PROJET AUTOBLOG


Wikistrike

Site original : Wikistrike

⇐ retour index

L'Académie de Nantes recommandait des ouvrages pour enfants à ne pas rapporter à la maison

jeudi 18 septembre 2014 à 14:17
L'Académie de Nantes recommandait des ouvrages pour enfants à ne pas rapporter à la maison

Nouvelle polémique autour d'un livre pour enfan

L'Académie de Nantes recommandait des ouvrages pour enfants à ne pas rapporter à la maison

 

 

L'Académie de Nantes recommandait des ouvrages pour enfants à ne pas rapporter à la maison... pour ne pas choquer les parents. Repérée par des internautes, la page concernée, qui datait de 2006, a été retirée du site mardi matin.

Il est impératif que la phase de découverte ait lieu en classe et que les albums ne soient pas empruntés pour être emmenés à la maison. Les réactions très négatives de certains adultes à l'égard du livre pourraient compromettre son exploitation".

Cette recommandation, qui figurait dans les "ressources pédagogiques" du site de l'Académie de Nantes, concernait le livre "Que font les petits garçons ?", un album de Nikolaus Heidelbach, publié en 2000, préconisé pour les élèves de cyle 3 (CE2, CM1, CM2).

 

couverture_petits_garcons.jpg

 

Des internautes, ayant repéré cette mention, se sont empressés de la faire connaître sur les réseaux sociaux, s'indignant de cette mise à l'écart explicite et assumée des parents d'élèves.

Il faut dire que le contenu de cet album n'est pas anodin. La fiche de l'académie, actualisée en décembre 2006, explique en effet que ce livre "dérange" car il aborde "deux sujets tabous dans la littérature de jeunesse (...) : la mort et la sexualité", et "propose un catalogue assez scandaleux de l'activité des petits garçons".

 

 
Allons plus loin
 
Pour faire suite à l'article sur le livre polémique "que font les petits garçons?", j'ai eu envie d'aller vérifier par moi-même son contenu qui avait l'air plutôt curieux pour un livre conseillé à partir de 8 ans. Je suis donc allé en bibliothèque faire des photos de ce livre infâme, il n'y a pas d'autre mot. Rapidement, on constate qu'il est encore pire que ce à quoi l'on pouvait s'attendre. Les images sont choquantes, pas adaptées aux enfants et surtout parfois assez incompréhensibles. Celle-ci par exemple représente un enfant qui fait un cadeau....mouais. Cela plante tout de suite le décor. Voyons les images suivantes.

 
L'intégralité du livre se présente de la même manière: à gauche le nom d'un garçon qui est systématiquement représenté par "un clone du petit garçon version fille". A droite, le même garçon cette fois habillé en garçon qui fait des activités complètement loufoques. Dès la première page, cela sent déjà très fort la théorie du genre. En voici quelques exemples. 
 
 

 

 
 
 
 
Voici donc Joseph en plein rêve. Bien sûr, représenter Joseph le sexe à l'air est probablement totalement indispensable de la part de l’éducation nationale.


 

 
La légende de celle-ci était il me semble que l'enfant était en train de penser...

 

 
L'enfant fait des découvertes.
 

 

L'enfant est un collectionneur. A-t'on déjà vu image plus glauque limite dans un livre pour enfant?

 

 

Ici également, cela se passe de commentaire si ce n'est que c'est de très mauvais goût.

 

 
 
Ce livre, comme tant d'autres malheureusement, n'a rien à faire dans une école. Il permet de prendre conscience de la perversité totale de certains livres pour enfants qui sont devenus le terrain de jeu de certains écrivains passablement dérangés.
 
 
Publié par Fawkes News

Certains édulcorants favoriseraient en réalité le diabète...

jeudi 18 septembre 2014 à 11:34
Certains édulcorants favoriseraient en réalité le diabète...

