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Piratage de Sony : pourquoi est-il très peu probable que la Corée du Nord soit à l’origine de l’attaque ?

dimanche 21 décembre 2014 à 11:33
Piratage de Sony : pourquoi est-il très peu probable que la Corée du Nord soit à l’origine de l’attaque ?
Sony aurait-il été une victime collatérale d’un conflit 100% asiatique ? Le piratage de l’entreprise fait pourtant son petit effet dans l’administration américaine et dans les médias. C’est forcément la culture de la plus grande puissance du monde libre qui est agressée, même si Sony est une entreprise japonaise, on apprécie d’y voir une vision fantasmée des studios hollywoodiens, ceux qui nous vendent du rêve et de la liberté, rêve et liberté que nous achetons les yeux fermés.

Quel ennemi de la liberté pourrait bien s’en prendre à la culture du monde libre sinon la Corée du Nord ? D’ailleurs ça ne peut être qu’eux, la preuve, les journaux de connexion relèvent la présence d’adresses IP nord coréennes.

Ainsi, la police fédérale a découvert plusieurs adresses IP (ndlr : le numéro d’identification d’un ordinateur connecté à internet), étant associées à des infrastructures nord-coréennes connues.

Et le truc, avec les adresses IP nord coréennes, c’est que c’est tellement pas banal qu’on les repère tout de suite. Et c’est surtout là que le doute commence à s’installer… L’Internet nord coréen, nous avons quand même un peu examiné ses tuyaux, et la tâche fut rendue assez simple, car cet Internet là, il a une particularité, celle de ne justement pas avoir de tuyau.

UPDATE : voir les données actualisées de l’excellent NKNetobserver (thx Athoune), avec un bloc de 1024 IP plus deux autres ranges.

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Question numéro 1 : Comment font les nords coréens pour mener une attaque d’envergure et très élaborée à en croire les services américains qui mènent l’enquête depuis leur propre territoire sans infrastructure ?

Quand on observe la Corée du nord de nuit depuis une imagerie satellite, on se dit que si nos hackers nords coréens ne bossent pas dans des bunkers, ils vont vite se faire gauler…

1 point blanc : 1 hacker nord coréen

1 point blanc = 1 hacker nord coréen

Séoul, mars 2013 : la Corée du Sud au bord d’un cyber apocalypse, ou presque.

Kim Jung Un en train d'inspecter les rampes de lancement de ses missiles ballistiques

Kim Jong Un en train d’inspecter les silos de lancement de ses missiles balistiques

Juste après les élections présidentielles en Corée du Sud, le pays était « cyber attaqué », mais pas trop fort quand même. Juste de gros embouteillages qui ont rendu indisponibles les plus grands médias du pays. Un bon gros déni de service distribué (DDoS), le truc qui fait des cyber bouchons, mais aucuncyber mort. Seoul s’empresse alors de dénoncer une attaque sans précédant émanant de Pyongyang… Mais quelque chose cloche. La Corée du Nord n’est pas un pays à se montrer peu fière de ses tout petits cybers attributs. La crème de la crème des hackers gouvernementaux nords coréens, officiant pour le bureau de reconnaissance du pays, sont formés en Chine, dans la prestigieuse Université Tsinghua, à Pékin, et qui regroupe à elle seule de gros laboratoires de recherche aux spécialités assez variées mais pointues.

Question Numéro 2 : La Corée du Nord n’est elle pas un ennemi commun un peu trop facilement désigné parce que ça arrange tout le monde ?

Vous avez dit manipulation politique ?

C’est la candidate Park Geun-hye du parti Saenuri, marqué à droite, qui remporte l’élection présidentielle et accède au pouvoir en février 2012. Un an après, la Corée du Sud est tellement cyber attaquée d’un coup d’un seul que c’est quand même un peu suspect. Toujours courant 2013, ce sont des banques sud coréennes qui sont victimes de DDoS, toujours pas de cyber morts, juste de gros embouteillages, une méthode un peu suspecte pour l’unité d’élite du bras armé cyber du Bureau 121.

Oui la Corée du Nord recèle surement de talentueux hackers, formés par des chinois non moins talentueux, qui n’auraient probablement pas manqué de leur apprendre les bases de l’anonymisation des connexions en vue d’une attaque au service d’un gouvernement, ou encore à se servir de rebonds depuis des pays tiers dotés d’infrastructures un peu moins en carton que celles de leur pays.

Mais Reuters n’hésite pas, dès le 5 décembre (!), à désigner le Bureau 121 comme étant à l’origine de l’attaque menée sur Sony. Il faudra 2 semaines aux autorités américaines pour appuyer ce qui n’est à ce moment là que pure spéculation mais les médias ont bien préparé le terrain, l’administration Obama n’a plus qu’à s’engouffrer dans la brèche pour balancer son plan de communication bien rôdé, avec des hackers asiatiques, du FBI, des trucs « super sophistiqués, et de la dictature avec du monde libre dedans.

Car passé la première barrière matérielle, à savoir trouver un ordinateur non monté sur roulettes et une souris sans gros nez rouge, il faut quand même un minimum de bande passante pour s’attaquer à des infrastructures importantes. Niveau Internet, le pays est tellement pauvre que la légende veut qu’il faut mettre de l’engrais au pied des poteaux téléphoniques pour pinguer son fournisseur d’accès… La poignée de privilégiés qui a accès à Internet surfent avec le débit que nous avions en 1996… le truc « un peu » léger quand on doit se farcir ne serait-ce que la phase de découverte de l’infrastructure de tous les gros médias sud coréens, étape préalable à l’attaque elle même. Le hacker nord coréen est probablement le hacker le plus patient du monde.

