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Un drone a survolé l'Elysée !

mardi 20 janvier 2015 à 15:17
Il suffisait de larguer une bombe ou une granade du drone et...

Il suffisait de larguer une bombe ou une granade du drone et...

Un drone a survolé l'Elysée « pendant quelques secondes » dans la nuit de jeudi 15 à vendredi 16 janvier, a rapporté mardi la présidence de la République, confirmant un information d'i-Télé.

 

Selon la chaîne d'information, le « petit appareil d'aéromodélisme ressemblant à un petit hélicoptère avec quatre hélices a survolé le palais (…) vers 2 heures du matin ».

Il a été aperçu par les policiers postés avenue de Marigny, venant de la place Beauvau, survolant l'Elysée sur le côté de la rue Miromesnil, avant de prendre la direction de la place de la Concorde.

 

 

UNE ENQUÊTE JUDICIAIRE OUVERTE

 

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « conduite d'un aéronef non conforme avec les règles de sécurité ». Les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens, qui a créé une cellule d'enquête sur les drones.

 

I-Télé explique que « l'hypothèse d'un acte terroriste est écartée. Il s'agirait d'un engin de faible portée, téléguidée à distance réduite, trop léger pour transporter la moindre charge explosive mais pouvant être doté d'une caméra ».

 

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Le pape François appelle les catholiques à ne pas procréer "comme des lapins" !

mardi 20 janvier 2015 à 08:23
Le pape François appelle les catholiques à ne pas procréer "comme des lapins" !

Le pape François a de nouveau défendu une "paternité responsable" ce lundi. Si "l'ouverture à la vie est une condition du sacrement de mariage", a-t-il déclaré, ça ne veut pas dire dire "que les chrétiens doivent faire des enfants en série".

Le pape a défendu une "paternité responsable".François a, ce lundi, récusé l'idée que les couples catholiques doivent avoir le plus d'enfants possible, tout en s'élevant aussi contre le "malthusianisme" qui réduit le taux de natalité.

"L'ouverture à la vie est une condition du sacrement de mariage", a rappelé le pape dans l'avion qui le ramenait à Rome après un voyage aux Philippines, où les familles sont souvent nombreuses.

Mais "cela ne signifie pas que les chrétiens doivent faire des enfants en série. J'ai fait des reproches à une femme, enceinte du huitième après sept césariennes: 'Vous voulez laisser orphelin sept enfants!', lui ai-je dit". Même si "pour les pauvres, l'enfant est un trésor", "l'exemple de cette femme, c'est de l'irresponsabilité", a-t-il estimé.

"Dieu te donne les moyens pour être responsable"

"Elle dit: 'j'ai confiance en Dieu'. Mais Dieu te donne les moyens pour être responsable. Certains croient, excusez-moi du terme, que, pour être bons catholiques, ils doivent être comme des lapins", a-t-il regretté. 

A Manille, le souverain pontife argentin a fermement défendu le pape Paul VI et son opposition à la contraception médicale dans l'encyclique Humanae Vitae en 1968.

"Paul VI s'inquiétait du néo-malthusianisme universel" qui "cherchait un contrôle de l'humanité", a expliqué François dans l'avion. "Il était un prophète", a-t-il plaidé, relevant que le versement des retraites et le renouvellement des populations était menacé dans de nombreux pays développés.

Le pape dénonce de nouveau "la colonisation idéologique"

"La parole-clé que l'Eglise défend est: paternité responsable. Comment se réalise-t-elle? Par le dialogue. Il existe dans l'Eglise des groupes matrimoniaux, des experts, des pasteurs", a insisté le pape.

Une nouvelle fois, le pape a dénoncé "la colonisation idéologique" contre la famille traditionnelle, dénonçant en particulier le fait qu'il y a 20 ans en Argentine, un prêt pour la construction d'écoles ait été conditionné à l'usage dans ces écoles "d'un livre où l'on enseignait la 'théorie du genre'".

