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Le plan d'Obama pour attaquer la Syrie, sous couvert de la lutte contre l'EIIL

mercredi 10 septembre 2014 à 19:05
Le plan d'Obama pour attaquer la Syrie, sous couvert de la lutte contre l'EIIL

Droit sur la Syrie

Le plan d'Obama pour attaquer la Syrie, sous couvert de la lutte contre l'EIIL

 

 

Le président Obama se prépare à faire quelque chose de terriblement dangereux en Syrie et en Irak. La montée de l'EIIL (Etat Islamique en Irak, en Syrie et au Levant "ISIS") a entravé la vieille stratégie de l'Empire consistant à déployer des combattants islamistes pour faire son sale boulot dans le monde arabe et musulman. L'EIIL ("ISIS"), le Frankenstein né des efforts états-uniens pour favoriser un changement de régime en Syrie, s'est retourné contre ses maîtres, des Etats-Unis, de l'Arabie Saoudite, du Qatar et de la Turquie pour établir son propre califat, dans lequel des milliers d'autres combattants islamistes se précipitent. Même les médias états-uniens reconnaissent maintenant que les soi-disant rebelles syriens «modérés» pour lequel Obama veut collecter 500 millions de dollars, sont pratiquement inexistants. Ils ont toujours été un mirage, créatures de la propagande occidentale. Les islamistes étaient la seule force qui pouvait remettre en cause l'armée syrienne sur le champ de bataille, et maintenant qu'ils se rallient à l'EIIIL ("ISIS"), ou qu'ils s'enfuient, Obama ne sait pas vers qui se tourner. 

Certes, les États-Unis peuvent bombarder des positions de l'EIIL (ISIS) en Syrie, et se préparent déjà pour le faire, mais ce n'est pas la guerre qu'Obama voulait faire. Il y a trois ans, quand Obama a lancé sa sale guerre contre la Syrie, le plan était que les djihadistes musulmans versent leur sang pour renverser le président Assad. Une fois que l'acte sale et criminel a était réalisé, les djihadistes étaient censés permettre à l'OTAN et aux rois corrompus de la péninsule arabique de choisir les prochains dirigeants de la Syrie. La CIA rejouait Lawrence d'Arabie, en utilisant les djihadistes comme chair à canon, pour les mettre de côté quand le temps de partager le butin serait venu. 

Tel était aussi le plan en Libye, où l'OTAN et le même gang de voleurs financés et armés par les monarchies arabes ont entraîné le renversement de Mouammar Kadhafi. Mais les djihadistes libyens n'ont pas réussi à coopérer avec le régime de l'empire. 

Le réseau jihadiste mondial que les Etats-Uniens et les Saoudiens ont créé dans les années 1980 a déclaré son indépendance, et Washington n'a personne pour les remplacer. Des troupes états-uniennes sur le terrain sont inacceptables tant pour les gens de la région que pour le public états-unien. Obama et ses sbires disent les États-Unis et ses alliés écraseront l'EIIL (ISIS) - mais ce sera comme étouffer son propre enfant dans son berceau, et supprimerait tout espoir des Etats-Unis d'atteindre son objectif stratégique de changement de régime en Syrie. 

Surveillez le grand changement ("Big Switch") 

Si Obama était sérieux dans sa volonté d'écraser l'EIIL (ISIS), le meilleur et le plus logique allié serait le président syrien Assad, dont l'armée a jusqu'ici prévalu contre toutes les sortes de djihadiste que les États-Unis ont été en mesure de jeter contre lui, y compris l'EIIL (ISIS) sous ses incarnations précédentes. Personne, plus que la Syrie et ses soldats, veut que l'EIIL (ISIS) soit battu, plusieurs soldats syriens sont morts dans cette guerre diligentée par les États-Unis dans des proportions plus importantes que tout autre groupe, civils ou rebelles. Si l'objectif d'Obama était de mettre la région à l'abri de l'EIIL (ISIS), Obama devrait coordonner ses mouvements avec l'armée syrienne. 

