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Terrorisme d'État : 42 exemples d'attaques sous fausse bannière admises par leurs auteurs

mardi 17 février 2015 à 14:25
Terrorisme d'État : 42 exemples d'attaques sous fausse bannière admises par leurs auteurs

Cette liste est loin d'être exhaustive. Elle ne représente que quelques exemples d'attaques qui sont aujourd'hui documentées comme étant sous fausse bannière. La liste réelle serait bien trop longue tant cette "culture du false flag" est solidement ancrée dans nos gouvernements "démocratiques". Voilà pourquoi chaque attentat terroriste fortement médiatisé en Europe de nos jours a tendance à être soupçonné d'être un attentat sous faux drapeau: l'histoire nous montre que nos soupçons sont fondés. 

Cet article n'aborde pas les attentats en France mais nous aurions tort de penser que notre gouvernement est blanc comme neige. Cette pratique, quoique fortement popularisée par les américains, est comme nous allons le voir, extrêmement répandue dans les gouvernements de par le monde. Il s'agit tantôt d'attaques réelles de terroristes soutenus par des états, tantôt des attaques réalisées par des services de renseignements, parfois des attaques simulées que l'on nous vend comme réelles. En gros, nos gouvernements considèrent que tout leur est permis tant que cela permet d'entretenir la peur dans la population et faire avancer leur agenda politique. Fawkes. 

Les gouvernements du monde entier admettent qu'ils organisent des false flags 

Il existe de nombreuses attaques sous fausse bannière documentées, où un gouvernement procède à une attaque terroriste ...puis accuse faussement son ennemi à des fins politiques. 

Dans les 42 cas suivants, les fonctionnaires du gouvernement qui ont effectué l'attaque (ou sérieusement proposé une attaque) l'ont admis, que ce soit oralement ou par écrit : 

- (1) Les troupes japonaises ont déclenché une petite explosion sur une voie ferrée en 1931, et l'ont faussement attribué à la Chine pour justifier une invasion de la Mandchourie. Ceci est connu comme l"«
 Incident de Mukden » ou le « Manchurian incident ». Le Tribunal militaire international de Tokyo a statué que: "Plusieurs des participants dans le plan, y compris Hashimoto [un officier de l'armée japonaise de haut rang], ont à plusieurs reprises reconnu leur rôle dans l'intrigue et ont déclaré que l'objet de l'« incident » était de donner une excuse pour l'occupation de la Mandchourie par l'armée japonaise du Guandong .... "(voir également). 

- (2) Un major nazi a 
admis au procès de Nuremberg que, sous les ordres du chef de la Gestapo, lui et quelques autres agents nazis ont organisé des attaques sur leurs propre peuple et installations, attaques qui étaient attribuées aux Polonais pour justifier l'invasion de la Pologne. 

- (3) Le général nazi Franz Halder a également témoigné au procès de Nuremberg que le dirigeant nazi Hermann 
Goering avait admis avoir mis le feu au bâtiment du parlement allemand en 1933, puis avoir blâmé faussement les communistes pour l'incendie criminel. 

- (4) Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev 
a admis par écrit que l'Armée rouge de l'Union soviétique a bombardé le village russe de Mainila en 1939 - tout en blâmant l'attaque sur la Finlande - afin de lancer la « guerre d'hiver » contre la Finlande. Le Président russe Boris Eltsine a reconnu que la Russie avait été l'agresseur dans la guerre d'Hiver. 

- (5) Le Parlement russe, l'actuel président russe Vladimir Poutine et l'ancien dirigeant soviétique Gorbatchev 
admettent tous que le dirigeant soviétique Joseph Staline ordonna a sa police secrète d'exécuter 22 000 officiers et civils de l'armée polonaise en 1940, tout en blâmant faussement les nazis. 

