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Des milliers de chats importés illégalement au Vietnam pour être mangés

jeudi 29 janvier 2015 à 16:28
Des milliers de chats importés illégalement au Vietnam pour être mangés

Plusieurs milliers de chats importés illégalement de Chine ont été découverts par la police vietnamienne, entassés vivants dans des caisses dans un camion à des fins de "consommation", leur viande avant prisée au Vietnam.

La viande de chat, connue localement sous le nom de "petit tigre", est populaire au Vietnam bien que sa consommation soit officiellement interdite. 

Le conducteur du camion, arrêté mardi avec quelque trois tonnes de chats à son bord, a avoué les avoir achetés dans la province de Quang Ninh, frontalière de la Chine. 

Les chats étaient destinés "à la consommation" dans les restaurants de Hanoï, a expliqué la police. 

"Nous ne savons pas encore quoi faire avec eux en raison de leur très grand nombre", a confié un policier, ajoutant que la loi vietnamienne exige la destruction de tous les produits de contrebande. 

Les chats peu présents dans les rues
Des dizaines de restaurants servent la viande de chat à Hanoï, où il est rare de voir les félins dans les rues car leurs propriétaires craignent qu'ils ne soient volés et vendus aux restaurateurs. 

Le manque de chats, mais aussi de chiens dont la viande est également appréciée au Vietnam, conduit à des trafics d'animaux depuis des pays voisins comme la Chine, la Thaïlande ou le Laos.

 

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Plus de 38.000 enfants risquent de mourir de faim en Somalie

jeudi 29 janvier 2015 à 16:20
Plus de 38.000 enfants risquent de mourir de faim en Somalie

 


Nairobi - Plus de 38.000 enfants somaliens sont en grand danger de mourir de faim, bien que la situation alimentaire s'améliore dans un tiers de la Somalie, plongée dans le chaos depuis plus de 20 ans, ont annoncé jeudi des experts de l'ONU.

Ce sombre constat, basé sur les dernières données collectées par les Nations unies, intervient trois ans après une grave sécheresse dans la Corne de l'Afrique qui, associée à la guerre civile, avait entraîné une terrible famine dans en Somalie, tuant plus de 250.000 personnes.

Plus de 731.000 personnes, dont 203.000 enfants restent sévèrement mal nourris et font face à une grave insécurité alimentaire, selon le rapport de l'Unité d'analyse de la sécurité alimentaire et de la nutrition (FSNAU) de l'ONU et le Réseau d'alerte précoce de la famine (Fews Net), financé par l'Agence américaine de développement (USAID).

Ce chiffre représente néanmoins une baisse de 30% sur les six derniers mois, grâce à des pluies relativement abondantes fin 2014.

Mais environ 202.600 enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition aiguë, dont 38.200 sont très gravement mal nourris et présentent un risque élevé de morbidité et de mort, nuancent les experts.

Les trois-quarts des Somaliens en besoin désespéré de nourriture sont les déplacés ayant fui les violences alimentées par les affrontements entre islamistes shebab et troupes gouvernementales somaliennes, épaulées par l'Amisom, une force de l'Union africaine.

Les taux de malnutritions restent obstinément haut, a estimé le responsable de l'aide humanitaire de l'ONU en Somalie, Philippe Lazzarini, les perspectives pour 2015 sont inquiétantes.

Les islamistes shebab, qui ont reculé sur le terrain militaire et abandonné l'essentiel de leurs bastions du centre et du sud somaliens, continuent néanmoins de contrôler de nombreuses zones rurales et mènent des actions de guérilla contre les forces gouvernementales ou l'Amisom.

L'actuel gouvernement somalien, présenté par la communauté internationale comme le meilleur espoir de paix et de retour à un Etat depuis deux décennies, peine à asseoir son pouvoir au-delà de Mogadiscio et sa périphérie, malgré les défaites militaires des shebab, qui laissent dans de nombreuses régions la place à des chefs de guerre tentant d'imposer leur propre autorité, parfois par les armes.

