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La France a perdu sa place de 5ème puissance économique au profit du Royaume-Uni

mardi 30 décembre 2014 à 17:45
A glou glou capitaine Hollande

A glou glou capitaine Hollande


Le Royaume-Uni vient de ravir à la France son titre de 5èmepuissance du monde en termes de taille du PIB, rapporte The Independent. Cependant, ce n’est pas la politique du chancelier de l’Echiquier George Osborne qui a été la plus décisive pour cette évolution, mais plutôt la prise en compte des activités illégales de trafic de drogue et de prostitution dans le calcul du PIB, comme l’UE l’a réclamé aux Etats-membres au début de cette année.

Les recettes générées par ces activités ont été évaluées à près de 10 milliards de livres (environ 12 milliards d’euros) qui se sont ajoutées au PIB britannique alors que la France, de son côté, n’a pas pris en compte ces activités illicites pour le calcul de son PIB…

Le Centre for Economic and Business Research (CEBR), qui est parvenu à cette conclusion, anticipe également que le Royaume Uni devrait dépasser l’Allemagne à partir de 2030, en raison de la réduction de la population allemande. Mais l’étude du CEBR montre également que le Royaume Uni ne sera bientôt plus la plus grande puissance du Commonwealth, puisqu’il devrait être devancé par l’Inde, dans les 3 prochaines années. En outre, l’Inde devrait devenir la 3ème puissance mondiale à partir de 2024.

 

En termes de PIB, les Etats-Unis sont encore aujourd’hui la plus grande puissance mondiale, mais le changement de la manière dont la Chine calcule son PIB, et qu’elle a introduit cette année, signifie que l’Empire du Milieu devrait distancer les Etats-Unis plus rapidement que prévu, d’ici 2025.

En revanche, la Russie, qui connait de sérieuses difficultés actuellement en raison de la chute des cours du pétrole et de la forte baisse de la parité du rouble par rapport au dollar, a glissé de la 8ème place à la 10èmeplace, où elle devrait rester jusqu’en 2030.

Le PIB n’est pas le seul critère de classement des puissances économiques. De son côté, le FMI effectue ce classement en comparant les parités de pouvoir d’achat, et sur la base de ce critère, la Chine a dépassé les Etats-Unis comme première puissance mondiale au cours de cette année.

Selon le CEBR, les 10 plus grandes puissances mondiales sont les suivantes :

  1. Etats-Unis (l’année dernière : 1er)
  2. Chine (2)
  3. Japon (3)
  4. Allemagne (4)
  5. Royaume Uni (5)
  6. France (6)
  7. Brésil (7)
  8. Italie (9)
  9. Inde (10)
  10. Russie (8)

En 2030, le top 6 sera le suivant :

  1. Chine
  2. Etats-Unis
  3. Inde
  4. Japon
  5. Brésil
  6. Royaume Uni

 

​Source

 

La découverte de dizaines de milliers de restes humains géants aurait été dissimulée

mardi 30 décembre 2014 à 14:15
La découverte de dizaines de milliers de restes humains géants aurait été dissimulée

Une décision de la Cour suprême des États Unis a forcé l'Institut Smithsonian à publier des documents datant du début des années 1900 et prouvant que l'organisation a été impliquée dans une importante affaire de dissimulation historique. Des dizaines de milliers de restes humains géants, découverts un peu partout en Amérique, ont ainsi été détruits sur l'ordre d'administrateurs de l'institut, afin que le grand public ne puisse connaître cette partie de l'histoire humaine. 

 

 

bone, giant
« C'est une chose terrible qui a été faite au peuple amérindien, écrit-il, « nous cachons la vérité sur les véritables ancêtres de l'humanité, nos ancêtres, les géants qui parcouraient la terre comme le rappellent la Bible et les textes anciens du monde ». 

La Cour suprême américaine a donc forcé l'Institut Smithsonian a publié des informations classifiées à propos de tout ce qui touche à la « destruction des éléments de preuves relatives à la culture des bâtisseurs de mound » et des éléments « se rapportant aux squelettes humains d'une hauteur inhabituelle ». Une décision saluée par l'AIAA. 

La publication de ces documents aidera les archéologues et les historiens à réévaluer les théories actuelles sur l'évolution humaine et faciliteront notre compréhension de cette culture de constructeurs en Amérique et dans le monde » explique le directeur de l'AIAA, Hans Guttenberg. « Enfin ! après plus d'un siècle de mensonges, la vérité sur nos ancêtres géants peut être révélée au monde ! » reconnaît il, visiblement satisfait de la décision du tribunal. 

Les documents doivent être publiés en 2015 et l'opération sera coordonnée par un organisme scientifique indépendant pour assurer la neutralité politique. 