- (6) Le gouvernement britannique 
admet qu'entre 1946 et 1948, il a bombardé cinq navires transportant des Juifs qui tentaient de fuir l'Holocauste en quête de sécurité en Palestine, mit en place un faux groupe appelé les "défenseurs de la Palestine arabe", puis ce pseudo groupe revendiqua à tort la responsabilité des attentats (voir ceciceci et cela). 

- (7) Israël 
admet qu'en 1954, une cellule terroriste israélienne opérant en Egypte a posé des bombes dans plusieurs bâtiments, y compris des installations diplomatiques américaines, puis a a laissé des « preuves » impliquant des Arabes comme étant les coupables (une des bombes a explosé prématurément, permettant aux Égyptiens d'identifier les responsables, et plusieurs des Israéliens avouèrent ultérieurement) (et voir ceci et cela). 

- (8) La CIA 
admet qu'il ont embauché des Iraniens dans les années 50 afin qu'ils se présentent comme des communistes et organisent des attentats à la bombe en Iran dans le but que le pays se révolte contre son premier ministre démocratiquement élu. 

- (9) Le Premier ministre turc 
a admis que le gouvernement turc a réalisé l'attentat de 1955 sur un consulat de Turquie en Grèce, endommageant aussi le berceau du fondateur de la Turquie moderne à proximité - et blâmant la Grèce, dans le but d'inciter et de justifier la violence contre les grecs. 

- (10) Le Premier ministre britannique 
a admis à son secrétaire à la défense que lui et le président américain Dwight Eisenhower avaient approuvé un plan en 1957 pour mener des attaques en Syrie et en rejeter la faute sur le gouvernement syrien comme un moyen pour effectuer un changement de régime. 

- (11) L'ancien Premier ministre italien, un juge italien, et 
l'ancien chef du contre-espionnage italien admettent que l'OTAN, avec l'aide du Pentagone et de la CIA, ont réalisé des attentats terroristes en Italie et d'autres pays européens dans les années 1950 et ils accusèrent les communistes, afin de rallier le soutien des gens pour leurs gouvernements en Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme un participant à ce programme autrefois secret a déclaré: "Vous deviez attaquer des civils, des gens, des femmes, des enfants, des innocents, des personnes inconnues éloignées de tout jeu politique. La raison en est assez simple. Ils étaient censés forcer ces gens, le public italien, à se tourner vers l'État pour demander une plus grande sécurité "(et voir ceci) (l'Italie et d'autres pays européens soumis à la campagne de terreur avaient adhéré à l'OTAN avant que les attentats n'aient lieu). Et regarder ce documentaire de la BBC. Ils auraient également mené des attaques terroristes en France, Belgique, Danemark, Allemagne, Grèce, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Royaume-Uni et d'autres pays. 

- (12) En 1960, le sénateur américain George Smathers 
a suggéré que les Etats-Unis lancent "une fausse attaque sur la base de Guantanamo qui nous donnerait l'excuse de fomenter effectivement un combat qui nous donnerait une excuse pour y aller et [renverser Castro]" . 

- (13) Des documents officiels du Département d'état montrent qu'en 1961, le responsable du comité des chefs d'état-major interarmées et d'autres responsables de haut niveau 
ont proposé de faire exploser un consulat de la République dominicaine pour justifier une invasion de ce pays. Les plans n'ont pas été mis à exécution mais ils ont été discutés comme des propositions sérieuses. 

- (14) Comme cela fût admis par le gouvernement américain, des documents récemment déclassifiés montrent qu'en 1962, les chefs d'état-major interarmées américain ont signé un plan visant à faire exploser des avions américains (en utilisant un plan élaboré impliquant la commutation d'avions), et aussi de mettre en oeuvre des actes terroristes sur le sol américain, puis à blâmer les Cubains pour justifier une invasion de Cuba. Voir 
le rapport suivant d'ABC Newsles documents officiels; et cette entrevue avec l'ancien producteur d'investigation de Washington pour ABC World News Tonight avec Peter Jennings. 