Mais il ment - tout comme l'administration Bush a menti pour faire en sorte que le peuple états-unien croit que Saddam Hussein était responsable du 11/9. L'objectif des États-Unis n'était pas de se venger du 11/9, mais d'envahir l'Irak. De la même façon, Obama est obligé de pallier à la défection de l'EIIL (ISIS) du contrôle occidental, mais son objectif reste de renverser le président Assad. Et, il dira n'importe quel mensonge, ou des combinaisons de mensonges, pour envoyer des bombes US sur le gouvernement syrien, sous le couvert de la lutte contre l'EIIL (ISIS). Vous pouvez parier que la CIA brûle d'impatience et cherche un prétexte pour faire de cette défaite stratégique des États-Unis une excuse pour attaquer directement la Syrie. Et c'est ce qui rend cette période si dangereuse.

 

Traduit par SLT 

 

L’Agenda de Washington face à l’Émirat islamique

 

ndi 8, le président Obama recevait à dîner les principaux stratèges et think tankers du pays, dont Sandy Berger, Zbigniew Brzezinski, Tom Donilon, Michele Flournoy, Richard Haass, Steve Hadley, Jane Harman, Michael Morell et Strobe Talbott.

Mardi 9, le président Obama reçoit à la Maison-Blanche les quatre principaux leaders du Congrès pour leur exposer sa stratégie contre l’Émirat islamique. Le même jour, les membres de la Commission de la Défense à la Chambre auditionneront à huis clos de hauts fonctionnaires de la Défense et du Renseignement pour leur exposer les données et les choix stratégiques face à l’ÉI.

Mercredi 10, le président annoncera au peuple états-unien sa stratégie contre l’ÉI lors d’une allocution télévisée.

Jeudi 11 septembre (13ème anniversaire du coup d’État militaire), le président de la Commission de la Défense de la Chambre s’exprimera à l’American Enterprise Institute.

Mardi 16, la Commission sénatoriale des Forces armées auditionnera le secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, et le chef d’état-major interarmes, le général Martin Dempsey, sur « la politique face à l’ÉI et les menaces posées par l’EI ». 
Le même jour, la Commission des Affaires étrangères de la Chambre auditionnera le secrétaire d’État John Kerry pour lui demander quelle politique a été arrêtée face à l’ÉI.

Mercredi 17, la Commission de Sécurité de la Patrie de la Chambre auditionnera le secrétaire à la Sécurité de Patrie Jeh Johnson, le directeur du FBI James Comey et le directeur du Center national anti-terroriste Matthew Olsen sur « les menaces mondiales qui pèsent sur la patrie. »

Durant cette période, quatre auditions à huis clos sont prévues par l’administration Obama auprès des Commissions du Renseignement de la Chambre et du Sénat.

En outre, durant les 12 jours de session du Congrès avant les élections de mi-term, une féroce bataille opposera ses membres sur la nécessité ou non pour le président d’obtenir l’aval du Congrès avant de lancer cette opération.

 

http://www.voltairenet.org/article185270.html

Jacques Attali déclare que la France pourrait être mise sous tutelle

mercredi 10 septembre 2014 à 18:22
Jacques Attali déclare que la France pourrait être mise sous tutelle

Le mondialiste Attali nous promet l'enfer

Jacques Attali déclare que la France pourrait être mise sous tutelle

 

À tous ceux que l’avenir de la France pourrait intéresser, je donne rendez-vous ici même, le 2 octobre : son sort, ce jour-là, sera scellé, pour longtemps. D’ici à cette date, en effet, notre pays devra faire enfin les choix qu’il refuse obstinément d’effectuer depuis 20 ans, malgré tous les conseils, tous les livres, tous les discours.Jacques Attali déclare que la France pourrait être mise sous tutelle

 

Récapitulons les dates importantes du mois à venir :

 

- Ce mercredi 10 septembre, le gouvernement doit faire connaître la trajectoire qu’il choisit pour 2015. Ce choix est crucial, puisqu’il détermine le sort du pays jusqu’en 2016, année en principe pré-présidentielle, pendant laquelle tout le monde s’empressera de ne rien faire. Les choix qui restaient à trancher avant ce mercredi étaient immenses. Faut-il avouer au pays que les déficits publics ne sont pas sous contrôle et que la France rejoindra bientôt le triste club des pays dont la dette publique est supérieure à son PIB ? Faut-il se résigner à des déficits durablement supérieurs à 4% du PIB, à la différence de tous les autres pays européens ? Ou, au contraire, faut-il enfin faire d’énormes réformes et de cruelles économies pour maîtriser ces dérives ? Faut-il encore augmenter les impôts ? Et lesquels ? Faut-il se résigner à une déflation suicidaire ? Faut-il libérer les forces de la croissance au risque de déchaîner la coalition de tous les conservatismes ? J’ai ma réponse à ces questions. Je ne sais pas, à l’instant où j’écris, celle qui sera donnée par le gouvernement. La suite du calendrier ne l’incite pas à l’audace …

 

- Le vendredi 12 septembre, la structure du budget doit être communiquée au Haut conseil des finances publiques et aux autres pays européens, dont les ministres des Finances seront réunis pour cela à Milan.

