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Le Pentagone déclare la nécessité d'une opération terrestre en Irak et en Syrie

dimanche 28 septembre 2014 à 09:53
Le Pentagone déclare la nécessité d'une opération terrestre en Irak et en Syrie

La Turquie se prépare, les USA aussi...

Le Pentagone déclare la nécessité d'une opération terrestre en Irak et en Syrie

 

Le chef d'état-major des armées américain Martin Dempsey a déclaré la nécessité d'une opération militaire terrestre en Irak et en Syrie pour combattre les militants du groupe Etat islamique alias Daesh. 

« Des frappes aériennes de la coalition internationale dirigée par les États-Unis ont déjà causé des dommages à l'Etat islamique, mais cela ne suffit pas », a déclaré Dempsey. 

Dempsey a noté qu'environ 15 000 soldats seraient nécessaires pour la libération des territoires des militants. 

Sur le terrain, les Etats-Unis ont mené dans la nuit de vendredi à samedi de nouvelles frappes aériennes en Syrie contre l'organisation 
Etat islamique (EI), alors que trois pays européens viennent de se joindre à la coalition anti-jihadistes. 

"Des opérations aériennes américaines sont en cours en Syrie", a déclaré dans la nuit à Washington un responsable américain de la Défense, sans donner de détails sur le nombre de frappes, les cibles visées ou la participation éventuelle d'autres pays. 

Ce responsable, parlant sous le couvert de l'anonymat, a souligné que ces opérations en Syrie étaient désormais "presque continuelles". 

Le Royaume-Uni, le Danemark et la Belgique vont désormais participer aux raids aériens en Irak, mais pas en Syrie. 

A Londres, une très large majorité de députés a voté en faveur d'une motion déposée par le Premier ministre David Cameron qui a appelé à "détruire (...) un réseau de la mort", terme utilisé devant l'ONU par le président américain Barack Obama. 

Le texte autorise le "recours aux frappes aériennes" en Irak et spécifie que Londres "ne déploiera aucun soldat britannique dans les zones de combat". 

Avec ce feu vert, l'entrée en action des six chasseurs-bombardiers britanniques Tornado basés à Chypre pourrait intervenir rapidement. 

En Belgique, le Parlement a également donné son feu vert à une intervention, en Irak uniquement là-aussi, et six avions de combat F-16 ont quitté le pays en direction de la Jordanie. Les avions belges pourront intervenir "dès demain" samedi, a dit le ministre de la Défense Pieter De Crem. 

Enfin, le Danemark a annoncé vendredi le déploiement de sept F-16 en Irak pour participer à l'offensive. 

L'EI visé au portefeuille 

Avant les frappes de la nuit, des raids ont été menés contre des installations pétrolières Le chef d'état-major des armées américain Martin Dempsey a déclaré la nécessité d'une opération militaire terrestre en Irak et en Syrie pour combattre les militants du groupe Etat islamique alias Daesh. 

« Des frappes aériennes de la coalition internationale dirigée par les États-Unis ont déjà causé des dommages à l'Etat islamique, mais cela ne suffit pas », a déclaré Dempsey. 

Dempsey a noté qu'environ 15 000 soldats seraient nécessaires pour la libération des territoires des militants. 

Sur le terrain, les Etats-Unis ont mené dans la nuit de vendredi à samedi de nouvelles frappes aériennes en Syrie contre l'organisation 
Etat islamique (EI), alors que trois pays européens viennent de se joindre à la coalition anti-jihadistes. 

"Des opérations aériennes américaines sont en cours en Syrie", a déclaré dans la nuit à Washington un responsable américain de la Défense, sans donner de détails sur le nombre de frappes, les cibles visées ou la participation éventuelle d'autres pays. 

Ce responsable, parlant sous le couvert de l'anonymat, a souligné que ces opérations en Syrie étaient désormais "presque continuelles". 

