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Le 11-Septembre expliqué en 5 minutes

jeudi 11 septembre 2014 à 11:28
Le 11-Septembre expliqué en 5 minutes

Prenez 5 minutes

Le 11-Septembre expliqué en 5 minutes 

 

Notre siècle est né le 11 septembre 2001. Il n’y a pas aujourd’hui un évènement géopolitique qui ne soit lié d’une manière ou d’une autre à cette journée. Et ce n’est pas fini…

***

Les défenseurs des explications du  Bush sur les  du 11-Septembre usent et abusent des termes «  » et « complotiste » pour qualifier, et tenter de discréditer a priori, le travail de  effectué par le Mouvement pour la Vérité sur le 11/9.

Or, s’il est un récit conspirationniste, c’est bien celui livré par l’administration américaine, un récit qui à ce jour n’est soutenu par aucun élément de preuve et qui comporte de nombreuses zones d’ombre et coïncidences troublantes.

Dans cette vidéo doublée par , le  américain James Corbett résume en 5 minutes, et non sans humour, le version officielle des attentats du 11/9. Libre à chacun de juger de sa vraisemblance.

Pour plus d’info, www.ReOpen911.info

Le site  sur les attentats du 11 Septembre

Affaire Thévenoud : l'envers du décors

jeudi 11 septembre 2014 à 08:04
Affaire Thévenoud : l'envers du décors

Phobie administrative ? Pour payer son loyer, un stylo, un chéquier suffisent...

Affaire Thévenoud : l'envers du décors

 

 

Aaron Kosminski, l'un des six principaux suspects du meurtre On l'a amplement dit, ici et ailleurs : le cas Thévenoud représente assez bien l'incroyable détachement de nos élus vis-à-vis des lois de la République, fiscales en particulier, et la capacité extraordinaire de ces membres des importants cénacles républicains à complètement oublier leurs devoirs citoyens dès lors qu'ils se savent protégés par leur statut. Mais ce n'est pas tout... 


Soyons clairs : il faut tout de même une sacrée dose d'inconscience, de toupet, ou de « phobie administrative » pour oublier complètement de payer ses impôts. Le Cerfa du Trésor est, à n'en pas douter, assez rébarbatif, et les démarches administratives dans tout le pays sont de véritables abominations logiques et paperassières, on peut le dire sans craindre l'exagération. Mais apparemment, dès lors qu'on fricote avec l'Assemblée Nationale sur base pluri-quotidienne, les perspectives changent drastiquement. 

Et pas seulement au plan des facilités de paiement, mais aussi des mansuétudes de la justice au passage : l'oubli de Thévenoud lui coûtera de solides pénalités (en plus, de façon collatérale, de sa place au gouvernement et, probablement, aux prochaines élections), alors que pour un Français « normal » (i.e. pas élu, pas connu), c'est plutôt de 
la prison et des enquiquinements à n'en plus finir. On m'objectera (et j'en conviendrai aisément) qu'on ne peut pas, avec les quelques éléments fournis, comparer réellement les deux cas, mais tout de même, la clémence fiscale pour l'un et la prison pour l'autre ne laisse pas d'étonner un peu. 

On pourrait aussi s'étendre (comme ce fut fait précédemment) sur ce détachement moral assez exceptionnel qu'il convient d'avoir pour accepter un poste de ministre alors qu'on se sait pertinemment en délicatesse avec les impôts. De ce point de vue, on ne peut aussi s'empêcher une petite réflexion, un tantinet consternée, sur l'absence ou la grande légèreté de l'examen préalable à l'embauche d'un ministre qui devrait être minutieux pour éviter ce genre de péripéties au sein du gouvernement. On aurait pu croire, ainsi, que l'affaire Cahuzac aurait servi de leçon, mais à l'évidence, ... non. 

Et comme d'autres encore, on pourrait revenir à loisir sur le poste de l'épouse du député indélicat, chef de cabinet au sénat, et décortiquer le pouvoir de réseautage, les collusions et les connivences galopantes qui autorisent un népotisme institutionnel assez profond dans les institutions républicaines. Le monde politique français est décidément fort petit, les renvois d'ascenseurs nombreux, et les petits coups de mains familiaux devenus une norme que beaucoup trop semblent appliquer avec application. 