La suite en anglais sur World News Daily Report

 

Source

Nigéria : Boko Haram est bel et bien une création de la CIA !

mardi 30 décembre 2014 à 12:51
Nigéria : Boko Haram est bel et bien une création de la CIA !

Keith Harmon Snow, journaliste indépendant, affirme que le groupe takfiri nigérian Boko Haram a été créé par les États-Unis : « Boko Haram est une création de la CIA. Il a été créé par des agents de renseignement soutenus et armés par des factions connectées aux États-Unis, grâce à l’Arabie Saoudite », tous deux aux ordres du sionisme et de ses lobbies.

Fondée en 2002, l’organisation terroriste vise tout particulièrement les étudiants et les Chrétiens. On se souvient de l’enlèvement de 276 étudiantes le 14 avril 2014, dont 219 sont toujours portées disparues ! La tragédie puis l’opération « Bring back our girls » (Rendez-nous nos filles) avaient attiré l’attention de la communauté internationale.

Boko Haram a les mêmes géniteurs que « l’Etat islamique » en Syrie et en Irak : le wahhabisme et l’empire américano-sioniste… En créant ce monstre, les Etats-Unis contribuent directement à la déstabilisation du pays le plus peuplé d’Afrique, ils se donnent alors, un chèque en blanc pour déployer leurs troupes au Nigéria, au nom de la lutte contre le terrorisme.

Le mode opératoire a été bien rodé en Syrie, en Iraq, en Afghanistan et en Libye : quelques agitateurs surarmés et bien payés vont exécuter les ordres transmis par la CIA. Ils s’arrangent pour choisir le moment ou l’endroit qui marqueront les esprits Occidentaux. En effet, les dates choisies sont parlantes pour l’Occident chrétien : la veille de la Toussaint à Bagdad (Irak, 2010), la veille du nouvel an (Egypte, 2010), à Noël (Nigéria, 2011) ou à Pâques (Nigéria, 2014).

Avec la complicité des médias, le sionisme poursuit sa campagne anti-Islam. Dans le cadre d’une campagne islamophobe, qui bat son plein actuellement en Europe, il cherche en fait, à préparer les opinions à des affrontements. Ne voyant sa survie qu’à travers « le choc des civilisations » qui opposerait Chrétiens et Musulmans, le sionisme espère tirer profit du conflit pour exercer librement sa domination mondiale ! 

Un tel scénario se produirait, bien-sûr, aux dépens des peuples américains et européens. C’est pourquoi, le Parti Anti Sioniste met en garde les Français, en particulier, de ne pas tomber dans le piège tendu par le sionisme, véritable responsable des tensions intercommunautaires, qui veut opposer Chrétiens et Musulmans.

 
Par Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
© www.partiantisioniste.com/communications/2187

L’incroyable plan de « paix » US pour la Syrie

mardi 30 décembre 2014 à 12:42
Ancien commandant des Forces de l’Otan en Afghanistan, le général John R. Allen complota avec le général David Petraeus pour saboter le plan de paix en Syrie lors de la conférence de Genève 1. Le président Barack Obama le fit placer sous surveillance et parvint à empêcher sa nomination à la tête de l’Otan. Cependant, il réussit à se maintenir en fonctions malgré les charges retenues contre lui (tandis que Petraeus fut contraint de démissionner de la direction de la CIA). Devenu commandant de la Coalition militaire anti-Daesh, il soutient les manigances que le général Petraeus dirige depuis le Kohlberg Kravis Roberts Global Institute. Il est administrateur du Center for a New American Security (CNAS), le think tank des « faucons libéraux ».

Ancien commandant des Forces de l’Otan en Afghanistan, le général John R. Allen complota avec le général David Petraeus pour saboter le plan de paix en Syrie lors de la conférence de Genève 1. Le président Barack Obama le fit placer sous surveillance et parvint à empêcher sa nomination à la tête de l’Otan. Cependant, il réussit à se maintenir en fonctions malgré les charges retenues contre lui (tandis que Petraeus fut contraint de démissionner de la direction de la CIA). Devenu commandant de la Coalition militaire anti-Daesh, il soutient les manigances que le général Petraeus dirige depuis le Kohlberg Kravis Roberts Global Institute. Il est administrateur du Center for a New American Security (CNAS), le think tank des « faucons libéraux ».

Le peuple syrien a gagné deux guerres successives en quatre ans. Pourtant, il ne parvient pas à connaître la paix. Non seulement à Washington, les « faucons libéraux » font tout ce qui est en leur pouvoir pour faire durer la crise, mais ils ont imaginé un plan pour préparer une troisième guerre. Thierry Meyssan révèle ici la manière dont ils entendent utiliser à leur profit la conférence de paix, prévue à Moscou fin janvier 2015.