"C'est cela, la colonisation idéologique: on colonise le peuple avec une idée, qui veut changer la mentalité ou la structure. On prend le besoin d'un pauvre comme opportunité d'entrer" dans son existence, a-t-il expliqué.

 

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Charlie Hebdo : Najat Vallaud-Belkacem veut interdire les questions des élèves…

mardi 20 janvier 2015 à 08:18
Charlie Hebdo : Najat Vallaud-Belkacem veut interdire les questions des élèves…

 

 

Pour la ministre de l’Éducation nationale, certaines questions sont « insupportables » de la part des élèves. L’aveu d’une conception autoritaire de la liberté d’expression, et de la vacuité du discours de nos élites politiques face aux enjeux de la période.

 

L’attentat contre Charlie Hebdo, la minute de silence dans les écoles, les dérapages réels ou supposés d’élèves ont alimenté un sombre débat depuis le 7 janvier. C’est dans ce contexte que la ministre de l’Éducation nationale a tenu des propos sidérants à l’Assemblée nationale, mercredi 14 janvier, lors des questions au gouvernement. De Manille, le pape n’a pas non plus manqué de s’inviter dans le débat.

Attentat à l’esprit critique

Par décision du président de la République, le jeudi 8 janvier a été décrété « jour de deuil national » et une circulaire du premier ministre en a précisé les modalités : drapeaux en berne et demande aux administrations d’organiser« un moment de recueillement permettant aux agents des services publics de s’associer à cet hommage ». Ce recueillement sous forme d’une minute de silence observée dans les établissements scolaires a parfois suscité des interrogations, des remous, voire un rejet.

Depuis, une polémique enfle sur l’ampleur du phénomène. Le 13 janvier l’eurodéputé UMP, Philippe Juvin, accuse le ministère de l’Éducation nationale de « sous estimer grossièrement » les incidents et de « trucage des chiffres ». Le même jour Nathalie Saint-Cricq qui dirige le service politique sur France 2 déclare : « Il faut repérer et traiter ceux qui ne sont pas Charlie. » De son côté, Éric Ciotti rajoute une louche, en twittant : « Il faut pouvoir supprimer les allocations familiales aux parents des élèves qui n’ont pas respecté la minute de silence. »

C’est dans ce contexte que la ministre de l’Éducation nationale a été interrogée à l’Assemblée lors de la séance des questions au gouvernement. Najat Vallaud-Belkacem a ainsi déclaré : « Même là où il n’y a pas eu d’incidents, il y a eu de trop nombreux questionnements de la part des élèves. Et nous avons tous entendu les « Oui je soutiens Charlie, mais », les « deux poids, deux mesures », les « pourquoi défendre la liberté d’expression ici et pas là ? » Ces questions nous sont insupportables, surtout lorsqu’on les entend à l’école, qui est chargée de transmettre des valeurs » (voir la vidéo de l’intervention). Parce qu’ils émanent de la représentante de l’institution scolaire, les mots sont presque incroyables, véritable attentat à l’esprit critique, à la pédagogie. On savait les enseignants bien seuls, mais à ce point !

Sois pour la liberté d’expression et tais-toi

« Trop nombreux questionnements », « questions insupportables », les mots sont lâchés. Ainsi, pour défendre la liberté d’expression, il faudrait commencer par interdire les questions ? Une forme d’oxymore moderne : je t’ordonne d’être pour la liberté d’expression. Bien sûr, certains propos ont été, parfois, difficiles à entendre par le corps enseignant. Des dérapages ont bien eu lieu, complaisamment rapportés par la presse, quand elle ne les a pas suscités en rôdant devant certains lycées pour sélectionner l’intervention la plus croustillante. Mais s’agissant de collégiens de onze à quinze ans ou de lycéens adolescents, il faut être capable de faire le tri entre méconnaissance, provocation gratuite et désaccords. Et quand bien même il y aurait des désaccords, il faudrait en discuter, argumenter.