Un autre élément à avoir en tête, c’est que la connectivité internationale du pays est assurée par un satellite chinois… et par Sprint, une entreprise américaine. Ce petit détail n’est évidemment pas sans poser quelques petits problèmes pour mener « une attaque massive » sur le territoire américain. Pour vous rendre l’image plus simple, nous dirons que même avec un très gros zizi et après deux packs de bière, vous risquez d’avoir du mal à faire déborder un fleuve de son lit. Dernier point, une attaque massive depuis la Corée du Nord dont le flux passerait par un satellite chinois ou par les tuyaux d’une entreprise américaine qui scrute scrupuleusement le moindre paquet émis, niveau discrétion, on a déjà vu un peu plus élaboré.

Il n’y a qu’un seul opérateur en Corée du Nord, évidemment gouvernemental, il s’agit de Star Joint Venture Co, (STAR KP) et leur « infra » est très régulièrement KO. Les sites nords coréens, c’est pas non plus ce qui étouffe ou spam indexe Google. Comme le montre NKNetobserver, les autres ranges sont ceux du chinois KPTC et un range alloué par Satgate.

Pyongyang à l’assaut d’Hollywood

Kim et ses biatches

Kim et ses biatches

Quel magnifique scénario de blockbuster ! Les hackers nord coréens qui font plier une major américainejaponaise de l’entertainment. L’armée du peuple qui fait front face à l’impérialismeaméricain japonais pour laver l’honneur souillé, par une production hollywoodienne du dieu vivant Kim Jong Un.

La cible, Sony, est déjà connue pour ses systèmes informatiques poreux qui lui avaient valu des piratages à répétition avec des fuites massives de données. L’affront, un film nanard se voulant burlesque et bien lourdingue mettant en scène une tentative d’assassinat du leader nord coréen.

Et boum, Sony baisse son pantalon à la surprise générale devant « Les Gardiens de la Paix », un mystérieux groupe de hackers nord coréens.

Les USA volent au secours de Sony et annoncent une « réponse proportionnée » et montre les dents devant la dictature, il faut plus de lois contre les cybers attaques, plus de moyens… plus de tout. Le terrorisme numérique, c’est du lourd, même quand c’est fait par un clown avec une souris à gros nez rouge. Comme nous l’avons déjà expliqué ici, si les USA comptent répondre de manière proportionnée, il leur faudra 20 secondes pour mettre tout le pays dans le noir en frappant 4 points stratégiques et l’impact serait ridicule puisque la Corée du Nord n’a aucune infrastructure critique connectée au Net, et pire, le peuple lui même est connecté sur un gros intranet 100% nord coréen, le Kwangmyong. … mais pas à Internet.

Même le FBI est formel, il reconnaît les techniques de l’attaque des banques sud coréennes qui auraient paralysé ces dernières… la classe, des services intérieurs qui reconnaissent les flux d’attaques de banques étrangères, ils sont comme ça le FBI, c’est des cadors. Tellement des cadors qu’ils n’auront pas manqué de remarquer que les infrastructures nord coréennes sont tellement percées que n’importe qui peut trouver sans mal une ou deux ip sur place pour mener une attaque depuis là bas exploitant ce qu’il faut comme ressources en dehors du pays et grossièrement laisser traîner quelques logs qui attestent de rien du tout mais qui réveilleront quelques sentiments nationalistes en Asie comme aux USA.

Dernier point technique : un réseau depuis lequel on attaque est un réseau « vivant », mais voilà, le réseau nord coréen, lui il ne bouge pas. Pas de nouvelles routes, pas de nouveaux morceaux d’infrastructures, rien n’a bougé, tout semble figé depuis des mois. Rien qui ne pourrait donner la moindre indication sur la plausibilité d’une attaque « depuis la Corée du Nord ».

L’histoire du censeur qui partage au monde ce qu’il veut censurer, c’est un peu gros

C’est bien connu, quand vous cherchez à censurer un film, le premier truc que vous faites, c’est de le partager sur les réseaux peer to peer pour l’offrir au monde entier. Sony s’engage alors dans une action qui n’est pas sans rappeler les tentatives désespérées du gouvernement américain de censurer Wikileaks, en lançant des DDoS sur les sites qui partagent les films volés.

La farce est un peu grossière mais le FBI n’en démord pas, c’est bien Pyongyang le responsable… suspens, sueur froide, la Corée du Nord, c’est des vrais méchants, ils ont même un arsenal nucléaire… enfin non ça on n’y croit pas trop, mais c’est quand même des méchants et c’est toujours bien de montrer les dents devant une dictature après avoir joué les hippies communistes avec Cuba…

Mais alors qui pourrait bien chercher à faire accuser la Corée du Nord, en s’attaquant à des intérêts japonais, et assez fort pour faire réagir les USA ? Allo, Séoul ? Y’a un peu de friture sur la ligne…

Merci au Professeur Kavé Salamatian pour sa contribution à l’écriture de cet article

Selon des chercheurs US, les tueurs de masse sont à 95% psyhologiquement normaux

samedi 20 décembre 2014 à 23:48
Selon des chercheurs US, les tueurs de masse sont à 95% psyhologiquement normaux

La plupart des tueries de masse ne seraient pas commises par des individus souffrant de pathologies mentales, selon une nouvelle étude.

EN BREF - Moins de 5 % des tueries réalisées avec des armes à feu seraient le fait d'individus diagnostiqués comme souffrant de pathologies mentales, selon une étude menée par deux chercheurs de l'Université Vanderbilt (États-Unis) : "Les discours sur les tueries de masse sont généralement axés sur la peur d'une personne démente capable de venir nous tuer", indique Jonathan Metzl, l'un des deux coauteurs de l'étude, dans un communiqué de l'Université Vanderbilt"Mais si vous regardez nos travaux, ce n'est pas de la personne démente dont il faut avoir peur".

