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Obama contrôle t-il encore son entourage ?

lundi 23 mars 2015 à 11:54
Obama contrôle t-il encore son entourage ?

La situation quand les plus proches collaborateurs du président des Etats-Unis s'appliquent à promouvoir une décision politique qui n'est pas encore adoptée est à la fois "inédite et alarmante", selon une édition américaine. 

Le président américain Barack Obama a perdu de toute évidence le contrôle sur ses conseillers clés dans les questions concernant la situation en Ukraine, notamment une éventuelle livraison d'armes létales à Kiev, constate le bimensuel américain 
The National Interest (NI)

Selon l'édition, le comportement de certains fonctionnaires de l'administration américaine "n'inspire pas confiance", parce qu'au lieu d'essayer de persuader le président de la nécessité de prendre une décision, ils préfèrent promouvoir directement leurs propres intérêts à l'insu du chef de l'Etat. 

"Nul ne sera sans doute étonné de constater que la sous-secrétaire d'Etat pour l'Europe et l'Eurasie Victoria Nuland est la lobbyiste la plus énergique et agressive de l'armement de Kiev", écrit le bimensuel, rappelant les propos que la diplomate avait tenus lors de la Conférence de Munich sur la sécurité pour persuader les Européens de la nécessité d'armer Kiev.

"Nul ne sera sans doute étonné de constater que la sous-secrétaire d'Etat pour l'Europe et l'Eurasie Victoria Nuland est la lobbyiste la plus énergique et agressive de l'armement de Kiev", écrit le bimensuel, rappelant les propos que la diplomate avait tenus lors de la Conférence de Munich sur la sécurité pour persuader les Européens de la nécessité d'armer Kiev.

Or, il ne s'agit pas que de Mme Nuland, souligne le NI. Le chef d'état-major des armées des Etats-Unis, le général Martin Dempsey, a notamment déclaré que les Etats-Unis et leurs alliés de l'Otan "devraient penser à accorder une assistance militaire létale" à Kiev. 

Des déclarations similaires ont également été faites par le directeur des services de renseignement américains, James Clapper, et le commandant des forces alliées en Europe Philip Breedlove qui n'a même pas hésité, selon le NI, à délivrer une désinformation sur la trêve en Ukraine pour persuader les Etats-Unis et l'Europe de la nécessiter d'armer Kiev. 

Le bimensuel admet que des querelles et des divergences sur la politique étrangère arrivaient auparavant au sein de l'administration américaine, mais que la situation quand les plus proches collaborateurs du président s'appliquent à promouvoir une décision qui n'est pas encore adoptée est à la fois "inédite et alarmante". 

Et le fait que les militaires américains en la personne du général Breedlove dénaturent sciemment l'information pour influer sur la Maison Blanche aggrave encore plus la situation, conclut l'édition.

 

Source

Ambassadeur russe au Danemark: « Les navires de guerre danois pourraient devenir des cibles nucléaires légitimes »

lundi 23 mars 2015 à 09:33
Ambassadeur russe au Danemark: « Les navires de guerre danois pourraient devenir des cibles nucléaires légitimes »

Les navires de guerre danois pourraient être visés par des missiles nucléaires russes si le Danemark venait à rejoindre le bouclier anti-missile de l’OTAN, selon Mikhail Vanin, l’ambassadeur russe au Danemark.

« Je ne pense pas que les danois comprennent bien les conséquences si le Danemark venait à rejoindre le système de défense anti-missile des Etats-Unis, » a déclaré Vanin à Jyllands-Posten.« Si cela arrivait, les navires de guerre danois deviendraient les cibles des missiles nucléaires russes. »

Le ministre des affaires étrangères agacé

Martin Lidegaard, le ministre des affaires étrangères danois, n’est pas content des propos de Vanin.

« C’est évidemment inacceptable, » a dit Lidegaard. « La Russie sait très bien que le système de défense de l’OTAN est défensif. Nous ne sommes pas d’accord avec la Russie sur bien des plans, mais il est important que le ton reste autant positif que possible entre nous. »

 

Source française

Source danoise

Les prémisses d'une inversion des pôles magnétiques se font sentir

lundi 23 mars 2015 à 09:16
Les prémisses d'une inversion des pôles magnétiques se font sentir

L'humanité n'a pas connu d'inversion polaire depuis... 780 000 ans ! Aujourd'hui, les prémisses de ce cataclysme se font déjà sentir. 

