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Ukraine: Poutine dément un cessez-le-feu

mercredi 3 septembre 2014 à 11:22

Ukraine: malmené au Donbass, Kiev accepte (enfin) un cessez-le-feu

 

Mise à jour - Alors que l'article ci-dessous parle d'un accord de cessez-le-feu, Poutine dément cette information disant: "La Russie ne peut signer un cessez-le-feu dans lequel le pays n'est pas engagée"

 

Le "président" ukrainien Petro Porochenko et le président russe Vladimir Poutine se sont mis d’accord sur un cessez-le-feu permanent dans l’est de l’Ukraine, a annoncé mercredi la présidence ukrainienne à l’issue d’une conversation téléphonique entre les deux hommes.

"Le président ukrainien a discuté avec le président russe d’un cessez-le-feu total. Ils sont tombés d’accord sur un cessez-le-feu dans le Donbass", bassin minier de l’Est qui comprend les régions de Donetsk et de Lougansk en proie à de violents combats, selon ce communiqué.

Kiev semble revenir à la raison, après avoir compris que les salmigondis des dirigeants occidentaux ne sont que du pipi de chat sans consistance donc. Quand on voit Manuel Barroso le président de la Commission européenne, mentir tel un arracheur de dents en arguant que Poutine lui a dit: "Si je le veux, en deux semaines je prends Kiev", on est simplement mort de rire.

En effet, la réalité est tout autre. Poutine a dit ceci à Barroso, suite à la volonté européenne de sanctionner à nouveau la Russie: "Arrêtez de déclarer que la Russie joue un rôle dans l’est de l’Ukraine car, si on s’implique, sachez que, en deux semaines nous prenons Kiev".  Dans le journal italien La Repubblica, c’est devenu, "Si je le veux, en deux semaines je prends Kiev".

 

http://allainjules.com/2014/09/03/alerte-info-russie-ukraine-malmene-au-donbass-kiev-accepte-enfin-un-cessez-le-feu/

Ukraine: Poutine dément un cessez-le-feu

"Ma liste des choses à faire avant de mourir": Le nouveau jeu concours de la Malaysia Airlines

mercredi 3 septembre 2014 à 11:05
"Ma liste des choses à faire avant de mourir": Le nouveau jeu concours de la Malaysia Airlines

Le concours a depuis été retiré du site de la compagnie aérienne. © Capture d'écran Malaysia Airlines

"Ma liste des choses à faire avant de mourir" : le maladroit concours de la Malaysia

La Malaysia Airlines, qui a connu récemment deux dramatiques accidents, a lancé lundi, en Australie et en Nouvelle-Zélande, un concours très maladroitement baptisé "My ultimate bucket list" ou la "liste des choses qu’on voudrait faire avant de mourir". Il a été rapidement retiré du site de la compagnie aérienne.

Depuis la disparition du MH370 et de ses 239 passagers au mois de mars et le crash du MH17 en juillet en Ukraine, qui a coûté la vie à 298 personnes, la Malaysia Airlines doit faire face à une très forte baisse de sa clientèle, notamment car les passagers préfèrent, pour beaucoup, voyager avec d’autres compagnies. Pour redorer son image, elle multiplie depuis les tarifs avantageux, les nouvelles campagnes publicitaires et des jeux concours permettant de gagner des billets gratuits.

C’est le cas de celui inauguré lundi en Australie et en Nouvelle-Zélande. Baptisé “My ultimate bucket list”, il propose aux participants d’expliquer, en 500 mots maximum, ce qu’ils aimeraient ajouter à leur “liste des choses à faire”, et d’indiquer où ils aimeraient les réaliser (“What and where would you like to tick off on your bucket list?”), rapporte le site Time.com.

Une traduction mal choisie

Le problème est que cette “ultimate bucket list” a un signification beaucoup plus forte, ce que visiblement ignorait la Malaysia Airlines. En anglais, c’est en effet une “liste des choses à faire avant de mourir” selon l’encyclopédie anglaise Merriam-Webster. Ce qui, pour une compagnie qui a connu récemment deux dramatiques catastrophes aériennes, est plus que maladroit.

La Malaysia Airlines a rapidement réagi en supprimant le concours de son site. La page qui lui était dédiée est désormais inaccessible, mais on trouve encore en ligne le règlement du concours en PDF, ou des mentions à celui-ci sur certains sites spécialisés.
 
http://www.franceinfo.fr/actu/societe/article/ma-liste-des-choses-faire-avant-de-mourir-le-maladroit-concours-de-la-malaysia-561317

Monsanto accusé d'abus de position dominante en Argentine

mercredi 3 septembre 2014 à 10:45
Monsanto accusé d'abus de position dominante en Argentine

L'Argentine est un des plus gros producteurs mondiaux de soja et maïs, essentiellement des cultures OGM.

