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Un F-16 de la coalition abattu par l'EI en Syrie, le pilote jordanien capturé

mercredi 24 décembre 2014 à 13:05
Cela change beaucoup de chosesCela change beaucoup de chosesCela change beaucoup de choses

Cela change beaucoup de choses

L’Ukraine au bord de la faillite appelle Soros et Srauss-Khan à l’aide

mercredi 24 décembre 2014 à 11:01
L’Ukraine au bord de la faillite appelle Soros et Srauss-Khan à l’aide

Strauss-Khan prendra-t-il la tête de la Banque centrale ukrainienne?

L’Ukraine au bord de la faillite pourrait demander à G. Soros ou à D. Strauss-Khan de prendre la tête de la Banque nationale. Les ukrainiens, qui ne comprennent déjà pas pourquoi tant d’étrangers s’occupent de leur pays alors que la rhétorique du pouvoir est fondée sur la « surglorification » patriotique, vont apprécier l’arrivée de personnes à la tête de la Banque du pays, qui n’ont que faire de l’intérêt national. Encore moins que ceux qui ont pris le pouvoir, vue la politique suicidaire menée par l’Ukraine depuis le putsch de Maïdan.

Cela fait déjà plusieurs mois que diverses structures financières internationales préviennent l’Ukraine d’un risque de défaut de paiement, d’une faillite, imminent. Avec la guerre que Kiev mène dans le Donbass et qui coûte environ 100 millions de grivnas par jour comme l’affirme Poroshenko, la situation ne cesse de s’aggraver.

Début octobre, l’agence de notation Fitch baissait la note de Kiev de CCC à CC, puisque le 6 octobre, la ville n’a pas rempli ses obligations à hauteur de 1,125 milliards de grivnas et le conseil municipal a pris la décision de restructurer sa dette intérieure.

Maintenant c’est l’agence Moody’s qui affirme le risque de défaut de paiement, cette fois-ci non seulement de Kiev, mais de l’Ukraine, qui va être obligée en 2015 de restructurer sa dette. En effet, elle doit rembourser environ 28 milliards de dollar pour sa dette extérieure et l’aide apportée par les créditeurs extérieurs, FMI et UE, n’est pas suffisante pour la couvrir. Sans même parler de la nécessité de faire vivre le pays.

Et les indicateurs ne sont pas bons. La dette publique a atteint 60% du PIB, la monnaie nationale a baissé d’environ la moitié de sa valeur depuis le début de l’année, l’économie a ralentie de 7,5% en 2014, les prix ont augmenté en moyenne de plus de 20% et la réserve de monnaies étrangères a chuté à 8 milliards de dollar, ce qui, selon l’agence Moody’s permet juste de payer les importations pour 1 mois.

Ainsi, le FMI et les agences de notations estiment que l’Ukraine a besoin de toute urgence, c’est-à-dire dans les semaines à venir, d’une somme allant de 15 à 20 milliards de dollar pour seulement stabiliser la chute de l’économie. Cette chute de l’économie ukrainienne est en grande partie liée à la rupture de ses relations commerciales avec la Russie, qui était son principal partenaire et cela a provoqué une fuite massive de capital.

Maintenant il faut sortir de la crise. Selon le journal australien Contra-Magazin, la voie politique choisie par Porochenko est celle de la vassalisation de l’Ukraine aux Etats Unis, ce qui explique l’arrivée massive d’étrangers liés à ce pays aux postes clés et de direction du pays. Et comme la Banque centrale reste une institution incontournable pour diriger le cours politique de l’Ukraine, que les deux directeurs ukrainiens nommés depuis le putsch n’ont rien pu faire, Poroshenko envisage la candidature de « spécialistes » étrangers pour la diriger, ou la sauver: G. Soros ou D. Strauss-Khan. Même si cela ressemble à une fausse information, il faut s’attendre à tout, surtout après avoir proposé à Saakachvili de faire partie du Gouvernement ukrainien, alors qu’il est accusé dans son pays, la Géorgie, pour des crimes de sang commis lors de sa présidence.

