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Le projet secret d’un « deuxième Israël » en Ukraine

lundi 29 décembre 2014 à 18:23
Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6 au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2 mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, John Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding d’infrastructures gazières.

Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6 au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2 mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, John Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding d’infrastructures gazières.

 

Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.

 Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jerusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écris par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien [1]. Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.

Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.

Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre GOLDA Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.

L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).

Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.

Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.

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Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours accusés les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé. Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre La Treizième tribu.

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Les journalistes duTimes of Israel relayent les révélations d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »

Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable. Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »

Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs alliés états-uniens tels que Victoria Nuland (secrétaire d’État adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les « crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduisent la volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le Cisjordanie et le plateau du Golan. Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak, l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement ou en complément de la Cisjordanie. Les Bnei Menashe des États de Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses en vue de classer comme « tribus perdue » d’Israël les Sorbes d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et certains Grecs.

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Carte de l’empire khazar au Xè siècle tirée du livre de Koestler.

En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2]. Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre sur place.

On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane, qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.

Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè siècle.

Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008 contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.

Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi, selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de 2 000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »

Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »....

Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le président Barack Obama et son secrétaire d’État John Kerry, l’actuelle volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de Cisjordanie. Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.

Wayne Madsen

Traduction 
Erwann

Source 
Strategic Culture Foundation

[1] “Leaked report : Israel acknowledges Jews in fact Khazars ; Secret plan for reverse migration to Ukraine”, Jim Wald, The Times of Israel, March 16, 2014.

[2] « Des soldats israéliens étaient camouflés place Maidan », Réseau Voltaire, 3 mars 2014. Et « Le nouveau Gladio en Ukraine », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 18 mars 2014.

Source: Réseau Voltaire

Moscou envisage l'attaque nucléaire en cas d'agression

lundi 29 décembre 2014 à 18:14
Moscou envisage l'attaque nucléaire en cas d'agression


Le Kremlin a publié ce vendredi 26 décembre la nouvelle version de la doctrine militaire de la Russie, approuvée par Vladimir Poutine, qui pointe l'Otan comme une menace fondamentale pour la sécurité du pays. Deux jours plus tôt, l'Ukraine a fait un pas vers l'Alliance atlantique en abandonnant son statut de pays non aligné.


 

La doctrine militaire russe s'inquiète ainsi du «renforcement des capacités offensives de l'Otan directement aux frontières de la Russie, ainsi que des mesures prises pour déployer un système global de défense antimissile» en Europe orientale.

 

Troupes aux frontières de la Russie

 

Moscou a dénoncé à plusieurs reprises la décision de l'Otan de positionner des troupes dans plusieurs pays membres situés aux frontières russes, tels que les pays baltes ou la Pologne, ainsi que le projet américain de bouclier antimissile en Europe orientale.

 

Le caractère défensif de la doctrine militaire russe est toutefois conservé, mettant l'accent sur un engagement militaire de la Russie seulement à condition que toutes les solutions non violentes soient épuisées.

 

Elle note que la «probabilité d'une guerre d'envergure contre la Russie a diminué», mais liste cependant une série de menaces qui se sont intensifiées dans certains domaines tels que les revendications territoriales, «l'ingérence dans les affaires internes» des Etats et l'envoi d'armes stratégiques dans l'espace.

 

Attaque nucléaire en cas d'agression

 

La nouvelle doctrine militaire russe introduit aussi le concept de «dissuasion non-nucléaire», qui passe par le maintien à un haut niveau de préparation des forces militaires conventionnelles.

 

La Russie se réserve toutefois le droit d'utiliser son arsenal nucléaire en cas d'agression contre elle ou ses alliés ou en cas «de menace pour l'existence même de l'Etat». Mais le terme d'«attaque préventive» n'apparaît pas, contrairement à ce qu'avaient affirmé plus tôt certains médias russes.

 

Moscou indique également qu'une des principales tâches de ses forces armées en temps de paix sera d'«assurer les intérêts nationaux de la Russie dans l'Arctique», une région stratégique pour le développement économique et l'approvisionnement énergétique futur de la Russie, disputée par les Etats-Unis et le Canada.