© Clay Junell/CC BY-SA 2.0
Au lieu de contribuer à prévenir le développement du diabète, la saccharine semble au contraire favoriser cette pathologie

 
Certains édulcorants favoriseraient en réalité le diabète...
C'est une nouvelle alerte sur les risques sanitaires potentiels des édulcorants artificiels, ces « faux sucres », dépourvus de calories, utilisés par l'industrie agro-alimentaire dans de nombreux aliments, sodas light, céréales et desserts. Publiée le 17 septembre dans la revue Nature, une étude israélienne montre que certains édulcorants peuvent avoir des effets strictement opposés à ceux recherchés. Au lieu de contribuer à prévenir le développement du diabète, ils semblent au contraire favoriser cette pathologie. 

Les résultats de plusieurs études récentes suggéraient déjà l'existence de cet effet paradoxal. En février 2013 notamment, l'équipe de Françoise Clavel-Chapelon (Inserm, Institut Gustave-Roussy) qui avait suivi plus de 66 000 femmes durant 14 ans, avaient trouvé que les consommatrices d'une quantité modérée de boissons édulcorées présentaient un risque accru de développer un diabète, par rapport aux non consommatrices. Mais il s'agissait là d'un lien statistique, ne prouvant nullement l'existence d'un lien de causalité. 

Mauvaise utilisation du glucose par l'organisme 

La nouvelle étude publiée dans Nature confirme cette ambiguïté des édulcorants et révèle pour la première fois des perturbations de la composition et la fonction de la flore intestinale.« Nous avons été surpris de découvrir que trois édulcorants, la saccharine, le sucralose et l'aspartame, déclenchent chez la souris l'effet nocif même qu'ils sont censés prévenir : ils provoquent une mauvaise utilisation du glucose par l'organisme », raconte le professeur Eran Elinav, de l'Institut Weizmann en Israel, principal auteur de l'étude. 

Trois groupes de souris adultes ont ingéré de l'eau de boisson enrichie d'un de ces trois édulcorants. Au bout d'une semaine, ces souris présentaient un des signes avant-coureurs du diabète : une « intolérance au glucose » qui s'est traduit par une élévation du taux de ce sucre dans le sang. En revanche, les rongeurs qui buvaient de l'eau seule ou même de l'eau sucrée ne développaient pas cette anomalie. 

Focus sur la saccharine 

Les auteurs ont ensuite focalisé leur attention sur la saccharine, celle des trois molécules qui provoque le plus grand effet. « C'est un des édulcorants les moins utilisés aujourd'hui, à cause notamment de son goût métallique. De plus, la saccharine à très fortes doses peut aussi déclencher des cancers chez le rat », note le professeur Karine Clément, directrice de l'Institut de cardiométabolisme et de nutrition ICAN, à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP, Paris). Mais la saccharine reste employée à faibles doses par l'industrie agroalimentaire, associée à d'autres édulcorants. 

« Ici, les auteurs ont utilisé l'équivalent de la plus forte dose de saccharine autorisée aux États-Unis, observe Karine Clément. L'effet qu'ils observent chez la souris est vraiment important. » 

Puis ces souris ont été traitées par des antibiotiques : leur flore intestinale a été supprimée. Conséquence inattendue : leur intolérance au glucose disparaissait, même si ces animaux se mettaient à boire de l'eau riche en saccharine. Un premier indice du rôle de la flore digestive. Creusant cette piste, les auteurs ont trouvé un second indice : les bactéries de la flore des souris du groupe « saccharine » différaient de celles des animaux des groupes « eau seule » et «eau sucrée ». 

Pour en avoir le cœur net, les auteurs ont prélevé les selles des rongeurs nourris avec des édulcorants et les ont transplanté sur les souris dépourvues de flore digestive . « Les souris ayant consommé la flore de leurs congénères alimentées en saccharine développaient une intolérance au glucose, alors même qu'elles ne consommaient pas de cet édulcorant », explique Karine Clément. 

Essai sur l'homme 

Quels peuvent être les effets de la saccharine chez l'homme ? Les auteurs ont analysé les données de 381 hommes ou femmes non diabétiques, qui avaient répondu à un questionnaire sur leur alimentation. Résultats : leur consommation d'édulcorants est apparue liée à diverses anomalies du métabolisme du glucose. 