Jusqu’où l’Ukraine va-t-elle tomber? Et va-t-elle « réussir » à faire sombrer l’UE, voire l’Europe, avec elle? Des questions inquiétantes pour la stabilité du continent européen.

Karine Bechet-Golovko

 

Lu sur RI

Sevrage tabagique : une information capitale

mercredi 24 décembre 2014 à 10:58
Sevrage tabagique : une information capitale

Il faut imposer une réelle politique de Santé Publique

L’extrême importance de l’information que vous allez lire ci-dessous m’oblige à la mettre en ligne immédiatement. C’est une information qu’il faut faire circuler très largement.

- elle démontre que l’industrie pharmaceutique est en réalité le seul inspirateur des politiques de santé en France.

- le pouvoir politique qu’il soit de droite ou de gauche est totalement à son service et ceci aux dépens de notre santé. Il faut souligner que, d’un côté on parle de luttes contre le cancer, ceci en culpabilisant les fumeurs et de l’autre on empêche les mesures sérieuses d’être mises en place.

- ces gens big pharma et politiciens corrompus qui gouvernent depuis trop longtemps) sont des criminels, des assassins par non seulement non-intervention à personnes en danger mais pour participation à des actions mettant en jeu les vies des citoyens.

- il faut signaler que dans un domaine connexe, la lutte contre la maladie alcoolique, les firmes  ayant intérêt à ce que leur produit quasi inefficace  soit maintenu malgré les preuves flagrantes de la grande efficacité du baclofène dont l’autorisation d’utilisation dans cette maladie a été longtemps interdite et est aujourd’hui à peine tolérée.

- c’est à nous citoyens de ce pays à réagir et à obliger les pouvoirs publics.

J’ajouterais mon point de vue sur ces deux questions de la consommation de boissons alcoolisées et de tabac. Les politiques d’informations basées sur un autoritarisme stupide et rappelant de très mauvais souvenirs est totalement inadéquat. Les boissons alcoolisées ne sont pas de l’alcool ? Le vin par exemple a des propriétés santé très intéressantes. Chacun de nous a le droit strict de choisir de fumer par exemple. L’information sur les risques qu’il court, doit être honnêtement donné.

Mais surtout la politique de l’industrie du tabac qui est une politique totalement tournée vers le profit est sans doute une des plus criminelle après celle de l’industrie des armes. Son axe essentiel est d’inciter les adolescents voire les enfants à fumer des produits parfaitement optimisés pour créer l’accoutumance.Lisez le dernier paragraphe: le prix au premier plan. On peut parler de politique génocidaire:

Docteur Jacques Lacaze

*****

Article de JIM.fr –19/12/2014

SEVRAGE TABAGIQUE : LA CYTISINE FAIT MIEUX (ET MOINS CHER) QUE LES SUBSTITUTS NICOTINIQUES

La cytisine est largement utilisée en Europe de l’Est depuis les années 60 pour le sevrage tabagique. Il s’agit d’un alcaloïde de plante, antagoniste, comme la varénicline, des récepteurs nicotiniques α4β2. Quatre revues générales ont confirmé sa supériorité par rapport au placebo pour le sevrage tabagique, à court et à long terme. Malgré cela, la cytisine reste très peu connue en dehors de l’Europe de l’Est et surtout n’a d’autorisation de mise sur le marché nulle part ailleurs.

Cependant, de nombreuses voix se sont élevées à travers le monde pour qu’elle soit autorisée dans d’autres pays. Car la cytisine est non seulement efficace pour le sevrage tabagique mais elle est aussi très bon marché : le traitement de 25 jours coûte en effet entre 25 et 30 dollars US ($) contre 112 à 685 $ pour un traitement par substituts nicotiniques durant 8 à 10 semaines et environ 500 $ pour un traitement de 12 semaines par varénicline.

40 % de sevrage à un mois contre 31 % avec les substituts nicotiniques

Une étude néo-zélandaise apporte sa contribution au « dossier » cytisine (1).Au total 1310 adultes candidats au sevrage tabagique ont été recrutés par le biais de centres d’appel pour l’aide au sevrage. L’objectif de l’essai était de comparer l’efficacité de la cytisine à celle des substituts nicotiniques sur le maintien de l’abstinence à 1 mois.