Mais tout ces éléments ont été, je l'ai dit, largement débattus. 

 

 

© Inconnu
Au-delà de ces évidences, un autre aspect mérite amplement d'être à nouveau exposé, encore et encore, pour que chaque citoyen comprenne bien les tenants et les aboutissants de ses propres décisions lorsqu'il glisse un bulletin dans une urne. En effet, si le cas Thévenoud démontre à loisir les grandes largesses que certains élus prennent avec les lois de la République, l'ensemble de l'affaire et la façon dont elle fut traitée, tant par les médias que par les politiciens eux-mêmes illustre à tous ce que la politique a de pire à montrer, de plus vil et de plus bas. 

Oh, bien sûr, Thomas Thévenoud a été satellisé hors du gouvernement avec une impulsion amplement méritée devant l'ampleur de sa bourde, mais vous pouvez parier que la découverte de son passé fiscal n'a, absolument, rien de fortuit. 

Bien sûr, on pourrait gloser ici sur sa proximité amicale et idéologique avec le Prince de la Frétillance, Arnaud Montebourg. À l'évidence, elle a dû jouer dans son aventure, et nettement en sa défaveur. Mais le fait est qu'à présent, après sa péripétie fiscale, la presse s'intéresse à ses 
déboires locatifs, informations en provenance directe du Canard Enchaîné, ce qui ne laisse aucun doute sur les jeux politiques qui se trament en coulisse, ce journal étant notoirement alimenté par les politiciens eux-mêmes lorsqu'ils veulent dézinguer l'un ou l'autre de leurs collègues, en toute tranquillité. 

Oui, certes, on peut imaginer que la fuite provienne de la droite. Pari osé, mais compte tenu du nombre de casseroles que chacun des députés UMP trimballe régulièrement dans un concert tintinnabulant, le retour de bâton d'une telle fuite et d'une telle cabale de la droite contre un député PS serait probablement tout aussi dévastateur pour un parti en déshérence intellectuelle, sans chef, sans direction, sans substance et sans programme. 

L'autre hypothèse, machiavélique mais bien plus probable, est que Thomas Thévenoud n'est lâché par nul autre que les siens, au premier rang desquels on trouvera bien sûr Manuel Valls et François Hollande. Par le truchement de Thévenoud, un proche de Montebourg, nos deux compères de fortune ont ici une excellente façon de bien se faire comprendre à tous ceux qui, l'esprit vaguement frondeur, seraient tentés par l'aventure en cow-boys de l'Assemblée. La proximité de cette sombre histoire avec le vote de confiance au gouvernement, les grognements entendus dans les couloirs de l'Assemblée, tout ceci sent bon la coïncidence commode. 

Autrement dit, le député Thévenoud est devenu le morceau de barbaque sanglante offert aux médias pour faire comprendre à tous les petits députés picotés par les changements hebdomadaires de direction gouvernementale et le revirement centriste du gouvernement, que le moindre écart de conduite pourrait fort mal se terminer pour eux. Des dossiers existent. Des largesses furent prises, des oublis pratiques furent faits. Des fuites sur ces dossiers, ces largesses et ces oublis seraient possibles. Et si le message n'est pas assez clair, parions que Thévenoud sera même contraint à la démission de son poste (ce qui ne semble pas un prérequis au moment où ces lignes sont écrites). 

Pour celui qui veut voir la politique telle qu'elle est et non telle qu'on nous la représente à longueur de campagne électorale, le cas Thévenoud illustre encore mieux que celui de Cahuzac la violence qui anime ces élus dont tout le processus de sélection, soi-disant démocratique, soi-disant issu d'une élection et d'un choix éclairé de citoyens ayant lu un programme politique, aboutit à faire émerger les pires sociopathes. Et si Cahuzac avait effectivement fraudé, il pensait pouvoir passer au travers grâce à ses connaissances. Malheureusement, l'affaire, une fois fuitée en place publique, fut trop grosse à étouffer. La gêne visible de l'Exécutif à se débarrasser de l'encombrant fardeau témoigne amplement de l'ampleur du problème. En revanche, pour Thévenoud, la violence avec laquelle il a été lâché est d'autant plus visible qu'il aurait été très simple d'éviter une telle guignolade. Bercy, après tout, est totalement aux ordres du gouvernement et aurait largement pu oublier le dossier du contribuable oublieux. Il n'en a rien été, ce fut même pire. Ce n'est pas un hasard.