Lorsque le pape, de Manille, s’invite dans le débat en déclarant que si le droit d’expression est un « droit fondamental » on ne peut pas « insulter » la foi d’autrui, c’est une limite sérieuse au droit de caricature. Qui s’en émeut ? Et quand il ajoute « Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s’attendre à un coup de poing, et c’est normal. On ne peut provoquer, on ne peut insulter la foi des autres, on ne peut la tourner en dérision ! », c’est une manière de dire, quand même, ils l’ont un peu cherché. Où est le tollé ? On est pourtant assez proche de ce que pensent nombre d’élèves croyants (quelle que soit la croyance) qui n’admettent pas la critique des religions.

Alors oui, il faut défendre la liberté d’expression, de caricature et dire que le délit de blasphème ne doit pas exister, mais cela ne peut venir que d’un débat. Lorsque le Conseil représentatif du culte musulman (CRCM) Alsace indique dans un communiqué qu’il « souhaite l’extension à tout le territoire national »du délit de blasphème qui figure dans le concordat d’Alsace Moselle (lire ici), il rappelle aussi que trois départements français échappent à la séparation entre l’Église et l’État.

On n’impose pas des valeurs

Laïcité, valeurs de la République et « l’école, qui est chargée de transmettre ces valeurs » : difficile de ne pas avoir entendu quelques morceaux de bravoure républicaine ces jours-ci. Mais des valeurs, on les partage, on y adhère, on ne les impose pas par un acte d’autorité. Cela suppose au contraire échanges, confrontations et questions. « J’ai raison parce que je suis l’institution » n’est pas seulement impraticable dans la France du XXIe siècle, c’est une conception dangereuse qui remplace le dialogue, la conviction par l’obéissance et le dressage. Et qui peut prétendre que l’autorité reconnue serait l’autorité civile plutôt que religieuse ou autre ?

Former des citoyens, c’est offrir les éléments de jugement pour un esprit critique qui ne prend pas pour argent comptant tout ce qui se dit ou s’écrit. Combattre les thèses complotistes invraisemblables qui se répandent parfois comme une traînée de poudre suppose des individus attachés à un raisonnement rationnel. Et puis il ne suffit pas de rappeler la devise « Liberté, Egalité, Fraternité », d’en appeler au roman national. C’est en réalité presque indécent quand, depuis des années, chacun de ces mots est foulé aux pieds par ceux-là même qui s’en gargarisent aujourd’hui. Les libertés se restreignent au nom de la sécurité, les inégalités s’envolent et des populations sont stigmatisées pour leur religion ou leur couleur de peau, voilà la réalité. L’incroyable fossé qui existe entre certains discours officiels et la réalité quotidienne des pratiques politiques n’est pas pour rien dans la perte de légitimité de toutes les institutions.

Les phrases de Najat Vallaud-Belkacem ne sont pas un malheureux dérapage dans un contexte difficile, mais le symptôme d’un vide profond des élites politiques. Elles ont un tel souci de coller à ce qu’elles s’imaginent être l’état de l’opinion qu’elles en viennent à énoncer ce type d’aberrations. Leur discours sur les valeurs est tellement creux, tellement désincarné par rapport à la situation réelle qu’ils construisent tous les jours, qu’ils ne savent plus à quoi se raccrocher – si ce n’est aux figures de l’ordre et de l’autorité. Cet état d’esprit, s’il devait perdurer, serait le prélude à de nouvelles régressions de tous ordres. Le climat de peur entretenu contre un « ennemi de l’intérieur » ne peut que nourrir ceux qui portent un projet politique raciste.

Guillaume Liégard

Source : Regards.fr

Les journalistes d'investigation, une « menace » pour les espions britanniques

mardi 20 janvier 2015 à 08:11
Siège du Government Communication Headquarters

Siège du Government Communication Headquarters

Pour le Government Communication Headquarters (GCHQ), le service de renseignement britannique chargé des écoutes électroniques, les journalistes d'investigation sont des « menaces » pour le secret de leurs activités, au mêmetitre que les terroristes ou les hackeurs.