Pour mieux comprendre en quoi le champ magnétique terrestre et ses pôles sont si importants, il faut regarder vers Mars, ses déserts de sable, ses paysages éteints et ses fortes radiations: si la Planète rouge est aujourd'hui dans un tel état, c'est justement parce qu'elle a perdu son champ magnétique. Celui de la Terre est encore solide, mais pour combien de temps? A ce rythme-là, les scientifiques prévoient qu'il pourrait disparaître dans quelques milliers d'années. 

Aujourd'hui, on est encore loin de la catastrophe. Et le champ magnétique de la Terre est encore là pour longtemps. Mais un autre phénomène pourrait toutefois bouleverser les équilibres naturels sur notre planète: une inversion polaire — ce moment où les pôles Nord et Sud échangent leur place… 

Vladimir Pavlov, de l'Institut de physique de la Terre affilié à l'Académie des sciences de Russie explique: 

"La science a pu déterminer que la Terre avait déjà connu des centaines d'inversions polaires, et que le phénomène n'avait aucune périodicité claire. Notre planète a connu des périodes de stabilité de 20, 40 et même 70 millions d'années, mais parfois les pôles s'inversaient en l'espace de 30-40 ans. Toutefois, depuis plusieurs millions d'années, on constate ce genre de phénomène en moyenne tous les 200 à 250 000 ans. La dernière inversion, par contre, s'est produite il y a près de 780 000 ans." 

Au regard de la fréquence observée auparavant, ce retard pourrait être alarmant. Et si le changement de pôles devait se produire sous peu? Pourquoi les scientifiques ne tirent-ils pas la sonnette d'alarme? 

Selon Vladimir Pavlov, personne ne peut formuler aujourd'hui de pronostic exact car le comportement des pôles est difficile à prévoir. Et même si l'on constate certaines tendances ces derniers temps, l'immense expérience du passé ne permet pas de tirer de conclusions à long terme. En clair: il est impossible de dire si l'inversion va se produire prochainement. 

Mais quelles sont ces tendances inquiétantes? On sait notamment que durant les périodes d'inversion, l'intensité du champ magnétique terrestre diminuait fortement, chutant 8 à 10 fois en-dessous de la norme. Notre bouclier magnétique perd justement de sa force depuis plusieurs centaines d'années. 

"La vitesse de déplacement des pôles magnétiques a augmenté. Bien que la durée des observations soit courte, il est difficile de déterminer s'il s'agit d'une tendance ou de changements séculaires. Mais une chose est sûre: au cours des dernières décennies la vitesse de déplacement des pôles a considérablement augmenté par rapport aux cent dernières années. Par conséquent, on peut affirmer que des restructurations se produisent actuellement dans les profondeurs de la planète." 

Une autre donnée inquiétante est transmise par les satellites, qui permettent d'évaluer les modifications géométriques du champ magnétique. De nouveau, on constate aujourd'hui les mêmes tendances que celles obtenues par les chercheurs grâce à leurs simulations informatiques des situations d'inversions polaires. 

D'autres scientifiques, au contraire, ne pensent pas que nos pôles vont s'inverser prochainement. Ils précisent qu'au cours des dernières décennies, les changements d'intensité du champ magnétique ont connu des variations positives et négatives de plusieurs dizaines de pour cent. 

Aujourd'hui, la science ne dispose pas d'informations suffisantes pour prédire comment se déroulera la prochaine inversion. Le passage d'un état à un autre (inversion) peut être aléatoire, c'est-à-dire ne pas avoir pour origine de cause concrète comme la chute d'une grande météorite. 

Les détails de ces processus ne sont pas encore suffisamment étudiés, c'est pourquoi il est difficile de pronostiquer la date des inversions. Une chose est certaine: rien de grave ne se produira à court terme car l'inversion des pôles dure plusieurs milliers d'années. 

A quoi doivent s'attendre nos descendants? Vont-ils subir une inversion des pôles et les catastrophes planétaires qui s'ensuivraient? Les scientifiques soulignent que la Terre a traversé de nombreuses inversions, mais que cela n'avait entraîné aucune conséquence catastrophique notable pour la planète. Et aucune extinction massive laissant une trace dans l'histoire ne s'est produite dans la biosphère. 