Et au passage, non, le mot sociopathe n'est pas trop fort : de Hollande à Valls, dans les rangs de l'UMP autant que dans ceux du PS et, de façon générale de toutes les autres formations politiques, ces gens ont été choisis pour leur capacité inouïe à bobarder, à contourner la vérité, à utiliser le déni comme bouclier psychologique indéboulonnable. Ils sont arrivés là où ils sont non parce qu'ils ont démontré leur capacité à gérer un pays, mais bien pour avoir été plus féroces, plus méchants, plus industrieux en coulisse, plus machiavéliques, plus fourbes et retors que leurs adversaires. Ils sont là parce qu'ils ont survécu, ce qui fait d'eux non des héros, mais les pires magouilleurs, les pires comploteurs, les traitres les plus veules. Ceux que nous voyons émerger actuellement sont le résultat d'une sélection cancéreuse et perverse qui aura permis de filtrer et ne conserver que ceux qui sont, justement, prêts à tout pour arriver à leur place, des raclures qui n'hésiteront pas à griller un homme et sa famille pour aboutir à leurs fins. Ne vous méprenez pas : Thévenoud mérite amplement le sort qu'il subit, et ceux que les élus auront rôtis dans leurs jeux politiciens sont aussi dépourvus de la moindre moralité qu'eux-mêmes. Mais cette effarante réalité, cette égalité lamentable dans la bassesse et l'immoralité ne rend absolument pas ce qu'ils font plus juste ou légitime. 

Et l'« affaire Thévenoud » nous rappelle ce fait avec force : ce sont bien ces sociopathes prêts à tout pour le pouvoir, pire compris, que vous élisez. 

La prochaine fois qu'on vous parle de vote, rappelez-vous tous les Thévenoud, tous les petits requins qui furent déchiquetés par les gros au motif d'un intérêt (individuel ou de parti) supérieur à eux, sans état d'âme, et, jamais ô grand jamais, pour l'intérêt du pays ou de ses citoyens, complètement oubliés dans ces jeux morbides.
http://h16free.com/2014/09/10/33399-ces-autres-realites-que-le-cas-thevenoud-nous-enseigne

Walter Hallstein, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne

jeudi 11 septembre 2014 à 07:59
Walter Hallstein, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne

Par François Asselineau

Les 8 mystérieuses boites noires du 11-Septembre

mercredi 10 septembre 2014 à 22:36
Les 8 mystérieuses boites noires du 11-Septembre

13 ans déjà, 13

Les 8 mystérieuses boites noires du 11-Septembre 

 

Cette semaine, sera commémoré le 13e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001. Pour ma part, je continue à suivre le travail de l’équipe du 9/11 Consensus Panel (auquel je vous renvoie, en l’occurrence au Point FLT-4 : Mystérieuses anomalies concernant les boites noires des 4 avions du 11-Septembre).

Je dois dire tout d’abord que même en ayant suivi de près ce travail collectif durant toutes ces années, chaque fois que j’étudie cette affaire plus en détail, je reste stupéfait par cette évidence impressionnante : l’ensemble de l’histoire racontée au monde par les ministères de la propagande (c’est-à-dire par les grands médias occidentaux) sur le 11-Septembre n’est qu’une gigantesque atteinte à l’intelligence la plus élémentaire. Le monde entier a été amené à croire au père Noël. Et cela continue, treize ans après.

