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Canada: Contrairement à Angoulême, des bancs pensés pour les sans-abris

vendredi 26 décembre 2014 à 07:59
Canada: Contrairement à Angoulême, des bancs pensés pour les sans-abris

Contrairement à la ville d'Angoulême qui a mis sous cage ses bancs publics, par ailleurs, des cages déjà retirées soi-disant par sécurité, mais en réalité, sous le taulé qu''elles ont engendré, certaines villes pensent tout à l'inverse au bien-être de leurs sans domicile fixe.. Notons que si le maire d'Angoulême n'aime pas les sans-abris, il a bien aimé s'augmenter de 62%.

 

***

 

L’automne dernier à Vancouver, au Canada, une association a mis en place des bancs spécialement conçus pour les sans-abri. L’initiative fait enfin parler d’elle.

Septembre 2013 : l’organisme à but non lucratif Raincity Housing, en collaboration avec l’agence de pub Spring Advertising, installe des bancs destinés aux sans-abri dans la ville de Vancouver. Ces refuges temporaires, modulables pour certains, permettent à ceux qui n’ont pas de toit d’au moins se protéger de la pluie.

Sur les bancs, des messages imprimés pour permettre aux sans-abri de prendre contact avec l’association et espérer trouver mieux qu’une simple planche en bois. Ici, l’organisme indique l’adresse de son centre d’hébergement.

"Trouvez un abri ici" – "Trouvez un domicile ici : 191 Alexander street"

“Trouvez un abri ici” – “Trouvez un domicile ici : 191 Alexander street”

Le modèle ci-dessous, non modulable, affiche “Ceci est un banc” le jour et “Ceci est une chambre” la nuit. En bas, on peut lire : “Un endroit qu’on appelle maison devrait vraiment en être une”, avec l’adresse du site d’hébergement de Raincity.

RainCity-Housing-Bench-2

En place pendant deux mois, ces bancs étaient passés inaperçus lorsqu’ils étaient encore dans la rue. Paradoxalement, depuis qu’ils ont été retirés, ils commencent à faire parler d’eux outre-Atlantique. Et si cette initiative fait en ce moment la Une des médias –notamment Britanniques (The Daily Telegraph et The Independent), c’est parce qu’elle contraste avec une autre action beaucoup moins positive.

Le scandale des pics anti-SDF

On a l’habitude de voir fleurir des installations anti-SDF un peu partout sur nos trottoirs, que ce soit sous la forme de galets scellés dans le sol, d’accoudoirs délimitant les places sur les bancs, ou encore de mini-poteaux au semblant esthétique mais ne servant à rien en réalité, si ce n’est d’exclure quiconque souhaiterait trouver une place pour se poser. Certains de ces dispositifs ont créé la polémique.

En juin dernier, à Londres, des pics en fer avaient été disposés sur le sol. Le 4 juin, Andrew Horton, habitant de Woking dans le Surrey, a pris cette photo dans la capitale britannique en allant au travail, relayée des dizaines de milliers de fois :

Selon des habitants de l’immeuble, l’endroit était couramment investi par les SDF, jusqu’à ce que les pointes soient posées pour les dissuader de s’y installer. Cette action déplorable – qu’on peut aussi retrouver en France – a provoqué une indignation générale. Une pétition a été lancée sur Internet pour demander le retrait de cette installation.

Boris Johnson, le maire de Londres, a également exprimé sa colère, qualifiant les pointes de “laides et stupides”.

Les pics à l’extérieur des immeubles de Southwark pour dissuader les sans-abri d’y dormir sont laides, contre-productives et stupides. Le promoteur devrait les retirer dès que possible.

Il a été appuyé par le ministre du Logement, Kris Hopkins, qui a jugé l’initiative du promoteur immobilier en question “déplorable“ et a demandé que les pointes soient retirées : “Je ne sais pas quel architecte qui se respecte voudrait être associé avec une initiative aussi offensante”.

