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40% des enfants palestiniens emprisonnés par Israël sont violés !

dimanche 23 novembre 2014 à 20:58
40% des enfants palestiniens emprisonnés par Israël sont violés !

Un groupe dé défense palestinien a publié un rapport explosif affirmant que 40% des enfants détenus par les autorités israéliennes à Jérusalem ont été victimes d'abus sexuels de la part de la police israélienne.

 

Près de 600 enfants palestiniens ont été arrêtés à Jérusalem depuis Juin 2013, annonce le rapport de l'agence de nouvelles du Centre international des médias du Moyen-Orient. Cela signifie qu'environ 240 mineurs auraient été maltraités lors de leur arrestation ou lors d'une enquête par des autorités israéliennes, selon le club des prisonniers palestiniens (PCC).

Un avocat de l'organisation, Mufeed al-Haj, dit que d'autres violations ont été rapportées au cours de l'appréhension des enfants, y compris des raids sur les maisons des familles et des abus sexuels et physiques.

Al-Haj a déclaré que les mineurs sous enquête en Israël doivent être accompagnés par leurs parents, mais que les autorités israéliennes passent outre.

Le PCC est une organisation palestinienne indépendante créée en 1993, elle regroupe 1600 anciens prisonniers Palestiniens ayant été au minimum un ans sous les verrous.

Le club soutient les Palestiniens dans les prisons israéliennes en finançant l'aide juridique, l'action politique, et en soutenant leurs familles.

 

Ghisham Doyle pour WikiStrike

Source anglophon: Inernational busness Times

Un enfant de 12 ans qui jouait avec un pistolet en plastique canardé par la police

dimanche 23 novembre 2014 à 19:54
Un enfant de 12 ans qui jouait avec un pistolet en plastique canardé par la police

Le pistolet avec lequel s'amusait le petit garçon noir sur une aire de jeux de Cleveland une était une arme en plastique. Les policiers l'ont prise pour une vraie.

 

L'arme n'en était pas une. Un petit garçon noir a été tué par la police à Cleveland, aux Etats-Unis alors qu'il tenait ce qu'il semblait être une arme, rapporte le New York Times. Il s'agissait en fait d'un pistolet en plastique qui semblait "très réaliste" selon la police (ci-dessous, la photo twittée par un journaliste). 

Les faits se sont déroulés samedi sur une aire de jeu, où le petit garçon brandissait le jouet. Selon la police, il aurait refusé de lever les mains malgré l'ordre des agents puis aurait essayé d'attraper un objet situé au niveau de sa ceinture. 

La victime, touchée à l'estomac, est morte ce dimanche, rapporte le site cleveland.com 

En août dernier, la mort d'un jeune homme abattu par un policier blanc alors qu'il n'était pas armé avait mis le feu aux poudres à Ferguson, dans le Missouri. Lundi, le grand jury qui doit décider d'inculper ou non le policier auteur des coups de feu se réunit. En attendant le verdict, l'état d'urgence a été décrété.  


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Carte de la mortalité due à la pollution de l'air

dimanche 23 novembre 2014 à 18:37
Carte de la mortalité due à la pollution de l'air

La Nasa a dressé une carte du monde du nombre de personnes mortes à cause de la pollution de l'air.

Pour connaitre ses chiffres, Jason West, un scientifique de l'université de Caroline du Nord a compilé six modèles informatiques qui simulent l'atmosphère pour montrer l'évolution de la pollution entre 1850 et 2000.

Les régions marron sont celles où sont décédées le plus de personnes (jusqu'à 1000) par 1000 km2 en une année. 

Même un faible taux de pollution de l'air peut conduire à long terme à un grand nombre de décès, affirme la Nasa. En bleu, on peut apercevoir les zones où ce taux a par contre diminué. Cela s'explique par une diminution de l'industrie et des incendies au milieu du 19e siècle, selon la Nasa.

 

 

Source © Le Vif

Macron-économie: Les salaires français gelés durant 3 ans ?

dimanche 23 novembre 2014 à 18:28
Macron-économie: Les salaires français gelés durant 3 ans ?