Le Royaume-Uni, le Danemark et la Belgique vont désormais participer aux raids aériens en Irak, mais pas en Syrie. 

A Londres, une très large majorité de députés a voté en faveur d'une motion déposée par le Premier ministre David Cameron qui a appelé à "détruire (...) un réseau de la mort", terme utilisé devant l'ONU par le président américain Barack Obama. 

Le texte autorise le "recours aux frappes aériennes" en Irak et spécifie que Londres "ne déploiera aucun soldat britannique dans les zones de combat". 

Avec ce feu vert, l'entrée en action des six chasseurs-bombardiers britanniques Tornado basés à Chypre pourrait intervenir rapidement. 

En Belgique, le Parlement a également donné son feu vert à une intervention, en Irak uniquement là-aussi, et six avions de combat F-16 ont quitté le pays en direction de la Jordanie. Les avions belges pourront intervenir "dès demain" samedi, a dit le ministre de la Défense Pieter De Crem. 

Enfin, le Danemark a annoncé vendredi le déploiement de sept F-16 en Irak pour participer à l'offensive. 

L'EI visé au portefeuille 

Avant les frappes de la nuit, des raids ont été menés contre des installations pétrolières tenues par les jihadistes dans la province de Deir Ezzor (est de la Syrie), selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). 

Des frappes ont en outre visé vendredi un centre de commandement de l'EI près d'al-Mayadine, dans la même province, ainsi que des installations pétrolières et une base des jihadistes dans la province de Hassaka (nord-est). 

Des militants ont indiqué que le pompage dans six champs pétroliers contrôlés par l'EI dans la province de Deir Ezzor avait été arrêté par peur des bombardements. 

"Il n'y a plus d'intermédiaires ni de clients allant dans les champs car ils ont peur des frappes", a assuré à l'AFP un militant, Rayan al-Furati. 

Les "jihadistes", qui contrôlent plusieurs raffineries en Irak et en Syrie, vendent le pétrole en contrebande à des intermédiaires des pays voisins, en tirant selon des experts des bénéfices pouvant aller de 1 à 3 millions de dollars par jour. 

 

Source AM

Des pays de l’Union européenne achètent du pétrole aux barbares de l’EIIL

samedi 27 septembre 2014 à 22:30
Des pays de l’Union européenne achètent du pétrole aux barbares de l’EIIL

Des noms ?

Des pays de l’Union européenne achètent du pétrole aux barbares de l’EIIL

 

 

Les barbares qui sèment la terreur en Irak et en Syrie sous le sigle EIIL ne sont pas si barbares que cela pour plusieurs pays membres de l’Union européenne. Les bandes EIIL sont riches à milliards de dollars fruit des pillages, notamment la réserve irakienne, de financements « privés » en provenance des monarchies régionales et… de la vente à bas prix de pétrole.

L’ambassadrice de l’Union européenne en Irak, Mme Jana Hyboskova, a déclaré devant une commission que « plusieurs membres de l’UE ont acheté du pétrole non-raffiné à l’EIIL.» Elle a refusé de nommer les noms des pays incriminés. Depuis, le silence total est observé sur ce scandale à Bruxelles et dans toutes les capitales européennes, notamment à Paris.

On ne peut à la fois vouloir combattre la barbarie et financer les monstres. Voilà pourquoi, alors que la France s’engage dans un conflit aux prolongements longs et dangereux, la clarté doit être faite et une réponse nette et rapide doit être exigée à la Commission de Bruxelles : qui sont les pays membres de l’Union européenne acheteurs du pétrole à l’EIIL ?