L'envoyé spécial de l'ONU pour la Somalie, Nick Kay, a estimé que 2014 avait été une année relativement mauvaise pour les shebab qui ont perdu leur chef suprême, Ahmed Abdi Godane, tué dans une frappe américaine, ainsi que plusieurs localités parmi lesquelles Barawe, dernier port sous leur contrôle.

Il a néanmoins appelé à maintenir l'attention sur la Somalie, se disant inquiet que ces progrès fassent passer le pays au second plan au niveau international. C'est une inquiétude, notamment en ce qui concerne le financement humanitaire, a-t-il admis, rappelant que l'ONU n'avait recueilli en 2014 que 50% de l'aide nécessaire.



(©AFP / 29 janvier 2015 15h55)  

Les surfaces OGM mondiales en hausse de 6 millions d'hectares en 2014

jeudi 29 janvier 2015 à 16:04
Les surfaces OGM mondiales en hausse de 6 millions d'hectares en 2014

Les surfaces agricoles d'organismes génétiquement modifiés ont augmenté de 6 millions d'hectares en 2014 pour atteindre le «record» de 181,5 millions d'ha (+3,6%) dans le monde, selon le relevé annuel de l'Isaaa, association pro-OGM, publié mercredi.

«Avec l'arrivée du Bangladesh, un total de 28 pays ont cultivé des OGM au cours de l'année 2014», dont «20 pays en développement (en comptant le Brésil et l'Argentine) et six pays industrialisés, représentant plus de 60% de la population mondiale», affirme l'Isaaaa (International service for the acquisition of agri-biotech applications).

«Le nombre total d'hectares (OGM) a été multiplié par plus de cent depuis les premières plantations d'OGM» en 1996, relève l'auteur du rapport et fondateur de l'Isaaa, Clive James, cité sur le site de l'association .

Les États-Unis restent largement en tête avec 73,1 millions d'ha dédiés aux OGM, en hausse de 4% sur l'année, devançant le Brésil qui comptait 42,2 millions d'ha (+5%) et l'Argentine, 3e avec 24,3 millions d'ha.

Aux États-Unis comme au Brésil, c'est le soja qui a justifié ce développement. Avec l'Argentine et le Canada, ils représentent près de 84% des surfaces plantées en OGM dans le monde.

En Asie, l'Inde a connu la plus forte croissance et compte désormais 11,6 millions d'ha (autant que le Canada); en revanche l'Union européenne reste à l'écart avec moins de 0,1% de ses surfaces agricoles utiles.

Depuis 1996, plus d'une dizaine de cultures génétiquement modifiées, alimentaires et fibres, ont été approuvées et commercialisées dans le monde - maïs, soja ou coton, et fruits ou légumes comme la papaye, l'aubergine ou la pomme de terre.

Les partisans des OGM font valoir leurs qualités de résistance à la sécheresse, aux insectes et aux maladies.

Le rapport complet est disponible en ligne sur le site
 www.isaaa.org.

Pour le site Inf'OGM, hostile aux cultures génétiquement modifiées, «le nombre des pays qui cultivent des OGM stagne (29 pays en 2010 contre 28 en 2014)», indique-t-il.

«La Suède, la Pologne, l'Allemagne et l'Égypte ont quitté le navire ; tandis que Cuba, le Soudan et le Bangladesh l'ont rejoint» poursuit-il en notant que «120 agriculteurs bangladais ont cultivé 12 hectares avec une aubergine GM bt (génétiquement modifiée) soit 0,1 ha par agriculteur».

«L'aubergine Bt est d'ailleurs la seule nouvelle espèce qui a passé le stade de la culture en 2014 : soja, maïs, coton et colza restant très largement majoritaires», note Inf'Ogm pour qui «l'analyse de ce rapport prouve que l'engouement pour les OGM ne redémarre pas. Si les maïs et soja transgéniques ont été adoptés rapidement sur le continent américain, les autres plantes stagnent et les autres continents restent globalement prudents, pour ne pas dire hostiles, à cette technologie».

