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Ukraine : l’OTAN déploiera des troupes dès 2015

mardi 2 décembre 2014 à 16:25
Ukraine : l’OTAN déploiera des troupes dès 2015

Les premières troupes « très réactives » de l’Otan, censées pouvoir être déployées en quelques jours en cas de crise, seront opérationnelles dès début 2015, a indiqué aujourd’hui le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg. 

Ce plan, baptisé « Readiness Action Plan » (RAP), vise à permettre à l’OTAN de déployer très rapidement – « en quelques jours » – une force dite « fer de lance » (spearhead force) qui pourra compter jusqu’à 4 000 hommes sur terre, en mer et dans les airs, d’ici 2016. 

En attendant, « une force intérimaire avec un niveau très élevé de réactivité » constitué notamment par l’Allemagne, la Norvège et les Pays-Bas sera « opérationnelle au début de l’année prochaine », a déclaré Jens Stoltenberg lors d’une conférence de presse à la veille d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Otan à Bruxelles. 

« Ceci fera qu’on sera encore plus prêts à dissuader et à nous défendre contre les crises qui peuvent émerger à nos frontières », a-t-il poursuivi. 

L’ambassadeur américain auprès de l’Otan, Douglas Lute, a pour sa part évoqué « un bataillon test » (« test bat ») qui servira de « prototype » dès début 2015. Un bataillon qui pourra compter entre 300 et 1 200 hommes. Certaines unités de la force intérimaire devraient pouvoir réagir en « deux à cinq jours », selon une source diplomatique. 

« Dans le courant de l’année, ce bataillon test devra faire en sorte de pouvoir être prêt en quelques jours », a également indiqué M. Lute. 

« Il faut tester la logistique, les structures de commandement » et déterminer comment cette force intérimaire recevra ses ordres du général américain qui commande les forces alliées en Europe, Philip Breedlove, a-t-il expliqué. 

Les chefs d’Etat et de de gouvernement des 28 avaient approuvé début septembre, lors d’un sommet au pays de Galles, un plan d’action pour muscler leur défense collective en réponse à l’attitude « agressive » de la Russie, mais aussi pour parer aux menaces djihadistes au sud, alors que la Turquie, membre de l’Otan, partage une frontière avec l’Irak et la Syrie. 

http://lejournaldusiecle.com/2014/12/01/ukraine-lotan-deploiera-des-troupes-des-2015/

La liste s'allonge: 159 économistes envisagent désormais de sortir ou de dissoudre l'euro

mardi 2 décembre 2014 à 16:15
La liste s'allonge: 159 économistes envisagent désormais de sortir ou de dissoudre l'euro

Économistes envisageant la dissolution ou la sortie de l'euro

 
 

Cliquer sur l'image pour accéder au PDF 

 

 

Joseph Stiglitz, Prix Nobel 2001:

stiglitz

 

 

Christopher Sims, Prix Nobel 2011:

sims 

 

 

 

Paul Krugman, Prix Nobel 2008, Professeur à l’Université de Princeton

 

 

 

Christopher Pissarides, Prix Nobel 2010, Professeur à la London School of Economics

 

 

Thomas Sargent, Prix Nobel 2011

 

 

 

 

James Mirrlees, Prix Nobel 1996:

 

 

 

 

 Milton Friedman, Prix Nobel 1976

 

 

 

 

Dani Rodrik, Professeur d’économie politique à Harvard

 

 

 

 

 

Nouriel Roubini : Professeur d'économie au Stern School of Business de l'Université de New York. Avait annoncé la crise en 2005-2006

 

 

 

 

 

Tableur Excel economiste anti-euro  

 

 

 

 

