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De bien mysterieux oeufs verts s'échouent sur une plage de sydney

mercredi 24 septembre 2014 à 16:02
De bien mysterieux oeufs verts s'échouent sur une plage de sydney

Science-fiction

De bien mysterieux oeufs verts s'échouent sur une plage de sydney

 

 

Des centaines d'objets encore non identifiés, en forme d'oeufs et de couleur verts, se sont échoués sur la plage de "Dee Why Beach" à Sydney en Australie.

"c'est spongieux, un peu comme une éponge" assure un surfeur, " ...au premier abord ça ressemblent à des oeufs exotiques ou à quelque chose de ce genre, on se croirait en pleine science fiction. "

Narraweena Jenny Zhang marchait comme tous les jours sur la plage lorsqu'elle a découvert le weekend dernier quelques balles étranges et mousseuses en forme d'oeuf, aujourd'hui, elles sont beaucoup plus nombreuses et on en retrouve partout sur la plage

"ca ressemblent à des boules de mousse ou plutot comme un amas d'algues étranges."

Bref le mystère reste entier mais l’enquête est en cours

© Nature Alerte

De bien mysterieux oeufs verts s'échouent sur une plage de sydney

Référendum écossais, truqué ?

mercredi 24 septembre 2014 à 11:33
Référendum écossais, truqué ?

Qui compte les votes

Référendum écossais, truqué ?

 

 

Comme aurait prétenduement dit Staline : “Ce qui est important n’est pas qui vote, mais qui compte les votes”.

Faisons un peu d’histoire avant de plonger au coeur du sujet.

L’écosse a rejoint l’Angleterre en 1707 à travers un vote de ses représentants. Quelques mois auparavant, le plan Darien, qui consistait à créer une colonie dans l’actuel Panama par le royaume d’écosse, s’était révélé un désastre financier pour les actionnaires. Entre 25% et 50% de l’argent circulant fut investit dans cette compagnie. Nombreux furent les députés qui avaient des parts dans la société, et le royaume anglais, promettait aux malheureux investisseurs de récupérer une partie significative de leurs billes s’ils joignaient l’union, ils ont donc voté pour l’union et le parlement écossais fut dissous. Daniel Defoe, un espion anglais (et aussi l’auteur de “Robinson Crusoé”) engagé par Robert Foley, disait que pour 1 écossais qui était pour l’union, 99 étaient contre. Le célèbre poète Robert Burns disait d’ailleurs à ce sujet : “Nous sommes achetés et vendus pour de l’or anglais.” C’était donc la première fois que l’élite écossaise trahit son peuple.

 

Au cours du 20ème siècle, les écossais ont demandés peu à peu plus d’indépendance - le premier référendum eu lieu en 1979 pour doter l’Ecosse d’un parlement. Il fallait que 40% de l’électorat vote oui pour que la mesure prenne effet. Avec 64% de taux de participation, et une victoire du oui à 51,6%, seulement 32,9% de l’électorat se prononça en faveur du parlement national écossais. A noter qu’il y a eu des cas de fraudes dans cette élection, on a fait voté les morts.

Bien qu’ayant été défaits, cela n’étouffa pas les ardeurs des écossais de devenir plus indépendants de leur grand-frère anglais. Suite à la pression populaire, un deuxième referendum fut organisé sur la création d’un parlement écossais avec des pouvoirs limités (parmi eux : environnement, santé, éducation…). Cette fois-ci, 
une large majorité (74%) des écossais répondirent oui.

Le temps passa, et comme toute nation qui recouvre un peu de son indépendance, il est difficile de ne pas faire le dernier pas. C’est en 2014 qu’un référendum permettait de redonner les pleins pouvoirs aux écossais. D’un côté, vous aviez les indépendantistes avec leur campagne “Yes scotland” et de l’autre, les pro-union avec la campagne “Better Together”. Après de féroces mois de campagnes des deux côtés, les votes sont tombés : 55.3% pour le non, soit plus de 10 points d’écart alors que les 10 derniers sondages sur la semaine du vote donnaient entre 1 et 5 points d’écart (un sondage donnait 7 points d'écart, cependant, il était financé par le camp du non, soulignant un conflit d'intérêt évident).


Mais… les écossais, qui d’ordinaire indépendantistes et qui ont toujours voté "oui", ont-ils vraiment voté "non" ? A ceux qui doutent, voici un petit manuel qui explique commenttruquer les élections de 25 manières différentes.