Cette étude montre également que les personnes atteintes de pathologies mentales ont 60 % à 120 % plus de risques que les personnes saines d'être les victimes d'un crime violents, plutôt que d'en être les auteurs.

Pour parvenir à ce résultat, les deux auteurs de l'étude ont étudié les données reliant les tueries par arme à feu à la présence de pathologies mentales, sur les 40 dernières années.

Selon ces travaux, d'autres facteurs que ceux de la pathologie mentale seraient plus prédictifs de passages à l'acte violents, comme la consommation de drogue et alcool, l'accès aux armes à feu ou encore des problèmes relationnels.

Ces travaux ont été publiés le 12 décembre 2014 dans la revue American Journal of Public Health, sous le titre "Mental Illness, Mass Shootings, and the Politics of American 

 

Source

 

WikiStrike vous révèle la définition du mot "Illuminati"

samedi 20 décembre 2014 à 21:58

WikiStrike vous révèle la définition du mot "Illuminati"

 

Cet article est extrait d'un autre plus long, et est le résultat de nos recherches.

 

Illuminati signifie « illuminé en latin », mais c’est en réalité du sumérien, jugez plutôt.

Nous avons consulté un dictionnaire Anglais-Sumérien, et ce que nous avons découvert est absolument extraordinaire :

Illu : inondation, déluge, marée haute.

Min : partenaire, compagnon, deux.

A : canal, déluge, fluide

Ti : côté, arc

Et, pour couronner le tout, voici la définition du mot Illuminati en sumérien, jugez par vous-même :

Illuminati : Les deux arcs polaires qui maintiennent la force.

 

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Le symbole de la franc-maçonnerie, l’équerre et le compas, les deux arcs polaires, le ciel et la terre qui s’inverse, comprenez en fait : l’inversion du pôle sud et du pôle nord…

Le G signifie gnose, mystère des mystères, mais en vérité le G est la symbolisation codifiée de la spirale, le plus important symbole du néolithique, que l'on retrouve sur toute la planète, y compris dans la culture celtique. La spirale est le symbole de l'énergie, du champ magnétique terrestre, la force du dragon enroulé sur lui-même. Ici, dans le symbole franc-maçonnique, le G entouré des deux arcs, cela représente le champ magnétique entouré, maintenu par la force des deux pôles.

 

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Dans la mythologie ancienne sumérienne, Illuminati est un mot pour désigner les deux portes du dieu An qui sont surveiller par Damu, dieu mortel, car si elles s’ouvrent les eaux recouvrent la terre, c’est le déluge.

Maintenant les choses deviennent plus claires, Illuminati n’est pas un nom de projet, mais bien plus encore, c’est le mot qu’utilisaient les sumériens pour désigner un basculement de pôles. Le nom de la nouvelle ère ne sera pas du tout une ère de paix, bien au contraire…

Vous pouvez trouver des définitions de mots sumériens sur internet, sur des sites d’histoire ancienne, etc, allez-y, ça vaut le détour.

La définition est assez explicite, on comprend mieux pourquoi 90 % des tablettes sumériennes sont la propriété privée du Vatican… A noter également, nous avons fait des recherches et nous avons trouvé que damu dans les langues africaines signifient sang, et en japonais barrage d’eau…Intéressant.

 

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Remarquez aussi que les Illuminés de Bavière fondés par Adam Weishaupt est crée en Allemagne-Autriche et que Hitler est né en Bavière au même endroit…

Quand on sait que 80% des fonds financiers du 3e Reich était américain, nous pensons sincèrement, cela reste une hypothèse, qu’il existe bel et bien une conspiration mondiale visant à laisser crever les populations sous la comète Elenin et à prendre le contrôle absolu du monde. Les Nazis, les banques privées, les industriels américains et les oligarques russes, tous ces gens là ont construit des tunnels souterrains immenses qui relient la zone 51 et Pine Gap à l’Antarctique, l'Atlantide des nazis, capitale du futur empire planétaire, capitale du Nouvel Ordre Mondial... Tout ceci aurait été planifié, ils savaient que la destruction du monde viendrait, ils auraient tout organisé pour se partager, entre élites du monde, le continent Antarctique qui seraient dégelé à la suite d'un basculement magnétique. Ils héritent alors de la terre tels des élus. et pour les siècles à venir, pour ceux ça et là qui auront survécu et seront revenu à l'âge de pierre, les illuminatis, qui auront sauvegarder la technologie et des villes souterraines, se feront passer pour les nouveaux dieux...

Les enlèvements massifs d’enfants à travers le monde et surtout aux Etats-Unis ne sont pas seulement là pour faire fructifier les réseaux de snuffmovies, mais pour assurer la survie de l’humanité dans des villes souterraines. Ils doivent être choisis selon des critères particuliers.

 

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Le symbole de la pyramide, avec un œil qui voit tout, cela symbolise le sommet du monde, l’Antarctique. Entouré de la pointe de l’Amérique du sud, de l’Afrique et de l’Australie, ce qui donne le nom de code la franc-maçonnerie : AAA…On dirait un triangle avec un oeil au milieu. pour alimenter ces dires, AAA est aussi la meilleure des notes économiques d'un pays. Ainsi les Goldman Sachs Boys se moquent bien de vous en usant de ces 3 lettres maçonniques.    

 

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Il faut rajouter aussi que l’Antarctique est un continent surélevé par rapport au reste du monde, il est comme une immense montagne qui domine le reste de la terre. De part sa position géographique et son climat, il est une forteresse idéale pour ériger la capitale d’un empire imprenable.