Aftalion Florin fr professeur émérite à l’ESSEC
Brousseau Vincent  fr Ancien économiste à la BCE
Colletis Gabriel fr Professeur de Sciences économiques à l’Université Toulouse-I
Conte Bernard  fr maître de conférences en sciences économiques à l'Université Bordeaux IV
Cotta Alain fr économiste, professeur à HEC et à Dauphine
Garabiol Dominique  fr Docteur en économie, ancien économiste à la Banque de France et chef de la section des études au secrétariat général de la Commission bancaire
Gave Charles fr économiste et financier, diplômé de l’université de Binghamton, président de l'Institut des libertés
Généreux Jacques fr Professeur d'économie à Sciences po Paris
Gérard Jean-Pierre fr Ancien membre du Conseil de la Politique Monétaire, Président du club des N°1 mondiaux français à l'exportation
Giraud Gael  fr Chargé de Recherches (1re Classe) au CNRS. Chercheur associé à l’École d'économie de Paris.
Grandjean Alain fr diplômé de l’École Polytechnique et de l’ENSAE et docteur en économie
Granville Brigitte  fr Professeur d’économie internationale et d’économie politique, Queen Mary, University of London
Gréau Jean-Luc fr ancien économiste du Medef, membre du conseil scientifique de la Fondation Res Publica
Lafay Gérard  fr Professeur émérite de sciences économiques, Paris II
Latouche Serge fr professeur émérite d'économie à l'Université Paris-Sud 11
Lemaire Bruno  fr diplômé d’Harvard, professeur honoraire de Management à HEC, Expert auprès de la MIME
Lordon Frédéric fr Directeur de Recherche au CNRS, Directeur d’Etude à l’EHESS
Maarek Gérard  fr ancien membre du CAE, ancien secrétaire général de l'INSEE, ancien Chef du Service des Études Économétriques de la Banque de France
Maris Bernard fr Professeur à l'université Paris-VIII, a enseigné à l'université d'Iowa et à la banque centrale du Pérou, membre du conseil général de la Banque de France

Mazier Jacques

fr Professeur de sciences économiques, Université de Paris 13

Moschetto Bruno

 

Monot Bernard

fr

 

fr

 

professeur de sciences économiques à HEC

 

Economiste, analyste financier à la CDC

   

Murer Philippe fr professeur de finance à l’Université Paris 1
Naulot Jean-Michel fr économiste, financier, ancien membre du collège de l’Autorité des marchés financiers
Nikonoff Jacques fr ancien élève de l’ENA, professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’université Paris 8
Ohana Steve fr professeur assistant en finance à ESCP Europe. Il est diplômé de l’Ecole Polytechnique
Orléan André fr administrateur de l’INSEE en 1974, puis directeur de recherche au CNRS en 1987. Directeur d’Etude à l’EHESS
Ragot Xavier * fr économiste français, Maître de Conférences à l'Université Paris I et chercheur au Centre d'Économie de la Sorbonne
Ramaux Christophe fr Professeur à l’Ecole d’Economie de Paris
Rochet Claude fr ancien élève de l’ENA, professeur de gestion à l’Université Aix-Marseille, Directeur du laboratoire de recherche en intelligence économique au  Ministère de l’Economie et des Finances
Rosa Jean Jacques  fr Professeur émérite d’économie et de finance à Science Po Paris
Sannat Charles fr  professeur d'économie en école de commerce.
Santi Michel fr professeur de finance à Genève, ancien conseiller de banques centrales de pays émergents
Sapir Jacques fr Directeur d’Etude à l’EHESS
Sterdyniak Henri fr Directeur du Département économie de la mondialisation de l'OFCE, ancien administrateur de l’INSEE
Sulzer Jean-Richard  fr diplômé d’HEC, Agrégé des facultés en sciences de gestion, Professeur à l’Université Paris-Dauphine

Vesperini Jean-Pierre

fr

 

Agrégé de sciences économiques (major), Professeur d’économie à l’université de Rouen, ancien membre du CAE