- (15) En 1963, le département américain de la Défense a écrit un article sur 
la promotion d'attaques sur des nations au sein de l'Organisation des États américains - tels que Trinité-et-Tobago ou la Jamaïque afin de les imputer faussement à Cuba. 

- (16) Le ministère américain de la Défense a même 
suggéré de payer secrètement une personne dans le gouvernement de Castro pour attaquer les Etats-Unis: "La seule hypothèse restante à considérer serait alors de soudoyer un des commandants subordonnés de Castro afin qu'ils lancent une attaque sur Guantanamo." 

- (17) La NSA 
admet qu'elle a menti sur ce qui se s'est réellement passé dans le golfe du Tonkin en 1964 ... manipulant des données pour faire comme si des bateaux nord-vietnamiens avaient tiré sur un navire américain de manière à créer une fausse justification pour la guerre du Vietnam. 

- (18) Un comité du Congrès américain 
a admis que - dans le cadre de sa campagne "Cointelpro" - le FBI avait utilisé de nombreux provocateurs dans les années 1950 à 1970 pour perpétrer des actes violents et les attribuer faussement à des militants politiques. 

- (19) Un 
haut général turc a admis que les forces turques ont brûlé une mosquée à Chypre dans les années 70 et qu'ils ont attribué l'attaque sur leur ennemi. Il a expliqué: "Dans la guerre spéciale, certains actes de sabotage sont mis en scène et imputés à l'ennemi pour augmenter la résistance du public. Nous l'avons fait à Chypre; nous avons même brûlé une mosquée. "En réponse au regard incrédule du correspondant, le général a dit," je donne un exemple ". 

- (20) Le gouvernement allemand 
a admis (voir ceci) qu'en 1978, les services secrets allemands ont fait exploser une bombe dans la paroi extérieure d'une prison et donné des "outils d'évasion" à un détenu - un membre de la Faction de l'Armée Rouge - sur qui les services secrets souhaitaient attribuer l'attentat. 

- (21) Un agent du Mossad 
a admis qu' en 1984, le Mossad a posé un émetteur radio dans la concession de Kadhafi à Tripoli. La Libye a diffusé des fausses transmissions terroristes enregistrés par le Mossad, afin de faire passer Kadhafi pour un partisan du terrorisme. Ronald Reagan a bombardé la Libye immédiatement après. 

- (22) La Commission Sud-africaine de la vérité et de la réconciliation 
a constatéqu'en 1989, le Bureau de la coopération civile (une branche secrète des Forces de défense d'Afrique du Sud) a approché un expert en explosifs et lui a demandé "de participer à une opération visant à discréditer l'ANC [le Congrès national africain] en bombardant le véhicule de police de l'enquêteur de l'assassinat", désignant l'ANC comme responsable de l'attentat. 

- (23) Un diplomate algérien et plusieurs officiers de l'armée algérienne 
ont admisque, dans les années 90, l'armée algérienne a souvent massacré des civils algériens puis blâmé des militants islamistes des meurtres (voir cette vidéo, et l'Agence France-Presse, 27/09/2002, la Cour française Rejette le procès algérien en diffamation contre un auteur). 

- (24) Une équipe d'investigation indonésienne a enquêté sur de violentes émeutes qui ont eu lieu en 1998, et a déterminé que 
"des éléments de l'armée avaient été impliqués dans les émeutes, dont certaines ont été délibérément provoquées"

- (25) Des officiers supérieurs militaires et de renseignement russes 
ont admis que le KGB a fait sauter des immeubles d'habitation russes en 1999 et ont faussement blâmé les Tchétchènes, afin de justifier une invasion de la Tchétchénie (voir ce rapport et cette discussion). 

- (26) Selon le 
Washington Post, la police indonésienne a admis que l'armée indonésienne a tué des enseignants américains en Papouasie en 2002 et a blâmé les meurtres sur un groupe séparatiste papou afin d'obtenir que ce groupe soit considéré comme une organisation terroriste. 