Le symbole nucléaire est le symbole de l’Antarctique entouré par les trois pointes de l’Amérique du sud, l’Afrique et de l’Australie, ce qui donne un triangle, et l’œil car c’est le sommet du monde qui voit tout, quand on regarde cela donne un triangle :

 

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Et la croix gammée, le svastika, symbole divin dans toutes les anciennes civilisations de la planète,  est le symbole de la comète Elenin, le symbole du Nouvel Ordre Mondial, car le monde va être purifié, tout sera quasiment détruit et seul l’Antarctique survivra et sera dégelé. « Un Reich de mille ans adviendra alors… » Espérons qu’il n’en sera rien, mais quand on sait qu’en septembre 2010 l’ONU s’est doté d’un ambassadeur de l’humanité en cas de rencontre avec une civilisation extraterrestre, on peut se poser de sérieuses questions quand à l’enchainement des événements.

La terre promise du 3e Reich était l’Antarctique, la Nouvelle-Souabe, Neuschwabenland en allemand, c’était là où se trouvait la plupart de leurs bases et des centaines de milliers de gens y furent déportés pour les construire. Pourquoi les allemands voulaient vivre ici. Que fuyaient-ils ? Eux qui ont pris le svastika comme symbole devaient forcément savoir quelque chose. Aujourd'hui, ce sont les 2tats-Unis d'Amérique qui y ont installé leurs bases militaires les plus importantes, des complexes souterrains, et qui ont interdit la zone du pôle magnétique sud.

A noter que la Suisse était la banque du 3e Reich, c’est là où était entreposé essentiellement tout l’or nazi. Et la Suisse, aujourd’hui, capitale mondiale des banques privées, seul pays européen à n’être pas entré dans l’Union Européenne, est le seul pays à émettre des billets quelque peu étranges…

En effet, les Suisses ont mis sur leur billet de franc suisse la comète Elenin, sa trajectoire, des cromlechs de 8 pierres rectangulaires dressées, des soucoupes volantes ainsi que des êtres humanoïdes étranges… Ce qui confirmerait ici la thèse des nazis ayant réussi à s’enfuir de la planète, ce qui confirme aussi la thèse extraterrestre de Richard Hoagland, ancien conseiller de la Nasa, qui affirme que des vaisseaux extraterrestres, ou nazis c’est selon, se trouvent dans la queue de la comète Elenin. Les suisses ne sont pas entrés en Union Européenne pour nous prévenir du danger en l’imprimant sur leurs billets, ce qui parait incroyable et pourtant les billets sont là. Jugez par vous-mêmes.

Voici les billets de franc suisse :

 

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Werner Von Braun était un des plus grands scientifiques nazis, il est le père des fusées modernes, c’est lui qui crée les premiers moteurs spatiaux, les V2. Il est mort en 1977. Après la seconde guerre mondiale, il est récupéré par les américains tant ces derniers sont avides d’utiliser son génie scientifique. A la demande de Von Braun, une agence de projet spatial est mise en place sous son commandement, et à sa demande cette section militaro-scientifique américaine portera le nom de N.A.S.A. en référence aux NAZIS, N.A.S.A. signifiant National Aeronautics and Space Administration. Von Braun en sera le directeur général pendant plus de 20 ans.

C’est Von Braun lui-même qui avouera plus tard que les nazis n’ont pas perdu la guerre, mais qu’ils se sont réfugiés en Antarctique, dans les mondes souterrains et sur la lune. A partir de là ils auraient colonisés toute la galaxie et bien au-delà. Aujourd’hui leur empire galactique serait considérable. Ils auraient réussi cette prouesse grâce à leurs Haunebus, vaisseaux en forme de cercle, utilisant un moteur à énergie perpétuelle d’antigravitation. Les nazis sont les inventeurs de la soucoupe volante… Que les américains vont s'acharner à tourner en dérision par les films et les bandes dessinées dès les années 50, là où apparaissent les premières soucoupes volantes. On comprend mieux pourquoi les « abductés », les gens qui déclarent avoir été enlevés par les extraterrestres et avoir subi des expériences, signalent souvent dans leurs témoignages avoir entendu des mots d’allemand et vu des svastikas sur les murs. Les gris et autres petits hommes verts ne seraient que de la désinformation à grande échelle pour cacher l’atroce vérité. La seconde guerre mondiale apparaitrait alors comme le plus grand bluff de l’histoire. Ce qui expliquerait aussi pourquoi les américains ne sont jamais partis sur la lune, pourquoi de nombreux astronautes américains et russes ont dit être systématiquement escortés d’ovnis lors de leur voyage aux alentours de la lune…

L’histoire célèbre de l’amiral Byrd et de son expédition en Antarctique a été modifiée. Il ne rencontre pas des extraterrestres parlant anglais avec un léger accent allemand. Mais des nazis qui se prennent pour des extraterrestres, pour des dieux, ce qui n’est pas la même chose.

tout cela, beaucoup diront que ce n'est qu'élucubration grotesque, légende urbaine, pourtant, au cours du XXe siècle, de nombreux militaires américains, astronautes et employés de la NASA ont plus ou moins confirmé ou laisser entendre des éléments de cette thèse hallucinante.

De plus, et pour conclure, rappelons qu’aujourd’hui on veut nous imposer une puce électronique sur la main droite en guise de carte d’identité et de carte bancaire, de nouveaux vaccins obligatoires et dangereux pour notre santé, des pesticides et des ogm partout, ainsi qu’un gouvernement mondial, une banque mondiale et une monnaie unique.

Cela ressemble de plus en plus au projet des nazis, sans être paranoïaque, on peut se poser des questions quant à savoir qui dirige réellement le monde, et qui se cache réellement derrière les Illuminatis. Les Nazis ou Franc-maçons, ou encore Illuminatis ont-ils vraiment perdu la guerre ?