 

Prenons l’exemple de la question des fameuses « boites noires » des quatre avions qui furent – soi-disant – détournés par 19 terroristes le matin du 11 septembre 2001. Dans cette affaire, comme nous allons le voir, pas une seule ligne de la version officielle ne tient debout. Tout d’abord, les « boites noires » sont de couleur orange, c’est important de le rappeler pour la suite. Tous les avions commerciaux dans le monde en emmènent deux. Elles sont conçues pour être pratiquement indestructibles. Et en effet, elles le sont. Elles contiennent un ensemble d’appareils faits pour supporter des sollicitations extrêmement violentes, que ce soit au niveau physique, électrique, chimique, magnétique ou thermique. Les deux appareils essentiels parmi ces équipements sont le FDR (Flight Data Recorder), celui qui enregistre à chaque instant les données de vol, comme la vitesse, l’altitude et la position de l’appareil, et le CVR (Cockpit Voice Recorder), qui recueille tous les sons et les voix dans la cabine de pilotage.

Les cas où ces boites noires n’ont pas été retrouvées, ou bien n’ont pas pu fournir de données utilisables pour comprendre l’incident, sont extrêmement rares. Ces matériels ont été pensés dans ce but. Et cela fonctionne. Les premières à les utiliser sont les compagnies d’assurance, et juste après, arrivent les gouvernements, les services secrets, etc. Donc, quatre avions égalent huit boites noires. Que nous dit la version officielle ? Quatre parmi ces huit boites noires « n’ont jamais été retrouvées. » La moitié donc. Un échec équivalent à un record du monde de tous les temps. Il s’agit des quatre boites noires des deux avions qui ont – officiellement – percuté les Tours Jumelles : l’American 11 (AA 11) et l’United Airlines 175 (UA 175).

Il en reste donc quatre. Celles du Vol American 77 (AA 77), celui du Pentagone, semblent avoir été récupérées. Mais le CVR était trop endommagé et les données étaient irrécupérables. Résultat nul donc pour celle-ci. Quant au FDR du Vol AA 77, il semble bien avoir été retrouvé, cependant, les versions à propos de l’endroit où il l’a été sont contradictoires. Mais comme nous le verrons d’ici peu, il y a plus grave.

Enfin, nous avons les CVR et FDR du Vol United Airlines 93 (UA 93), celui qui s’est soi-disant écrasé dans un champ en Pennsylvanie. La transcription du CVR a été rendue publique par le FBI, mais seulement en 2006, lors du procès de Zacharias Moussaoui. Nous y reviendrons non sans avoir souligné qu’il s’agit là d’une "transcription", vieille de plus de cinq ans. Enfin, il y a le FDR du Vol UA 93. Nous disposons d’un compte-rendu du NTSB (National Transportation Safety Board) du 15 février 2002, numéro DCA01MA065, et nous savons que la carte mémoire (Memory Board) a été amenée dans les locaux d’Honeywell à Redmond, où elle a été examinée. Alors tout est en ordre ? Loin de là !

Résumons : même sur les quatre boites noires récupérées se posent de nombreuses questions encore à éclaircir, treize ans après les faits. Et des contradictions flagrantes. À propos des quatre boites noires des vols qui ont percuté les Tours Jumelles, le « Rapport de la Commission sur le 11/9 » se contente d’affirmer qu’elles n’ont pas été retrouvées. Mais nous avons deux témoins qui disent en avoir retrouvé trois sur quatre, en octobre 2001. Il s’agit d’un pompier, Nicholas DeMasi, et d’un volontaire, Mike Bellone (ci-contre). Les boites se trouvaient parmi les débris et furent consignées à quelqu’un, qui a disparu. La Commission d’enquête ne l’a pas recherché. Toutes les informations ont disparu. Mais dans le même temps, la Commission d’enquête, sans peur du ridicule, et dans le plus grand silence des principaux médias occidentaux, annonce la découverte du passeport (en papier) de l’un des présumés pirates de l’air du Vol AA 11, Salam al-Sugami ; rien de moins ! Nous n’avons donc aucune information [provenant de ces boites noires] ; pas un enquêteur au monde ne se contenterait de ce résultat.

Et il y a plus grave encore. Il ressort des documents judiciaires que le 18 septembre 2001, le directeur de la FEMA (Federal Emergency Management Agency), Edward E. Jacoby Jr. a envoyé un mémo au gouverneur de l’État de New York, George Pataki, pour l’informer que «  les enquêteurs ont identifié les signaux de l’une des boites noires parmi les décombres du World Trade Center. » Et aussi : le général Paul Kern, commandant du US Materiel Command, a rapporté en 2002 que les « capteurs de fréquences radio du CECOM (Communications Electronics Command) avaient été utilisés [avec succès] pour retrouver les boites noires des avions qui ont frappé les Tours Jumelles. » Alors, qui ment ?