 (ats/Newsnet)

Lu ici

Un fantôme filmé lors d'un cours d'équitation

lundi 29 décembre 2014 à 17:56
Un fantôme filmé lors d'un cours d'équitation

Ce sont des images rares et extraordinaires qui ont été prises, un jour, lors d'un banal cours d'équitation. En effet, un fantôme est apparu, par inadvertance, sans que les protagonistes de la scène ne s'en aperçoivent ... 


A ce moment-là, un homme était en train de filmer sa femme et sa fille qui montaient à cheval. C'est alors qu'est apparue une silhouette fantomatique et d'apparence humaine. Personne ne l'a vu et l'ensemble des témoins affirment qu'ils étaient totalement seuls. 

 

 


Ce mystérieux fantôme semblait être un homme probablement âgé comme l'en atteste la couleur blanche de ses cheveux. En outre, il paraissait porter des vêtements vieux de plusieurs siècles. Sur la vidéo, il ne bouge pas et se contente d'observer les deux femmes à cheval. 


Cette affaire-là est considérée comme étant sérieuse par les spécialistes. La vidéo a été enregistrée sur VHS. De ce fait, il était beaucoup plus difficile de la truquer comme il est aisé de le faire, aujourd'hui, avec la technologie du numérique. 
Qu'en pensez-vous ? Est-ce une preuve que les fantômes sont une réalité qui nous dépasse ?

 

Source

Sécurité biométrique : des hackers allemands reproduisent l'empreinte digitale de la ministre allemande de la Défense

lundi 29 décembre 2014 à 17:51
Sécurité biométrique : des hackers allemands reproduisent l'empreinte digitale de la ministre allemande de la Défense

La biométrie devait devenir un élément essentiel de notre sécurité. Grâce à la reconnaissance de votre empreinte digitale, vous alliez remplacer la clé de votre maison ou de votre voiture. Fini le mot de passe sur votre ordinateur, place à la biométrie. La biométrie allait aussi être la meilleure garantie de sécuriser vos payements en ligne. Grâce à votre empreinte digitale, vous alliez remplacer votre carte de crédit par votre smartphone et la simple pression de votre doigt sur l'écran du téléphone allait valider et sécuriser le payement. 

Mais patatras, tout s'effondre... 

 

 

Chaos Computer Club

 


Chaos Computer Club, un réseau de hackers, a affirmé samedi après-midi avoir reproduit l'empreinte du pouce de la ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen. 

 

 

 

 

 

fingerprint

 


Jan Krissler a pris la parole à Hambourg à l'occasion de la 31e réunion annuelle de ce club de pirates informatiques et a montré la fragilité de la biométrie. 

Jusqu'à présent, les détracteurs de la biométrie expliquaient qu'il suffit de relever l'empreinte sur un verre, par exemple, pour la reproduire. 

Jan Krissler va plus loin et explique que, grâce à des logiciels librement disponibles, tels que VeriFinger, et un cliché du pouce droit du ministre pris lors d'une conférence de presse en octobre ainsi que d'autres photos, prises sous d'autres angles, pour compléter l'image de l'empreinte, il était en mesure de reproduire l'exacte empreinte du ministre et de tromper le système de sécurité biométrique. Pour prouver ses affirmations, Jan Krissler a exhibé samedi l'empreinte du ministre allemand.

 

Source

 

 

 

Les 5 mensonges climatiques de 2014

lundi 29 décembre 2014 à 09:23
Les 5 mensonges climatiques de 2014

L’année 2014 se termine bientôt, et avec elle son lot de mensonges sur le réchauffement/changement/dérèglement climatique. Considérant la partialité des médias francophones sur le sujet, voici en rafale ce que vous pourriez avoir manqué.

1. L’année 2014 est la plus chaude jamais enregistrée

Depuis que l’hystérie climatique contrôle le monde, on entend sans cesse que l’année X est la plus chaude jamais enregistrée ; c’est le cas pour 2014.