- (27) L'ancien président respecté indonésien 
a admis également que le gouvernement avait probablement joué un rôle dans les attentats de Bali. 

- (28) Tel que rapporté par la 
BBC, le New York Times et Associated Press, les responsables macédoniens ont admis que le gouvernement a assassiné sept immigrés innocents de sang-froid et a prétendu qu'il s'agissait de soldats d'Al-Qaïda ayant tenté d'assassiner la police macédonienne, afin de rejoindre le "guerre contre le terrorisme ". 

- (29) Des hauts fonctionnaires de police à Gênes, Italie
 ont admis qu'en Juillet 2001, au sommet du G8 à Gênes, deux cocktails Molotov avaient été apportés et l'agression d'un agent de police simulée, afin de justifier une répression violentecontre les manifestants. 

- (30) Bien que le FBI admet maintenant que les attaques à l'anthrax de 2001 ont été effectuées par un ou plusieurs scientifiques du gouvernement des États-Unis, un haut responsable du FBI dit que le FBI 
a été sommé de blâmer les attaques à l'anthrax sur Al-Qaïda par des fonctionnaires de la Maison Blanche (rappelez-vousà quoi ressemblaient les lettres à l'anthrax). Les représentants du gouvernement confirment également que la Maison Blanche a essayé de relier l'anthrax à l'Irakpour justifier un changement de régime dans ce pays. 

- (31) De même, les États-Unis ont 
faussement blâmé l'Irak comme ayant joué un rôle dans les attaques du 11 Septembre, comme le montre une note du secrétaire à la défense, ce qui fût l'une des principales raisons pour démarrer la guerre en Irak. Même après que la Commission du 11 Septembre ait admis qu'il n'y avait pas de lien, Dick Cheney a déclaré que la preuve est « accablante » qu'Al-Qaïda avait une relation avec le régime de Saddam Hussein, que Cheney avait "probablement" des informations indisponibles pour la Commission, et que le les médias ne « faisaient pas leurs devoirs » en ne communiquant pas sur ces liens. Des hauts représentants du gouvernement des États-Unis admettent aujourd'hui que la guerre en Irak a été vraiment lancée pour le pétrole ... pas le 11 Septembre ou des armes de destruction massive (malgré les affirmations précédentes de « loup solitaire », de nombreux responsables gouvernementaux américains disentmaintenant que le 11 Septembre était du terrorisme d'État; mais l'Irak n'tait pas l'Etat qui a soutenu les pirates de l'air). 

- (32) L'ancien avocat du ministère de la Justice John Yoo 
a suggéré en 2005 que les États-Unis devraient passer à l'offensive contre al-Qaïda, en "faisant en sorte que nos agences de renseignement créer une fausse organisation terroriste. Elle pourrait avoir ses propres sites Web, des centres de recrutement, des camps d'entraînement et des opérations de collecte de fonds. Elle pourrait lancer de fausses opérations terroristes et revendiquer de véritables attaques terroristes, en aidant à semer la confusion dans les rangs d'al-Qaïda, semant le doute aux seins des agents et questionnant la validité des communications. " 

- (33) United Press International 
a rapporté en Juin 2005 : Des Officiers de renseignement américains rapportent que certains des insurgés en Irak utilisent des modèles récents de pistolets Beretta 92 , mais les pistolets semblent avoir eu leurs numéros de série effacés. Les chiffres ne semblent pas avoir été retiré physiquement; les pistolets semblent provenir d'une ligne de production sans numéros de série. Les analystes suggèrent que l'absence de numéros de série indique que les armes étaient destinées à des opérations de renseignement ou à des cellules terroristes avec le soutien substantiel du gouvernement. Les analystes pensent que ces armes sont probablement soit du Mossad soit de la CIA. Les analystes pensent que des agents provocateurs peuvent utiliser les armes intraçables alors même que les autorités américaines utilisent des attaques d'insurgés contre des civils comme des preuves de l'illégitimité de la résistance. 