 

Lorsqu’en 2001, le président George W. Bush décida de placer la Syrie dans sa liste de cibles à détruire, il poursuivait trois objectifs : 
- briser « l’Axe de la Résistance » et favoriser l’expansion israélienne ; 
- faire main basse sur les gigantesques réserves de gaz ; 
- remodeler le « Moyen-Orient élargi ».

Les projets de guerre échouèrent en 2005 et en 2006, pour finalement prendre la forme du « printemps arabe », en 2011 : une guerre de 4ème génération devait porter les Frères musulmans au pouvoir. Cependant, à l’issue d’une année de manipulations médiatiques, le peuple syrien sortit de sa torpeur et soutint son armée. La France se retira du jeu après la libération de Baba Amr, tandis que les États-Unis et la Russie se partageaient la région à la conférence de Genève 1 (juin 2012). Mais, à la surprise générale, Israël parvint à renverser la table de négociations en s’appuyant sur le nouveau président français, François Hollande, la secrétaire d’État US Hillary Clinton et le directeur de la CIA David Petraeus. Une seconde guerre, de type nicaraguayen cette fois (c’est-à-dire alimentée par la venue continuelle de nouveaux mercenaires) ensanglanta à nouveau la région. Quoi qu’il en soit, cette seconde guerre a également échoué sans pour autant déboucher sur une paix durable. Au contraire, John Kerry modifia deux jours avant le format de la conférence de Genève 2 et tenta de la transformer en une tribune pro-Saoudienne. Dans ce désordre survint la troisième guerre, celle de Daesh : soudain un groupuscule de quelques centaines de jihadistes se transforma en une vaste armée de plus de 200 000 hommes, bien équipés, et se lança à l’assaut de la partie sunnite de l’Irak et du désert syrien.

Il y a plusieurs mois, j’expliquais que le projet de Daesh correspond à la nouvelle carte US du partage du Moyen-Orient, publiée par Robin Wright dans le New York Times, en 2013 [1]. Dans le prolongement des accords Sykes-Picot, l’état-major états-unien envisageait de réduire encore drastiquement la Syrie. Aussi, lorsque les USA —après avoir attendu que Daesh termine en Irak le nettoyage ethnique pour lequel ils l’avaient créé— commencèrent à bombarder les jihadistes, la question se posait de savoir si les zones libérées de Daesh seraient ou non restituées à Bagdad et à Damas.

Alors que les États-Unis ont refusé de coordonner leur action militaire contre Daesh avec la Syrie, et que la Russie prépare une conférence de paix, les « faucons libéraux » de Washington ont fixé de nouveaux objectifs.

Puisque le peuple syrien n’a pas cru à la « révolution » mise en scène par al-Jazeera et consorts, puis qu’il a refusé de soutenir les Contras contre la République, il n’est pas possible de « changer le régime » à court terme. Force est de constater que la nouvelle constitution, bien qu’imparfaite, est à la fois républicaine et démocratique ; et que le président Bachar el-Assad a été réélu par 63 % du corps électoral (88 % des suffrages exprimés !). Aussi, les États-Unis doivent-ils adapter leur discours à la réalité.

Le plan de « paix » des « faucons libéraux » consiste donc à parvenir aux objectifs initiaux en divisant la Syrie en deux : une zone gouvernée par Damas et une autre par les « rebelles modérés » (comprendre : par le Pentagone). À la République : la capitale et la côte méditerranéenne ; au Pentagone : le désert syrien et ses réserves de gaz (c’est-à-dire la zone libérée des incursions de Daesh par les bombardiers du général John Allen). Selon leurs propres documents, les « faucons libéraux » ne laisseraient que 30 % de leur territoire au Peuple syrien !

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La carte du remodelage selon Robin Wright

Le principe est simple : actuellement, la République contrôle toutes les grandes villes, sauf Rakka et une petite partie d’Alep, mais personne ne peut prétendre contrôler un vaste désert, ni le gouvernement, ni les jihadistes. Donc le Pentagone pose que ce qui n’est pas clairement gouverné par Damas revient de droit à ses mercenaires !

Ce n’est pas tout. Puisque les Syriens ont élu Bachar el-Assad, il sera autorisé à rester au pouvoir, mais pas ses conseillers privés. En effet, chacun sait que l’État syrien a réussi à résister à l’agression étrangère parce qu’il comprend une partie secrète, difficile à identifier et donc à éliminer. Cette opacité avait été voulue par le fondateur de la Syrie moderne, le président Hafez el-Assad, pour résister face à Israël. La réforme constitutionnelle de 2012 ne l’a pas fait disparaître, mais en a rendu le président élu responsable devant la Nation. Même si l’on peut déplorer que, par le passé, certaines personnes aient abusé à leur profit de l’opacité de ce système, s’en séparer aujourd’hui reviendrait à renoncer à terme à l’indépendance du pays.

Bien sûr, dira-t-on, les « faucons libéraux » ne peuvent espérer réaliser ce plan dans son ensemble. Mais n’en réaliser que le centième serait rendre inévitable une nouvelle guerre.