Gel des salaires pendant trois ans, assouplissement du marché du travail et des 35 heures, figurent parmi les mesures phare que le gouvernement français dévoilera ce jeudi à l'occasion de la publication de propositions franco-allemandes pour la croissance, selon le magazine allemand Der Spiegel à paraître lundi.

Ces propositions, qui doivent être présentées à Paris par les ministres de l'EconomieEmmanuel Macron et Sigmar Gabriel, «prévoient entre autres une flexibilisation du marché du travail en France, ai

 

En outre, le document plaide pour un gel des salaires pendant trois ans pour rendre les entreprises françaises plus compétitives», écrit Der Spiegel qui affirme avoir eu accès au projet sans citer davantage de détails.

Stimuler la croissance

Côté allemand, Berlin va doubler ses investissements dans les infrastructures en Allemagne. Un effort supplémentaire de 20 milliards d'euros d'ici à 2018 devrait être annoncé, au lieu des dix milliards prévus jusqu'à présent, poursuit le magazine.

Ces propositions s'appuient sur le travail de deux économistes, le Français Jean Pisani-Ferry et l'Allemand Henrik Enderlein, qui avaient été chargés mi-octobre par leurs gouvernements respectifs de dresser des pistes pour stimuler la croissance dans les deux pays.

Relancer la machine économique européenne

La situation économique de la France et le dérapage de son budget sont un sérieux motif d'inquiétude pour l'Allemagne.

Berlin est, en parallèle, de plus en plus sous pression de la part de ses partenaires, la France en tête, pour en faire davantage de son côté pour relancer la machine économique européenne.

 

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La double imposture du 11 Septembre

dimanche 23 novembre 2014 à 13:11
La double imposture du 11 Septembre

« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence [1]. »

Alexandre Soljenitsyne

 

« Avec le mensonge, patiemment appris et pieusement exercé, si Dieu nous assiste nous arriverons à dominer ce pays et peut-être le monde : mais cela ne pourra se faire qu’à la condition d’avoir su mentir mieux et plus longtemps que nos adversaires [2]. »

Primo Levi

 

Introduction

L’un des intérêts du 11 Septembre est qu’il a introduit une véritable cassure dans l’opinion publique, un gigantesque fossé entre ceux qui acceptent – peu ou prou – la thèse officielle et ceux qui la rejettent, au point que, du point de vue des seconds, toute personne qui émet des opinions sur la politique internationale tout en admettant le mensonge officiel sur le 11 Septembre n’est tout simplement plus crédible.

Cela ne veut pas dire qu’en découvrant la « vérité sur le 11 Septembre », on passe des ténèbres à la lumière, du mensonge à la vérité pure. Il y a en effet au sein de la communauté des chercheurs de la « vérité sur le 11 Septembre » beaucoup d’incertitude, beaucoup de confusion et beaucoup d’hostilité. Se contenter de dire que Ben Laden n’est pour rien dans les attentats est assez peu risqué. Mais quiconque veut aller plus loin avance sur un terrain semé d’obstacles, de mines et de panneaux trompeurs. Il prend nécessairement le risque de se tromper. Je n’échappe pas à la règle.

La quête sur la « vérité du 11 Septembre » est une œuvre collective. C’est sa seule chance de réussite, car la manipulation qu’elle combat est aussi une œuvre collective, une machine extrêmement complexe et efficace. Personne n’a les moyens de déjouer à lui tout seul tous les tours pervers qui l’attendent dans sa quête. Signaler une erreur, une fausse piste, une fausse citation, un faux document déclassifié, un témoignage suspect, qu’a pu relayer un chercheur sincère n’est donc pas lui faire du tort ; c’est simplement contribuer par le débat à cette quête collective. Et donc je serai moi-même reconnaissant à ceux qui me signaleront et me démontreront mes propres erreurs. Dans cet article, je pars de faits troublants qui demandent explication, et en guise d’explication, j’avance des hypothèses, pas des certitudes. Je n’ai aucune expertise particulière, et sur certaines questions, je suis loin d’être suffisamment informé.