Dans la foulée, beaucoup d’aménagements anti-SDF ont été retirés, par leurs propriétaires ou par des citoyens en colère. Une colère qui pourrait être apaisée si davantage d’initiatives comme celle des bancs pour sans-abri voyaient le jour.

 

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Exclusif : le montant de vos impôts en accès libre sur Internet pour vos concurrents, adversaires politiques… et tous les escrocs

vendredi 26 décembre 2014 à 07:51
Exclusif : le montant de vos impôts en accès libre sur Internet pour vos concurrents, adversaires politiques… et tous les escrocs

L'information révélée par Toutsurlesimpots.com, qui a soigneusement consulté le Journal Officiel du 8 octobre dernier, fait l'effet d'une bombe. Désormais, un organisme versant des prestations sociales comme la CAF, mais aussi une banque ou même... un bailleur peut accèder à votre avis d'imposition le plus simplement du monde sur Internet. Comment ? En consultant le fichier du SVAIR, le "service de vérification de l'impôt sur le revenu".

Ce service est destiné à lutter contre la fraude aux documents et déjà accessible sur le site desImpots.gouv.fr, mais suscite la polémique. En effet, pour consulter le fichier du SVAIR, il suffit de connaître le numéro fiscal et l'avis de référence de l'impôt, deux informations qui figurent sur la première page... de votre avis d'imposition. L'idée, bien entendu, est de permettre à tout ceux qui demandent déjà ces documents  (souvent, une photocopie avec l'original à côté) pour étudier des droits, monter un dossier de crédit, louer un logement, de vérifier que ceux-ci n'ont pas été falsifiés.

L'avis d'imposition en accès libre

Mais le problème soulevé d'ailleurs par CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés), dans un avis du 12 septembre dernier paru au Journal Officiel plus d'un mois après, le 15 octobre, c'est que l'accès de ces données sur Internet n'est pas assez sécurisé. La rédaction d'Economie Matin a procédé au test auprès de deux "Centres des Finances Publiques". Prétendant n'avoir pas reçu "notre" avis d'imposition, nous avons pu obtenir par téléphone le numéro d'identifiant fiscal et le numéro de l'avis en déclinant simplement "notre" identité (en l'occurence, celle de deux collaborateurs d'EconomieMatin.fr). Ce qui veut dire que toute personne mal intentionnée (voisin, adversaire politique, escroc) peut désormais facilement connaître le montant déclaré et les impôts de tout un chacun !

La CNIL s'en étonne sobrement dans son avis "Il s'ensuit que toute personne disposant de ces deux numéros pourra accéder directement à SVAIR" écrit-elle.  Rentrant dans le détail technique du service, la CNIL pointe du doigt plus précisément le danger : " les données de connexion font l'objet d'une journalisation se traduisant par la conservation pour chaque connexion des dates, heures et, a priori, de l'adresse IP, la requête effectuée (c'est-à-dire la commande informatique lancée depuis un formulaire vers le serveur quand un usager a fini de remplir le formulaire et clique sur « envoyer » par exemple), le système d'exploitation et le navigateur. Ces données ne permettent donc pas de connaître directement l'auteur des requêtes.
La connexion se fait soit à partir du site www.impots.gouv.fr, soit à partir du site collectivites-locales.gouv.fr, mais, aucune identification n'étant exigée de la part des organismes, toute personne disposant des deux identifiants requis peut effectuer cette consultation."


Sécurité des données personnelles : La CNIL tire le signal d'alarme

La CNIL s'émeut en plus du fait que le ministère de l'Economie et des Finances n'a pas attendu l'avis de la CNIL pour mettre en ligne le service, "contrevenant ainsi aux dispositions susvisées de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978". Autrement dit, le service devait d'abord être agréé par la CNIL, autorité administrative indépendante, avant de démarrer...