C’est pourquoi, la Syrie doit poser comme condition préalable à toute nouvelle conférence de paix qu’il ne sera pas discuté de l’intégrité territoriale du pays.

Thierry Meyssan

Source 
Al-Watan (Syrie)

Source: Réseau Voltaire

États-Unis. Le drame des enfants sans domicile fixe

mardi 30 décembre 2014 à 12:35
États-Unis. Le drame des enfants sans domicile fixe

Aux États-Unis, un enfant sur trente est sans-abri. Ce sont les données qui ressortent du récent rapport publié mi-novembre par leNational Center of Family Homelessness (centre national de la famille sans-abri). On apprendra en le lisant que la pauvreté y a fait un bond de 8 % entre 2012 et 2013 et que plus de 2,5 millions d’enfants sont aujourd’hui sans domicile fixe. La rue, les voitures, les campings, les espaces confinés où règne la promiscuité font partie pour eux d’un quotidien qui les oblige à jongler avec les situations précaires.

Le rapport met en avant les effets potentiellement dévastateurs à long terme de la pauvreté et de l’itinérance des enfants. Près de 25 % d’entre eux souffrent ainsi à l’âge préscolaire de troubles de santé mentale… un pourcentage qui atteint jusqu’à 40 % chez les enfants scolarisés. La compilation des données rassemblées sur le terrain montre que ces enfants sans-abri sont plus exposés à la maladie et beaucoup plus susceptibles de rencontrer des problèmes émotionnels ou cognitifs.

« Dans une Nation qui ne manque ni de richesse, ni d’opportunités, cette situation est intolérable ». Carmela J. DeCandia, directrice du centre, n’y va pas par quatre chemins. « Nous n’avons pas été assez attentifs, et il faut impérativement mettre un frein à cette situation avant qu’elle ne nous échappe ». Des raisons multiples et complexes expliquent une précarisation accrue de ces enfants. En effet, les situations de détresse augmentent de façon générale et notamment chez les personnes connaissant des ruptures dans leurs trajectoires, parmi lesquelles on trouve de nombreuses femmes élevant seules leurs enfants. Ce sont avant tout des événements liés à la vie familiale ou à l’emploi qui influent sur l’entrée dans la pauvreté. Les foyers monoparentaux sont ainsi plus fréquemment concernés par la pauvreté persistante. 39,9 % des familles monoparentales formées par la mère étaient en 2013 sous le seuil de pauvreté, contre 7,6 % des ménages composés d’un couple marié.

On remarquera aussi qu’aux États-Unis, l’origine raciale influence grandement les destins : le taux de chômage des Noirs est systématiquement au moins deux fois supérieur à celui des Blancs, indique l’Economic Policy Institute. En 2013, près d’un travailleur noir sur cinq s’est ainsi retrouvé au chômage. Et les Hispaniques ne sont guère mieux lotis. Des difficultés qui se répercutent concomitamment sur les jeunes générations. Quelque 50 % des enfants blancs nés aux États-Unis depuis 1980 passeront une partie de leur enfance dans une famille monoparentale ; la proportion s’élève aux alentours de 80 % pour les enfants noirs… une différence due surtout au nombre croissant des enfants noirs nés hors mariage. Cela s’explique par le fait que les pressions économiques ont pesé plus durement sur les Noirs. En 1955, la différence des taux de chômage chez les hommes jeunes noirs et blancs était à peu près négligeable.

Le United States Department of Housing and Urban Development (département du logement et du développement urbain des États-Unis) avait estimé en janvier 2013 à 610.042 le nombre de sans-abris. La plupart d’entre eux (65 %) vivaient dans des logements d’urgence, le reste (35 %) étant voué aux quatre vents. Près d’un quart de ces sans domicile fixe (23 %, soit 138.149) sont des enfants âgés de moins de dix-huit ans et 10 % (soit 61.141) avaient entre 18 et 24 ans. Des chiffres bien inférieurs à ceux du United States Department of Education (département de l’éducation) qui englobe les familles sans-abri séjournant épisodiquement dans des motels, en famille ou chez des amis.

Quel que soit le chiffre exact de ces jeunes livrés à eux-mêmes, il est clair, pour les associations d’éducation et d’aide aux démunis, que les jeunes les plus touchés durant la crise sont loin de sortir la tête de l’eau. Le mode de vie à l’américaine constituait jusqu’ici une promesse d’abondance, celle d’une consommation de masse marquée par la profusion et le renouvellement permanent des marchandises… jusqu’à l’overdose. Le moins que l’on puisse dire est que le mythe est désormais sérieusement écorné.

Capitaine Martin

http://www.resistance-politique.fr/article-etats-unis-le-drame-des-enfants-sans-domicile-fixe-125292231.html