Bien évidemment, la situation est différente aujourd'hui. Après tout, l'homme a créé une puissante technosphère très sensible aux divers cataclysmes naturels. C'est pourquoi en cas d'inversion polaire les systèmes électriques pourraient s'effondrer — avec toutes les conséquences que cela implique pour de nombreux systèmes techniques. De plus, l'affaiblissement du bouclier magnétique qui protège la planète des radiations solaires pourrait sérieusement affecter l'humanité. Sans pour autant provoquer une extinction massive. D'ici là, la science élaborera des méthodes de défense efficaces.


http://fr.sputniknews.com/sci_tech/20150322/1015284141.html#ixzz3V8QU5YT7

 

 

Le basculement des pôles va vraiment commencer

 

Le mécanisme est enclenché, la Terre va basculer d’ici peu. Ce secret bien gardé par les gouvernements du monde, par les sociétés occultes ainsi que par les religions, est sur le point de se réaliser. Bien évidemment, vous, pauvre peuple du monde, vous n’en saurez jamais rien. Pour eux, garder ce secret n’est pas mentir à l’humanité, mais bien au contraire, la préserver, la sauver. Quelle serait en effet la réaction d’une population face à cette vérité terrifiante, et tandis qu’ils veulent la contrôler. Inévitablement, elle conduirait au suicide… et à leur perte.

Si nous parlons du 21 décembre 2012, et de l’invention de la fin du monde, bien aidée par des médias aux ordres, c’est qu’il y a une raison : Désinformer, rendre sourd en montant le son.

Il existe plusieurs calendriers Mayas, mais ils s’appuient tous sur une vérité : le magnétisme terrestre. La date du 21 décembre 2012 n’est pas la fin du monde, mais la date du commencement d’un changement terrestre qui dans sa logique, fera évoluer l’homme, qui par ailleurs n’a toujours pas compris que la nature était plus forte que lui.  

Les pôles magnétiques ont accéléré la vitesse de déplacement. Le point de rupture est désormais proche.

Le magnétisme terrestre va dans un premier temps disparaître, ainsi le pôle géomagnétique nord (sud en réalité) n’atteindra jamais la Sibérie, comme il l’est dit, dans 20 ans (ce n’est pas la première fois que WikiStrike vous en parle). Actuellement, le magnétisme s’atténue de manière exponentielle tout en ayant augmenté de 60 fois sa vitesse de déplacement en seulement 10 ans !

Sachez que la Terre est bipolaire, comme une pile dont  le courant circule de la borne positive vers la borne négative à l'extérieur de celle-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.

Nos failles, toutes les failles qui rident notre planète sont extérieures. Le magnétisme terrestre court donc du pôle sud (pôle nord réel, qui se situe à +500 mètres d’altitude) au pôle nord (Pôle sud réel, à -500 mètres d’altitude) en passant par ces failles. En d’autres termes, les failles sont des couloirs magnétiques, d’où aussi, l’importance de la position des astres dans la compréhension des risques sismiques. Voilà aussi pourquoi les Mayas regardaient le ciel. Et s’ils étaient les plus grands astronomes (encore de nos jours), c’est qu’ils regardaient d’abord les profondeurs de la Terre (voyage en barque dans le monde souterrain). « Pour accéder au ciel, il faut fouiller la terre »

C’est donc ici, sur ces failles, que sont les volcans les plus actifs, car recevant le plus d’énergie, affolant le magma.

L’accélération magnétique a pour conséquence une accélération magmatique et sismique, pour preuve, ces dernières années, jamais autant d’éruptions volcaniques n’a été enregistrées, même se réduisant, l’énergie magnétique est aussi la cause des derniers séismes dont celui du Japon le 11 mars 2011 et sa réplique du 7 décembre 2012. Jamais une telle réplique n’a été ressentie, pour certains géologues, le vrai séisme couve encore, ce que je pense. Quoi qu’il en soit, ces évènements iront en s’accélérant et en s’amplifiant, jusqu’au pôle shift, dans moins de 20 ans.