L'histoire ne dit pas si la CNIL saisira la Justice ou pourquoi pas le défenseur des droits, Dominique Baudis, mais en attendant elle insiste sur le fait que "ce type de traitement engendre nécessairement des risques pour la vie privée des contribuables, d'autant plus que l'identification des personnes ayant recours à SVAIR n'est pas assurée"

La CNIL propose que tout ceux qui consultent le service de vérification des avis d'impôt sur le revenu "s'identifient au préalable ou se connectent par l'intermédiaire de leur espace en ligne, ce qui donnerait un sens à la conservation des données de connexion". 

 


En pleine polémique sur le "matraquage fiscal" dixit Michel Sapin, et la transparence du patrimoine et des revenus des hommes politiques, l'accès quasi libre de tout un chacun aux avis d'imposition de quelques 38 millions de foyers fiscaux risque de renforcer un peu plus, si c'était possible, l'aversion aux impôts et à ceux qui décident de ses taux et assiettes... 

 

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Philippines : 10 ans après, les enfants orphelins du tourisme sexuel

vendredi 26 décembre 2014 à 07:36
Philippines : 10 ans après, les enfants orphelins du tourisme sexuel
Le Las Vegas, un des nombreux clubs du quartier chaud d’Angeles City. Près de 12000 femmes travaillent dans ces établissements, dont les propriétaires sont le plus souvent étrangers : américains, australiens, allemands, et plus récemment coréens et japonais
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« Papa est parti » est une série de photographies sur les enfants nés du tourisme sexuel aux Philippines.

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Philippines

A 80 kilomètres au nord de Manille, Angeles City est connue pour ses lieux de prostitution. Jusqu’en 1991, la ville abritait la base aérienne de Clark, la plus grande de l’US Air Force hors des Etats-Unis. C’est elle qui a généré l’apparition de nombreux bordels et bars à strip-tease, faisant de la ville une des destinations favorites des touristes sexuels qui visitent le pays. Aujourd’hui, les femmes sont quelque 12000 à travailler dans les établissements bordant Fields Avenue. Contrairement à ce qui se passe en Thaïlande, les clients aux Philippines cherchent une « expérience de relation », qui peut durer quelques semaines ou quelques mois.

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Vue typique d’un quartier de la banlieue d’Angeles City. La plupart des travailleuses du sexe vivent dans ce genre d’environnement

Chaque année, des milliers d’enfants naissent de ces relations tarifées. Les pères, qu’ils soient américains, australiens, britanniques, allemands, suisses, coréens ou japonais, abandonnent souvent leur progéniture. Dans ce pays très catholique, l’avortement est considéré comme un crime. Ces enfants grandissent donc comme ils peuvent, à la recherche de leur identité.

Les photos ont été prises à Angeles City en août 2014.

Textes et images : Stéphanie BORCARD et Nicolas METRAUX

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Salon de misère, dans le quartier de Capaya


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« Dieu bénisse notre maison ». La foi catholique est très forte aux Philippines et elle interdit l’avortement. Il n’est pas rare de voir des femmes avec cinq enfants philippins et un métis. Ceux-ci sont souvent nommés « Tisoy », dans la langue locale, un mot qui vient de l’espagnol et n’a pas de connotation péjorative

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Mitch, 28 ans, enceinte de cinq mois d’un étranger inconnu. Elle travaille comme hôtesse sur Fields Avenue pour faire vivre ses deux enfants

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Kayla Jolie, six ans. Son père, un Irlandais l’a soutenue financièrement, ainsi que sa mère, pendant dix mois avant de disparaître. Sans donner de nouvelles

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Mary Lerace, 16 ans. Elle n’a jamais rencontré son père, qui est suisse. Mais elle connaît son nom. Elle avait une photo de lui, mais le climat humide a fini par la détruire. Elle a grandi avec sa tante

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Princess Ann, un an. Son père a la soixantaine, il est venu d’Espagne et a passé une semaine en touriste à Angeles City. Il ne sait même pas qu’il y a une fille