Source © AFP

 

Le « Test de la mort », ou comment économiser grâce aux mourants

jeudi 29 janvier 2015 à 14:40
Le « Test de la mort », ou comment économiser grâce aux mourants

Des experts viennent de développer un « test de la mort » qui prédirait les risques de mort dans les 30 jours qui suivent les examens, afin de permettre d’éviter des traitements médicaux « inutiles et coûteux » qui ne feraient que prolonger la souffrance.

« Retarder l’inévitable mort contribue à l’escalade des dépenses de santé », explique le Dr Magnolia Cardona-Morrel, chercheur à l’Université de New South Wales et principal auteur de cette recherche.

« Ces interventions peuvent n’avoir aucune incidence sur le devenir des patients. Souvent, elles n’améliorent pas leur qualité de vie. Elles peuvent aussi compromettre la manière dont les familles vivent le deuil et être cause de frustrations pour les professionnels de la santé », explique-t-elle.

Des « tests de la mort » pour éviter aux patients des « soins futiles »

C’est dans ce but que les chercheurs ont dont imaginé un « test de la mort » qui puisse prédire les risques de mort dans les 30 jours suivant le test, notamment afin de permettre aux personnes âgées de rentrer chez elle et faire leurs adieux aux membres de leur famille.

« La plupart des patients finissent par mourir à l’hôpital, alors même que ce n’est pas leur souhait », souligne le Dr Cardona-Morrel.

Ce test reprend 29 indicateurs de santé, notamment l’âge, la fragilité, la maladie, le handicap mental, les précédentes admissions en urgence ou encore la fréquence cardiaque. Mais son résultat est purement statistique : il est constitué par un pourcentage de risque de mort dans un délai d’un mois à 12 semaines.

Les chercheurs se veulent rassurants : ce test n’est pas là pour dire s’il faut soigner ou non une personne, mais serait un « point de départ » pour « une communication honnête avec les patients en fin de vie et leurs familles ».

Le Dr Cardona-Morrel s’explique : « Bien qu’il existe des politiques acceptées pour éviter l’acharnement thérapeutique chez les patients en phase terminale, il y a aussi des pressions inhérentes et sociétales sur la médecine pour prolonger la vie, même dans des situations manifestement où ces soins sont manifestement futiles. »

Un « test de la mort » pour découvrir si la mort est « inéluctable » ou non !

Le but est simple : former les infirmières et les médecins à cet outil de dépistage de la mort, afin de leur permettre d’aborder avec des informations concrètes « l’inéluctabilité de la mort et l’absence de bénéfice d’un traitement plus intensif ».

A ce rythme-là, toute personne étant appelée un jour à mourir, il serait peut-être prudent de cesser tout traitement médical…

Le « test de la mort » doit encore être vérifié et validé, ce qui n’empêche pas ses auteurs d’espérer qu’il sera un jour utilisé dans les hôpitaux.

L’objectif économique du test est évident. Mais comme c’est de plus en plus fréquemment le cas on joue sur l’ambiguïté : s’il est vrai que pour certains, entamer des traitements lourds et pénibles peut ne pas être une bonne solution s’ils n’offrent pas la moindre possibilité d’amélioration, la philosophie des « soins futiles » permet d’aller bien plus loin, en jouant sur des données statistiques ou des considérations de qualité de vie qui ouvrent la porte à bien des dérives.

Evidemment, pour supprimer la souffrance, le plus simple reste encore de supprimer la vie, ce qui permet des économies plus substantielles encore. On y arrivera peut-être un jour.

http://reinformation.tv/test-de-la-mort-patient-traitement-soins-futiles/

À Davos, les super-riches se préparent à l’effondrement et achètent des refuges loin des foules… !

jeudi 29 janvier 2015 à 13:45
À Davos, les super-riches se préparent à l’effondrement et achètent des refuges loin des foules… !

Voici quelques informations que j’avais stockées depuis quelques temps, et avant de vous en parler et de les partager avec vous j’attendais de voir si, de cette masse d’informations, il serait possible de tirer un tableau d’ensemble cohérent. C’est évidemment le cas.