José Fort |

Source: http://josefort.over-blog.com/

Nevada : Les autorités proposent d'enseigner la masturbation et la sodomie dés l'âge de 5 ans

samedi 27 septembre 2014 à 22:23
Nevada : Les autorités proposent d'enseigner la masturbation et la sodomie dés l'âge de 5 ans

Société de tarés

Nevada : Les autorités proposent d'enseigner la masturbation et la sodomie dés l'âge de 5 ans

 

 

Dans le conté du Nevada dont Las Vegas est la capitale, les autorités scolaires de la municipalité envisagent de dispenser aux enfants de 5 à 8 ans une « éducation sexuelle » remise au goût du jour, avec des cours sur l’homosexualité et la masturbation.

Le projet a été présenté à huis clos, cette semaine, à des personnes triées sur le volet, mais Nicole Luth, une mère de famille, se trouvait parmi les invités et elle a pu alerter des parents autour d’elle. Nombre d’entre eux se sont rendus au 
Bureau des écoles de Clark Countypour dire leur étonnement et leur colère.


 

L’éducation sexuelle prise en main par les pédophiles

C’est un district qui avait fait le choix d’une « éducation sexuelle » basée sur la seule abstinence jusqu’en 2004 ; depuis cette date, les autorités avaient opté pour l’approche « abstinence d’abord », avec une information sur les contraceptifs et le « safe sex » (sexe sans danger) pour les adolescents qui décideraient d’être sexuellement actifs.

Le responsable du Bureau a tenté de calmer la cinquantaine de parents en leur disant que le projet n’était pas imposé aux 357 écoles du district – le 5e des Etats-Unis par ordre de grandeur – mais simplement à l’étude par le biais d’une enquête auprès de la communauté locale.

Évidemment, le maintien de la communauté locale à distance par la tenue de réunions à huis clos n’est pas de nature à rassurer les parents qui ont découvert avec horreur le document cadre pour les changements proposés, Guidelines for Comprehensive Sexuality Education. Le programme prévoit de donner « des détails sur le sexe anal et oral » à des gamins de 12 ans, et leur enseigne que l’avortement est « sûr ». Et alors qu’aujourd’hui, les parents peuvent choisir d’inscrire ou non leurs enfants aux cours, le nouveau curriculum programmé pour l’an prochain serait la norme, les parents pouvant cependant opter de ne pas y laisser leurs enfants ?

 

  Éducationsexuelle ou pédophiles ?

Pourquoi dire que ce sont, en dernière analyse, des pédophiles qui font la promotion de ces cours qui révulsent aussi bien les parents que les jeunes ? Parce que l’idée de « sexualiser » les enfants, de les considérer comme manifestant leur sexualité dès la naissance, vient du fameux Alfred Kinsey et de son « rapport », faux notoire, qui serait fondé sur l’expérimentation sur les tous petits enfants…

Et que tout parent normalement constitué constatant qu’un adulte parle ouvertement à son très jeune fils ou fille de choses aussi intimes le prendrait forcément pour un prédateur ou un pervers – fût-ce un professeur payé par l’école publique.

Le coup de gueule d’une médecin spécialiste du cancer

samedi 27 septembre 2014 à 18:31
Le coup de gueule d’une médecin spécialiste du cancer

"Nous avons devant nous un grand combat pour effacer les méfaits de quarante ans de pensée unique au service des intérêts commerciaux et financiers qui manipulent la science."

Le coup de gueule d’une médecin spécialiste du cancer

 

Les études de médecine sont encore longues mais servent-elles encore à soigner ?

Non pas vraiment, d’ailleurs on vous démontrera que l’on peut supprimer les docteurs dans beaucoup de taches et les remplacer par des personnes ayant fait des études beaucoup plus courtes et hyperspécialisées sans le background global qui faisait la différence. On en revient aux « officiers de santé » moins chers à former et plus obéissants et rapidement aux robots puisque nous devons et devrons de plus en plus appliquer les traitements prescrits par les ordinateurs dans lesquels vous aurez entré les données prévues par le logiciel (et rien d’autre). Grand avantage pour les décideurs, les robots ne pensent pas et ne donnent comme solutions que celles qu’on a autorisées dans la machine.

