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Les éléphants d'Afrique n'auraient plus qu'une génération à vivre

mardi 9 décembre 2014 à 17:43
Les éléphants d'Afrique n'auraient plus qu'une génération à vivre

Le massacre des éléphants d'Afrique et le commerce de leur ivoire en Chine sont "hors de contrôle" et pourraient provoquer l'extinction des pachydermes vivant en liberté d'ici une génération, selon l'enquête de deux ONG de défense de l'environnement.

Plus de 100.000 éléphants d'Afrique ont été tués en 2010 et 2012, et des quantités de plus en plus importantes d'ivoire sont vendues dans un nombre croissant de boutiques en Chine, dénoncent dans un rapport conjoint les associations Save The Elephants et The Aspinall Foundation. Elles appellent Pékin à réagir vigoureusement: "La Chine détient la clé de l'avenir des éléphants", a expliqué Iain Douglas-Hamilton, fondateur de Save the Elephants. 

"Si la Chine n'est pas en pointe pour mettre fin à la demande d'ivoire, les éléphants d'Afrique pourraient disparaître de la nature d'ici une génération". "L'envolée de la demande d'ivoire en Chine - où le prix de gros pour les défenses brutes d'éléphants a triplé en quatre ans depuis 2010 - a déclenché une expansion du commerce de l'ivoire de contrebande, entraînant le massacre des éléphants d'Afrique", expliquent les ONG dans leur rapport, rendu public mardi à Nairobi. 

Prix astronomiques
Le braconnage des éléphants, mais aussi des rhinocéros, a explosé ces dernières années en Afrique, alimenté par la forte demande d'ivoire et de corne en Asie, où ils sont recherchés respectivement pour leur aspect décoratif et leurs prétendues vertus médicinales. Les prix sont devenus astronomiques, faisant saliver gangs criminels internationaux et groupes armés. Des enquêteurs des deux ONG ont visité plusieurs dizaines de magasins et d'usines en Chine, principal centre mondial de transformation et premier importateur illégal d'ivoire. 

"Tous les chiffres concernant le commerce de l'ivoire ont explosé ces dernières années. Les prix de l'ivoire brut ou travaillé en Chine, le nombre d'usines autorisées de taille de l'ivoire, celui des boutiques de vente de détail, tant légales qu'illégales, celui des objets à la vente, tous se sont envolés", s'alarment-ils. Selon eux, entre 2004 et 2013, le nombre de commerces d'ivoire patentés est passé de 31 à 145 et le nombre d'usines de transformation de neuf à 37. La vente illégale dans des commerces sans licence a progressé au même rythme. 

"Parallèlement, les quantités d'ivoire saisies et le nombre d'éléphants tués en Afrique ont également augmenté", poursuivent Save The Elephants et The Aspinall Foundation. Le prix de l'ivoire brut en Chine est passé de 750 dollars (550 euros) le kilo en 2010 à 2.100 dollars (1.540 euros) en 2014. 

Des défenses de mammouths, vraiment?
Après l'interdiction en 1989 du commerce international d'ivoire, l'industrie chinoise de transformation était moribonde. La vente - avec l'imprimatur de la Cites, l'organisation internationale de protection des espèces menacées - de 62 tonnes d'ivoire d'Afrique australe à la Chine en 2008 et l'enrichissement de la population chinoise ont fait exploser la demande et ressuscité le secteur. Les Chinois sont désormais les principaux acquéreurs de l'ivoire travaillé en Chine, pour la première fois depuis le XIXe siècle, selon les auteurs du rapport. 

La vente de défenses anciennes de mammouths est légale et libre en Chine, tandis que le commerce de défenses d'éléphants est soumis à licence et l'ivoire interdite d'exportation. Mais d'après le rapport, le commerce des défenses de mammouths est utilisé "comme couverture pour vendre de l'ivoire d'éléphant" et "le négoce légal d'ivoire sert à dissimuler des activités illégales". 

"La Chine fait face à des défis énormes en matière de police pour contrôler le trafic d'ivoire, alors que le nombre de riches, intéressés par l'achat d'ivoire, continue de progresser" et qu'"un nombre croissant de travailleurs chinois en Afrique (...) achètent des quantités de plus en plus importantes d'ivoire pour les faire sortir en fraude", indique le document. La Chine fait des efforts pour mettre fin au trafic, mais ses mesures sont insuffisantes, estiment les auteurs du rapport. 

Les autorités chinoises ont fait fermer 10 magasins et usines, "emprisonné des centaines de revendeurs et condamné à la prison à vie 37 trafiquants", jugulant les ventes aux enchères d'ivoire de près de 97%, selon le rapport. Mais "malgré ces efforts, les inspections officielles se sont avérées à l'évidence incapables de suivre le rythme de l'inflation du marché illégal".