Je vous passerai volontairement, n’ayant pas pu en avoir la certitude et la preuve par moi-même, les rumeurs très insistantes faisant état ces derniers mois d’un nombre très important de démissions de collaborateurs d’assez haut niveau dans différentes institutions américaines. Je vous passerai également le fait qu’il semblerait que ceux qui démissionnent partent se mettre au vert le plus loin possible des grandes villes et, pour certains, dans ce que l’on appelle des « enclaves survivalistes »… Bref, de cela nous ne parlerons pas vraiment même si je vous le mentionne parce que nous n’en avons pas la preuve absolue. En revanche, cela vaut la peine d’être simplement dit parce que ces rumeurs sont parfaitement compatibles avec des informations qui, elles, sont prouvées sans ambiguïté possible.

Mais avant d’aller plus loin voici une photo de rayonnage de magasin vide prise à New-York ces jours-ci à l’annonce de la tempête de neige. Quelques heures auront été suffisantes pour vider l’ensemble des magasins de cette ville tentaculaire.

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Des kits de survie pour le département du Trésor US !

Cette information date du mois de décembre 2014 et l’on avait appris par quelques petits malins qui adorent perdre leur temps à éplucher les formulaires d’appels d’offres gouvernementaux (faut s’ennuyer dans la vie pour aller se connecter à ce genre de bases de données ou avoir un esprit tordu de contrarien) que le Département du Trésor (l’équivalent du ministère de l’Économie chez nous mais en encore plus puissant) cherche à commander des kits de survie pour tous ses employés qui supervisent le système bancaire fédéral !

Ces kits de survie sont destinés à chaque employé du Bureau de contrôle de la monnaie (Office of the Comptroller of the Currency : OCC, l’agence compte environ 3 814 employés, dont chacun recevra une trousse de survie.

Je vous passe les détails de la liste exhaustive mais disons que le kit de survie comprend tout, des pastilles de purification d’eau aux couvertures solaires sans oublier des barres alimentaires ou encore des masques pour la protection des virus aéroportés…

Beaucoup parmi vous auront sans doute la réaction de ma femme qui m’a dit mais « heu arrêteuuuu c’est vraiment n’importe quoi… c’est forcément bidon »… Oui chérie tu as raison, c’est bidon, je reprends ma pilule et je me recouche, tu allumes TF1 ? Sinon pour ceux qui ne veulent pas rallumer la télé, vous pourrez aller sur le premier lien en bas de page télécharger l’appel d’offre dont je viens de vous parler.

Mais ce n’est pas tout. Il y a deux jours, le Mirror, un canard boiteux certes mais ayant pignon sur rue et site sur Internet titrait :

« Paniqués les super-riches s’achètent des refuges avec pistes pour jets privés en cas de révolte des pauvres »

J’ai beaucoup ri et cela me rappelle le film Milou en Mai, lorsque les riches français fuyaient Paris à quelques jours de l’arrivée de François Mitterrand à la présidence de la république. Sauf que là, nous ne sommes plus en 1981 et l’on ne parle pas des riches franchouillards et pétochards mais de la classe mondiale des hyper-riches qui commence à se sentir menacée (ce qui ne semble pas une raison suffisante pour nous filer quelques miettes, histoire que nous, le peuple des sans-dents d’en bas, l’on se tienne tranquille encore quelques temps).

Bref, vous apprendrez dans cet article que des gestionnaires de hedge funds achètent des ranchs et des terres dans des endroits comme la Nouvelle-Zélande pour s’y réfugier en cas de troubles civils importants.

Vous apprendrez que, dans les allées feutrées du Forum économique international de Davos, on s’échange les bons plans pour savoir où acheter pour survivre dans les meilleures conditions de confort et de sécurité.