Villin Philippe fr banquier d'affaires, ancien élève de l'Ena
Werrebrouck JC fr ancien professeur d’économie à l'Université de Lille 2
Blankart Charles B.  all professeur à l’Université Humboldt de Berlin
Bofinger Peter all professeur d'économie monétaire à l'université de Wuerzburg, membre du Conseil allemand des experts économiques
Hankel Wilhelm(†)  all ancien professeur honoraire à l'Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort
Hasse Rolf all professeur d’économie à l'Université de Hambourg Forces Armées Fédérales (1981-1998) et à l'Université de Leipzig (1998-2006). Directeur de l'Europa-Kolleg Hambourg (1992-1998
Henkel Hans-Olaf all ancien président de la Fédération des Industries Allemandes, Professeur d’Economie à l’Université de Mannheim
Kerber Markus all économiste et expert financier, chef de la direction de la Fédération de l'industrie allemande (BDI), auparavant chef du Département de la politique au ministère fédéral des Finances
Konrad Kai A. all conseiller en chef du ministre allemand des Finances, économiste, directeur à l'Institut Max Planck
Kruse Jörn all professeur de politique économique à la Faculté des sciences économiques et sociales, Helmut-Schmidt-Université de Hambourg
Lucke Bernd all ancien économiste à la Banque Mondiale, professeur de macroéconomie au département d'économie de l'université de Hambourg
Luckenbach Helga all professeur émérite à la Justus-Liebig-Université de Giessen
Meyer Dirk all professeur à l’Université Helmut Schmidt à Hambourg
Milbradt Georg all professeur à la faculté de sciences économiques de l'université de Münster, actuellement professeur à l'université technologique de Dresde. Ancien ministre-président de la Saxe
Nölling W. all diplômé des Universités de Berkley et de Hambourg, ancien professeur d'économie à l’Académie des sciences économiques et politiques, Hambourg
Sarrazin Thilo all ancien membre du directoire de la Deutsche Bundesbank
Schäfer Wolf all ancien professeur de sciences économiques à l'Université Helmut Schmidt à Hambourg
Vaubel Roland all professeur d'économie à l'Université de Mannheim
Sinn Hans Werner  all président de l'Institut für Wirtschaftsforschung (ifo), membre de la National Bureau of Economic Research à Cambridge, Massachusetts
Starbatty Joachim  all professeur émérite de sciences économiques à l' Université de Tübingen
Steinherr Alfred all ancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement, Professeur à la « School of Economics and Management » de l’Université Libre de Bozen-Bolzano, Italie
Wagenknecht Sahra all docteur en économie
Alvi Geminello * it membre du Conseil national de l'Economie et du Travail, ancien économiste à la Banque d'Italie et à la Banque des règlements internationaux
Scotti Vincenzo it ancien ministre italien, professeur d'économie à la LUISS, président de la Link Campus University
Nocella Gianluigi it docteur en économie de l'Université La Sapienza de Rome
Borghi Aquilini Claudio it économiste et chroniqueur, professeur à l'Université catholique du Sacré-Cœur – Milan

Biagetti Marco *

 

Boltho Andrea 

it

 

it

Economiste statisticien, docteur en économie de l’université « La Sapienza » de Rome

 

Professeur d'économie au Magdalen College, Oxford
Garbellini Nadia it économiste, chercheur à l’l'Université de Pavie
Passarella Marco it économiste, université de Leeds
Galloni Nino it membre du conseil des commissaires de l'Institut national de sécurité sociale, ancien professeur aux Universités de Milan, de Modène, et de Rome
Morgante Anna it Président de l'Ecole d'Economie, Affaires, droit et sociologie, Université G.d Annunzio
Giacché Vladimiro it président du Centro Europa Ricerche
Massimiliano Tancioni it Professeur  d'économie, Université La Sapienza de Rome
Cesaratto Sergio it Professeur à l'Université de Sienne, Département d'économie et de statistique
Zezza Gennaro it professeur agrégé d’économie à l'Université de Cassino, et chercheur à l'Institut Levy Economics des États-Unis
Bagnai Alberto it Professeur associé d’économie politique à l’université G. d’Annunzio et L. Da Vinci de Chieti
Amoroso Bruno it professeur d’économie
Ricci Andrea it professeur d’économie à l’Université d’Urbino
Rinaldi Antonio Maria it Professeur de Corporate Finance à l’université Gabriele d'Annunzio
Savona Paolo it professeur de politique économique à la Carli Université LUISS-Guido de Rome, diplômé du MIT
Fantacci Luca  it professeur de sciences économiques à l'Université Bocconi, Milan.
Fratianni Michele it professeur d'économie à Indiana University, Kelley School of Business
Brancaccio Emiliano it professeur d'économie à l'Université de Sannio à Bénévent
Cesaratto Sergio  it professeur d'économie à l'Université de Sienne
Pozzi Cesare it professeur d'économie appliquée à l'Université de Foggia
Di Taranto Giuseppe it Professeur d'économie et d'histoire à la « Libera Università Internazionale degli Studi Sociali
Landini Piergiorgio it professeur d'économie, directeur du département d'économie de l'Université G. D'Annuzio
Salvatore Dominick it professeur émérite d'économie, Fordham University
Albarracín Daniel es économiste et sociologue, ancien professeur à l'Université Carlos III
Ayala Iván H.  es docteur en économie, membre de "econoNuestra"
Cabrillo Rodríguez Francisco es professeur d'économie appliquée à l'Université de Madrid
Castaneda Juan Enrique  es professeur d'économie à University of Buckingham
Colomer Lluch Manuel es docteur en économie, chercheur à l’Université d’Oviedo
Díez José Carlos es enseignant à Icade Business School, économiste en chef d'intermoney
Franquesa Ramon es professeur d'économie à l'Université de Barcelone
Martín Seco Juan F.  es “Academic lecturer” d’Introduction à l’économie et de finance publique
Montero Alberto es Professeur d'économie politique à l'Université de Málaga
Montes Pedro es ancien économiste à la Banco de España pendant 30 ans, membre du Centro de Estudios Políticos y Sociales
Navarro Vicenç es professeur d'économie appliquée à l'Université de Barcelone
Schwartz Pedro es