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Mark Anthony, 29 ans. Son père, un marine américain latino stationné à Okinawa, était en vacances à Angeles City quand il a eu une relation d’un mois avec Rose. Il lui a demandé d’avorter, mais elle a refusé et depuis qu’il est rentré en Caroline du Nord, elle n’a plus eu de nouvelles de lui. Quand il était à l’école, Mark a souvent été traité de « kabuti » (champignon) ou de « peke » (faux américain). Aujourd’hui, il travaille dans un hôtel à Balibago

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Marilyn, 51 ans, et son fils Curtis, 33 ans. Le père de Curtis, un soldat de l’US Air Force, était basé à Séoul. Il est venu quelques temps en mission à la base de Clark. Il avait 27 ans, et Marilyn seulement 17 quand elle est tombée enceinte. Tout ce qu’elle et Curtis ont de lui, ce sont quelques photos et sa médaille militaire

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Mechelle, 19 ans, travaille dans un bar de Fields Avenue. Elle a vu son père une fois, quand elle avait neuf ans, mais elle ne se souvient plus de son visage. Elle sait juste son prénom et qu’il est médecin à Santa Maria, Californie

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Antonia, 26 ans, tient l’adresse du père de sa fille. Il a la soixantaine, vient d’Espagne et a passé une semaine à Angeles City, comme touriste. Il ne sait pas qu’il y a une fille

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Angelica, 24 ans, et sa fille Azumi Rain, un an, dans l’abri de la Fondation Renew. Le père de la petite est un Allemand qui tient un hôtel à Balibago. Il ne veut pas reconnaître sa fille et refuse de faire un test ADN. Il a coupé tout contact avec Angelica

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Ritchell Bulilan, 29 ans, sait seulement que son père est allemand. Elle cherche sa voie spirituelle et envisage de devenir témoin de Jéhovah

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Benny, trois ans. Son père est australien et le soutient financièrement à raison de 10000 pesos (215 CHF) par mois. La mère de Benny travaille toujours à Fields Avenue

AUTEURS

http://www.interet-general.info/spip.php?article20819

Le groupe Bilderberg et son réseau d'influence qui donne mal à la tête

vendredi 26 décembre 2014 à 06:45
Le groupe Bilderberg et son réseau d'influence qui donne mal à la tête

CaptureCliquez sur l’image pour un gros plan Infographie initialement été trouvée sur le site Fawkes-News

 

 

 

Honteux: Matignon met en ligne un "guide" pour vanter les mérites du gouvernement autour du repas de Noël !

jeudi 25 décembre 2014 à 18:55
Voici la propagande déplacée d'un gouvernement qui s'immisce à nos repas de famille, de FA-MILLE

Voici la propagande déplacée d'un gouvernement qui s'immisce à nos repas de famille, de FA-MILLE

En cas de discussion déviant sur la politique lors de la réunion de famille, le gouvernement avait préparé un kit pour vous aider à répondre à toute éventualité dans les conversations, ou presque… Et bien sur, nombre de sujets étaient présentés puisque le citoyen-mouton est incapable de penser par lui-même et a besoin d’un tel site (dont on se demande encore combien cela a couté…) pour parler de Hollande, ou plutôt, pour défendre la politique de Hollande…

Le concept est simple:

Quand l’actualité nationale arrive sur la table, ne restez pas sans réponse. A chaque fois qu’un sujet est abordé, cliquez sur la case correspondante de notre bingo #RepasDeFamille. Vous accéderez à des informations simples et concises pour casser les idées reçues. Vous avez cliqué sur toutes les cases ? Bravo : vous avez gagné le droit de rejouer !

Parmi les sujets proposés avec des réponses toutes autant fantaisistes qu’orientées:

Les impôts n’arrêtent pas d’augmenter:

Réponse: C’est faux. Il y a eu une augmentation depuis 2010. Mais les choses ont changé. En septembre, l’impôt sur le revenu d’un ménage imposé sur cinq a baissé. Cette année et l’année prochaine, ce sont en tout 9 millions de ménages qui bénéficieront d’une baisse de leur impôt sur le revenu.