Monsanto accusé d'abus de position dominante en Argentine

 

 

Le géant américain Monsanto, spécialisé dans les semences OGM, est accusé d'abus de position dominante en Argentine par des producteurs et organisations agricoles. 

Une plainte déposée lundi devant la Commission nationale de défense de la concurrence par la Fédération des coopératives fédérées (Fecofe) et des organismes rassemblant producteurs et ingénieurs. 

En Argentine, le géant américain de l'agrochimie a confié la distribution de ses semences aux entreprises Don Mario et Nidera, qui détiennent 80% du marché. 

« Les contrats que promeut Monsanto sont un outil vers plus de concentration, non seulement pour conserver le contrôle du développement technologique, mais aussi pour le contrôle de la commercialisation et du développement du secteur agricole en Argentine », dénonce Esteban Motta, un dirigeant de la Fecofe. 

« Ces pratiques sont discriminatoires, souligne-t-il, et font que la survie de nombreux acteurs du secteur est en jeu ». 

L'Argentine est un des plus gros producteurs mondiaux de soja et maïs, essentiellement des cultures OGM, et compte environ 800 semenciers, souvent des petites entreprises qui opèrent dans une zone géographique très limitée. 

 

http://www.journaldemontreal.com/2014/09/01/monsanto-accuse-en-argentine-dabus-de-position-dominante

Comment les journalistes et reporters agents doubles ont noyauté les médias

mercredi 3 septembre 2014 à 10:15
Comment les journalistes et reporters agents doubles ont noyauté les médias

Par Wayne Madsen

Les reporters, agents doubles, mettent en danger toute la profession

 

La tendance croissante de l’Agence Centrale de Renseignement et d’autres agences de renseignement des Etats-Unis de passer outre aux interdictions antérieures contre l’utilisation de journalistes comme agents met en danger tout reporter légitime dans le monde. La CIA a un passé trouble en ce qui concerne l’utilisation de journalistes comme agents de renseignement.

Cette pratique a été commune dans les années 60 et au début des années 70 mais a été interdite par les présidents Gerald Ford et Jimmy Carter. Cependant, quand le président Ronald Reagan a aidé à raviver la Guerre Froide, la CIA a commencé à utiliser à nouveau des journalistes comme agents de renseignement. Cette pratique met en danger de nombreux journalistes, en particulier ceux qui ont été faits prisonniers par des groupes de guérilleros pendant la guerre civile libanaise. Rien ne suggère qu’un président quelconque depuis Reagan ait suspendue l’utilisation de journalistes comme agents.

Les agents de renseignement peuvent opérer sous couverture journalistique de différentes façons:

Des journalistes qui travaillent ouvertement pour des opérations médiatiques liées officiellement aux actuelles opérations de la CIA. C’est le cas pour Radio Free Europe/Radio Free Liberty, Radio Free Asie, Alhurra, Radio Sawa, Radio et Télé Marti, et dans une certaine mesure, la Voix de l’Amérique.

Des journalistes qui travaillent pour des compagnies de médias d’information accrédités qui acceptent de travailler secrètement pour le renseignement des Etats-Unis. On a appris que de semblables journalistes travaillent pour the Washngton Post, International Herald Tribune, et l’ancien employeur du président Barack Obama, Business International Corporation de la Ville de New York, des éditeurs de bulletins d’information politiques et des cadres commerciaux. Le directeur de la CIA, Richard Helms, avait travaillé auparavant comme journaliste pour United Press International.

Des journalistes qui travaillent pour des publications liées à la CIA ou servant de façade à la CIA, y compris Kyiv Post, Cambodgia Daily, Bruma Daily, Kabul Weekly et Lidove Noviny de Prague.

Des journalistes indépendants qui accompagnent les forces militaires et paramilitaires des Etats-Unis et travaillent pour une ou plusieurs opérations médiatiques qui font profil bas.

On a appris que des journalistes qui travaillent pour des opérations médiatiques financées par le Broadcasting Board of Governors du gouvernement des Etats-Unis abandonnent des organisations de médias légitimes où ils ont déjà établi de fortes accréditations journalistiques et des contacts de haut niveau pour se joindre à des opérations gouvernementales comme Radio Free Europe et les autres pour réaliser des tâches pour les services de renseignement étasuniens.