 

Marc Bildermann pour WikiStrike

L'Etat Islamique liquide les déserteurs (au moins 100 djihadistes)

samedi 20 décembre 2014 à 20:59
L'Etat Islamique liquide les déserteurs (au moins 100  djihadistes)

Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a exécuté 100 de ses combattants étrangers qui tentaient de quitter la ville syrienne de Raqqa (nord), a affirmé ce samedi dans leFinancial Times un activiste opposé au régime syrien et à l'EI.

Ce militant qui témoignait sous couvert de l'anonymat et que le Financial Timesdit «bien connaître», affirme dans le quotidien économique «avoir vérifié ces 100 exécutions» de djihadistes étrangers tentant de fuir les combats.

Selon des membres du groupe EI à Raqqa, une police militaire a été créée pour s'occuper des combattants étrangers tentant de déserter les combats, donnant lieu à des dizaines de fouilles de domiciles des combattants et à autant d'arrestations.

>> Le casse-tête des Français qui veulent rentrer de Syrie

La presse britannique affirmait mi-octobre que cinq Britanniques, trois Français, deux Allemands et deux Belges, qui voulaient rentrer dans leur pays d'origine après s'être plaints de combattre des groupes rebelles plutôt que les forces du régime de Bachar al-Assad, avaient été faits prisonniers par le groupe EI.

Beaucoup de pertes

Au total, entre 30 et 50 Britanniques souhaiteraient rentrer mais craignent d'être emprisonnés à leur arrivée, évaluaient également mi-octobre des chercheurs du King's College de Londres qui avaient été contactés par l'un d'entre eux affirmant parler au nom des autres.

Depuis le lancement en août de la campagne de frappes aériennes menée par la coalition formée par les Etats-Unis, le groupe djihadiste a perdu du terrain et vu le nombre de ses membres tués augmenter notablement.

Cette semaine, le Pentagone a affirmé que plusieurs chefs du groupe EI en Irak avaient été tués par les frappes aériennes de la coalition.

En 40 jours, entre octobre et novembre, quelque 2.000 raids ont fait plus de 500 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG qui dispose d'un réseau de militants et sources médicales sur le terrain.

 

Source

USA : La mythologie historique au service du fascisme

samedi 20 décembre 2014 à 20:43
USA : La mythologie historique au service du fascisme

A l’heure actuelle, le gouvernement américain accorde son soutien à de nombreux fascistes et néo-Nazis.

En Ukraine, un gang arborant la croix gammée, le “Right Sector” a constitué une force prédominante dans la campagne de violence et de terreur de rues qui a fait tomber le gouvernement élu. Le “Right Sector” n’est qu’un groupe ultranationaliste ukrainien parmi tant d’autres qui ne cachent pas leur admiration pour Hitler. De nombreuses personnalités appartenant au régime de Kiev qui, parce qu’il menace la Russie, est soutenu par les Etats-Unis, ont ouvertement fait l’éloge d’Adolf Hitler. Le régime de Kiev s’appuie sur ces fanatiques antirusses déments pour mener une guerre contre sa propre population dans l’Est du pays.

En Syrie, les Etats-Unis ont appuyé les extrémistes takfiris. Les takfiris sont des groupes armés islamistes qui appellent à l’extermination de ceux qui ont des convictions religieuses jugées inacceptables. Ils sont connus pour pratiquer la torture, recruter des enfants soldats et commettre toutes sortes de crimes odieux contre l’humanité. Pour de simples raisons ethniques ou religieuses, ils exécutent sommairement des gens en les décapitant. Le gouvernement américain et ses alliés ont financé ces groupes dans l’espoir de renverser la République arabe syrienne.

En Bolivie, au Venezuela, en Equateur ainsi que dans d’autres pays bolivariens, les USA soutiennent « l’opposition » qui compte de nombreux admirateurs des dictateurs fascistes Francisco Franco et Auguste Pinochet. Les minorités anti bolivariennes d’Amérique latine évoquent ouvertement la campagne de violence terroriste destinée à renverser les gouvernements prosocialistes élus. Robert Serra, personnalité politique du Venezuela a déjà été assassiné par ces extrémistes dont la violence est susceptible d’empirer au fur et à mesure que les gouvernements populaires anticapitalistes se consolident.

Aux Etats-Unis, même à l’intérieur des frontières, on a assisté à un renouveau du sentiment fasciste et néo-nazi. Le Ku Klux Klan s’est manifesté dans les rues de Ferguson menaçant ceux qui osaient protester contre le meurtre de Michael Brown. En Arizona et au Nouveau Mexique des groupes hostiles à l’immigration affichent souvent des croix gammées et prônent ce qu’ils appellent la «pureté raciale» dans leur pays. Le shérif Joe Arpaio a fièrement exhibé des photos où on le voit en compagnie de nationalistes blancs. Certaines personnalités politiques appartenant à des groupes suprématistes blancs occupent des fonctions publiques dans certaines régions du Sud-ouest.

Comment justifier moralement tout ceci? Les crimes des nazis et des fascistes sont parfaitement connus et documentés et ils horrifient tous ceux qui possèdent le plus élémentaire sens moral. En outre, au cours des sept dernières décennies, l’ensemble des principes qui ont défini l’identité nationale des américains s’articulent autour de concepts tels que la «liberté» et la «démocratie». Se rallier à des forces qui appellent à la dictature fasciste et à des crimes raciaux est totalement contradictoire avec la propagande autour de l’ « American way of life ».

Afin de justifier les politiques actuelles du gouvernement tant à l’échelle nationale qu’internationale, les Etats-Unis ont mené une campagne de révisionnisme historique. Des écrivains comme Timothy Snyder et Roger Moorhouse sont largement représentés dans l’ensemble des médias américains. Timothy Snyder est considéré comme un «expert» sur les questions ukrainiennes et donne des interviews à ce sujet sur ​​presque toutes les chaines de télévision. Le livre de Snyder, « Bloodlands » (Terre de sang) est largement diffusé, analysé et recommandé. Plus récemment, le livre de Moorhouse, « The Devil’s Alliance » a été commenté dans le Wall Street Journal et dans d’autres publications importantes.