En pratique, la quête de la vérité est une chasse aux mensonges. Il faut aborder chaque information avec un doute systématique. C’est une démarche inconfortable, un peu paranoïaque, mais qui s’impose dès lors qu’on a mesuré le niveau de machiavélisme des « élites cognitives » (Gilad Atzmon) qui sont à l’origine du 11 Septembre et qui, à travers ce coup de poker menteur, espèrent rafler la suprématie mondiale. Les maîtres du mensonge ne se contentent pas de mentir au premier degré. Ils infiltrent et contaminent la dissidence, soit pour la fourvoyer, soit pour la discréditer.

Par conséquent, lorsqu’un doigt est pointé vers un suspect, il faut chercher à savoir à qui appartient le doigt et, parfois, pointer à notre tour le doigt sur le désinformateur. C’est un jeu périlleux, et qui vous vaut inévitablement d’être à votre tour pointé du doigt. Mais c’est la seule méthode pour s’y retrouver dans le labyrinthe de fausses pistes qui a été construit autour du 11 Septembre. On ne peut se contenter d’accepter une information simplement parce qu’elle nous fait plaisir, parce qu’elle conforte notre vision des gentils et des méchants ; il faut la vérifier, la rejeter si elle n’est pas vérifiable, et s’interroger sur sa fonction si elle se révèle bidon.

Il existe aujourd’hui trois thèses dominantes sur les auteurs des attentats du 11 Septembre :

- 1. Islam Job : la thèse gouvernementale qui attribue les attentats au terrorisme islamique, et à Ben Laden en particulier ;
- 2. Inside Job : la thèse majoritaire dans la mouvance contestataire, qui accuse l’administration américaine ;
- 3. Mossad Job : la thèse minoritaire de cette même mouvance, qui fait figure de contestation dans la contestation, et qui incrimine un réseau sioniste proche du Likoud.

Il existe des variantes de chaque thèse et des positions intermédiaires ou transitoires, mais trois camps s’affrontent clairement aujourd’hui : le premier traite le second de conspirationniste, et le second traite le troisième d’antisémite, chacun justifiant ainsi son refus de répondre aux arguments qu’on lui oppose. Reconnaître cette réalité de terrain, c’est-à-dire dépasser la vision bipolaire d’une  de l’information entre menteurs officiels et 9/11 truthers, pour s’intéresser au débat (ou l’absence de débat) entre inside-jobbers et mossad-jobbers, est le premier pas d’un changement de paradigme en « 11-septembrologie ».

Cet article adopte comme point de vue la troisième thèse. Je fais partie du nombre grandissant de gens qui, après des milliers d’heures de , sont parvenus à la conviction que l’opération du 11 Septembre a été orchestrée par un réseau sioniste, dans le but d’entraîner les États-Unis dans une « guerre contre le terrorisme » de leur invention, dont le seul bénéficiaire ultime sera Israël. Car pour Israël, comme l’a immédiatement compris Benjamin Netanyahou, les attentats du 11 Septembre, « C’est très bon. […] Ça va générer une sympathie immédiate, […]renforcer le lien entre nos deux peuples [3]. »

Je ne vais pas faire ici l’inventaire des indices incriminant Israël ; je renvoie le lecteur à mon livre JFK-11 Septembre : 50 ans de manipulations et à mes articles antérieurs. Le sujet du présent article n’est pas la vérité sur le 11 Septembre – qui a fait quoi et comment –, mais plutôt la guerre de l’information sur le 11 Septembre : qui dit quoi et pourquoi ?

On peut remarquer d’emblée que les thèses 1 et 3 incriminent chacune une puissance extérieure aux États-Unis, contrairement à la thèse 2. Avant tout examen des preuves, une thèse du type outside job est naturellement plus crédible que la thèse inside job. Il y a quelque chose de monstrueux dans l’idée qu’un État trompe et terrorise ses propres citoyens et en sacrifie des milliers dans le but de déclencher une série de guerres qui ne sont même pas dans son intérêt. Par comparaison, l’idée qu’une puissance étrangère  les États-Unis en accusant une tierce puissance paraît presque « de bonne guerre ». Cette remarque est importante car elle conduit à s’interroger sur les moyens déployés pour convaincre la dissidence d’adopter massivement la thèse 2 plutôt que la thèse 3, a priori beaucoup plus crédible. C’est l’une des questions à laquelle nous allons essayer de répondre.