Les équipes israéliennes ont également conduit un essai préliminaire sur sept personnes en bonne santé. Pendant une semaine, ceux-ci ont consommé de la saccharine (à la dose maximale autorisée par l'agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, FDA). La moitié d'entre eux ont développé une intolérance au glucose. « Après seulement sept jours, quatre présentaient une élévation du taux de glucose dans le sang. La composition de leur flore digestive changeait, contrairement à celle des trois personnes au métabolisme du glucose inchangé », indiquent les auteurs. Autre co-auteur, Eran Segal espère qu'on trouvera des bio-marqueurs capables de prédire la réponse de chaque individu à l'effet d'un édulcorant donné. 

Mais les effets de la saccharine sont-ils transposables aux édulcorants plus utilisés, et à plus faibles doses ? Et quid des mécanismes en jeu ? « La recherche doit tenir compte du fait que les édulcorants ne sont pas ces innocentes "solutions miracles" qu'on avait imaginées pour combattre l'épidémie de diabète et d'obésité », relève Nita Forouhi, épidémiologiste à l'université de Cambridge (Royaume-Uni). Et les consommateurs doivent en être avertis.
 
Le Monde

Le grand sphinx aurait plus de 10 000 ans !

jeudi 18 septembre 2014 à 10:00

Le grand sphinx aurait plus de 10 000 ans !

 

 

Le grand sphinx selon Robert Schoch de l’Université de Boston, R.S que nous saluons respectueusement.

 


robert2.jpg Beaucoup de gens me connaissent le mieux pour mon travail sur le Grand Sphinx de Gizeh, en Égypte.Le Grand Sphinx est assis près de la Grande Pyramide, sur la rive occidentale du Nil, en dehors du Caire moderne. Selon la pensée égyptologique standard, le Grand Sphinx a été sculpté dans la roche calcaire sur les ordres de l'Ancien Empire Pharaon Khéphren vers 2500 avant JC

En 1990, mon premier voyage en Egypte, avec le seul but d'examiner le Grand Sphinx à partir d'un point de vue géologique. Je suppose que les égyptologues ont eu raison de leur datation, mais dès que j'ai découvert que les preuves géologiques n'était pas compatible avec ce que les égyptologues ont été dites. Sur le corps du Sphinx, et sur les parois de l'enceinte Sphinx (la fosse ou creux restant après le corps du Sphinx a été sculpté dans la roche), j'ai trouvé lourds phénomènes d'érosion (voir sur les photos d'accompagnement) que j'ai conclu ne peut avoir été causée par le ruissellement des précipitations et de l'eau. Le truc, c'est le sphinx est assis sur le bord du désert du Sahara et la région a été très aride pour les 5000 dernières années. En outre, diverses structures solidement en date de l'Ancien Empire montrent seulement que l'érosion a été causée par le vent et le sable (très distincte de l'érosion de l'eau). Pour faire une histoire courte, je suis venu à la conclusion que les plus anciennes parties du grand Sphinx, ce que j'appelle le noyau du corps, doit remonter à une période antérieure (au moins 5000 ans avant JC, et peut-être dès 7000 ou 9000 BC), une époque où le climat était très différent et inclus plus de pluie.robert5.jpg

Beaucoup de gens m'ont dit que le Grand Sphinx ne peut pas être si vieux, en partie parce que la tête est clairement un chef dynastique égyptienne et la période dynastique n'a pas commencé que vers 3000 avant J.-C. En fait, si vous regardez l'actuel Grand Sphinx, vous pouvez avis que la tête est effectivement trop petite pour le corps. Il est clair pour moi que l'actuel chef n'est pas le chef d'origine. Le chef d'origine a été fortement altéré et érodé. Il a ensuite été redécoupé, pendant les périodes dynastiques, ainsi que dans la sculpture c'est naturellement qu'il est devenu plus petit. Ainsi, la tête du grand Sphinx n'est pas le chef d'origine. En fait, le Sphinx peut ne pas avoir été à l'origine d'un sphinx à tous. Peut-être que c'était un lion mâle.