Ces livres n’abordent pas les événements actuels en Ukraine, au Venezuela, en Syrie, ou en Arizona. Au contraire, ils ne traitent que des événements qui ont eu lieu dans les années 1930 et 1940. Mais si ces textes historiques sont largement diffusés, c’est qu’ils servent à justifier les actions actuelles des dirigeants des États-Unis.

Le message de ces livres est simple :  » Le communisme soviétique et le nazisme allemand sont équivalents sur le plan moral ». Si on valide ce mensonge historique, le soutien constant apporté par les États-Unis au fascisme apparait alors beaucoup moins immoral.

La thèse principale des révisionnistes historiques est que l’Union Soviétique et l’Allemagne nazie se sont retrouvées «alliées » à un moment donné. C’est le message qui se dégage des livres de Moorhouse et de Snyder cités plus haut.

C’est absolument faux. L’Union Soviétique et l’Etat nazi allemand n’ont jamais été alliés. A aucun moment les deux gouvernements n’ont manifesté une admiration mutuelle. Le pacte Molotov – Ribbentrop de 1939 n’a jamais constitué une alliance. L’Union Soviétique et l’Allemagne nazie étaient des sociétés antagonistes, fondée sur des principes totalement opposés. Non seulement les deux sociétés ne se sont jamais alignées, mais elles n’ont jamais pu coexister pacifiquement.

Antisoviétisme : fondement du nazisme

Incendie du Reichstag

Incendie du Reichstag

C’est l’obsession de l’idéologie qui distingue le fascisme des autres formes de capitalisme occidental, et même de celui d’autres Etats policiers autocratiques. Les Etats policiers et les régimes militaires répriment et assassinent pour des raisons purement pragmatiques. L’approche idéologique du fascisme est unique. Le fascisme ne se caractérise pas par la répression pure et simple, mais par l’édification d’un mouvement de masse qui se livre à des actes extrajudiciaires d’extrême violence. Les Etats fascistes dépendent d’abord d’une masse de fanatiques sanguinaires pour faire fonctionner volontairement leurs opérations.

Le fondement idéologique sur lequel reposait entièrement l’État nazi dirigé par Adolf Hitler a été l’anticommunisme et l’antisoviétisme. Le Parti national socialiste des travailleurs allemands (NSDAP ) a été créé dans les années 20, lorsque le Parti social-démocrate et le Parti communiste bénéficiaient encore d’une grande influence dans la société allemande. Hitler a proclamé : « Des décennies de marxisme ont ruiné l’Allemagne. Le bolchevisme va la détruire. Les plus beaux territoires sur terre seront réduits en cendre « .

L’ouvrage d’Hitler « Mein Kampf » (Mon combat) est considéré comme le texte sacré du nazisme allemand. Le livre est en partie une autobiographie et en partie un document définissant les principes et les croyances du mouvement nazi. Dans ce texte, Hitler impute la défaite allemande pendant la Première Guerre mondiale à l’influence du marxisme dans la société allemande. Il affirme ensuite que le marxisme est une conspiration de la part des Juifs. Il en déduit que c’est à cause de l’absence d’une idéologie fortement anticommuniste de la part des gouvernements allemands précédents que le marxisme et le « bolchevisme  » n’ont jamais été vaincus. Hitler présente le nazisme comme une idéologie susceptible de rallier le peuple allemand, dans le but de vaincre la «menace bolchéviste » et de restaurer la grandeur précédente de l’Allemagne.

Aussi bien avant qu’après sa prise de pouvoir, Hitler a déclaré à plusieurs reprises que l’objectif officiel du nazisme était de « débarrasser le monde du bolchevisme. » En 1933, l’une des premières mesures du nouveau chancelier allemand fut de se rendre au Vatican à Rome. Là, Hitler a demandé au pape d’appeler à une sainte croisade et d’ordonner aux catholiques du monde entier d’attaquer l’Union Soviétique.

La suppression radicale des libertés civiles qui a suivi la prise de pouvoir par Hitler aurait prétendument eu lieu en réaction à l’incendie du bâtiment du Parlement allemand, le Reichstag. Hitler a rendu le Parti communiste allemand responsable de cet acte en affirmant qu’il l’avait commis sur ​​les ordres de l’Union Soviétique. Les dirigeants communistes, Georgi Dimitrov et Ernst Thalmann furent arrêtés et l’Etat nazi se donna beaucoup de mal pour convaincre à tort le public allemand que le bâtiment du parlement avait été détruit suite à une conspiration d’inspiration soviétique.

Le fondement même du nazisme a été l’anticommunisme, et la quasi-totalité de ses actions a été basée sur la haine de l’Union Soviétique. La persécution des Juifs s’est développée sur la croyance que « le marxisme juif » était responsable des difficultés du pays et que les Juifs allemands étaient secrètement fidèles à l’Union Soviétique.

Si une alliance entre l’URSS et l’Allemagne nazie s’était formée, elle aurait complètement discrédité l’État nazi. Les simples partisans fanatiques aussi bien que les dirigeants les plus importants du parti nazi étaient entièrement motivés par leur haine démesurée envers l ‘Union Soviétique et l’idéologie marxiste-léniniste promue à l’échelle internationale. En outre, l’Etat nazi encourageait une haine excessive à l’encontre des peuples de l’Union Soviétique en se fondant sur des critères racistes. Le nazisme considérait que les peuples slaves étaient génétiquement et culturellement inférieurs aux Européens occidentaux. Mais si le mépris envers les Juifs étaient sans conteste l’obsession raciale primordiale des nazis, ils considéraient aussi que les Slaves, les Africains, et à partir d’un certain moment, les peuples d’Asie et d’Amérique latine, étaient racialement inférieurs aux « Ariens ».