- (34) Des soldats israéliens sous couverture 
ont admis en 2005 avoir lancé des pierres sur d'autres soldats israéliens afin qu'ils puissent rejeter le blâme sur les Palestiniens, comme une excuse pour réprimer des manifestations pacifiques des Palestiniens. 

- (35) La Sûreté du Québec 
a admis qu'en 2007, des voyous apportant des pierres à une manifestation pacifique étaient en fait des policiers en civil du Québec (etvoir ceci). 

- (36) Lors des protestations du G20 à Londres en 2009, un membre du parlement britannique
 a vu des agents de police en civil qui tentaient d'inciter la foule à faire usage de la violence. 

- (37) Des politiciens égyptiens
 ont admis (voir ceci) que des employés du gouvernement ont pillé des objets de musée inestimables en 2011 pour tenter de discréditer les manifestants. 

- (38) Un colonel de l'armée colombienne 
a admis que son unité a assassiné 57 civils, puis les a vêtus d'uniformes et a affirmé qu'ils étaient des rebelles tués au combat. 

- (39) L'écrivain très respecté du Telegraph Ambrose Evans-Pritchard dit que le chef du renseignement saoudien - le prince Bandar - a 
récemment admis que le gouvernement saoudien contrôle les"terroristes tchétchènes". 

- (40) Des sources américaines de haut niveau 
ont admis que le gouvernement turc, membre de l'OTAN, a mené les attaques d'armes chimiques blâmé sur le gouvernement syrien; et des membres de haut rang du gouvernement turc ont admis leurs plans de mener des attaques et les attribuer au gouvernement syrien. 

- (41) L'ancien chef de la sécurité ukrainienne 
admet que les attaques de tireurs embusqués qui ont marqué le commencement du coup d'état ukrainien ont été effectuées afin de blâmer d'autres personnes. 

- (42) L'agence d'espionnage de la Grande-Bretagne 
a admis (voir ceci) qu'elle effectue des attaques sous fausse bannière "numériques" sur des cibles, piégeant des gens en écrivant des textes offensant ou illégaux ... et rejetant la faute sur la cible.

 

Traduction : Fawkes News 

Washington blog

Ultimatum: L'Eurogroupe laisse une semaine à la Grèce pour accepter l'esclavagisme économique

mardi 17 février 2015 à 11:56
Ultimatum: L'Eurogroupe laisse une semaine à la Grèce pour accepter l'esclavagisme économique

Les ministres des Finances de la zone euro se sont quittés prématurément lundi soir, après le refus de la Grèce d'accepter les conditions fixées par ses partenaires européens pour poursuivre le programme d'assistance. La balle est maintenant dans le camp de la Grèce, selon Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe.

 

La balle est dans le camp de la Grèce, qui a une semaine pour accepter de demander une extension du programme actuel d'assistance et de réforme économique, a indiqué le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après l'échec prématuré de discussions à Bruxelles.

Les ministres des Finances de la zone euro se sont quittés prématurément lundi soir, après le refus de la Grèce d'accepter les conditions fixées par ses partenaires européens pour poursuivre le programme d'assistance. Le gouvernement d'Alexis Tsipras revendiquait un prêt-relais, destiné à lui donner du temps pour mettre en oeuvre ses promesses électorales. Ses créanciers européens étaient disposés à lui donner du temps, à la condition expresse que cette extension s'inscrive dans le cadre actuel de la politique de rigueur.

Depuis Athènes, en début de soirée, une source gouvernementale a rejeté la proposition européenne, jugée "absurde" et "inacceptable", estimant "qu'en ces circonstances il ne pourrait y avoir d'accord". L'Eurogroupe s'est terminé peu après.