Nous avons devant nous un grand combat pour effacer les méfaits de quarante ans de pensée unique au service des intérêts commerciaux et financiers qui manipulent la science.

Comme le démontre magistralement Stéphane Foucart dans La Fabrique du mensonge(1), la science a été « institutionnalisée » par les champions toutes catégories en ce domaine, l’industrie du , puis celles de l’amiante, des pesticides, du , des médicaments, du climat, etc. Big Tobacco, l’industrie du , a constitué un vivier d’individualités qui « sans nécessairement être corrompues prêtent une plus haute attention aux intérêts industriels qu’à l’intérêt général ».

Ils ont créé des écuries « d’experts » selon leurs propres termes, car Big Tobacco a compris dès les années 1950 « qu’en injectant de l’argent dans la recherche, il obtiendrait des résultats qui lui seraient plus favorables ». Big Tobacco avait bien rationalisé le « funding effect » c’est-à-dire l’influence du financeur sur les résultats et leur interprétation. « Aujourd’hui toute l’expertise sanitaire est fondée sur des études financées voir conduites par les industriels eux-mêmes. » Ce mécanisme pervers est devenu « une norme de fonctionnement » dans tous les domaines de la science.

Ces analyses fondamentales ne nous éloignent pas du sujet de cet article sur la liberté thérapeutique mais nous y ramènent au contraire expliquant le pourquoi de cette privation de liberté des médecins et donc des patients qui a détruit notre métier en quarante ans.

En effet, l’alliance médico-politico-financière a imposé le joug de l’ dans nos pratiques médicales conduisant à entrer de plus en plus de patients dans les essais thérapeutiques, à obéir aux recommandations thérapeutiques nationales et internationales élaborées par des groupes de travail appliquant le dogme de la « médecine par les preuves ».

Cette « évidence base medicine », élaborée par les mêmes groupes, soumis à l’industrie ne reconnaît comme source scientifique que les publications basées sur des essais cliniques randomisés (groupes tirés au sort). Ces essais, pour être reconnus valables, reposent sur de grands effectifs de patients et leur élaboration nécessitent des fonds importants que seule l’industrie pharmaceutique possède.

Ainsi, la quadrature du cercle est complète. Big Pharma élabore et subventionne les essais, publie ceux qui sont favorables à ses intérêts et dissimule les autres. Sous prétexte de propriété intellectuelle, les données et les résultats des essais lui appartiennent et dans aucun pays la publication légale de tous les essais, quels que soient leurs résultats n’a pu être obtenue.

Cette perversion fondamentale du système explique les scandales meurtriers tels que celui du Vioxx qui fit près de 40 000 morts aux USA par accidents cardiaques, car les problèmes cardiaques survenus lors des essais avaient été soustraits des résultats lors des publications.

Mais truquer les informations en imposant la médecine par les preuves comme source du savoir, réfuter l’expérience clinique et les études « pilotes », réalisées par les cliniciens sur leurs patients en étudiant rigoureusement effets secondaires et résultats à long terme de schémas thérapeutiques publiés, ne suffisait pas au pouvoir médico-industriel et à ses lobbies.

Classées comme bas niveau de preuve par les « experts » appartenant aux « écuries » des labos(2), ces études sur lesquelles avaient reposé tous les progrès en médecine jusqu’en 1985 environ ne furent progressivement plus acceptées dans les revues dites de haut niveau (dont les comités de lecture sont tenus par les mêmes) ni même en communication dans les congrès scientifiques (eux aussi très largement subventionnés par Big Pharma).

Entre 1990 et maintenant les congrès jadis scientifiques se transformèrent en grande foire commerciale comme le Salon de l’agriculture (avec les mêmes déviances) ou la Foire de Paris.