 

- Le mardi 16 septembre, le Premier ministre doit demander la confiance du Parlement, qui sera d’autant plus difficile à obtenir qu’il aura pris les mesures très difficiles auxquelles nul n’a préparé le pays.

 

- Le jeudi 18 septembre, le Président de la République donnera la quatrième conférence de presse semestrielle de son mandat.

 

- Le mercredi 24 septembre, ou quelques jours plus tard en raison d’un déplacement du Président à l’ONU, le budget détaillé sera présenté en Conseil des ministres puis, le jeudi 2 octobre, déposé au Parlement.

 

- Le dimanche 28 septembre auront lieu les élections sénatoriales.

 

Tout, alors, sera joué.

 

Si, ce mercredi, le gouvernement choisit la solution courageuse, qui consiste à purger tous les écarts antérieurs pour se redonner de la marge, il lui faudra annoncer des économies de plus de 25 milliards en 2015, et une hausse de deux points au moins de la TVA, ou autant de petites contributions fiscales infiniment plus douloureuses ; il pourrait alors craindre de ne pas avoir l’approbation du Parlement six jours plus tard.

 

S’il ne le fait pas, la France sera, avec l’Italie, le seul pays d’Europe refusant de se réformer. Le seul pays en route vers la faillite et la ruine de ses habitants. Le seul pays traité, à juste titre, par ses partenaires européens, de « cigale prétentieuse », de lâche inconscient, de fossoyeur de l’Union. Celle-ci pourrait (devrait, même, en application des traités) mettre notre pays sous tutelle et envoyer ses représentants afin d’établir le budget à notre place, comme ce fut le cas en Grèce ou au Portugal. Exactement comme on traite une personne incapable de gérer ses finances.

 

Voici le choix. Voici les enjeux. Au lieu de s’occuper d’anecdotes nauséabondes, les hommes politiques, de gauche comme de droite, ne devraient débattre en public que de cette question : que faire d’ici le 2 octobre prochain ?

 

Ce jour-là, je dirai ce que je pense de ce que le pouvoir aura décidé pour l’avenir de notre pays : aura-t-il choisi d’agir ou se sera-t-il bercé de l’illusion qu’il a encore du temps ? Croira-t-il que chacun peut s’en sortir seul, ou continuera-t-il d’entretenir une juxtaposition de groupes de pression quémandant chacun une part de plus en plus grande d’un gâteau de plus en plus petit ?

 

A lui d’en décider. A vous d’en juger. Rendez-vous le 2 octobre.


http://blogs.lexpress.fr/attali/2014/09/08/rendez-vous-le-2-octobre/

Poutine accuse les Occidentaux d’utiliser la crise pour "réanimer" l’Otan

mercredi 10 septembre 2014 à 18:18
Poutine accuse les Occidentaux d’utiliser la crise pour "réanimer" l’Otan

Le pire est qu'il a raison

Poutine accuse les Occidentaux d’utiliser la crise pour "réanimer" l’Otan

 

Le président russe Vladimir Poutine a accusé mercredi les Occidentaux d’utiliser la crise en Ukraine pour "réanimer" l’Otan.

"La crise en Ukraine qui, au fond, a été provoquée et créée par certains de nos partenaires occidentaux, est utilisée actuellement pour la réanimation de ce bloc militaire", a déclaré M. Poutine, faisant référence à l’Alliance atlantique et cité par les agences de presse russes.

Lors d’un sommet de l’Otan la semaine dernière à Newport, au Pays de Galles, les pays membres de l’Alliance atlantique ont promis de maintenir "une présence continue" dans l’est de l’Europe où l’attitude de la Russie inquiète, notamment grâce à la création d’une force très réactive capable de se déployer en quelques jours.

Ce Plan de réactivité (Readiness action plan, RAP) vise à "renforcer (la) défense collective", la mission-clé de l’Otan fondée au début de la Guerre froide, il y a 65 ans.