 

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D'étranges superarbres pour dépolluer l'air

mardi 9 décembre 2014 à 11:58
D'étranges superarbres pour dépolluer l'airD'étranges superarbres pour dépolluer l'air

Les "superarbres", des purificateurs d'air installés dans la capitale péruvienne Lima qui accueille actuellement la conférence des Nations Unies sur le climat, peuvent convertir autant de dioxyde de carbone en oxygène que 1.200 arbres, selon leur inventeur, l'ingénieur naval à la retraite Jorge Gutierrez.

Les machines de cinq mètres de haut, à 100.000 dollars pièce et au coût de fonctionnement de 6 dollars par jour, tournent à l'électricité, mais leurs propres émissions ne représentent qu'une petite partie de ce qu'elles peuvent faire disparaître, selon leur créateur, qui souligne qu'elles pourront rapidement être rentabilisées grâce à la publicité.

Les superarbres offrent aussi la possibilité aux passants de s'arrêter dans une cabine pour respirer gratuitement de l'air pur, ce qui n'est pas sans attiser la curiosité.

Seulement deux machines sont opérationnelles jusqu'à présent. D'après Jorge Gutierrez, il en faudrait 400 pour faire vraiment reculer la pollution notoire de Lima, ville de dix millions d'habitants.

 

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Les pelouses synthétiques donneraient le cancer

mardi 9 décembre 2014 à 09:44
Les granules toxiques ?

Les granules toxiques ?

Le gazon artificiel, qui recouvre de nombreux terrains de soccer (football) aux États-Unis, serait à l’origine d’un nombre inquiétant de cancers chez les enfants et adolescents, particulièrement les gardiens de buts, révèle une enquête du réseau NBC.

C’est Amy Griffin, entraîneuse d’une équipe de soccer féminin dans une université de Seattle, qui a sonné l’alarme.

Elle a appris que deux de ses joueuses, toutes deux gardiennes de but, étaient atteintes d’unlymphome non hodgkinien (cancer touchant le système immunitaire, ndlr).

Elle croyait alors que ce n’était qu’une triste coïncidence.

En allant visiter une d’elles à l’hôpital, une infirmière lui a dit : « C’est le quatrième gardien de but que je branche (pour la chimiothérapie) cette semaine », rapporte NBC.

Inquiétée par les propos de l’infirmière, l’entraîneuse s’est mise à faire des recherches.

Elle a compilé une liste de 38 jeunes joueurs de soccer qui ont été diagnostiqués avec un cancer à travers les États-Unis ces dernières années.

Trente-quatre d’entre eux sont des gardiens de but. Les cancers du sang dominent la liste.

« J’ai le pressentiment que les petites billes noires ont quelque chose à voir là-dedans », a prévenu la gardienne de but malade en s’adressant à Amy Griffin.

 

Granules toxiques

Il est ici question de la pelouse artificielle remplie de granules de caoutchouc.

La composition de ce gazon permet d’absorber les chocs et de prolonger la durée d’utilisation du terrain.

Ce type de gazon s’est multiplié depuis les années 2000 un peu partout aux États-Unis, dans les écoles secondaires et les complexes sportifs.

Les billes noires se retrouvent partout, dans les uniformes des joueurs, dans leurs crampons et dans leurs cheveux.

Les gardiens de but sont les plus exposés, leur corps étant plus souvent en contact avec le sol. Les granulés entrent dans leurs coupures et éraflures et dans leur bouche.

Ces petites billes noires sont faites à partir de pneus recyclés, qui peuvent contenir du benzène, du noir de carbone et du plomb.

Selon NBC, aucune recherche n’a encore lié le cancer au gazon artificiel, et peu d’études ont été faites sur les dangers de cette poudre de caoutchouc faite de vieux pneus.

Selon The Synthetic Turf Council, un groupe qui représente l’industrie du gazon artificiel, les preuves recueillies jusqu’à présent prouvent que le gazon artificiel est sûr.

Certaines villes ont déjà choisi d’abandonner le gazon de caoutchouc granulaire. C’est le cas de New York, qui ne l’utilise plus dans ses parcs depuis 2008, suivi en 2009 par Los Angeles.


Ananalyse de Quenel+

Un bref coup d’œil sur sa fiche wikipédia  nous permet d’en apprendre un peu plus sur cette pelouse artificielle :

La pelouse artificielle, aussi appelée « pelouse synthétique » ou encore « gazon artificiel », est une surface imitant la pelouse naturelle. Ce faux gazon est imité à partir de plastiques produits par synthèse chimique, de manière à imiter certaines de ses caractéristiques et son aspect. Deux avantages sont avancés par les fabricants : la possibilité d’un usage intensif, quelle que soit la météo, et un moindre besoin d’arrosage ; mais ce type de gazon donne lieu à des critiques portant sur la santé des utilisateurs et son impact sur l’environnement.