robert3.jpg

Pour tester la théorie d'un ancien Sphinx, nous avons réalisé des études sismiques autour de la base de la statue de mesurer la profondeur de la subsurface de l'altération. Fondamentalement, nous avons utilisé un marteau sur une plaque d'acier à générer des ondes sonores qui ont pénétré la roche, réfléchie, et revint à la surface. Cela nous a donné des informations sur les qualités du sous-sol de la roche calcaire. Lorsque j'ai analysé les données, j'ai trouvé que la profondeur extraordinaire de subsurface intempéries appuyé ma conclusion que le noyau du corps du Sphinx doit remonter à 5000 ans avant JC ou plus tôt.robert4.jpg

Au cours des études sismiques nous avons également découvert des preuves claires d'une cavité ou une chambre sous la patte gauche du Sphinx. Pour ce qu'elle vaut, certains l'ont suggéré pour moi que ce peut être un "Hall of Records" (à l'époque je n'étais pas au courant des prévisions d'Edgar Cayce le long de ces lignes).En outre, nous avons trouvé moins certains (et précédemment connue) des cavités sous et autour du Sphinx, et les données indiquent également qu'il pourrait y avoir une caractéristique en forme de tunnel sur toute la longueur du corps. Un article publié sur notre travail sismique autour du Sphinx est disponible via le lien ci-dessous.

Retour au début des années 1990, lorsque j'ai suggéré que le Grand Sphinx était beaucoup plus âgé ne le croit généralement à l'époque, j'ai été interpellée par les égyptologues qui ont demandé, «Où est la preuve de cette civilisation plus tôt?" qui aurait construit le Sphinx. Ils étaient sûrs que la culture sophistiquée, ce que nous appelons la civilisation, n'existait pas avant environ 3000 ou 4000 avant JC Aujourd'hui, cependant, il existe des preuves claires de la haute culture datant de plus de 10.000 ans, sur un site en Turquie connu sous le nom Göbekli Tepe .robert6.jpg

A été le grand sphinx entouré d'un fossé?

Selon Robert Temple, une théorie fossé explique l'eau altération du Sphinx sans l'hypothèse qu'il remonte à une période antérieure de plus de précipitations que le présent. Je ne vais pas répondre à ses autres hypothèses, que je ne trouve pas convaincante, que le Sphinx a été le chacal [sauvages chien] Anubis et le visage apparaît sur le Sphinx est celle du pharaon Amenemhat l'Empire du Milieu II, bien que je note l'original Sphinx a été remaniée et le re-tête sculptée.

Bien que récemment en Egypte (Mars 2009) J'ai regardé le Grand Sphinx avec un regard neuf. Je vais résumer en une demi-douzaine de points.

1) Le Temple Sphinx (construit à partir de blocs retiré de l'enceinte Sphinx lorsque le corps du Sphinx était initialement sculpté) et la Vallée des Temples à l'exposition sud de fortes précipitations provoquées par l'altération de leurs blocs de base. Ces temples de calcaire ont ensuite été remis à neuf avec des parements de granit d'Assouan durant l'Ancien Empire. La théorie de douves ne peut pas expliquer la nature de la très ancienne intempéries vu sous le vernis vieux granit Royaume.

2) l'érosion de surface se produit beaucoup plus lourd à l'extrémité ouest de l'enceinte Sphinx, diminuant considérablement vers la fin de l'Est. Cela est dû à des pluies anciennes et la paléohydrologie de la zone. Cette érosion n'est pas compatible avec des flaques d'eau dans l'enceinte.

3) Les plus hauts niveaux des strates membre intermédiaire, vu dans le boîtier Sphinx à l'extrémité ouest, sont les plus sévèrement érodés, comme prévu de la pluie. Si la théorie fossé était vrai, alors les couches inférieures à l'extrémité orientale de l'enceinte Sphinx serait plus fortement érodées (causée par l'eau étant apporté par les canaux du Nil), mais l'inverse est observée.robert7.jpg

4) Les données sismiques démontrer la profondeur de l'altération en dessous du plancher de l'enceinte Sphinx, d'après mon analyse (calibré de façon très conservatrice), donne un âge minimum d'au moins 7000 ans pour le corps de base du Sphinx. L'eau stagnante dans le boîtier Sphinx ne serait pas d'accélérer la profondeur de l'altération en dessous du plancher de l'enceinte.