Enormes explosions: Que s'est-il passé dimanche dans tout le Royaume-Uni ?

mardi 2 décembre 2014 à 10:01
HAARP ou plutôt l'équivalent russe ? A savoir que la marine russe se promène en ce moment dans la manche

HAARP ou plutôt l'équivalent russe ? A savoir que la marine russe se promène en ce moment dans la manche

Dimanche, de mystérieuses explosions ont été entendues sur tout le territoire britannique.

Des détonations aussi puissantes qu’un bombardement qui faisaient vibrer les fenêtres et trembler les enfants réveillés en sursaut vers 22 heures partout au Royaume-Uni, du sud de Londres jusqu’à Aberdeen en Ecosse. Pour l’instant aucune explication n’a encore été fournie à ce mystérieux phénomène sonore qui laisse perplexe aussi bien la population que les experts.

#OMGWEREALLGOINGTODIE (OH MON DIEU ON VA TOUS MOURIR)

C’est Twitter qui a permis dès dimanche soir de prendre conscience de l’étendue extraordinaire de ces explosions sans cause visible. Des tweets en provenance de tout le pays ont commenté l’évènement en direct : « Mes mômes se sont réveillés avec tout ce vacarme. On sent des vibrations », « Ici, dans le nord Devon ça ressemblait plutôt à des feux d’artifice qu’à des bangs soniques », « Entendu aussi dans le Leicestershire. Mais apparemment, ce n’étaient que des feux d’artifice », « Mes chiens sont devenus fous pendant quelques minutes avec ces boums »… « Entendu d’énormes explosions à Croydon. J’ai cru à des feux d’artifices mais c’était pas ça. Mes vitres ont tremblé »… Certains de ces messages étaient accompagnés de hashtags apocalyptiques comme #omgwereallgoingtodie (Oh mon Dieu on va tous mourir)

"DES EXPLOSIONS SIMILAIRES ENTENDUES AU MÊME MOMENT DE L’AUTRE CÔTÉ DE L’ATLANTIQUE"

C’est à Croydon, une banlieue londonienne, qu’une résidente a eu la présence d’esprit d’enregistrer ce son inexpliqué. « Je regardais la télé et d’un coup j’ai entendu ces fortes explosions qui ont couvert le son de la télévision. Je suis sortie croyant à un feu d’artifice mais je n’ai rien vu dans le ciel. J’ai enregistré le son et l’ai envoyé à ma famille pour leur demander s’ils avaient entendu la même chose, ce qui était le cas. »

Découverte d'un bouclier invisible qui protège la Terre des "électrons tueurs"

mardi 2 décembre 2014 à 09:37
Découverte d'un bouclier invisible qui protège la Terre des "électrons tueurs"

Des physiciens ont découvert l'existence d'une nouvelle barrière de particules située à quelques 11 000 km d'altitude, qui protège la planète des électrons à haute énergie venus de l'espace.

A plus de 11 000 km au-dessus de nos têtes, un bouclier invisible nous protège des électrons à haute énergie, des particules très énergétiques surnommées "électrons tueurs" en provenance de l'espace, et qui se déplacent à des vitesses proches de celle de la lumière.Telle est la conclusion d'une étude publiée le 26 novembre 2014 dans la revue Nature.

Pour comprendre, il faut d'abord savoir que la Terre possède un bouclier naturel extrêmement efficace contre les particules à haute énergie en provenance de l'espace : la ceinture de Van Allen (du nom de son découvreur James Van Allen, qui a montré leur existence en 1958). La ceinture de Van Allen est une zone contenant une grande densité de particules très énergétiques, et dont la forme ressemble de fait à une ceinture, entourant la Terre autour de l'équateur magnétique.