C'est l'enseignement que tire le Guardian à la lecture de nouveaux documents exfiltrés de la NSA, l'équivalent américain du GCHQ, par Edward Snowden. Dans l'un d'eux, un mémo destiné à détailler les principaux périls menaçant le secret de leurs opérations, les services précisent que « les journalistes et les reporters de tous médias confondus représentent une menace potentielle pour la sécurité ».

Et de s'inquiéter en particulier des « journalistes d'investigations spécialisés dans les questions de défense » qui « peuvent tenter des démarches formelles et informelles, en particulier auprès d'anciens employés (gouvernementaux) afin d'avoir accès à des informations officielles qui leur sont interdites ».

 

« Ces façons de faire représentent une réelle menace », affirme encore cette note des services de sécurité britannique, qui invitent leurs équipes à « en faire état immédiatement » à leur hiérarchie.

 

DES E-MAILS DE JOURNALISTES INTERCEPTÉS

 

Le quotidien révèle par ailleurs que le GCHQ a intercepté certains e-mails de journalistes du monde entier, en novembre 2008, et que ceux-ci étaient consultables sur l'intranet du GCHQ par tous les employés habilités. Parmi ces échanges, issus des boîtes électroniques de journalistes de la BBC, duGuardian, du Monde, du New York Times, du Washington Post, du Sun, de la chaîne NBC ainsi que de l'agence Reuters, figuraient, entre autres, « des correspondances entre des journalistes et leurs rédacteurs en chef sur des articles en cours », précise le Guardian« Rien ne permet de dire si les reporters ont été visés personnellement ou non » précise cependant le quotidien. 

 

Ces révélations sont faites alors que le gouvernement britannique est pressé delimiter ses moyens d'espionner les communications des journalistes, après la publication d'informations selon lesquelles la police a eu accès aux relevés téléphoniques de reporters afin d'identifier leurs sources au sein de la police. Plus de 100 éditeurs de journaux britanniques ont publié une lettre commune appelant le gouvernement à empêcher ce genre de pratiques sans l'autorisation d'un juge.

 

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Des extraterrestres ont-ils contacté la Terre ?

lundi 19 janvier 2015 à 23:46
E;T ?

E;T ?

 


Une explosion gigantesque, mais éphémère, d'ondes radio a été captée pour la première fois en temps réel ! C'est une excellente nouvelle car pour le moment, les scientifiques ne possédaient que des données historiques et la captation en live de ce phénomène pourrait permettre de comprendre ce que sont ces sursauts radio rapides.


Une équipe de scientifiques de l’Université Swinburne à Melbourne, en Australie, a identifié la première salve de radio de ce que l’on nomme un Blitzar ! Ces rafales durent environ une milliseconde et dégagent autant d’énergie que le soleil en 300 000 ans.

L’origine de ces Blitzars est un mystère, mais quelle que soit, elle « doit correspondre à un énorme cataclysmique, émanant de jusqu’à 5,5 milliards d’années-lumière« , selon le chercheur Emily Petroff. La seule certitude aujourd’hui, c’est qu’ils correspondent à des phénomènes extrêmes mettant en balance une quantité gigantesque d’énergie, en dehors de la Voie lactée.

Alors que neuf blitzars ont été répertoriés depuis leur découverte en 2007, ils ont tous été identifiés au sein de données existantes. Or, les enregistrements réalisés par le radiotélescope Parkes au New South Wales, Australie, sont les premiers offrant un flagrant délit !

Les données révèlent que le rayonnement produit par le Blitzar est circulaire et non linéairement. En d’autres termes, les ondes vibrent sur deux plans et non un. Ce qui est sans doute génial, bien que personne sur Terre ne sache encore ce que cela pourrait bien signifier !


http://www.gizmodo.fr/2015/01/19/mysterieux-signal-radio-espace-direct.html#2RorT3VJyP3HC68w.99