Ces théories raciales du nazisme causent de gros problèmes aux hitlériens modernes lorsque avec le soutien de Wall Street, ils attaquent les gouvernements progressistes anti-impérialistes et les forces progressistes. Les mouvements fascistes de skinheads qui ne cessent de croitre en Amérique latine et qui se sont manifestés lors des récentes émeutes au Brésil, n’ont pas pu passer suffisamment sous silence le fait que les nazis considéraient les peuples de couleur comme une race inférieure. En outre, il n’est un secret pour personne que bien que les nazis aient conclu des alliances avec les forces anti-communistes en Ukraine, l’idéologie nazie définit encore les Ukrainiens comme des Slaves ethniquement inférieurs aux Ariens.

Pour qu’une alliance entre les nazis et les soviets ait pu voir le jour, il eut fallu que l’État nazi répudiât les fondements mêmes de son idéologie et de son existence. Cela ne s’est produit ni au moment du pacte de 1939, ni à aucun autre moment pendant le Troisième Reich.

La nature du socialisme soviétique

De même que l’Etat nazi dépendait d’un mouvement de simples membres fanatiques et sanguinaires pour exister, l’Union Soviétique dépendait de millions de personnes susceptibles d’être assez motivées par une idéologie pour passer à l’action. L’idéologie de ces millions de personnes qui faisaient la force de l’Union Soviétique était totalement contraire à celle de l’Allemagne nazie.

Le Parti communiste de l’Union Soviétique, était violemment haï par les nazis allemands parce qu’il était fondé sur une idéologie marxiste-léniniste, une idéologie quasiment opposée à la leur.

Le parti nazi reposait sur le racisme, l’antisémitisme, et les théories de supériorité et d’infériorité raciales. L’Union Soviétique était non seulement opposée à de tels principes mais elle les avait interdit dans sa constitution. Prêcher la haine raciale ou la suprématie en Union Soviétique pouvait entrainer une arrestation et un emprisonnement.

Harry Haywood, un Afro-Américain qui s’est rendu en Union Soviétique dans les années 30, a raconté qu’un homme ivre qui avait fait à son égard un commentaire raciste dans un train avait immédiatement été placé en détention par la police, et qu’entre autre sanctions, il avait été forcé de s’excuser auprès de lui.

Le fondateur de l’Union Soviétique, Vladimir Lénine est célèbre pour avoir fustigé le Parti communiste sud-africain pour avoir apporté son soutien au racisme dans le mouvement syndical. Pour pouvoir adhérer au communisme international, le Parti communiste sud-africain s’est alors vu contraint d’ajuster son programme politique pour en exclure toute notion de racisme.

L’Etat Nazi était fondé lui-même sur l’obsession de la nation allemande comme le montre son hymne national « Deutschland Uber Alles  » (l’Allemagne avant tout). L’Union Soviétique et ses alliés internationaux se basaient, quant à eux, sur le slogan «Travailleurs et peuples opprimés du monde entier unissez-vous! » Lénine avait ajouté «et les peuples opprimés » au slogan original de Karl Marx.

Staline, leader de l’Union Soviétique dans les années 1930, n’était pas ethniquement russe, mais d’origine géorgienne. Il a abondamment écrit sur le droit des nationalités opprimées à l’autodétermination et à l’indépendance.

Lorsque l’Italie a envahi l’Éthiopie, l’Union Soviétique a soutenu haut et fort les peuples africains dans leur lutte contre les envahisseurs européens. Lorsque la République espagnole dut faire face à une insurrection fasciste, soutenue par l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste, l’Union Soviétique a été le seul pays à envoyer une aide militaire à la République espagnole.

L’Internationale communiste des soviétiques a œuvré pour bâtir un «Front populaire contre le fascisme » dans chaque pays où existaient ses forces. L’Union Soviétique a envoyé une aide militaire et financière à des groupes de résistance armée clandestins en Allemagne, Italie, France, Yougoslavie, Albanie, et dans tous les autres pays où le régime nazi était susceptible de s’imposer. Plus de 26 millions de personnes en Union Soviétique ont péri dans la lutte pour vaincre l’Allemagne nazie.

L’hostilité de l’Occident

1856849014L’Union Soviétique a consacré près d’une décennie à tenter de construire une alliance antifasciste, pour finalement être snobée à plusieurs reprises par la Grande-Bretagne, la France et les Etats-Unis. La loi sur la neutralité, le “Neutrality Act”, adoptée par le Congrès américain a rendue illégale toute adhésion à une alliance antifasciste avec l’URSS.

Beaucoup de milliardaires aux États-Unis admiraient ouvertement Hitler. Henry Ford a reçu la Croix de Fer de la main d’Adolph Hitler et distribué des livres et des journaux antisémites et pro-Hitler aux concessionnaires automobiles.

Les propriétaires de la General Motors Corporation ont parrainé les émissions de radio d’Hitler soutenant le prêtre catholique Charles Coughlin. General Motors a également employé une organisation pro-Hitler appelée « Black Legion » pour attaquer les syndicalistes.

IBM, qui a maintenant des installations dans des colonies israéliennes illégales, avait des liens financiers étroits avec l’Etat nazi. C’est IBM qui a conçu les machines à cartes perforées utilisées par les nazis pour gérer leurs camps de concentration.

Les comptes de Prescott Bush, le grand-père de l’ancien président américain George W. Bush, furent saisis conformément à la Loi sur le commerce avec l’ennemi (Trading With the Enemy Act ). La firme de Wall Street de Bush faisait essentiellement office de courtier pour l’Etat nazi.