La marque AstroTurf, première à avoir eu un succès commercial dans les années 1960 sous l’égide de la compagnie Monsanto, est souvent employée comme terme générique pour désigner la pelouse artificielle.

Mais encore :

La poudrette de caoutchouc est un matériau qui ne peut être légalement mis en décharge ni jeté en mer en raison de sa toxicité ; pourquoi diable devrions-nous laisser nos enfants jouer dessus ?

http://www.journaldemontreal.com/2014/10/10/a-lorigine-de-cancers-chez-les-jeunes

Macron-économie: Augmentation de 50 % de la taxe sur les surfaces commerciales en 2015 !

mardi 9 décembre 2014 à 09:26
Macron-économie: Augmentation de 50 % de la taxe sur les surfaces commerciales en 2015 !

Voilà une idée « qu’elle est vraiment encore plus bonne que meilleure »…

« La taxe sur les surfaces commerciales (Tascom) sera, dès 2015, augmentée de 50 % sur les surfaces de plus de 2 500 mètres carrés. Une aberration. Cela se répercutera ipso facto sur les prix de vente, donc sur le pouvoir d’achat des ménages et, par ricochet, sur l’emploi. Contre toute attente ! La Tascom coûte déjà aujourd’hui entre 600 (chiffres finances publiques) et 710 millions d’euros (selon le Conseil du commerce de France) qui sont répercutés sur les prix de vente. Demain, elle s’approchera du milliard d’euros… »

Mais puisque not’mamamouchi président nous a dit qu’il n’augmenterait pas les impôts… Eh bien promesse tenue !! Il augmente toutes les taxes qui existent autour et n’hésitera pas à nous en inventer d’autres, tant la créativité fiscale de nos zélites est sans limites.

Autre exemple, la taxe désormais appliquée à tous les abris de jardin d’au moins 5 m²… C’est sûr qu’il faut taxer toutes les cabanes, c’est pour notre bien. De même que mettre des amendes aux cyclistes… Ben oui, se faire renverser en vélo c’est ballot. Vite, taxons les vélos ! N’oublions pas d’augmenter les taxes sur le diesel qui pollue après nous avoir presque obligé à tous rouler en diesel… Mais bon, ce n’est pas grave, maintenant il faut acheter une voiture essence… que l’on nous forcera à remplacer par une voiture électrique… qui ne marche pas !!

En soi, je ne suis contre rien, c’est simplement que la fiscalité actuelle est un empilement sans fin de taxes sans cohérence aucune… Alors que notre pays a besoin d’une immense remise à plat de la fiscalité. Dans ce cadre-là alors tout peut être abordé. En revanche, actuellement, on augmente tout simplement tout… simplement parce que l’ État a besoin de tous les fonds possible.

Source: Le Contrarien

Kiosque Infos Sida : l’association qui suce vos impôts

mardi 9 décembre 2014 à 09:13
Kiosque Infos Sida : l’association qui suce vos impôts
La semaine dernière, à l'Université Paris III-Sorbonne-Nouvelle, étaient distribués des tracts intitulés « Tu suces ? » aux étudiants. L'association qui les a édités, Kiosque Infos Sida, est officiellement vouée à la prévention du VIH, et reçoit à ce titre de grasses subventions. Mais l'usage qui est fait de votre argent est tout autre...

La prévention du sida, en principe, consiste à expliquer aux personnes les plus susceptibles de contracter le VIH qu’elles doivent éviter les pratiques à risques afin de se prémunir elles-mêmes, et de prémunir les autres.

Si l’on s’en tient aux professions de foi de l’association Kiosque Infos Sida, c’est ce qui est fait par l’association, avec notamment un centre de dépistage du VIH et, officiellement du moins, des actions de prévention.

Mais dès que l’on se penche sur les brochures éditées par l’association à destination des jeunes, on se rend compte que l’objet de l’association est tout autre. Il s’agit tout bonnement de faire la promotion de la sexualité sans entraves (entre « hommes qui aiment les hommes ») sous couvert d’encadrement des pratiques à risques.

La semaine dernière, l’association distribuait des tracts à Censier, le campus de l’Université Paris III-Sorbonne Nouvelle. Intitulée carrément « Tu suces ? », cette série de trois dépliants peut difficilement être classée dans le matériel de prévention des MST.