5) Les fissures verticales observées dans les parois de l'enceinte Sphinx montrer des signes de diagnostic d'avoir été formé par le ruissellement des précipitations et de l'eau. Ils ne présentent pas de caractéristiques qui sont de diagnostic ou même suggestive d'avoir été formé par dragage artificielle du boîtier Sphinx, comme Robert Temple suggère.robert8.jpg

6) En supposant que l'argument selon lequel le Sphinx assis dans une piscine, soit le niveau d'eau autour du Sphinx était la même que celle de la nappe phréatique environnante, ou sur les murs et le sol de la piscine ont été scellées et étanches à l'eau (et les murs artificiels, comme à l'extrémité orientale, étaient assez forts pour résister à la pression de l'eau). (Notez que l'ouest de l'extrémité actuelle de la Clôture Sphinx est à une altitude plus élevée que beaucoup l'extrémité orientale [voir la figure à la page 534 de Le Mystère Sphinx par Robert Temple Temple avec Olivia, Inner Traditions, 2009], mais l'érosion de l'eau claire est montre en altitude à l'extrémité ouest. Comme l'eau cherche son propre niveau, si l'eau dans un fossé supposé atteint à la hauteur de l'extrémité ouest de l'enceinte Sphinx, puis l'extrémité orientale ainsi que les murs le long du nord et du côté sud doit avoir été construite sur une hauteur comparable à celle de l'extrémité ouest. Ceci est indépendant de savoir si ou non le mur oriental de l'enceinte [= mur occidental du Temple du Sphinx] a une base de roches naturelles ou a été entièrement composé de coupe et placé en pierre.) Nous savons que la nappe phréatique antique était bien en dessous du niveau du plancher de l'enclos Sphinx (ou encore le Temple Sphinx aurait été inondée). Le boîtier Sphinx, si simplement taillés dans la roche (comme tout le porte à croire) n'aurait pas eu lieu un grand bassin d'eau stagnante. Le socle rocheux dans l'enceinte est extrêmement faillé, et caractérisé par une morphologie karstique qui est une véritable passoire. L'enceinte devrait être entièrement scellé (avec du mortier ou de ciment, peut-être), et il n'existe aucune preuve d'une telle étanchéité. Si l'enceinte a été scellée dans une telle manière, ce ne serait pas compatible avec la théorie de dragage pour les fissures verticales. En outre, les chambres et les tunnels sous le Sphinx aurait été inondée par le haut si le Sphinx avait été assis dans une flaque d'eau, à moins que le boîtier Sphinx ait été étanche.

 

Le Mystère du Sphinx (DVD):Robert12.jpg

Le Mystère du Sphinx est une version DVD de la NBC a remporté un Emmy documentaire qui a été diffusée en 1993. 


 

Biographie de Robert Schoch

 

Robert11.jpg 

 

Dr. Robert M. Schoch, un membre du corps professoral à temps plein au Collège d'études générales à l'Université de Boston depuis 1984, a obtenu son doctorat (1983) en géologie et de géophysique à l'Université Yale. Il détient également une maîtrise en philosophie et M. MS.en géologie et géophysique de l'Université Yale, ainsi que des diplômes en anthropologie (BA) et de la Géologie (BS) de l'Université George Washington. M. Schoch est également membre du Conseil consultatif, Ananda Collège des conditions de vie Sagesse.