 

Le fait que les résultats aient été communiqués à6h du matin le lendemain alors que les bureaux de votes fermaient a 22H le jour d’avant peut faire froncer les sourcils de plus d’une personne. A cela s’ajoute l’absence d’exit polls (sondages à la sortie des urnes), pourtant classiques en terre Anglo-Saxonne.

Rappelons-nous de la sortie de Margo MacDonald en 2013, ancienne présidente du SNP (Scottish National Party - plus grand partie écossais actuel) qui a écrit aux services de sécurité anglais pour avoir leur garantie sur la non-intervention des espions du MI5 sur le référendum écossais. Le MI5 a pour objectif de garantir la sécurité national du royaume-uni, il est naturel de penser qu’ils pourraient intervenir - cette analyse est d’ailleurs confirmée par Jim Sillars, ancien député nationaliste, qui clame qu’il serait “naïf” de croire que le MI5 n’est pas impliqué. Wayne Madsen, un analyste, avait d’ailleurs prédit la préparation d’un acte terroriste pour faire pencher vers le “non” - nous avons eu en effet la pseudo décapitation de l’écossais David Haines quelques jours avant les élections.

La population écossaise estime pour ¼ d’entre elle que le MI5 interviendra pour faire échouer les velléités d’indépendance.

Les organisateurs du vote ont déjà indiqué qu’il y avait au moins 10 cas de personnification, où les votants qui allaient déposer leur vote s’étaient vu refuser au motif qu’ils avaient déjà... voté... plus tôt dans la journée. Comment est-ce possible ? Au Royaume-Uni, on vote sans… pièce d’identité. Il suffit de dire son nom et son adresse et hop, le tour est joué. Oui.

Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises : des cartes de vote ont été envoyées (le vote postal est une option en Ecosse) à des bambins de… 3 à 11 ans.

On pensait avoir tout vu jusqu’au moment où des piles de vote pour le oui étaient classés dans la section du… non après dépouillement.

Et cela ne s’arrête pas là : des dépouilleurs sont pris la main dans le sac en vidéo en train declasser des votes pour le “oui” dans leur pile pour le “non”. D’autres cochent carrèment les bulletins de vote.

Dundee, une ville pro-indépendance depuis le départ a vu une alarme a incendie se déclencher à deux reprises lors du dépouillement. Lors des résultats finaux, le “non” l’emporta haut la main.

Il y a eu pas loin d’1 million de votes par voie postale. Nous savons au moins depuis 2004, qu’il est extrêmement facile de truquer les votes par voie postale, comme l’ont fait avec succès des politiciens de Birmingham. Un juge à mis en avant 14 moyens de frauder via le vote postal et estime qu’il est impossible d’avoir une élection non truquée avec ce système.

Vient s’ajouter à toutes ces charges incriminantes le poids des réseaux sociaux. Des analyses statistiques de twitter et facebook montrent que le oui l’emporte largement, jusqu’à 2 pour 1 dans certains cas.

Des observateurs internationaux ont clairement indiqués que les élections étaient truquées.

Avec tant de malversations, il est clair et net que les élections ne se sont pas dérouléées en bonne et due forme. De nombreux écossais partagent cet avis, deux pétitions en ligne de 90,000 signatures et 60,000 signatures au moment oú est écrit cet article, demandent un nouveau vote.

 

Il semble important de comprendre pourquoi la couronne anglaise ne veut pas d’une écosse libre. La réponse se trouve très probablement dans les fonds de la mer du nord. Un ancien chancelier anglais a avoué avoir minimiser les revenus écossais de gaz et pétrole en mer du nord dans les années 1970 pour lutter contre l’indépendance de l’écosse. Il est même allé jusqu’à dire que l’écosse se porterait tout à fait bien une fois indépendante avec ses revenus issus de la mer du nord (90% des réserves estimées appartiennent a l’écosse).

Le Royaume-uni produit 63% du pétrole dont il a besoin et 51% du gaz qu’il consomme à travers les resources écossaises. Ce ne serait pas la première fois dans l'histoire que le thème des resources revient et explique de nombreuses guerres et malversations. 

 

Source

 
 

Les États-Unis cherchent à renverser le régime au Brésil

mercredi 24 septembre 2014 à 10:35
Les États-Unis cherchent à renverser le régime au Brésil

Le Brésil s'éloigne de l'influence des USA qui souhaitent un changement dans la Présidence pour ne pas sombrer un peu plus...