Pour être la plus précise possible, la vraie raison de la disparition en cours du magnétisme, c’est juste son accélération, en fait, elle reste la même, mais elle déborde.

Le magma, davantage chahuté, remonte bien plus qu’auparavant, mais il a surtout pris lui aussi de la vitesse, et les directions qui alimentent les supervolcans. Conséquence : les hécatombes d’animaux. Les animaux sont plus sensibles au magnétisme et se désorientent plus facilement (échouages), de plus, l’augmentation de la vitesse de déplacement du magma engendre des ultra-sons perturbateurs (oiseaux tombant raides morts), ces sons étranges que certaines personnes entendent à travers le monde.

Une fois le magnétisme terrestre éteint, on verra apparaître quatre pôles sur Terre. Puis la Terre basculera. Enfin, elle retrouvera ses deux pôles, ce coup-ci, ils seront dans le bon sens… jusqu’au prochain basculement.

Le calendrier maya était la version maya du calendrier mésoaméricain, composé de différents systèmes calendaires évoluant de manière concomitante. Il se composait d'un calendrier sacré, Tzolk'in (ou Bucxok), cyclique sur 260 jours, d'un calendrier solaire, Haab, cyclique sur 365 jours, et du compte long qui faisait le lien entre les deux précédents calendriers.

La date 0.0.0.0.0 du compte long maya correspond au 11 août 3114 av. J.-C, étrangement la date de naissance de l’écriture, officiellement née en Mésopotamie au IV millénaire avant JC. Pour eux, les plus importants cycles étaient inscrits dans les séries initiales (dates détaillées en tête de nombreuses inscriptions). Le compte long dure environ 5125 ans (soit 13 baktunob (1 872 000 jours. Nous y sommes.

A noter que certaines inscriptions vont jusqu’à l’an 7 000, évidemment, ils ne parlaient pas de fin du monde, mais de changements terrestres, et du magnétisme, source des bouleversements terrestres, la vie continue donc. Car la Terre elle-même détient son propre calendrier, réglé comme du papier à musique, ce que l’on vous cache.

Encore aujourd’hui, le magnétisme est présent dans la religion, et si les cathédrales sont à 90% en pierre calcaire de Lozère (mérovingienne, templière), c’est que ce département est le clou magnétique de la Terre – ainsi que la tache rouge de Saturne. Ne cherchez donc plus à comprendre pourquoi l’Hexagone est la fille aînée de l’Eglise.

Cela nous mène à l’alignement Jérusalem-Athènes-Rome-Avignon-Carnac (sur le Causse Méjean, ou Janus, ou géant), c’est en effet là, au Carnac Lozérien (et pas du Morbihan), sur ce causse, et sous ce causse, là sous les roches karstiques –que l’on retrouve… en Israël, que se situe le véritable clou de la Terre. C’est aussi  là, et peu de gens le savent, que les étoiles sont les plus visibles au monde. Etrange coïncidence.

La Terre va commencer à basculer, le mécanisme est enclenché… depuis toujours...et les Sociétés dont vous ne mettrez jamais le pied le savent bien.

Puis… ce pôle shift est soit-disant en retard…

R+C

Le pôle magnétique va croiser le pôle géographique, encore une fois, très étrangement, le 22 décembre 2012. Prenez garde, et soyez patients, ce n'est que l'évènement réellement déclencheur. 

 

Zoë Drac pour WikiStrike

 

Selon des chercheurs de la British Geological Survey, les pôles magnétiques ont commené à s’inverser !

 

NASA-Science-Predicts-2012-Sun-Pole-Shift-Pole-Reversal.jpgDes chercheurs de la British Geological Survey soutiennent à travers une étude scientifique que les pôles magnétiques de la terre seraient sur le point de se renverser ou auraient déjà commencé à se renverser. Ils livrent leurs conclusions sur le site même de la British Survey.

 Les chercheurs ont adopté des mesures de contrôle afin de surveiller en permanence le processus de basculement en cours grâce à l'installation d'un observatoire magnétique dans le sud de l'Etat de Géorgie, aux États-Unis, qui surveille l'ASA, l'anomalie de l'Atlantique Sud, et  tente d’y apporter des réponses.