L’hypothèse que les véritables cerveaux de l’opération ont agi pour le compte d’Israël n’implique pas que l’administration de Bush Junior est innocente. La thèse 3 admet que la thèse 2, au contraire de la thèse 1, n’est pas complètement fausse et repose sur des éléments probants. Mais elle prétend également que les défenseurs de la thèse 2 exagèrent la portée de ces éléments tout en occultant les éléments incriminant Israël. La question qui se pose est dans quelle mesure cette démarche est intentionnelle, c’est-à-dire dans quelle mesure la thèse 2 constitue une « opposition contrôlée » destinée à recouvrir la vérité de la thèse 3.

Poser ce type de question, ce n’est pas soupçonner d’hypocrisie toute personne défendant une thèse erronée ou incomplète. La majorité des gens qui adhèrent à telle ou telle thèse le font sincèrement. Je suis moi-même passé par les trois cases en toute sincérité. On peut en revanche partir du principe que ceux qui maintiennent les masses dans l’erreur avec persévérance se situent dans le mensonge. D’une manière générale, il est légitime de s’interroger sur les motivations de ceux qui créent les mouvements d’opinion, et sur l’origine des moyens dont ils disposent. Et lorsque leur mensonge est prouvé, on doit en tirer des conclusions logiques.

En première partie, nous allons démontrer que le mensonge n’est pas l’apanage de la thèse officielle. Il ne suffit pas qu’une personne s’oppose au mensonge officiel pour qu’elle mérite automatiquement notre confiance aveugle. Le but des deux exemples qui suivent est, d’une part, d’inciter à l’esprit critique vis-à-vis des thèses dissidentes, d’autre part, de montrer la nécessité d’un nouveau paradigme pour tenir compte des couches successives de mensonges élaborées autour de la vérité. Nous poserons les bases théoriques de ce nouveau paradigme dans une seconde partie. Il s’agira forcément d’un modèle réducteur, une hypothèse de travail. Puis, dans une troisième partie, nous verrons si ce nouveau paradigme permet de résoudre certaines questions techniques délicates qui divisent les chercheurs de la vérité sur le 11 Septembre. Enfin, je concluerai en suggérant que ce paradigme possède une portée plus large que le 11 Septembre, et correspond à une stratégie globale du sionisme.

 

I. L’opposition contrôlée et les whistleblowers bidons

 

Exemple 1 : Bob Graham

Comme je l’ai dit, les trois thèses ne sont pas totalement incompatibles. On peut par exemple se positionner entre les thèses 2 et 3, en imaginant une collusion entre des intérêts américains et des intérêts israéliens (je montrerai toutefois qu’une telle solution crée autant de problèmes qu’elle en résout). Il existe également un positionnement intermédiaire entre les thèses 1 et 2, qui admet la culpabilité de Ben Laden mais accuse l’administration américaine de complicité. C’est ce qu’on peut nommer la « contestation molle ».

Cette thèse, représentée en France par Éric Laurent avec son livre La Face cachée du 11 Septembre (2004), s’appuie largement sur le témoignage du sénateur Bob Graham, qui en tant que président du Senate Intelligence Committee fut membre de la Commission gouvernementale sur le 11 Septembre. Dans son livre Intelligence Matters : The CIA, the FBI, Saudi Arabia, and the Failure of America’s War on Terror (Random House, 2004), et dans des articles, interviews et conférences, Graham prétend que la Commission aurait été informée que des « preuves » existaient d’un financement d’Al-Qaïda par des membres de la famille princière saoudienne, mais que 28 pages sur ce sujet auraient été censurées par l’administration dans le rapport final, en raison de « l’amitié spéciale entre la famille royale et les plus hautes sphères de notre gouvernement national [circonvolution pour désigner le président Bush] [4]. » Cette accusation a été reprise par Michael Moore dans son documentaire Fahrenheit 9/11, lauréat de la Palme d’or du Festival de Cannes 2004.

