Attentat contre Charlie Hebdo : 9 points étranges
vendredi 9 janvier 2015 à 15:311 - Après le passeport indestructible du 11 septembre, l'un des deux suspects, Saïd Kouachi, a oublié, malencontreusement, sa carte d'identité dans la voiture.
2- Lors de la tuerie, entre 3 et 5 tireurs ont été aperçus:
3 - La piste israélienne :
A - JSS News semble très bien informé. Ne citant pas leurs sources, ils auraient été les premiers à publier l'identité des terroristes:
Toujours selon JSS News, les premiers médias à diffuser la vidéo du policier abattu auraient été ceux d'Israël:
B - Russia Today nous apprend qu'Amchai Stein, l'éditeur en chef de la chaine israélienne IBA Channel 1, était présent sur les lieux du crime et postait des photos de la fusillade:
5 - La police était injoignable lors du massacre:
6 - Un temps d'attente anormalement long entre la tuerie et l'arrivée des secours:
7 - Moins d'une heure après l'attaque, Hollande se rend, sans aucune peur, sur le lieu du drame:
8 - Un commissaire de police de Limoges qui travaillait sur l'affaire Charlie Hebdose suicide mystérieusement dans son bureau:
9 - Des soi-disant « terroristes » ressemblant plus à la police antiterroriste qu'à autre chose:
Deux personnes qui ont croisés la route des frères Kouachi témoignent ce matin du 9 janvier
D'abord l'homme qui s'est fait volé sa voiture ce matin dans l'Oise, sur RTL. "Ils étaient en tenues paramilitaires et avec leurs armes à la main, très calmes, très sereins, très professionnels, pas énervés. Ils ont jamais couru ni élevé la voix. Ils n'étaient pas transpirants. Ils donnaient l'impression d'être en opération",explique le conducteur de la clio grise vraisemblablement attaquée par les frères Kouachi vendredi matin. "La simple chose qu'il m'ont dite en partant : "si les médias te posent une question, tu n'as qu'à dire que c'est Al Qaïda Yémen". C'est la dernière chose qu'il m'ont dite."
Puis, sur France info, un commercial qui était dans la zone artisanale de Dammartin et qui a d'abord cru avoir affaire à un policier : "Je ne les ai pas reconnus formellement, ils étaient habillés comme des policiers d'intervention, tenue noire, gilet pare-balles et fusil. Ça aurait pu être un policier s'il ne m'avait pas dit 'on ne tue pas les civils'. Ils étaient lourdement armés, comme des policiers qui interviennent avec des fusils type kalach. J'étais devant la porte de l'entreprise, j'ai serré la main de Michel [un client, NDLR] et de l'un des terroristes. Il m'a dit 'je suis la police. Partez, on ne tue pas les civils'. Après je suis parti, et Michel a fermé le portail derrière moi. Je suis parti dans la foulée"