 

Dans cette anomalie, le rayonnement de l'espace profond pénètre directement dans l'atmosphère de la Terre, et selon Jean-Pierre Valet, superviseur sur l'inversion géomagnétique à l'Institut de Physique du Globe de Paris: «L'un des changements les plus spectaculaires qui puisse se produire avec une inversion des pôles serait l'affaiblissement de l'intensité du bouclier. »

 

L'Observatoire magnétique a détecté une preuve que les pôles magnétiques se déplacent : L’ASA est en extension et se propage en particulier vers l'ouest. Pour les chercheurs, cette « BGS » pourrait être la preuve que le champ magnétique de la Terre s’inverse, malheureusement, ces chercheurs ne savent pas encore le scénario possible. (WS: Une inversion se produit actuellement, on peut facilement deviner le pourquoi ces scientifiques ne parlent pas sur le scénario… à voir le film 2012)

 

Les indices proviennent du lointain passé de notre planète. La dernière inversion qui s'est produite il y a 800.000 ans a provoqué sur terre un brusque changement climatique ainsi que l'extinction de diverses espèces animales. Mais après un certain temps le champ magnétique s’est re-stabilisé. Il est celui que nous connaissons aujourd'hui.

 

"Même si le champ devenait très faible, la surface de la terre serait protégée contre les intempéries. De même que, comme nous le voyons et percevons la présence du champ magnétique terrestre maintenant, il est possible que nous ne pourrions pas voir un quelconque changement significatif après le renversement" (WS: Mais bien sûr, dormez tranquille), explique Monika Korte, directeur scientifique de l’Observatoire géomagnétique Niemegk au GFZ de Potsdam, en Allemagne.

 

Les scientifiques de « bgs » continuent leurs efforts de recherche sur l'anomalie de l'Atlantique Sud, conscients qu’elle peut apporter des réponses importantes et significatives sur l'interprétation du processus d'inversion magnétique des pôles de la Terre et son impact sur l'écosystème.

http://noiegliextraterrestri.blogspot.com/2012/03/ricercatori-del-british-geological.html

 

Traduction Ghisham Doyle pour WIkiStrike

 

 

Un spécialiste du magnétisme terrestre prévient l’humanité et lui demande de renverser les dirigeants avant qu’il ne soit trop tard

 

 

Voici l’email du scientifique anonyme, james F.

« Le pôle nord géomagnétique continue son accélération et file droit vers la Sibérie. Ceci est en soi une nouvelle quelque peu normale. Cependant, je tiens à prévenir, d’où ma très grande inquiétude, que celui-ci se déplacera encore plus rapidement au cours de l’année 2012, comme jamais, et pourrait croiser le pôle géographique avant la fin de l’année. La situation économique, la géopolitique, les morts d’animaux à travers le monde, tout est lié au magnétisme terrestre, une situation aggravée par les éruptions solaires dont un pic alarmant est attendu pour 2013.

Si je vous préviens aujourd’hui, c’est qu’aucun média ne vous parlera de la catastrophe à l’échelle planétaire imminente.

En l’espace de 10 ans seulement, le pôle magnétique terrestre s’est déplacé 50 fois plus vite et cette vitesse exponentielle va se poursuivre dans les deux années qui viennent, provoquant toujours plus de séismes, de réveil de volcans et d’autres dérèglements climatiques intimement dépendants de ce phénomène.

2012, et plus particulièrement, la fin 2012, s’annonce catastrophique. Le croisement du PM et du PG ne se fera pas sans dégâts, d’après mes calculs, cet évènement se produira avant 2013, certainement en décembre prochain.

On écoute jamais assez les mayas qui connaissaient mieux que nous aujourd’hui le soleil, eux qui en possèdent nombres de calendriers. Et je commence à croire que ces génies de l’Astronomie étaient avant tout des génies de la compréhension électrique de l‘univers, et de cause à effet, du magnétisme terrestre.

Car il n’y a pas magnétisme sans univers électrique. Pourquoi vos scientifiques patentés vous le cachent-t-il encore ? Pour l’énergie libre, ou pour d’autres raisons. Mesmer pourrait vous en dire tant, le grand ami du roi Louis XVI, guillotiné dans le seul but de dénigrer ce premier, pourtant homme qui influença le très célèbre Nikola Tesla.