Les États-Unis veulent à tous prix imposer un changement de régime au Brésil

 

Pour les États-Unis, il est devenu vital d’empêcher que ne se développe au Brésil, ainsi que dans les pays d’Amérique Latine se considérant comme ses alliés, des forces politiques suffisantes pour provoquer une réorganisation stratégique globale, dont Washington serait exclu. On fera rapidement le lien avec le rapprochement entre la Chine et la Russie, exposé en détail dans l’article Le cauchemar de Washington se précise : le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine s’étend [1], que nous venons de publier aujourd’hui-même.

Dans un précédent article [2], nous avions indiqué que, derrière la candidature de Marina Silva à la présidence du Brésil lors des élections d’octobre 2014, les États-Unis engageaient toutes leurs forces pour provoquer la chute de l’actuelle présidente Dilma Rousseff et pour ainsi replacer le Brésil sous leur influence directe.

Dans l’immédiat, il s’agirait d’empêcher que ne se renforce, sous l’influence du Brésil et sans doute aussi de l’Argentine, une zone de libre échange et de coopération dite Unasur (Unión de Naciones Suramericanas) rassemblant les deux unions douanières existantes, la Communauté des Nations andines et le Mercosur (Mercado Común del Sur, comprenant l’Argentine, le Brésil, le Paraguay, l’Uruguay et le Venezuela avec 5 membres associés, le Chili, la Bolivie, la Colombie, l’Equateur et le Pérou). L’Unasur s’opposerait de fait à l’OAS (Organization of American States), que Washington promeut en vue de rassembler les gouvernements sous son influence.

A moyen-terme, il s’agit d’affaiblir la constitution du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), en le privant du soutien d’un Brésil redevenu hostile. Nous avons plusieurs fois exposé le rôle essentiel que jouera le BRICS pour contester le Fonds monétaire internationale, la Banque mondiale et à terme le dollar. Le BRICS pourra fonctionner sans le Brésil, mais ce dernier, sous l’action énergique de Dilma Rousseff, serait un acteur majeur, représentatif de tous les pays latino-américains désirant s’émanciper de Washington, de ses interventions politiques et économiques permanentes, ainsi que de l’espionnage électronique permanent, dont Dilma Rousseff se déclare une adversaire résolue.

Or, dans cette guerre aujourd’hui déclarée contre Dilma Rousseff, Washington met toute ses forces, officielles comme occultes, dans la balance. Il s’agit d’abord de faire élire une Marina Silva soutenue par les milieux brésiliens les plus rétrogrades, notamment les églises évangéliques. Mais il s’agit surtout de provoquer un véritable regime change, dont Washington s’est toujours faite le champion à travers le monde, que ce soit en Amérique latine, en Afrique et maintenant en Eurasie. Pour cela, tous les moyens sont bons, notamment le recours à la CIA et à des organisations ad hoc promues par elle avec force dollars à l’appui.

Un article de Nil Nikandrov, dans Strategic Culture, donne de ces interventions américaines une description détaillée Marina Silva – élément d’un plan pour déstabiliser le Brésil [3]. Le site comme l’auteur s’efforcent de résister à la propagande incessante des grands médias dits « Occidentaux », mais cela ne retire rien, au contraire à la pertinence de leurs analyses.

Les optimistes pensent que le nouveau plan américain échouera, comme d’autres dernièrement à travers le monde. Mais ceci n’est pas sûr, compte tenu de l’enjeu que représentera pour l’Amérique un Brésil redevenu docile.

Notes

[1] Le cauchemar de Washington se précise : le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine s’étend (vineyardsaker, français, 23-09-2014)

[1] De Dilma Rousseff à Marina Silva, le Brésil en voie de ré-américanisation ? (vineyardsaker, français, 14-09-2014)

[2] Marina Silva – Part of Plan to Destabilize Brazil (strategic-culture.org, anglais, 23-09-2014)

Source : The Vineyard of the Saker

Embargo russe : des maraîchers reçoivent une compensation exceptionnelle de 23,58 centimes par exploitant

mercredi 24 septembre 2014 à 10:29
Embargo russe : des maraîchers reçoivent une compensation exceptionnelle de 23,58 centimes par exploitant

L'Etat se moque de qui

Embargo russe : des maraîchers reçoivent une compensation exceptionnelle de 23,58 centimes par exploitant

 

On croirait à une , mais ce n’en est pas une. La SICA de Saint Pol-de-Léon, avec ses 1100 fermes et ses 1 500 exploitants, a reçu la semaine dernière une enveloppe de 353,70 euros pour compenser les pertes subies en raison de l’embargo russe sur leurs produits. Chaque exploitant pourrait donc toucher le fabuleux pactole de 23,58 centimes, sauf que, pour leur envoyer leur chèque, il faudra débourser la modique somme de 66 centimes pour le timbre.