Dr Schoch a été abondamment cité dans les médias pour ses recherches pionnières de la refonte de la date du grand Sphinx de l'Egypte au moyen d'analyses géologiques, ainsi que pour son travail sur les cultures anciennes et des monuments dans des pays aussi divers que le Pérou, la Bosnie, et le Japon. Les recherches du Dr Schoch a contribué à stimuler un regain d'attention aux interactions entre les phénomènes géologiques et astronomiques, les catastrophes naturelles, et l'histoire des débuts de la civilisation. M. Schoch est apparu sur de nombreuses émissions radio et des émissions de télévision et est aussi dans le documentaire a remporté un Emmy Le Mystère du Sphinx, qui a été diffusée sur NBC. Il a été conférencier invité à de nombreuses conférences nationales et internationales.

M. Schoch est l'auteur ou le coauteur de deux livres de vulgarisation et de techniques, y compris la trilogie avec RA McNally: Voices of the Rocks: regards d'un chercheur à Catastrophes et les civilisations anciennes (1999), Voyages des bâtisseurs de pyramides: les vraies origines de la Pyramides d'Egypte antique Lost Amérique(2003), et Pyramid Quest: Secrets de la Grande Pyramide et l'aube de la civilisation (2005). Une publication d'un livre récemment par M. Schoch est La Révolution Parapsychologie: A Concise Anthologie de Paranormal et la Recherche Psychique (compilation, et une centaine de pages de commentaires, par M. Robert Schoch et Logan Yonavjak; 2008). Dr Schoch œuvres ont été traduites dans de nombreuses langues et distribué dans le monde entier. Il est également le coauteur d'un manuel de sciences de l'environnement utilisés dans les universités à travers les États-Unis. Il a contribué à de nombreux magazines, revues et commentaires sur la géologie, la parapsychologie, et les anciennes civilisations.

 

Site offciel : robertschoch.com



Les grandes firmes minimisent de 2 à 1 500 fois la toxicité de leurs pesticides

jeudi 18 septembre 2014 à 09:52
Les grandes firmes minimisent de 2 à 1 500 fois la toxicité de leurs pesticides

Manque de prise de conscience des risques

Les grandes firmes minimisent de 2 à 1 500 fois la toxicité de leurs pesticides

 

 

Depuis que les études sur les pesticides sont indépendantes (2011), les résultats deviennent éclairants. Le réseau d'action européen contre les pesticides met en garde contre le manque de prise de conscience des risques. 

Pendant des décennies, les études de toxicité ont été financées par les industriels eux-mêmes mais depuis 2011, les demandes d'homologation de pesticides doivent comprendre toutes les études universitaires publiées sur les molécules utilisées. L'enquête de Pan Europe en a trouvé très peu dans les dossiers des industriels : 23 % seulement sur les pesticides autorisés à la vente. La majorité des homologations se basent uniquement sur les recherches des firmes. D'après François Veillerette, président deGénérations futures, un site sur les dangers des pesticides, elles minimisent la toxicité des produits :

« Dans les études universitaires on trouve des effets négatifs sur les animaux de laboratoire à des niveaux de 2 à 1500 fois inférieurs par rapport aux études des firmes. Ca veut dire qu'on sous-estime de 2 à 1 500 fois la toxicité des pesticides mis sur le marché. Donc, derrière, il y a une question de santé publique. On se permet de maintenir sur le marché des produits qui sont dangereux. »

Le réseau souhaite que les tests de toxicité soient confiés à la recherche universitaire, plus indépendante des enjeux économiques de l'industrie. 

 

France Inter

Comment l'Europe empoisonne sa propre population

jeudi 18 septembre 2014 à 09:10
Comment l'Europe empoisonne sa propre population

Depuis la révolution industrielle au 19ème siècle, qu'a-t-on fait de tous les déchets toxiques

Comment l'Europe empoisonne sa propre population

 

Par Monsieur Pougala

 

Il existe une histoire terriblement triste qu'on a cachée à des générations d'Européens. Ils sont donc nés, ont grandi et sont morts restant complètement idiots, ignares de tout ce qui les entourait. Ils sont morts idiots car ils n'ont jamais pu se poser une question qui pourtant était tellement élémentaire : Depuis la révolution industrielle au 19ème siècle, qu'a-t-on fait de tous les déchets toxiques résultats des erreurs et tâtonnements du début de l'industrialisation ? 