Il est grand temps que vous comprenez que l’homme n’est rien dans cet univers. Il est grand temps que les peuples reprennent le pouvoir pour saisir toute la vérité avant qu’il ne soit trop tard. Ce pourquoi, moi, James F, demande aux peuples des pays du monde à renverser chaque gouvernement. Le pouvoir entre vos mains, vous pourrez vous défendre, puisque vous pourrez accéder aux informations cachées.

Vous prévenir est une chose que je ne pourrai bientôt plus faire.

James. F. pour WikiStrike »

A partager et à traduire dans toutes les langues.

Levez-vous !

En Grèce, les impôts des plus pauvres ont augmenté de 337%, contre une hausse de 9% seulement chez les plus riches !

lundi 23 mars 2015 à 07:52
Grèce : les impôts des pauvres ont quadruplé

Grèce : les impôts des pauvres ont quadruplé

D'après une étude de la fondation Hans Böckler, les impôts des plus pauvres en Grèce ont augmenté de 337%, contre une hausse de 9% chez les plus riches. La responsabilité incombe au gouvernement grec rétorque-t-on à Berlin.

 

Alors que le temps presse pour que la Grèce trouve un accord avec ses créanciers, l'étude de la fondation Hans Böckler, rendue publique jeudi soir à Berlin, confortera ceux qui dénoncent l'austérité subie par le pays. La conclusion des deux chercheurs grecs Tassos Giannitsis et Stavros Zografakis qui l'ont réalisée est sans appel: les plus pauvres ont payé le plus lourd tribut, notamment à travers l'augmentation de la fiscalité. «Le poids des impôts pour la moitié la plus pauvre de la population a augmenté de 337% tandis qu'il augmentait de 9% pour la moitié la plus riche», écrivent les auteurs. Depuis le début de la crise, les impôts directs ont augmenté de 53% en Grèce et de 22% pour les impôts indirects.

L'étude permet de mettre des chiffres sur une réalité évidente: les Grecs se sont fortement appauvris durant la crise. Le revenu moyen, avant impôts, s'élevait à 23.100 euro en 2008 et à 17.900 euro en 2012, ce qui représente une perte d'environ 23%. Dans le détail les inégalités sont fortes: les 10% les plus pauvres ont perdu 86% de leur revenu de 8462 euros en moyenne, à 1150 euros. A l'inverse, les 30% aux revenus les plus élevés n'ont perdu qu'entre 17% et 20% de leurs revenus.

«Changer de politique»

«Il est urgent de changer de politique», explique le professeur Gustav Horn, directeur de l'IMK, un institut associé à la Fondation Hans Böckler pour l'étude. L'aggravation de la pauvreté et des inégalités sous l'effet de la rigueur menace la possibilité pour la Grèce de renouer avec la richesse.

Mais pour le gouvernement allemand, ce constat ne contredit en rien les préconisations de réforme formulées à Bruxelles ou Berlin. Au ministère des Finances comme à la Chancellerie, on pointe la responsabilité des gouvernements grecs dans l'aggravation de la situation sociale dans le pays et les inégalités dans la collecte d'impôts. «Quand la Grèce essaie perpétuellement de persuader que ses problèmes trouvent leur source en dehors du pays, elle ne dit pas la vérité à son peuple», a expliqué le ministre des Finances Wolfgang Schäuble en début de semaine. «C'est ça le tragique de la situation en Grèce, c'est que les élites ne disent pas tout à fait la vérité à leur peuple». Pur lui, la Grèce a trop longtemps vécu au-dessus de ses moyens «en raison des erreurs de ses élites». Quand le pays «doit lentement revenir à la réalité, ça fait très mal», a-t-il conclu. Les plus pauvres, en Grèce, l'avaient déjà compris.

 

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Déclin du puits de carbone amazonien lié à une surmortalité des arbres

dimanche 22 mars 2015 à 23:09
Déclin du puits de carbone amazonien lié à une surmortalité des arbres

L’Amazonie est en train de perdre sa capacité à absorber le dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique, principal gaz à effet de serre.