Pour les deux boites noires du Vol AA 77, l’affaire est plus compliquée. Deux pompiers (Burkhammer et Morawitz) disent les avoir retrouvées «  près du point d’impact  ». Le porte-parole du Conté, Dick Bridges, explique lui aussi qu’elles étaient « précisément là où l’avion a percuté le bâtiment  » du Pentagone. Mais d’autres sources disent que le FDR a été récupéré à presque 300 pieds (100 mètres) de là. Une différence notable. En outre, Burkhammer et Morawitz racontent que les deux boites noires étaient “de couleur sombre”, alors qu’on leur avait dit qu’elles étaient orange. Mais quand ils les ont indiquées aux fonctionnaires du FBI et du NTSB, ces derniers ont confirmé : mieux vaut noires que rien du tout.

D’autant que l’histoire du FDR du vol AA 77 présente un autre point faible, et pas des moindres. En 2008, un citoyen américain obstiné a posé un recours au titre de la loi FOIA (Freedom of Information Act) sur la liberté de l’information pour contraindre le NTSB à divulguer le fichier rassemblant les données brutes du FDR. Or, il ressort que ce fichier a été créé à 23 h 45 le jeudi 13 septembre 2001. C’est assez étrange, vu que le FDR en question, noir ou orange selon les versions, n’aurait été retrouvé que le lendemain, le vendredi.

Et enfin, voyons ce qui s’est produit avec le FDR du Vol UA 93. Je rappelle à ceux qui auraient oublié, qu’un film commercial a été fait sur ce vol et sur la rébellion héroïque des passagers pour reprendre aux pirates de l’air le contrôle de l’avion. Et je vous demande de garder à l’esprit le cadre global de cette histoire. Voyons ce qu’en dit l’association Pilots for 9/11 Truth.

Ses membres ont également déposé une requête FOIA avant d’obtenir, en 2007, l’information sur ce FDR. Mais les données qui leur ont été fournies, censées correspondre au contenu de cette boite noire, divergent totalement d’autres données disponibles. «  La trajectoire de vol et la hauteur » indiqués ne sont pas ceux enregistrés. La provenance du vol par le nord ne colle pas avec les témoignages publiés par le New York Times. L’avion arrivait du sud-est, comme le prouve, entre autres, le fait qu’on a retrouvé des débris à New Baltimore, à plus de 8 miles (13 km) du cratère où l’avion s’est écrasé. Mais surtout, l’angle de chute de l’appareil, d’après l’enregistrement contenu dans le document du NTSB, ne correspond pas à l’impact vertical que la version gouvernementale soutient, et que le cratère lui-même semble indiquer. Plus précisément, le FDR indique un angle de chute de 35 degrés. Alors que la version officielle dit que l’avion est tombé verticalement. Enfin, les analyses faites par la protection civile sur le lieu d’impact n’ont pas permis de retrouver les traces de pollution aux résidus de kérosène. Cela n’a aucun sens, étant donné que les réservoirs de l’avion devaient être pleins de carburant.

En somme, nous avons le choix : soit cet enregistrement est faux, soit c’est la version officielle du gouvernement américain qui est fausse. Comme l’est, bien sûr, toute l’histoire décrite dans le film, qui n’a servi qu’à émouvoir le grand public. Il ne sera pas inutile de rappeler que toutes ces remarques ont été adressées aussi bien au NTSB qu’au gouvernement US. Réponse : aucune. Zéro. A l’époque, tout comme maintenant, treize ans après les faits.

Il existe enfin l’enregistrement du Centre de contrôle de Cleveland, qui contient les dernières minutes du vol. On peut l’écouter ici.

Dramatique, mais aussi, mystérieux et inexplicable. Ceux qui ont le temps de l’écouter entendront que le personnel à terre tente pendant plusieurs minutes de contacter l’avion en répétant la même question, mais qu’aucune réponse ne leur parvient. L’équipage est muet. Puis, à l’improviste, leur parvient une voix étrange, presque couverte par un important fond sonore. « United 93, c’est votre commandant de bord qui vous parle, merci de rester assis, restez dans vos sièges, il y a une bombe à bord. » Une bombe à bord ? Rester assis ? Mais où se trouve exactement ce Commandant de bord ? Qu’entend-on en bruit de fond ?