Une des sources favorites de la CIA pour ses journalistes-agents durant la Guerre Froide fut l’International Herald Tribune, auparavant Paris Herlad Tribune, basé à Paris. Le périodique a fini par devenir propriété conjointe du Washington Post et du New York Times. Le rédacteur en chef du Herald Tribune New Service, Nathan Kingsley, a abandonné le siège du journal à Paris pour devenir chef du service d’information de Radio Free Europe à Munich. Kingsley a remplacé Gene Mater qui passait pour être le porte-parole du Free Europe Committee à New York pour les sujets publics. Radio Free Europe et le Free Europe Committee étaient tous d eux connectés avec la CIA.

Le rédacteur de l’International Herald Tribune, John Hay Whitney, ex ambassadeur des Etats-Unis en Grande Bretagne était impliqué dans la réalisation d’une opération médiatique de la CIA appelée Kern House Entreprises, une firme appartenant à al CIA enregistrée à Delaware. la filiale britannique de Kern House, située à Kern House à Londres, a publié un service d’information de la CIA appelé Forum World Features (FWF) qui, pour sa part, était lié à d’autres façades de la CIA, le congrès pour la Liberté de la Culture (CCF), à Paris. Le CCF publiait, pour le compte de la CIA, deux journaux: Encounter et Information Bulletin. FWF vendait son matériel d’information à 50 journaux dans le monde dont 30 eaux Etats-Unis. FWF, qui fut créé en 1965 et supervisé par Kermit Roosevelt, l’architecte à la CIA du renversement du gouvernement démocratique d’Iran en 1953, publiait aussi Conflict Studies, une revue universitaire qui fut l’une des premières à exagérer la « menace » du terrorisme global au début des années 70. FWF pouvait présenter chacun de ses agents comme des journalistes de FWF et les envoyer accomplir leur mission. Un de ces agents-journalistes fut envoyé à la succursale de la CIA à Bangkok.

Pendant des années, la CIA a fait fonctionner le Rome Daily American en Italie. Le rédacteur du journal en anglais était un ancien reporter d’Associated Press. Le journal était publié par la même imprimerie qui imprimait le petit journal en italien qui représentait les points de vue du Parti Social-démocrate Italien. The Daily Americain a fermé en 1986.

Un autre journal que la CIA faisait fonctionner était le South Pacific Mail, qui avait son siège à Santiago, au Chili et était dirigé par l’agent de la CIA David Atlee Philips. Le journal en anglais était distribué au Chili et dans plusieurs nations et territoires du Sud du Pacifique, de la Nouvelle Zélande et des Iles Samoa aux Nouvelles Hébrides et à Tonga. Philips, qui fut plus tard identifié comme facilitateur clef de l’assassinat du président J. F. Kennedy à Dallas, a dit que lui-même et quelques 200 autres journalistes qu’il connaissait bien ont signé avec enthousiasme des accords de confidentialité avec la CIA lors de leur recrutement comme agents. Parmi ceux qui ont signé de semblables accords se trouvait Arthur Hays Sulberger, rédacteur du New York Times.

L’Opération Mockinbird fut une opération de la CIA pour influencer la couverture que les organisations établies de médias d’information donnaient à des événements dans les nouvelles. Dans les opérations d’influence de la CIA dans les médias d’information se trouvaient aussi la revue Time, Christian Science Monitor, The Miami Herald, The Washington Star et Copley News Service.

Austin Goodrich était un journaliste indépendant qui écrivait pour les journaux favoris de la CIA, le Paris Herald Tribune, CBS News et The Christian Science Monitor. The Christian Science Monitor est devenu ces six dernières années un ardent partisan du gouvernement Obama et de la politique extérieure interventionniste « Responsabilité de Protéger » (R2P) de la CIA. Même après que Goodrich ait été identifié comme agent de la CIA, il a continué à travailler comme journaliste à Stockholm, Amsterdam, Bangkok et Berlin Ouest.

Une manifestation de la politique R2P a été l’entraînement et l’armement par la CIA des rebelles islamistes syriens qui, à ce moment-là, ont enlevé le reporter-photographe étasunien James Foley en 2012. L’ISIS (EI), le groupe qui a enlevé Foley, dont l’expérience journalistique comprenait son envoi avec des unités militaires des Etats-Unis en Afghanistan et en Iraq et avec des rebelles soutenus par la CIA en Libye et en Syrie, l’a finalement exécuté par une atroce décapitation enregistrée sur une vidéo. Mais les questions se posent toujours, de savoir si l’utilisation continuelle de journalistes comme agents et l’utilisation de journalistes avec des insurgés entraînés par la CIA provoque le risque que les journalistes soient confondus avec des agents de la CIA, en particulier dans les zones de guerre.