C’est le résultat d’un inventaire colossal : le suivi, sur une trentaine d’années, de la biomasse contenue dans 321 parcelles de forêt amazonienne. Celui-ci révèle que le taux de mortalité des arbres a augmenté de plus d’un tiers depuis le milieu des années 1980, diminuant la capacité de stockage du CO2 par la forêt tropicale. « Partout sur Terre, les forêts changent, commente l’un des auteurs, ajoutant que nous ne pouvons plus compter seulement sur elles pour résoudre le problème du carbone

 

Lors des décennies passées, la forêt amazonienne a joué le rôle de puits de carboneatmosphérique, absorbant plus de carbone qu’il n’en rejette, aidant par conséquent à limiter l’impact du réchauffement global. Mais une nouvelle analyse sur la dynamique forestière montre une augmentation rapide du taux de mortalité des arbres en Amazonie.

Pour le premier auteur de cette étude, Dr Roel Brienen, du département de géographie à l’Université de Leeds, « le taux de mortalité des arbres a augmenté de plus d’un tiers depuis le milieu des années 1980, et cela altère la capacité de l’Amazonie à stocker du carbone ».

Changement de régime dans la forêt amazonienne

Selon les chercheurs, l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère, l’un des composants clefs pour la photosynthèse, a initialement conduit à une augmentation de la capacité de stockage dans les arbres amazoniens. Mais un changement de régime semble être proche et avoir des conséquences inattendues.

Selon le professeur Oliver Phillips (Université de Leeds), coauteur de l’étude et coordonnateur du projet Rainfor sur lequel l’analyse s’appuie, « avec le temps, la stimulation de croissance impacte le système ; les arbres vivent plus vite et meurent plus jeunes ».

Des sécheresses récentes en Amazonie et des températures anormalement élevées pourraient aussi jouer un rôle important dans cette observation. Si l’étude démontre que l’augmentation de mortalité a commencé bien avant la mégasécheresse de 2005, elle montre aussi que les événements de sécheresse de 2005 et 2010 ont conduit à la mort de millions d’arbres en plus.

Marquage d’arbres au Pérou dans le cadre d'une étude, coordonnée par Rainfor, menée sur plus de 200.000 sujets. © Roel Brienen
Marquage d’arbres au Pérou dans le cadre d'une étude, coordonnée par Rainfor, menée sur plus de 200.000 sujets. © Roel Brienen

L’article publié dans l’édition du 18 mars 2015 de Nature montre comment l’intensité du puits de carbone a décliné en Amazonie de manière concomitante avec l’accélération de la mortalité. D’un pic de 2 milliards de tonnes de dioxyde de carbone stockées annuellement dans les années 1990, le stockage net a désormais diminué de moitié et est maintenant pour la première fois dépassé par les émissions fossiles de l’Amérique du Sud.

Selon le Dr Brienen, « quelles que soient les causes de l’augmentation de mortalité, cette étude montre que les prédictions d’une capacité indéfinie de stockage des forêts tropicales pourraient être trop optimistes. Les modèles climatiques qui prennent en compte la réponse de la végétation font l’hypothèse que tant que les niveaux de dioxyde de carbone augmentent, l’Amazonie va continuer à stocker du carbone. Nos recherches démontrent que cette hypothèse pourrait être incorrecte et que les processus démographiques sont critiques dans ce système ».

Plus de 200.000 arbres étudiés dans 321 parcelles de la forêt

L’étude repose sur des décennies de suivis détaillés des forêts d’Amérique du Sud. Le travail qui implique une centaine de chercheurs sous la direction de l’université de Leeds, dont des chercheurs français du Cirad, du CNRS et de l’Inra, collaborant au sein du Labex Ceba, a été coordonné par Rainfor, un réseau de recherche unique dédié au suivi des forêts amazoniennes.

Afin de calculer les changements de stockage de carbone, les auteurs ont examiné 321 placettes forestières réparties largement sur les six millions de kilomètres carrés de l’Amazonie. Ils ont mesuré 200.000 arbres et enregistré la croissance et la mort de chacun d’entre eux depuis les années 1980.

« Partout sur Terre, même les forêts intactes changent, ajoute Oliver Phillips. Les forêts nous rendent un énorme service, mais nous ne pouvons plus compter seulement sur elles pour résoudre le problème du carbone. Nous devons agir pour réduire les émissions afin de stabiliser notre climat. »

CNRS

 

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