Commençons par le tract n° 1. Consacré au Papillomavirus humain (PVH), le dépliant comporte notamment une rubrique intitulée « Sex Anatomy », donnant des conseils pour « jouer dans son coin, à deux ou à plus » (sic). S’ensuit une description anatomique des zones érogènes du sexe masculin, et une liste de verbes correspondant aux actions à effectuer sur chacune de ces zones. Sachant qu’il y a « mordiller » dans la liste, l’aspect prévention semble passé au second plan :

Sex Anatomy

Le tract n° 2 comprend lui aussi une section « ludique », intitulée cette fois « Pipe Profiler ». Sous forme de quiz, il s’agit pour le lecteur de « découvrir quel suceur/sucé il est » (sic). On en oublierait presque que le dépliant est consacré en principe à la lutte contre la syphilis, une maladie qu’on pensait appartenir au passé mais qui revient en force avec la multiplication des pratiques à risque. Et comme vous pouvez le voir, Kiosque Infos Sida n’aide pas vraiment à endiguer le processus :

Pipe Profiler

Enfin, le tract n° 3  propose un « Pipe Trotter » pour « sucer dans toutes les langues » (sic). Il s’agit en principe d’un outil contre la gonorrhée, ou blennorragie, mais la rubrique « Suce et Astuces » (sic) propose une liste de recettes pour « pimenter les pipes ». Au menu : chantilly, champagne, glaçon et bonbon à la menthe forte.

Pipe Trotter

Même les parties plus « sérieuses » de ces dépliants donnent lieu à des propos bien éloignés de tout discours sur la santé publique. Chaque tract comporte une rubrique « bonnes pratiques de la fellation » avec deux scénarios, « toi suceur » et « toi sucé » (sic).

76 775 euros de subventions en 2013

Sur chacun de ces tracts, on peut lire, en bas à droite, « réalisé avec le soutien de l’Inpes ». L’Inpes, Institut national de prévention et d’éducation pour la santé, est un établissement public administratif, en clair une administration, financée par le ministère de la Santé et l’Assurance-maladie. Son budget, 95 millions d’euros en 2013, lui permet de subventionner à hauteur d’une dizaine de millions d’euros par an des associations comme le Kiosque. Ce dernier, en 2013, a reçu 76 775 euros de l’Inpes, comme vous pouvez le découvrir à la page 122 de ce document en ligne.

Subvention Inpes Kiosque 2013

Par contre, niveau cotisations des adhérents, la récolte est maigre. La même année, le Kiosque a reçu seulement 30 euros en cotisations, comme vous pouvez le découvrir à la page 10 du rapport du commissaire aux comptes paru dans le Journal Officiel.

En plus de celles de l’Inpes, d’autres subventions de la Caisse primaire d’assurance-maladie (CPAM) et de la Mairie de Paris sont mentionnées. (Les comptes pour les années précédentes peuvent être consultés en cliquant ici).

Comme vous avez pu le voir ci-dessus, la justification donnée par l’administration à l’addiction du Kiosque à l’argent public est le « soutien à des actions de prévention et de formation ». Pour le Kiosque, cela consiste en des interventions dans les établissements scolaires et universitaires. Pour rendre cela acceptable, le Kiosque a ajouté la lutte contre les addictions aux drogues à ses compétences, mais une étude systématique du site de l’association montre que ce n’est pas le « cœur de métier » du Kiosque. L’une des interventions en milieu scolaire avait d’ailleurs trait à la « recherche dans sa construction ou de son identité sexuelle ». Quel rapport avec la toxicomanie ? On pourrait même avancer que le Kiosque est mal placé pour parler de lutte contre les addictions quand on voit son entrain à encourager les addictions sexuelles des jeunes « hommes qui aiment les hommes ».

Une association en sommeil

On pourrait se féliciter de ce que l’association soit peu active depuis quelques années, étant donnée la nature de ses « actions ». Notons toutefois qu’elle continue de toucher des subventions, bien que n’ayant pas publié de rapport d’activité depuis 2011. Dans ce document, le Kiosque se targue d’ailleurs d’être à la pointe des combats LGBTQI (lesbien, gay, bi, trans, queer et indifférencié). On est loin de considérations de santé publique.

La campagne « Tu suces ? » incriminée date de 2012, et les dépliants que nous avons eus entre nos mains ont été imprimés en 2013. On imagine la nécessité pour le Kiosque de se débarrasser de stocks de dépliants à l’occasion du mois de la prévention du VIH. Quoi qu’il en soit, la seule action récente est une « action de prévention » dans un club gay à Paris où il est surtout question de « réussir ses premières fois ».

Le Kiosque n’est hélas pas un cas isolé, mais seuls des coups de projecteur sur les exemples les plus frappants peuvent faire connaître aux contribuables peu au fait de ces questions ce qui est fait de leur argent. Non seulement les centaines de milliers d’euros de subventions englouties par le Kiosque proviennent de vos impôts, mais ils ont servi à des fins étrangères aux motifs pour lesquels ces subventions ont été accordées. La véritable motivation des interventions du Kiosque en milieu scolaire et universitaire, à savoir faire la promotion de l’homosexualité, ne justifie certainement pas que votre argent y soit consacré, ni non plus que des établissements publics donnent une tribune à ce type de revendication.

 

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