L'Europe, une vraie poubelle radioactive 

La vérité tenue secrète est que l'Europe, toute l'Europe est une sorte de poubelle radioactive. En Europe s'est passé quelque chose de très préoccupant. C'est que chaque pays cherchant à faire le malin a en toute confidentialité enfoui ses déchets radioactifs chez le voisin. Et ce voisin, ignare de ce que l'autre était venu enterré chez lui, est aussi allé enterrer ses propres déchets chez un autre voisin encore. Des années ont passé. Et la facture se présente très lourde à supporter et se traduit en prolifération des cancers dans toute l'Europe. 

Nous sommes en 1949, le Royaume-Uni, va débuter une activité nocturne légèrement suspecte aux larges des côtes françaises : immerger ses déchets radioactifs dans la mer, à 15 km seulement des côtes françaises du Cap de La Hague. Cette activité va durer 17 longues années avant que la France ne le découvre et y mette fin. 

Au même moment, dans les années 60, la France allait aux larges des côtes espagnoles enfouir ses propres déchets dans l'Océan Atlantique. Elle reconnait avoir ainsi enterré 14 000 tonnes de déchets radioactifs en mer. 

En 1967, accompagnée de 4 complices : l'Allemagne, la Belgique, le Royaume-Uni et les Pays-Bas, la France va immerger 36 000 fûts contenant 11 000 tonnes de déchets radioactifs aux larges des côtes espagnoles de la Galice. 

Elle va récidiver en 1969, cette fois-ci avec une nouvelle bande de complices : l'Italie, la Suède et la Suisse vont venir s'ajouter à l'ancienne bande de la Belgique et du Royaume-Uni pour l'immersion de 9 000 tonnes de déchets radioactifs en mer. Cette fois-ci, on le fait aux larges des côtes françaises de la Bretagne. De toutes façons, les Bretons sont un peuple à part, un peu rebelle qui ne se sent pas très français ; il peut donc être sacrifié. Encore aujourd'hui en 2014, il n'existe aucune station de péage sur les autoroutes bretonnes, parce qu'ils n'en veulent pas et donc, chez eux toutes les autoroutes sont gratuites. Et en 1969, ce peuple breton n'est pas au courant et ne peut donc pas réagir et se rebeller. 

Tout cela a été interdit en 1983, avec la Convention de Londres. Conséquence, tous les pays européens ne savent plus quoi faire de leurs déchets qu'ils continuent à produire. C'est un peu le sauve-qui-peut avec pour conséquence naturelle l'augmentation exponentielle du nombre de décès dus à des cancers. 

Mais en 1996, l'association écologique italienne Legambiente a tenu une conférence pour dire qu'une entreprise britannique dénommée ODM (Oceanic Disposal Managemnt)proposait ses services pour contourner l'interdiction de la Convention de Londres. Elle justifiait ses services en disant que la convention de Londres interdisait de ne pas enfouir les déchets radioactifs dans les mers et les océans alors qu'elle les enfouissait plutôt sous la mer. Et pendant 20 ans tous les États européens se sont cachés derrière cette nuance pour continuer à enterrer des bateaux entiers pleins de déchets. C'est ce qui explique que la plupart des poissons pêchés aux larges des côtes européennes sont radioactifs. 

C'était en tout cas la technique la plus utilisée par tous les Européens pendant plusieurs décennies, une vraie politique de l'autruche : enfouir la tête dans le sable pour ne pas affronter le problème en face. Et cela consistait tout simplement à prendre un vieux bateau destiné à la casse, le remplir de déchets radioactifs ou toxiques et aller le faire couler aux larges des côtes européennes. Ainsi, pratiquement toutes les cotes européennes de la Méditerranée et de l'océan Atlantique, mais aussi de la Manche sont pleins d'épaves de bateaux contenant des déchets toxiques. De temps en temps, quelques déchets remontent à la surface ou sont tout simplement découverts par les pécheurs. Dans toute l'Europe c'est une véritable catastrophe nucléaire avec une montée vertigineuse des cas de cancer de tout genre. 

Lire la suite 
Source