La famille royale britannique ainsi que de nombreux riches banquiers britanniques avaient des liens financiers avec les nazis. Ils leur prêtaient de l’argent afin de favoriser leur expansionnisme militaire et la répression.

L’Union Soviétique a travaillé très dur pour construire une alliance antifasciste avec l’Occident, mais elle a été incapable de le faire. Les banquiers et les capitalistes occidentaux avaient trop d’admiration pour Hitler pour qu’une telle alliance puisse se former.

Le Pacte de 1939

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Le pacte Molotov-Ribbentrop de 1939 ne contenait aucun élément approuvant ou validant le nazisme ou les actions de l’Etat nazi. Le pacte n’a abouti à aucune activité militaire conjointe. Il se bornait à établir que pendant une brève période les deux pays ne s’engageraient pas dans des activités militaires l’un contre l’autre.

Pendant toute la durée du pacte, les partis communistes soviétiques dans le monde n’ont nullement cessé leurs activités antifascistes. Les manifestations contre les organisations pronazis et profascistes ont continué. Le boycott des produits en provenance d’Allemagne, l’Italie, et du Japon a été maintenu.

De nombreux gauchistes ont soulevé des objections de toutes sortes, ou sur la nature du pacte, ou la façon dont il a été conclu. Beaucoup de juifs de gauche et de sociaux-démocrates aux États-Unis ont estimé que le pacte n’était pas approprié, et ont exprimé cette opinion très énergiquement. Les trotskystes ont composé une chanson intitulée “My Darling Party Line” qui se moquait du pacte. Le pacte a eu pour effet de changer les relations entre l’administration Roosevelt et le Parti communiste des États-Unis, et a entraîné l’emprisonnement passager du dirigeant communiste Earl Browder sous couvert d’une violation de passeport.

Personne cependant, n’a pu soutenir que le pacte de non-agression de 1939 constituait une alliance. Le pacte était une mesure temporaire, conclu dans l’espoir d’éviter ce que les fonctionnaires soviétiques ainsi que toutes les voix représentant l’Etat nazi jugeaient inévitable : une invasion nazie de l’Union Soviétique.

TIME Magazine ainsi que d’autres médias ont tenté d’utiliser le pacte pour calomnier l’Union Soviétique. Le célèbre trotskyste Max Shachtman s’est servi du pacte pour justifier sa théorie du «collectivisme bureaucratique».

Toutefois, un grand nombre d’intellectuels et d’artistes sont intervenus pour défendre l’Union Soviétique contre ces attaques. Des manifestes déclarant que l’Union Soviétique et l’Allemagne nazie ne pouvaient tout simplement pas être moralement assimilés, ont paru dans les journaux, signés par de nombreuses personnalités non communistes. Ce sentiment était largement partagé par le mouvement ouvrier et la majorité de la société américaine.

En 1941, quand les Etats-Unis et l’Union Soviétique s’allièrent contre l’Etat nazi, il n’y eut aucune confusion dans l’esprit des américains. Le pacte que le Japon, l’Italie et l’Allemagne avaient signé avant le déclenchement de la guerre avait été intitulé « Le pacte anti-Komintern. » La nature anti-communiste du fascisme et la nature antifasciste du communisme, étaient communément admises.

Le Révisionnisme historique

Pendant la guerre froide, les écrits de George Orwell – auteur de l’expression, «Qui contrôle le présent, contrôle le passé » – ont été utilisés pour attiser la haine de l’URSS auprès du public américain. Les livres d’Orwell sont actuellement enseignés dans l’ensemble des écoles américaines. La plupart des américains tirent leur connaissance du communisme non pas de l’histoire soviétique, mais du roman allégorique d’Orwell dont les personnages sont des animaux de ferme (La Ferme des animaux).

L’anticommunisme n’a pas pris fin avec la guerre froide. Il a continué à être présent dans les médias, la culture et la société américaine. Plus le niveau de vie des sociétés occidentales capitalistes baisse, plus l’anticommunisme devient fort et populaire.

Aux États-Unis lorsque les maisons sont saisies, que les salaires baissent, et que la répression policière augmente, les capitalistes se contentent de déclarer: « Bien sûr notre système est mauvais – mais voyez comme les choses pourraient être pires si ce système s’écroulait! »

Cette logique est de plus en plus répandue au niveau international. En Ukraine, au Venezuela, et ailleurs, les Etats-Unis disent: « Bien sûr, nous sommes proches des nazis – mais au moins nous nous battons contre les communistes! »

La mythologie entourant le pacte Molotov-Ribbentrop de 1939 – et par extension l’adage «Staline était pire qu’Hitler » – a d’énormes implications sur les événements mondiaux et sur les luttes politiques internes aux États-Unis.

L’une des nombreuses batailles acharnées du 21e siècle est celle qui tente de définir l’histoire du 20ème siècle. Pour certains, l’histoire peut sembler abstraite, hors de propos, et étrangère aux tâches à accomplir, mais c’est une conception erronée.

L’histoire constitue la charpente à partir de laquelle nous considérons le présent. Pour que l’oppression persiste, l’histoire doit continuer à être écrite par les oppresseurs. Pour que les choses s’améliorent, il faut que la véritable histoire de la résistance et de la révolution, y compris les grandes réalisations de l’Union Soviétique, soit présente dans la conscience populaire.

Caleb Maupin est un politologue militant qui vit à New York. Il a étudié les sciences politiques à Baldwin-Wallace College et a été inspiré par le mouvement « Occupy Wall Street » dans lequel il s’est impliqué en particulier pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook »

Traduit par Françoise Valla pour Réseau International

http://journal-neo.org/2014/12/13/historical-mythology-in-the-service-of-fascism/