Or, il n’en est (probablement) rien. En effet, les données satellitaires sur les températures ne montrent non seulement aucune hausse des températures depuis 18 ans – les modèles climatiques sont un échec presque total quant à leurs prédictions –, mais 2014 n’est même pas la plus chaude pour cette même période. De plus, si on regarde une image plus large, la période chaude moderne n’est rien comparée à ce qu’il y a eu dans l’Histoire humaine.

2. L’Arctique menace de disparaître

Le pape vert par excellence (Al Gore) prédisait un océan Arctique navigable cette année. La NOAA (agence fédérale qui surveille le climat) parle aussi de fonte sans précédent du Pôle Nord.
Or, l’Arctique connait présentement sa superficie 
la plus étendue depuis une décennie et se retrouve dans la déviation normale de la moyenne, calculée depuis 1979. Par ailleurs, il est intéressant que 1979 soit choisie comme année de base. En effet, des images satellites datant de 1964 montrent que la banquise du Nord n’a pas toujours été uniformément gelée. De plus, l’Arctique a déjà été plus chaud bien avant l’arrivée des Hummers.

Parallèlement, au Pôle Sud, la banquise bat tous les records de superficie, et cette glace est très épaisse. Cela pourrait expliquer lesmésaventures du « Ship of Fools »…

3. Les ours polaires sont en danger

L’ours polaire, la mascotte officielle du Grand Nord, est menacé de toute part par l’hystérie climatique. Partout on entend qu’il court ungrave danger si les glaces arctiques continuent de « fondre ».

contrepoints-028-climat-mensonge-660x660Or, si cette année fut difficile pour cet ours c’est parce que la glace était… trop épaisse. Aussi, les affirmations selon lesquelles les ours polaires de la mer deBeaufort sont en fort déclin semblent avoir été triées sur le volet. En effet, des données plus exhaustives montrent que leur population n’est pas en déclin. Au pays, le gouvernement du Nunavut affirme que la population des ours est en très bonne santé.

4. Une augmentation du CO2 amènera famine et misère

Le dioxyde de carbone a vraiment mauvaise presse. Parmi ses « méfaits », il y a notamment une diminution des rendements agricoles.

Mais comme plusieurs prédictions semblables, celle-ci ne tient pas la route. En effet, une litanie d’études, y compris du gouvernement fédéral aux États-Unis, montrent qu’une augmentation du CO2 augmenterait les rendements. Cela rejoindrait donc les tendances déjà observées pour le maïs, le blé, le soja, le riz

Aussi – l’histoire vient de sortir – l’acidification des océans supposément causée par le CO2 pourrait ne pas être vraie.

5. La sécheresse en Californie est sans précédent

La moindre perturbation climatique paraissant anormale est avancée comme « preuve » supplémentaire à l’appui du réchauffement/changement/dérèglement climatique. C’est notamment le cas de cette sécheresse persistante en Californie (l’hystérie climatique serait aussi responsable des pluies diluviennes récemment tombées, mais passons).

Or, encore une fois, il n’en est rien. Même la NOAA le dit : la sécheresse californienne n’a rien d’exceptionnelle. Un regard vers le passé montre que les sécheresses ont déjà été nettement plus brutales qu’au XXIe siècle.

Bref, ignorez ces fausses mauvaises nouvelles comme vous le faites avec ces autres prédictions d’apocalypse qu’on nous sert depuis Malthus. Elles sont généralement faites par des gens dont le niveau de vie dépend grandement du maintien de l’hystérie climatique.

http://www.contrepoints.org/2014/12/28/192570-les-5-mensonges-climatiques-de-2014

L’auteur
Pierre-Guy Veer-674Pierre-Guy Veer

Pierre-Guy Veer est un journaliste indépendant. Tel un enfant, il pose des questions que personne ne semble vouloir poser dans la terre des vaches sacrées, le Québec