"Nous avons déjà dit, nous avons déjà prévenu que nous serons obligés de prendre en retour des mesures adéquates pour assurer notre sécurité", a dit le chef de l’Etat russe lors d’une réunion des responsables du complexe militaro-industriel et de membres de l’état-major des armées russes.

"J’aimerais beaucoup qu’il n’y ait pas d’accès d’hystérie par la suite quand ces décisions seront définitivement adoptées et qu’elles commenceront à être mises en oeuvre", a-t-il ajouté.

Deux jours avant l’ouverture du sommet de l’Otan, les autorités russes ont annoncé qu’elles adapteraient leur "doctrine militaire" d’ici à la fin de l’année pour prendre en compte l’apparition de nouvelles menaces dont le renforcement de l’Otan aux frontières de la Russie.

Source: 7sur7.be

Une tornade de gaz toxiques au-dessus du volcan Bardarbunga

mercredi 10 septembre 2014 à 15:42
Une tornade de gaz toxiques au-dessus du volcan Bardarbunga

La tornade en infrarouge

Une tornade de gaz toxiques au-dessus du volcan Bardarbunga

 

 

Une caméra infrarouge à proximité du volcan a filmé une colonne tournante de gaz et de cendres de plus d’1,5 km de haut au-dessus du volcan Bardarbunga qui est entré en éruption en Islande.

C’est la première observation d’une tornade sur la zone active du volcan islandais, le septembre. Une équipe de la société norvégienne Nicarnica l’a décrit comme «très probable composé de gaz volcaniques et des particules de cendres», selon le « Belfast Telegraph ‘.

Les experts estiment que la tornade aurait pour origine les effets de la lave, mais ne peut toujours pas expliquer le mécanisme de la formation de ce phénomène inhabituel.

Source: Russia Today
Traduction: les moutons enragés

 

Les 9 femens relaxées après avoir dégradé une cloche à Notre-Dame, les 3 vigiles qui les ont expulsé condamnés

mercredi 10 septembre 2014 à 15:36
Les 9 femens relaxées après avoir dégradé une cloche à Notre-Dame, les 3 vigiles qui les ont expulsé condamnés

Scandaleux

Les 9 femens relaxées après avoir dégradé une cloche à Notre-Dame, les 3 vigiles qui les ont expulsé condamnés

 

 

Poursuivies pour avoir dégradé une cloche de Notre-Dame de Paris, neuf membres du groupe féministe Femen ont été relaxées mercredi 10 septembre par le tribunal correctionnel de Paris. Le tribunal a estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments pour imputer les dégradations aux Femen.

 

Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement dupape Benoît XVI. Incognito dans le flot des touristes, elles étaient entrées dans l'édifice avant de tomber le manteau pour se jucher sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l'occasion du jubilé des 850 ans de Notre-Dame de Paris.

 

Exhibant leurs seins comme à chacune de leurs actions, les Femen avaient crié« Pope no more ! » (« Plus de pape ! »), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois. La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus d'un centimètre sur le dessus de la cloche Marcel, recouvert de feuilles d'or.

Regarder les images de leur action : Seins nus dans Notre-Dame, les Femen « fêtent le départ du pape »

Lors du procès, les Femen ont contesté être à l'origine du dommage, arguant qu'elles avaient pris soin de recouvrir leurs bâtons de feutrine.
Pas suffisamment, selon l'avocat du recteur de Notre-Dame, pour qui la protection était mal attachée, si bien que la cloche a été frappée à « bâton nu ». Le parquet avait requis une amende de 1 500 euros contre chacune des neuf jeunes femmes.

 

« NOUS TROUVERONS UN MOYEN DE NOUS REVOIR »

 

Sur Facebook, les Femen se sont réjouies de l'issue de cette « mascarade qui dure depuis plus d'un an déjà aux frais du contribuable ». Avant d'ajouter, provocatrices comme à leur habitude :

« Il ne nous reste qu'un seul regret, celui de voir se finir ici cette relation si chaleureuse que nous avions nouée avec Notre-Dame depuis lors, mais nous sommes certaines que nous trouverons un moyen de nous revoir… »

Trois surveillants de la cathédrale ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1 000 euros avec sursis pour des violences commises sur trois militantes lors de leur expulsion de l'édifice.

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/09/10/degradation-d-une-cloche-de-notre-dame-de-paris-les-femen-relaxees_4484871_3224.html