La réalité: Doit-on rappeler la taxe inique sur les terrains constructibles non utilisés? 5 euros par mètre carré, ce que beaucoup ne pourront pas payer. Ou encore l’augmentation de 50% de la taxe sur les surfaces commerciales pour 2015. Rien que cela donne tort à la version « officielle » du dessus.

 

La France est foutue, faut se barrer:

Réponse: Je rappelle quand même qu’on est la 5ème puissance économique mondiale, la 1ère destination touristique, le 3ème pays d’accueil d’étudiants étrangers, le meilleur dispositif fiscal pour inciter à l’innovation… 40% des chercheurs du CNRS sont étrangers, nous avons obtenu cette année 2 Prix Nobel et une médaille Fields. Les 1 200 musées français accueillent chaque année 62 millions de visiteurs. Je continue… ? On ne manque pas de raisons d’être #FiersdelaFrance !

 

La réalité: La dette dépasse les 2000 milliards d’euros, 98% de dette du PIB officiellement, les frontières n’ont plus d’existences réelles, le chômage explose, les faillites se multiplient, le nombre de pauvres et de SDF augmente chaque jour, les régions vont être réformées le 1er janvier pour mieux intégrer la France dans l’UE, et elle sera digérée ensuite par le TAFTA!

 

De toute façon c’est l’Europe qui décide:

La réponse: Ce que la France fait, elle le fait d’abord pour elle-même. Par ailleurs, si on veut lutter efficacement contre la crise, il faut coordonner nos efforts en Europe. C’est pour ça que la France défend l’idée d’une baisse de l’euro, d’une relance de la croissance à cette échelle… Et de fait, l’euro baisse, et la Commission européenne vient d’annoncer un plan de relance de 300 milliards d’euros d’investissements. On a besoin de l’Europe, une Europe qui change c’est vrai : et la France se mobilise en ce sens.

La réalité: L’UE décide de 80% des lois nationales, nous ne décidons que des 20% restant à conditions qu’ils n’entravent pas les décisions européennes, le TAFTA, que cela ne touche ni à l’immigration ni à la finance, et que cela nous essore encore plus le portefeuille.

 

« Les politiques, tous pourris »:

La réponse: Voilà une belle caricature ! Mais tu as raison : les responsables politiques ont un devoir d’exemplarité ! C’est pour cela que de nouvelles procédures de transparence ont été mises en place par ce Gouvernement. Elles ont montré leur efficacité.

La réalité: Thévenoud! Cahuzac! Jean-Marie Le Guen! Et les autres! Et l’ensemble qui se veut exemplaire n’est même pas foutu de respecter la constitution le la 5ème république, la constitution actuelle du pays. L’exemplarité? Mon oeil!

 

La France ne peut pas accueillir tout le monde:

La réponse: Alors pour resituer, entre 2004 et 2012, 200 000 immigrés sont entrés chaque année en France. Cela représente 0,3 % de la population annuelle moyenne… C’est la plus faible proportion d’Europe. Et puis l’immigration quand elle est régulée, c’est une chance pour la France !

La réalité: La France, c’est 5 478 600 chômeurs officiels112 000 SDF dont 31 000 enfants,près de 9 millions de pauvres, on continue? La France dont les caisses sont vides est déjà incapable de s’occuper décemment de tout ce petit monde, et il faut en augmenter le nombre chaque année? C’est ça la chance pour la France?

 

Et ce ne sont que quelques exemples qui nous expliquent comment penser, comment parler en famille de sujets trop sérieux pour que nous comprenions quelque chose de toute façon, le site étant tellement truffé d’inexactitudes, de mensonges et de propos déconnectés de la réalité, que cela en devient insultant!

 

Sources:

Les Moutons enragés

Les ploucs d'i-télé