Or, la Ceinture de Van Allen est en réalité composée de deux parties distinctes : la ceinture intérieure, située entre 700 km et 10 000 km d'altitude, et la ceinture extérieure, qui se trouve entre 13 000 km et 65 000 km.

Et c'est précisément sur la composition de la ceinture extérieure de Van Allen que porte la découverte réalisée par les auteurs de cette nouvelles étude. En effet, ces derniers se sont aperçus que la ceinture extérieure de Van Allen possède une bordure interne qui est une sorte de barrière totalement infranchissable pour les électrons à haute énergie.

En quoi est-ce une surprise ? C'est que jusqu'ici, les chercheurs pensaient que les électrons à haute énergie étaient capable d'entrer dans la haute atmosphère, pour ensuite être détruits par leurs interactins avec les molécules présente dans l'air terrestre. En réalité, tel n'est donc pas le cas : la bordure interne de la ceinture extérieure de Van Allen empêche totalement les électrons à haute d'énergie d'entrer dans la haute atmosphère terrestre.

Pour parvenir à ce résultat, le physicien américain Daniel Baker (Université du Colorado (Etats-Unis)) et ses collègues ont utilisé les données fournies par les deux sondes Van Allen, lancées par la NASA en 2012 dans l'objectif d'étudier l'environnement spatial situé autour de la Terre.

Ces travaux ont été publiés le 26 novembre 2014 dans la revue Nature, sous le titre "An impenetrable barrier to ultrarelativistic electrons in the Van Allen radiation belts" .

 

 http://www.maxisciences.com/mars/la-vie-sur-mars-aurait-ete-aneantie-par-une-guerre-nucleaire-selon-un-scientifique_art33937.html

Washington renonce à poursuivre le président el-Assad

mardi 2 décembre 2014 à 08:59
Washington renonce à poursuivre le président el-Assad

Le département d’État a interrompu ses subventions au Syria Justice and Accountability Centre (SJAC) qu’il avait créé à la Haye, en 2013, en vue de juger le président syrien Bachar el-Assad pour crimes contre l’humanité.

Depuis deux ans, le SJAC collectait des témoignages sur les crimes imputés à la République arabe syrienne en réprimant la « révolution ».

Disposant d’un budget annuel de 5 millions de dollars, le SJAC avait été fondé à la demande de la Conférence internationale des « Amis de la Syrie », en avril 2012 à Istanbul. 40 États s’étaient réunis ultérieurement au Maroc pour en avaliser ses statuts et pourvoir à son financement.

En 2008, le Secrétaire général des Nations unies et le Premier ministre libanais ont créé à La Haye un « Tribunal spécial des Nations unies pour le Liban » en vue de juger le président Bachar el-Assad pour l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri. Mais l’ensemble des témoignages et des preuves s’étant écroulé, cette instance n’a jamais inculpé le président el-Assad. Cependant, la semaine dernière, l’ancien ministre libanais Marwan Hamadé a témoigné durant trois jours devant le « Tribunal spécial » des confidences que lui aurait faites feu Rafic Hariri sur les menaces proférées à son encontre par le président el-Assad.

En 2013, l’ambassadeur itinérant chargé des crimes de guerre, Stephen Rapp (photo), a sollicité la Jordanie, la Turquie et d’autres États pour créer un « Tribunal spécial des Nations unies pour la Syrie ». Cependant, ces efforts n’ont pas abouti.

Côté syrien, on réfute la rhétorique atlantiste d’une révolution sauvagement réprimée et on affirme que la République arabe syrienne et le président Bachar el-Assad sont innocents des crimes dont on les accuse. En outre, on accuse les « Amis de la Syrie » d’avoir mis en scène une pseudo-révolution pour attaquer le pays et d’être, à ce titre, les vrais et uniques responsables des crimes commis durant la guerre. Enfin, on souligne que, malgré l’interdiction faite par les « Amis de la Syrie » aux citoyens syriens réfugés à l’étranger de voter, 63 % des Syriens ont élu le président el-Assad en juin dernier, qui a reçu 88 % des suffrages exprimés. Par conséquent le Peuple syrien a lui-même tranché cette polémique.

Le département d’État a décidé de faire basculer sa subvention sur un nouveau programme chargé d’établir les crimes commis par l’Émirat islamique.

À ce jour, le « Bureau de la Justice criminelle globale » du département d’État n’a fourni aucune explication sur son changement de politique.

 

Source