 

Bob Graham dans l’émission Democracy Now en septembre 2011 (en anglais non-sous-titré) :

 

 

 

L’une des nasses les plus efficaces, utilisée conjointement par les deux niveaux d’opposition contrôlée, est la théorie que les États-Unis interviennent au Moyen-Orient pour le pétrole. Elle passe pour une évidence à force d’être répétée de tous bords, de Noam Chomsky (« Bien sûr que c’était les ressources énergétiques de l’Irak. La question ne se pose même pas [26] ») à Alan Greenspan (« Tout le monde le sait : l’un des grands enjeux de la guerre d’Irak était le pétrole de la région [27] »). Les Inside-jobbers sont d’accord avec eux : le pétrole est selon eux l’ultime motivation du 11 Septembre. Richard Heinberg, spécialiste auto-proclamé de la déplétion énergétique, nous l’affirme dans une vidéo relayée par Reopen911 :

« Je crois personnellement qu’il y a une relation profonde entre les événements du 11 Septembre et le pic pétrolier, mais ce n’est pas quelque chose que je peux prouver [28]. »

Si cette thèse, en effet, ne peut pas être prouvée, c’est parce que son caractère d’évidence n’est qu’un effet illusoire de sa répétition. Il n’existe aucun signe que le lobby pétrolier ait encouragé l’intervention militaire en Irak, pas plus qu’en Libye ou Syrie. Les industries du pétrole n’ont besoin que d’une seule chose dans les pays producteurs, c’est la stabilité politique, et les dictatures lui conviennent parfaitement. Ce qu’elles demandaient pour l’Irak était la levée des  interdisant de traiter avec le régime, et c’est aussi ce qu’elles demandent pour l’Iran. Comme l’a bien montré James Petras dans Zionism, Militarism and the Decline of US Power, « Big Oil non seulement n’a pas encouragé l’invasion, mais n’a même pas réussi à contrôler un seul puits de pétrole, malgré la présence de 160 000 soldats américains, 127 000 mercenaires payés par le Pentagone et le Département d’État, et un gouvernement fantoche corrompu [29]. » Lorsqu’en 2009 les licences d’exploitation furent mises aux enchères, ce sont la Russie et la Chine qui se taillèrent la part du lion, et même , avec Total, se plaça devant les États-Unis [30]. Si donc la guerre d’Irak avait le pétrole pour but secret, elle serait un échec complet.

 

Notes

[1] Alexandre Soljenitsyne, « Le cri », discours de remerciement pour le Prix Nobel, 1970, publié dans L’Express, 4-11 septembre 1972.

[2] Primo Levi, « Un testament », dans Lilith, Livre de Poche, 1989. Le narrateur de ce « testament » fictif parle au nom de la confrérie des « arracheurs de dents ». Levi fit une chute mortelle dans sa cage d’escalier juste après la publication italienne de ce récit en livre en 1987.

[3] “It’s very good […], it will generate immediate sympathy […], strengthen the bond between our two peoples.” James Bennet, “Day of Terror : the Israelis ; Spilled Blood is Seen as Bond that Draws 2 Nations Closer”, New York Times, 12 septembre 2001 : http://www.nytimes.com/2001/09/12/us/day-terror-israelis-spilled-blood-seen-bond-that-draws-2-nations-closer.html.

[4] Bob Graham, « Saudi Arabia : Friend or Foe ? », The Daily Beast, 11 juillet 2011,http://www.thedailybeast.com/articles/2011/07/11/saudi-arabia-fried-or-foe-asks-senator-bob-graham.html

[5] “evidence that there were foreign governments involved in facilitating the activities of at least some of the terrorists in the United States”, cité par Justin Raimondo, The Terror Enigma : 9/11 and the Israeli Connection, Universal, 2003, p. 64.

[6] Raimondo, The Terror Enigma, op. cit., p. 3.

