu dix ans d’ancienneté. Pour Jacques Aschenbroich, directeur général de Valeo en 2009, après vingt ans chez Saint- Gobain, le conseil lui a reconnu dès le départ une ancienneté de cinq ans, «  compte tenu de son âge et sachant qu’il ne bénéficiait d’aucune retraite supplémentaire ». Chez Carrefour, le groupe reconnaît une ancienneté aux personnes nouvellement embauchées à partir de 45 ans. Elle est plafonnée à dix ans.

Conformité avec le code Afep Medef

Le code de gouvernance Afep-Medef est presque toujours respecté. La retraite chapeau ne peut dépasser 45 % du revenu de référence (rémunérations fixes et variables). Airbus y déroge, mais comme le groupe est basé à Amsterdam, il n’a pas à le respecter. Selon le document de référence de Danone, la retraite supplémentaire de Franck Riboud pourrait lui procurer un montant égal à 64 % de sa rémunération. Pourtant, Danone est en ligne avec le code, car ce régime, datant des années 1970 quand cette pratique favorisait les carrières complètes dans une même entreprise était encouragée par les pouvoirs publics, a été fermé à tout nouveau bénéficiaire fin 2003. Or, la limite des 45 % ne concerne pas les plans de retraite fermés aux nouveaux bénéficiaires.

Le débat entre dans l’entreprise

Certains groupes ont proposé de réformer les systèmes en place pour éviter la polémique. Ainsi, à l’initiative de Gilles Schnepp, Legrand devrait revoir cette année son régime de retraite et le rendre moins favorable aux dirigeants. Gilles Schnepp percevra finalement moins que la somme estimée fin 2013. Chez Veolia Environnement, Antoine Frérot a renoncé cet été à son avantage. Il aurait dû toucher une rente de 30.000 euros par an. Mais, en juin 2014, le conseil a décidé, à sa demande, de fermer ce type de régime.

Ceux qui n’en ont pas

Stéphane Richard chez Orange s’est prononcé contre ce régime. Chez Publicis, aucun membre du directoire n’en bénéficie. Maurice Lévy n’y a pas droit, mais, il touchera pendant les trois ans après la cessation de ses fonctions, 5,4 millions d’euros en contrepartie d’un engagement de non concurrence. Christophe Cuvillier, d’Unibail, n’a pas non plus de plan de retraite à prestations ­définies. Mais il avait touché, pour la seule année 2013, 200.000 euros, présenté par le groupe comme équivalent à « une retraite à cotisations définies et une contribution additionnelle à réinvestir ». Frédéric Oudéa n’a pas droit à une retraite chapeau, mais un complément de rémunération (300.000 euros par an) lui a été accordé quand il a rompu son contrat de travail avec la Société Générale pour être mandataire social. Enfin, Henri Proglio n’en touchera pas au titre d’EDF, mais il reçoit déjà 720.000 euros par an au titre de sa carrière chez Veolia. Cette somme a été reversée à la Fondation de France.


 http://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/0203999972618-la-fidelite-a-lentreprise-recompensee-pour-les-patrons-du-cac-40-1075361.php?KPX8lqIPlaI7gAfK.99#Xtor=AD-6000