A terre, on insiste pour avoir des éclaircissements ; les contrôleurs contactent les autres avions volant dans la zone. Des confirmations leur parviennent. Puis à l’improviste, encore la même voix : « United 93, ici votre commandant. Il vaut mieux que tout le monde reste assis. Nous avons une bombe à bord et nous revenons à l’aéroport. Ils ont accepté nos requêtes, et donc, s’il vous plait, restez assis. » Et puis, plus rien. Mais est-ce vraiment là le comportement d’un pilote de ligne expérimenté ? Sommes-nous certains que ces deux messages provenaient bien du Vol UA 93 ?

Résumons : pas une seule pièce du puzzle officiel ne s’assemble correctement aux autres. Et nous ne parlons que des boites noires qui ont été apparemment retrouvées. L’autre moitié des informations a, comme nous l’avons vu, été totalement effacée de la surface de la Terre. Et tout cela n’est pas l’oeuvre des présumés pirates de l’air, dont d’ailleurs la présence à bord n’a jamais été prouvée. Mais alors, qui a travaillé à effacer toutes ces traces ? Qui a menti ?

Il est plus que jamais devenu impossible de croire encore que la fable officielle qu’on nous a racontée correspond à la vérité.

Giulietto Chiesa
7 septembre 2014

IlFattoQuotidiano.it

Traduction IlFattoQuotidiano.fr

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/les-8-mysterieuses-boites-noires-156601

BOUM: Grosses turbulances monétaires à venir

mercredi 10 septembre 2014 à 19:16
BOUM: Grosses turbulances monétaires à venir

Deux nouvelles qui font l'effet d'une bombe

BOUM: Grosses turbulances monétaires à venir

Deux nouvelles font l’effet d’une véritable bombe dans le microcosme financier ce matin du 10 Septembre 2014.

Tout d’abord, le Japon vient de procéder à une émission obligataire à taux négatifs ! Continuant ainsi son programme d’inondation de liquidités du marché, le Japon cherche à faire baisser le Yen par rapport au dollar. Sachant que la majorité des Obligations d’État japonaises sont détenues par les retraités japonais, ces mesures ne devraient pas trop gêner le placement de la dette du pays.

Et, de son côté, l’Allemagne vient d’annoncer :

BERLIN, 9 septembre (Reuters) – L’Allemagne parviendra à l’équilibre budgétaire l’an prochain sans émettre de nouvelles obligations d’Etat, pour la première fois depuis 1969, a déclaré mardi le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble.

Cette décision de l’Allemange va avoir des conséquences énormes sur les marchés financiers.

Tout d’abord une conséquence pour les pays du Club Med, à savoir l’Espagne, la Grèce, l’Italie, la France et le Portugal : le « papier obligataire de qualité » se raréfiant sur les marchés financiers européens, les taux auxquels ces pays  empruntent risquent de baisser, ce qui va contrebalancer les dégradations appliquées par les agences de notation sur ces pays.

Et cela va également rendre l’Allemagne encore plus intransigeante sur la gestion de la zone euro, pouvant même la pousser à une décision extrême : la sortie de la zone euro, puisque que cette monnaie unique ne lui est plus d’aucune utilité. Dans ce contexte, il vaudrait mieux pour elle s’en extraire afin de ne pas continuer à « supporter les erreurs de gestion et le poids financier des pays moins rigoureux qu’elle ». Ce qui quelque part permettrait aux financiers américains de masquer l’effondrement du dollar qui est en train de se produire, en poussant l’Allemagne à « tuer l’euro pour sauver le soldat dollar ».

Grosses turbulences monétaires en perspective !

Caroline Porteu

Sources :

Pour approfondir sur le thème de la création monétaire et du pouvoir des banques privées

http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/10/taux-negatifs-au-japon-pas-demission-dobligations-lallemagne-nouvelles-font-leffet-dune-bombe-annoncent-grosses-turbulences-monetaires/