Répartis de façon randomisée (mais ouverte) en 2 groupes, les candidats au sevrage ont reçu soit gratuitement le traitement par cytisine (1,5 à 9 mg par jour pendant 25 jours, selon le protocole recommandé par le fabricant), soit à un prix réduit des substituts nicotiniques, pendant 8 semaines (patchs, gommes et/ou pastilles), là encore selon les protocoles préconisés dans les recommandations. Un soutien téléphonique leur était proposé, à raison de 3 communications de 10 à 15 minutes pendant les 8 semaines.

Un mois après le début du sevrage, 40 % des personnes sous cytisine affirment avoir arrêté de fumer, contre 31 % des participants recevant les substituts nicotiniques (différence de 9,3 points ; intervalle de confiance à 95 % [CI] 4,2 à 14,5). Les différents points d’étape, à 1 semaine, 2 mois et 6 mois, montrent tous la supériorité de la cytisine en termes d’efficacité. Notons toutefois que les effets indésirables semblent plus fréquents avec la cytisine qu’avec

le traitement de substitution, mais il s’agit le plus souvent d’effets mineurs (nausées, vomissements, troubles du sommeil), les mêmes que ceux qui sont notés avec la varénicline, et qui n’ont conduit ici à l’arrêt du traitement que dans seulement 5 % des observations. Les troubles psychiatriques signalés en post-marketing avec la varénicline n’ont pas été constatés ici, mais il est vrai que le nombre de patients inclus est trop faible pour détecter des effets peu fréquents.

 

Le prix au premier plan

Comme le remarque l’éditorialiste du New England Journal of Medicine (2) qui publie cette étude, le principal argument pour demander des autorisations de mise sur le marché (AMM) de la cytisine n’est sans doute pas son efficacité supérieure aux autres traitements proposés, ni même sa tolérance. La première justification est plutôt que le prix des autres traitements les rend inaccessibles à de très nombreux fumeurs, et pas seulement dans les pays pauvres. Quant aux auteurs de l’étude, ils suggèrent que soit réalisée une étude de non infériorité face à la varénicline, étude qui devra inclure des analyses des rapports coût-efficacité respectifs.

Gageons cependant, qu’avant une éventuelle AAM en vue d’une large diffusion de ce produit, les autorités sanitaires demanderont un essai randomisé en double aveugle (dans lequel le sevrage serait contrôlé biologiquement et non plus seulement par la déclaration des participants) pour éliminer les biais inhérents à ce type d’étude ouverte.

Le tabagisme est actuellement la première cause de décès évitables à travers le monde, nul doute que tous les moyens de lutte efficaces devraient être mis en oeuvre contre lui.

Dr Roseline Péluchon

RÉFÉRENCES

1) Walker C. et coll. : Cytisine versus Nicotine for Smoking Cessation

N Engl J Med 2014; 371:2353-2362.

2) Rigotti N.A.: Cytisine: a tobacco tretament hiding in plain sight. N Engl J Med 2014; 371:2429-2430.

Copyright © http://www.jim.fr

http://www.jacques-lacaze.com/article-sevrage-tabagique-une-information-capitale-125240929.html

Taubira réforme en catimini et par ordonnance le code civil

mercredi 24 décembre 2014 à 10:50
Taubira réforme en catimini et par ordonnance le code civil

Vieux de 210 ans, notre code civil s’apprête à vivre une réforme inédite bien contraire à son esprit. Ce vieux code Napoléon méritait certainement une remise à jour et, du reste, ce fut des décennies durant un de ces serpents de mer dont les politiques ont le secret. Il est toutefois déroutant (oserions-nous dire inquiétant ?) que ce que Jean Carbonnier appelait la « Constitution civile des Français » soit revue en catimini, par ordonnance, et sans aucun débat. La violence d’une telle procédure est aussi grande que si nous changions de Constitution par décret du Président de la république. Or cette refonte du texte fondateur du droit français risque bien de n’être qu’une émanation de la Chancellerie, et ce dans le plus absolu silence.