Ce nouveau système n’a pas apporté de progrès significatifs aux malades ainsi que L’institut-Gustave Roussy vient de l’avouer lors de son appel aux dons pour la cancérologie pédiatrique « devant l’absence de progrès dans cette discipline depuis quinze ans » selon leurs propres termes. C’est pourtant la volonté intransigeante – et on le voit tous maintenant, injustifiée – d’imposer à tous les onco-pédiatres l’inclusion de tous les  atteints de tumeurs solides dans des essais (Sommel et rapport au Sénat 2000) qui explique la contre notre unité depuis trente ans. Nous souhaitions simplement ne pas inclure les enfants dans les essais, lorsqu’il existait un traitement éprouvé efficace. Crime de lèse-majesté !

Théoriquement nous aurions pu continuer à traiter nos patients avec les anciens schémas éprouvés et efficaces, mais en plus de la persécution des hérétiques au système condamnés à disparaître par départs progressifs des générations plus âgées et refus de nomination de jeunes qui n’accepteraient pas ses lois, l’industrie fit disparaître du marché nombre de médicaments trop bon marché et les faisant remplacer par de nouveaux dix fois plus chers et souvent plus toxiques. Surtout les lobbies médico-industriels très efficaces au ministère parvinrent in fine à interdire de fait la pratique traditionnelle des médecins selon Hippocrate en leur âme et conscience, en fonction de l’état de la science et uniquement pour le bien du malade.

Le totalitarisme en cancérologie érigé en loi (circulaire 2004, 2005 et décrets 2007)

Le plan cancer constitue le modèle du genre imposant à tous les mêmes traitements, le plus souvent essais thérapeutiques à tous les malades atteints de cancer. Un système totalitaire dont j’ai détaillé les rouages dans Le Cancer, un fléau qui rapporte chez Michalon, février 2013.

Le plan cancer de conception autocrate, conçu par trois cancérologues respectivement directeur de la fédération des centres anticancéreux, des centres privés et de la collégiale des oncologues de l’APHP, mis en place en 2003 fit naître, du fait du prince, l’institut national du cancer (INCA) qui s’autoproclama grand chef de la cancérologie et pas seulement de l’organisation mais aussi des traitements.

Ceux–ci sont transmis aux médecins sous forme de recommandations nationales que doivent appliquer TOUS les centres traitant des cancers, publics et privés . Pour être sûr qu’aucun malade n’échappera au système monopolistique, les centres organisés obligatoirement en « réseaux » seront accrédités par la Haute Autorité de Santé selon les critères décidés par l’INCA, on reste entre soi et les conflits d’intérêt à tous étages ne semblent gêner personne !

Si vous n’acceptez pas cet ukase, votre réseau n’est pas accrédité et vous ne pouvez plus traiter de cancer. Les réunions pluridisciplinaires de concertation sont obligatoires et chaque patient doit y être « discuté ». De fait ces réunions se transforment en chambre d’enregistrement dans laquelle chacun surveille l’autre afin qu’aucun patient n’échappe à la décision collégiale conforme aux injonctions de l’INCA de faire entrer le maximum de malades possibles dans les essais thérapeutiques (cf. site de l’INCA).

Le réseau du traitement du cancer est déjà un réseau fermé dans lesquels de plus les cancérologues n’ont ni accepté ni rejeté le . Il n’y en a pas eu : il s’agit d’un régime autocrate dont la constitutionnalité reste à prouver, tant devant le Conseil d’état que devant la Cour européenne. De fait, nous sommes dans une société libérale et le « commerce » du cancer ne devrait pas pouvoir échapper aux lois internationales sur la concurrence signée par la . La question méritera d’être posée.

En France la liberté de soigner les malades atteints de cancer n’existe plus. On peut craindre que ce système ne s’étende rapidement à l’ensemble de la profession médicale. Les psychiatres ont communiqué à propos des injonctions thérapeutiques en matière d’autisme par exemple. Il est grand temps que les médecins osent parler sans crainte, car sans résistance ouverte à ce système dictatorial, c’est la fin de toute médecine humaine qui se prépare. La reconstruire sera long et difficile.