Il faut dire que les super-riches savent parfaitement qu’ils s’enrichissent en nous appauvrissant et en se foutant ostensiblement de notre gueule, ce qui est également le cas de notre classe politique en particulier européenne dont le seul objectif est de se gaver en servant les intérêts des grandes multinationales et pas des peuples qui les ont élus…

On pourrait se dire qu’ils pourraient « acheter » la paix sociale en nous donnant un peu plus de sous ou de travail, mais que nenni, ils préfèrent s’acheter des refuges à prix d’or dans des pays très stables comme la Nouvelle-Zélande.
Ainsi Robert Johnson, président de l’Institut de la nouvelle pensée économique, a dit publiquement au Forum économique mondial à Davos que de nombreux gestionnaires de fonds de couverture « planifient déjà leur évasion ».

Pourquoi ? Parce que la situation économique pourrait bientôt devenir intolérable même dans les pays dits riches alors que les inégalités augmentent d’une façon considérable… Tiens donc !

Préparez-vous !

Un homme averti en vaut deux et il est fort peu probable que vous ayez les moyens de vous offrir un ranch en Nouvelle-Zélande avec une piste d’atterrissage et un jet privé. Si c’est le cas et que vous lisez Le Contrarien, écrivez-moi que l’on puisse faire connaissance et devenir copain, j’aurais une femme et quelques enfants à mettre en soute dans votre jet !! Donc si vous ne pouvez pas vous offrir cela (comme moi), vous allez devoir faire autrement en partant du principe que si c’est le bazar, eh bien vous risquez d’être en plein dedans…

Un chaos économique est assez dévastateur. Ce n’est pas la fin du monde. Mais le monde est très perturbé. Ce n’est pas la fin de tous les échanges, mais les échanges sont raréfiés et les pénuries nombreuses.

Faites des réserves, pas la guerre !

Allez, je vous laisse avec cet article du 26 janvier 2015 de l’un des plus grands journaux :

« Un projet dirigé par l’ex-chef de l’Aide humanitaire préconise aux ménages suisses de faire des réserves alimentaires en cas de panne de courant et de pandémie. Il est recommandé aux 3,5 millions de ménages suisses de faire des réserves d’aliments de base.

Provisions recommandées

2 kilos de sucre par personne, 2 kilos de riz ou de pâtes, 2 litres d’huile ou 2 kilos de graisses, 9 litres d’eau par personne et des légumes en conserve, du sel, du poivre, des fruits secs, des biscottes, du chocolat, 1 radio portable, une lampe de poche avec réserve de piles, des allumettes. »

Le meilleur dans cet article je trouve c’est sa conclusion… surtout ne pas faire peur aux gens (vous êtes tellement cons et débiles).

« Les recommandations de Toni Frisch pourraient-elles devenir obligatoires ? Depuis la loi sur l’approvisionnement économique du pays votée en 1982, elles ne le sont pas. L’écologiste genevois Ueli Leuenberger de conclure : «Ces réserves ne sont pas une aberration, discutons-les, mais sans faire peur aux gens.» Pas d’urgence donc et, en attendant la panne de courant, les pizzas resteront au frais au congélo »…

Ouf je suis rassuré…si les pizzas restent au frais tout va bien, mais bon, je vais quand même aller acheter quelques boîtes de raviolis en plus. Alors pour ceux qui n’ont pas compris le message (qui peut difficilement être plus clair), je ne peux rien pour vous et cela porte le nom de sélection naturelle, pour les autres… À bon entendeur, salut !!

Il est déjà trop tard, préparez-vous.

Charles SANNAT

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement www.lecontrarien.com.

« L’Assemblée nationale est toujours otage de Thomas THÉVENOUD qui est toujours député. Pensons à elle. Ne l’oublions pas. »

(Pour protester pacifiquement et avec humour, n’hésitez pas à reprendre cette formule en bas de tous vos mails, de vos articles ou de vos publications, il n’y a aucun droit d’auteur !!)

http://freebeacon.com/wp-content/uploads/2014/12/Survival_Kits_RFP.pdf

http://www.mirror.co.uk/news/world-news/panicked-super-rich-buying-boltholes-5044084

http://www.lematin.ch/suisse/reserves-guerre/story/31113894

 

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