Nous sommes loin des années de débats mouvementés qui ont vu la promulgation par le premier Consul Bonaparte ce 30 ventôse an XII (31 mars 1804) de ce pilier de notre nation. Issu des milieux révolutionnaires, et donc bourgeois, ce texte est pourtant tissé des longues traditions coutumières locales, autant que du droit romain dont Portalis fut ici le porte-parole.

Taubira rené le honzecDès avant la révolution, une lente tentative d’uniformisation du droit français fut impulsée, par le truchement de la jurisprudence. Mais les rois de France, tout absolus qu’ils furent, n’avaient pas le pouvoir de changer les lois civiles, ce dont devait se réjouir Montesquieu, très hostile à l’idée de supprimer les droits coutumiers locaux pour une dangereuse uniformisation. C’est donc une sorte de synthèse de ces droits coutumiers et de certains aspects du droit romain qui servit de base à la rédaction de ce qui allait, après les nombreuses tentatives de Cambacérès, devenir notre code civil.
Toutefois, un texte de loi n’est jamais que le reflet d’une philosophie. Le droit romain, lié aux choses, est ainsi (dès le XVIème siècle) rendu plus subjectif. Coïncidant avec l’émergence d’une pensée et d’une spiritualité plus personnaliste, le droit s’est lui-même attaché à considérer non plus les choses, mais la personne comme sujet de l’action. Ce dont nous héritons aujourd’hui, du moins jusqu’à cette insidieuse remise en cause dans le projet actuel. De cette synthèse des coutumes et du droit romain, naît donc un esprit législatif original, très français, mais aussi très marqué par les Lumières et le triomphe d’une bourgeoisie des affaires. Point fondamental qu’on oublie souvent, le code Napoléon ne reconnaît plus la famille comme personne juridique et sanctionne sa disparition.

La réforme actuelle ne vise rien moins qu’à donner au droit français une toute autre philosophie que celle héritée d’une révolution bourgeoise, promulguée par un régime politique fort et nationaliste. Outre le fait que ce texte, mal ficelé, court le risque de plonger la jurisprudence et le droit français dans le désarroi pour les décennies à venir ; nonobstant le risque d’inflation législative ultérieure, en réduisant un document fondateur à une succession de cas ; indépendamment de sa tendance à faire du code civil un énième code de protection sociale, cette constitution du droit civil français consacre l’ingérence des juges dans le droit des contrats, ouvre 15 ans de chaos jurisprudentiel, réduit la force obligatoire des contrats et nous ferait passer « insidieusement du règne du droit au règne de l’expertise technocratique » pour reprendre le Pr Olivier Tournafond.

L’air de rien, Madame Taubira, par la toute-puissance des ordonnances, s’étant fait octroyer par le parlement un droit que Louis XIV lui-même n’avait pas, est en train de révolutionner le droit français, de restreindre les libertés privées et d’immiscer l’État et les juges dans les derniers espaces privés qui restaient à un peuple qui n’aura bientôt, si nous n’y prenons pas garde, plus qu’à s’en remettre à des juges qui auront toute liberté pour nous faire figurer sur leur mur des cons.

Sur le web

Un jeune noir à nouveau abattu par la police à Berkeley, près de Ferguson

mercredi 24 décembre 2014 à 09:05
Un jeune noir à nouveau abattu par la police à Berkeley, près de Ferguson

Un jeune noir, prénommé Antonio Martin a été tué par la police dans la ville de Berkeley, près de la source des émeutes Ferguson. La scène s'est déroulée dans une station service à une heure du matin (local)

Pour le moment, un agroupement se forme aux alentours de la scène. La nouvelle se répand actuellement et malgré la nuit, la foule enfle. Les médias locaux sont sur place.

Les circonstances sont encore inconnues. Plus d'infos à venir. 

Ce nouveau clash peut-il raviver les violences policières aux Etats-Unis après la mort de Michael Brown, Eric Garner, Akai Gurley ou Tamir Rice, tués par des policiers blancs.

 

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