Stuart Loory, qui travaillait comme correspondant du New York Herald Tribune à Moscou dans les années 60, avant de travailler au Los Angeles Times et à CNN, a dit que l’utilisation par la CIA de journalistes comme espions remet en question le statut de tout journaliste. Il a dit: « Si même un Etasunien à l’étranger avec une carte de presse est un informateur payé par la CIA, alors tous les Etasuniens avec cette accréditation sont suspects. » Loory a souligné que « les journalistes doivent être disposés à concentrer sur eux-mêmes le même feu qu’ils pointent si implacablement sur les autres. »

Cependant, la prudence recommandée avec insistance par Loory est tombée, dans certains cas, dans l’oreille d’un sourd. En 2012, le journaliste du New York Times Mark Mazzetti a envoyé d’avance une copie d’un article écrit par sa collègue, la chroniqueuse Maureen Dowd, à la porte-parole de la CIA Marie Harf. L’article de Dowd faisait allusion à une infiltration de la CIA à Hollywood en rapport avec la production d’un film intitulé Zero Dark Thirty (La nuit la plus obscure). Depuis lors, Harf a été élevée au poste de secrétaire de presse adjointe du Département d’Etat où sans aucun doute, elle continue à agir pour ses anciens collègues de la CIA en identifiant des journalistes, en particulier des correspondants étrangers, disposés ou avides de coopérer avec la CIA.

Tandis qu’une série de publications imprimées fermaient leurs portes, les médias d’information sur le web se sont multipliés comme des champignons. The Global Post, basé à Boston, a pu envoyer le journaliste indépendant Foley accomplir de coûteuses tâches en Libye ou en Syrie. Un site d’information sur le web basé sur des souscriptions qui avait seulement 400 souscripteurs, non seulement est capable d’envoyer quelqu’un comme Foley couvrir des guerres mais se permet d’avoir un personnel de 65 correspondants internationaux dans des villes très chères qui vont de Moscou et Jérusalem à Tokyo et Nairobi. Il faut poser quelques questions dérangeantes. Par exemple, d’où le global Post reçoit-il réellement son financement? Et pourquoi considère-t-il comme avantageux d’intégrer ses journalistes indépendants dans des unités militaires des Etats-Unis et des groupes insurgés islamistes financés par la CIA? En considérant les 65 dernières années pendant lesquelles la CIA a utilisé des journalistes comme agents, les réponses à ces questions sont d’autant plus évidentes.

Wayne Madsen – 31 AOÛT 2014

Article original en anglais http://www.strategic-culture.org/news/2014/08/27/media-spies-put-all-j…

(Traduit en français par Françoise Lopez)

Source: http://cubasifranceprovence.over-blog.com/2014/08/cia-les-espions-dans-les-medias-mettent-en-danger-tous-les-journalistes.html

 

Lu ici

Russie: Exceptionnelle vidéo au coeur d'une tornade

mercredi 3 septembre 2014 à 09:46
Russie: Exceptionnelle vidéo au coeur d'une tornade

Exceptionnelle et impressionnante vidéo

Au coeur d'une tornade

 

Un tourbillon qui a tout détruit sur son passage. C'est un phénomène dévastateur dont a été victime la Russie vendredi dernier, 29 août. En pleine journée, une immense tornade s'est formée dans la province de Bachkirie, entre la Volga et les monts Oural, et s'est déplacée sur au moins 45 kilomètres, causant des dégâts majeurs.

Selon le dernier bilan, près de 200 maisons auraient été complètement détruites, de nombreux arbres auraient été arrachés et des voitures auraient été projetées aux alentours lors du passage de la tornade. Dans certains villages, 90% des foyers auraient été rasés. Ajouté à cela, deux personnes seraient décédées et des dizaines d'autres auraient été blessées.

 Au vu des dégâts, les spécialistes décrivent pour le moment une tornade d'intensité EF3, selon l'échelle de Fujita. Cela implique des vents dépassant les 200 kilomètres par heure et pouvant aller jusqu'à 260 km/h, causant des dégâts sévères sur son passage. Une dash-cam a réussi à capturer des images de la tornade et celles-ci sont effrayantes. 

 Tout est balayé. Des morceaux sont arrachés des maisons et autres structures. Un arbre est malmené dans tous les sens, résistant tant bien que mal sous la force des vents. Petite précision : sur la vidéo, la date et l'heure sont erronées car la caméra n'avait pas été mise à jour. 

En savoir plus: 
http://www.maxisciences.com/tornade/d-039-effrayantes-images-capturees-au-coeur-de-la-tornade-qui-a-frappe-la-russie_art33406.html