Nicole Delepine, oncologue

1. éd. Denoël Impacts 2.
2. Selon les termes de Big Tobacco.

 SOURCE DE L’ARTICLE :
 

Mars : un internaute repère un "étrange objet" sur une photo de Curiosity

samedi 27 septembre 2014 à 18:01
Mars : un internaute repère un "étrange objet" sur une photo de Curiosity

Une rangée de lumières ?

Mars : un internaute repère un "étrange objet" sur une photo de Curiosity

 

 

Un internaute britannique a lancé un nouveau buzz extraterrestre : sur l'une des photos prises par le rover Curiosity sur Mars, l'homme pense avoir repéré un... feu de signalisation.


La planète Mars n'en finit pas de stimuler l'imagination des amateurs d'ufologie et de théories paranormales. Après l'iguane, le rat ou encore la poignée de porte, c'est un nouveau buzz qui vient de voir le jour sur le net. C'est un internaute britannique éditeur du site Artalien.tv qui en est à l'origine. Le point de départ : une photo de Curiosity.

 Depuis le début de sa mission, le rover dévoile régulièrement de nouvelles photos du paysage martien qui l'entoure. Des clichés qui sont publiés au fur et à mesure par la NASA sur le net. Le 18 septembre dernier, Curiosity a ainsi une nouvelle fois utilisé sa caméra MastCam et a livré un aperçu du sol craquelé de la planète Mars. C'est sur cette image que Joseph White a expliqué avoir trouvé quelque chose de suspect.

"Je suis les photos de la NASA depuis le début et je les regarde tous les jours sur le site. J'ai vu celle-là et j'ai pensé 'attends, c'est assez étrange'", a-t-il expliqué repris par le Western Daily Press. La source de l'interrogation ? Dans le coin gauche, se trouve une sorte de pic ou de tige auquel semblent attachées quatre boules de taille différente. Ça ne vous rappelle rien ? Pourtant, une idée est rapidement venue à Joseph White.

Une rangée de lumières ?

"J'ai pensé ça ressemble à un feu de signalisation", a-t-il commenté. "J'ai posté l'image sur internet et des personnes m'ont dit aussi que cela ressemblait à un feu de signalisation - bien que des personnes aient dit que cela ressemblait à un totem". Comme on peut s'en douter, les images et la vidéo ont suscité de nombreuses réactions ainsi que de folles théories qui ont poussé le Britannique à revoir sa description.

 Après quelques heures, "je pense maintenant que c'est peut-être une rangée de lumières, recouvertes par concrétion, là où c'était auparavant immergé sous l'eau. Le deuxième objet en forme de balle en partant du haut est plus petit (ampoule) - ce qui le recouvrait peut-être se trouve à droite à 30 centimètres environ. L'artéfact fait environ 30 centimètres ou plus mais pourrait atteindre les 60 cm ou plus", si l'on considère l'angle, a-t-il écrit sur Youtube. 

Un objet "intelligemment conçu"

Quoi qu'il en soit, l'internaute en est sûr, il s'agit "clairement" d'un objet "intelligemment conçu". Pour l'heure, la NASA n'a pas répondu au buzz grandissant mais on peut parier qu'elle ne sera pas en accord avec l'hypothèse du Britannique. Il s'agirait plus vraisemblablement d'une roche érodée d'une façon inhabituelle par les éléments ou assemblée par un phénomène de concrétion qui consiste en l'accumulation et la solidification de minéraux.

Il y a quelques jours, un blogueur s'était déjà étonné "d'une étrange boule" à la surface de Mars avant qu'un scientifique de la NASA explique que c'était juste une roche sphérique certainement formée par concrétion.

 
http://www.maxisciences.com/mars/mars-un-internaute-repere-un-etrange-objet-sur-une-photo-de-curiosity_art33548.html