En personnes raisonnables et sensés, les membres du conseil d’administration de la SICA ont décidé de partager leur souci avec notre super  de l’ et des finances Emmanuel Macron et lui ont envoyé une lettre l’invitant à venir examiner avec eux leurs problèmes, lui offrant même la possibilité d’utiliser l’enveloppe de compensation pour son billet de transport.

Heureusement qu’à Saint Pol-de-Léon ils ont de l’humour.

Avic – Réseau International

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La lettre à Emmanuel Macron

Monsieur le Ministre,

Le Conseil d’Administration de la SICA de St Pol de Léon que j’ai l’honneur de présider, lors de sa réunion du 17 Septembre 2014, a voté à l’unanimité sur l’utilisation de la « mesure exceptionnelle embargo russe » proposée par les Services de l’Etat et allouée pour soutenir nos 1500 producteurs de fruits et légumes.

Cette somme en effet, 353,70 €, c’est-à-dire 23,58 centimes par exploitation, nous posait un réel problème de restitution à nos adhérents, le montant du chèque à leur adresser étant très nettement inférieur au prix d’un timbre (66 centimes)…

Nous avons donc décidé de réinvestir cette somme dans un titre de transport à votre convenance (Air  quand ils veulent – SNCF), afin de pouvoir vous rencontrer et échanger avec vous sur nos difficultés économiques.

Nous voudrions pouvoir vous dresser un inventaire le plus exhaustif possible des contraintes et bêtises administratives que nous subissons mais aussi vous proposer des solutions rapides à mettre en œuvre afin de gagner en productivité et compétitivité.

J’espère sincèrement que vous répondrez à cette cordiale invitation et me tiens à votre entière disposition pour trouver une date compatible avec votre agenda.

Nous vous proposerons dès lors un ordre du jour précis.

Vous remerciant pour l’attention que vous porterez à notre demande et dans l’attente de votre réponse,

Je vous prie de croire, Monsieur le ministre, à l’assurance de notre haute considération.

Le Président,

Jean-François JACOB

Les États-Unis et le CCG bombardent des objectifs inconnus en Syrie

mercredi 24 septembre 2014 à 10:15
Les États-Unis et le CCG bombardent des objectifs inconnus en Syrie

Les USA ne disent pas tout

Les États-Unis et le CCG bombardent des objectifs inconnus en Syrie

 

Le  23 septembre 2014, les États-Unis et des membres du Conseil de coopération du Golfe (Arabie saoudite, Bahrein, Emirats arabes unis, Jordanie et Qatar) ont bombardé des objectifs terroristes en Syrie.

Officiellement, il s’agissait de détruire les centres de commandement de l’Émirat islamique.

Les bombardements ont principalement été effectués depuis le Golfe persique sur la ville de Raqqa. Or, l’Émirat islamique s’était retiré de Raqqa deux jours auparavant et avait avancé en prenant une vingtaine de villages kurdes syriens.

Il semble que le véritable objectif n’était pas l’Émirat islamique, mais une autre entité nommée par le Renseignement US le « Groupe Khorasan ». Khorasan est le nom médiéval de l’Afghanistan et d’une partie de l’Iran. Il y a cinq jours, le directeur national du Renseignement US, James Clapper, avait pour la première fois cité ce groupe, assurant qu’il était composé d’anciens d’Afghanistan et qu’il recrutait des jihadistes en Syrie pour combattre sur le sol occidental. L’existence de ce groupe n’est attestée par aucune autre source. Selon le New York Times, citant le département d’État, son leader Muhsin Al-Fadli (photo) aurait été un intime d’Oussama Ben Laden et aurait été impliqué dans les attentats du 11-Septembre (que les États-Unis attribuent officiellement à Ben Laden). Le nom de Muhsin Al-Fadli avait été cité en 2005 par le président George W. Bush qui l’avait désigné comme responsable de l’attentat contre le pétrolier français Limburg au Yémen (en réalité une sanction par Washington contre une violation d’un embargo) [1].

La Fédération de Russie a dénoncé une violation de la souveraineté syrienne, cependant la presse états-unienne assure que le raid avait été annoncé d’une part à l’ambassadeur Bachar el-Jafari à l’Onu et d’autre part à l’opposition syrienne à Paris (considérée comme représentant légitime du peuple syrien) qui a accepté.

[1] “U.S. Suspects More Direct Threats Beyond ISIS”, Mark Mazzetti, Michael S. Schmidt et Ben Hubbard, The New York Times, 20 septembre 2014.

 

Source