[7] Pour être précis, il faut signaler une tentative d’impliquer également le Pakistan, autre allié des É-U, à travers une « révélation » du Times of India du 9 octobre 2001, selon laquelle « 100˙000 dollars ont été transférés au terroriste Mohamed Atta depuis le Pakistan par Ahmed Omar Said Sheikh [agent de l’ISI] à la demande du général Mahmoud [directeur de l’ISI] » (http://911review.org/Sept11Wiki/Ahmad,GeneralMahmud.shtml).

[8] « The Saudi Connection : Osama bin Laden’s a lot closer to the Saudi royal family than you think », The Weekly Standard, 29 octobre 2001, http://www.weeklystandard.com/Content/Public/Articles/000/000/000/393rwyib.asp

[9] Stephen Sniegoski, The Transparent Cabal : The Neoconservative Agenda, War in the Middle East, and the National Interest of Israel, Enigma Edition, 2008, p. 204.

[10] Russ Baker, Family of Secrets : The Bush Dynasty, America’s Invisible Government, and the Hidden History of the Last Fifty Years, Bloomsbury Press, 2009, p. 280-98.

[11] Bandar ben Sultan prendra la tête des services de renseignement saoudiens en 2012, avant d’en démissionner en mars 2014.

[12] Éric Laurent, La Face cachée du 11 Septembre, Plon, 2004, p. 119-122.

[13] Richard Clarke, Against all Enemies : Inside America’s War on Terror, Simon & Schuster, 2004.

[14http://www.veteranstoday.com/2012/09/04/gwenyth-todd-richard-clarke-a-911-person-of-interest/ L’interview complète est sur http://noliesradio.org/archives/51351

[15] Wesley Clark, Winning Modern Wars, Public Affairs, 2003, p. 130.

[16] Voir aussi Clark devant le Commonwealth Club of California à San Franciso, le 3 octobre 2007, surhttp://www.youtube.com/watch?v=iY96Z5Mqn40.

[17http://www.jta.org/2003/10/15/archive/whats-in-a-name-for-clark-clues-to-his-jewish-heritage#ixzz382lkyFzT

[18] Les lecteurs de mon livre JFK-11 Septembre (Blanche, 2014) ou de mon article « Le triple jeu des néoconservateurs » (http://www.voltairenet.org/article177373.html remarqueront que j’ai changé mon interprétation du témoignage de Clark, estimant être précédemment « tombé dans le panneau ».

[19http://www.youtube.com/watch?v=ElSJTXHELd8invstigating

[20] Voir l’interview de Russo et son analyse critique : www.agoravox.tv/tribune-libre/article/aaron-russo-9-11-mais-qui-est-donc-37688

[21] “An era in which the nations of the world, East and West, North and South, can prosper and live in harmony. […] A world in which nations recognize the shared responsibility of freedom and justice. A world where the strong respect the rights of the weak.” Vidéo : www.youtube.com/watch ?v=Chm7vStGV5I).

[22] L’Empire invisible, à voir avec sous-titres français sur http://www.prisedeconscience.org/manipulation-et-complot/lempire-invisible-analyse-du-nouvel-ordre-mondial-1931

[23http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-scandaleuse-interview-de-Jacques-Cheminade-par-Frederic-Haziza-15592.html

[24http://www.indiegogo.com/projects/the-anatomy-of-a-great-deception

[25http://www.reopen911.info/11-septembre/visionnez-le-film-choc-one-enquete-sur-al-qaida/

[26] “Of course it was Iraq’s energy resources. It’s not even a question” (cité dans Sniegoski, Transparent Cabal, p. 333).

[27] Alan Greenspan, Le Temps des turbulences, Jean-Claude Lattès, 2007.

[28] “I personally believe that there is a deep relationship between the events of 9/11 and peak oil, but it’s not something I can prove,” dans Oil, Smoke and Mirrors, documentaire de Ronan Doyle, 2007.

[29] “‘Big Oil’ not only did not promote the invasion, but has failed to secure a single oil field, despite the presence of 160,000 US troops, 127,000 Pentagon/State Department paid mercenaries and a corrupt puppet régime.” James Petras, Zionism, Militarism and the Decline of US Power, Clarity Press, 2008, p. 18.

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Source : http://www.wikistrike.com/2014/11/la-double-imposture-du-11-septembre.html