Lors d'une conférence de presse, les dirigeants européens ont expliqué que la Grèce pouvait encore demander une extension, afin d'éviter un défaut de paiement aux conséquences potentiellement dramatiques. "Il n'y a pas d'alternative à la demande d'une extension du programme", a indiqué le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici. "Les règles doivent être respectées".

"Une telle extension permettrait à la Grèce d'utiliser la flexibilité existante", a expliqué M. Dijsselboem. D'après lui, les Européens étaient disposés à négocier, à condition que la Grèce s's'abstienne de prendre des mesures unilatérales, qu'elle respecte ses engagements vis-à-vis des créanciers et que toute mesure soit financée.

"J'ai le sentiment très fort que le prochain geste doit venir des autorités grecques", a-t-il enchaîné, ajoutant que le temps est limité. "Nous avons cette semaine, mais c'est à peu près tout", a-t-il dit, évoquant un possible nouvel Eurogroupe vendredi.

Le ministre belge des Finances, Johan Van Overtveldt (N-VA), a abondé dans ce sens. "Il y a des possibilités de parvenir à un accord, mais il est clair que la Grèce doit faire un pas en direction de la zone euro", a-t-il déclaré. D'après lui, il existe entre les pays partageant la monnaie unique "un large consensus que c'est la seule manière d'enregistrer des progrès".

"Nous ne demanderons pas d'extension" du plan d'aide, assure le ministre de la Défense

"Nous ne demanderons pas d'extension" du plan d'aide de l'UE, a assuré lundi sur son compte Twitter, en réponse à l'ultimatum de la zone euro, le ministre grec de la Défense et dirigeant du parti des Grecs indépendants membre de la coalition gouvernementale avec la gauche radicale Syriza.

"Nous ne demanderons aucune extension, nous avons un mandat du peuple pour aller jusqu'au bout. Les Grecs tous ensemble disent non. On ne nous fera pas de chantage", écrit Panos Kammenos, dans la première réaction, semble-t-il, d'un membre du gouvernement après la réunion avortée de Bruxelles, lundi soir.

Les 19 ministres des finances de la zone euro étaient réunis à Bruxelles pour essayer de trouver un compromis, alors que le 28 février le plan de sauvetage accordé à Athènes arrive à échéance. Le nouveau gouvernement de gauche radicale refuse toute prolongation de celui-ci.

"Mener à bien le plan de sauvetage ne faisait pas partie des propositions du sommet" des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE jeudi dernier à Bruxelles, "ceux qui l'ont remis sur la table perdent leur temps", a fait savoir la source gouvernementale.

Après ces déclarations, l'euro qui évoluait autour de l'équilibre pendant pratiquement toute la séance est reparti à la baisse. Vers 17H25, il est tombé à 1,1356 dollar alors qu'il évoluait auparavant autour de 1,1400 dollar.

 

Source

Les analystes américains ont révélé le grand mensonge d’Obama sur l’examen de l’envoi d’armes en Ukraine

mardi 17 février 2015 à 11:51
Les analystes américains ont révélé le grand mensonge d’Obama sur l’examen de l’envoi d’armes en Ukraine
Stephen Landman, associé de recherche du centre de la recherche sur la mondialisation a affirmé que depuis le début des affrontements, en Ukraine, Washington envoie des armes offensives à Kiev.

Depuis le  déclenchement d’affrontement, dans l’Est de l’Ukraine, opposant l’armée aux séparatistes pro-russes l’administration d’Obama  a envoyé des armes à Kiev, a-t-on  appris de Farsnews citant  Stephen Landman.

« Il y a un autre mensonge « ces armes sont défensives ». Les médias aux Etats-Unis  tiennent la Russie et les séparatistes pour responsables. Les rapports sur l’Ukraine des médias américains sont dépourvus de toute réalité. Ils sont de fond en comble remplis de mensonge », a souligné, Stephen Landman.

Presse TV

Lu ici

Un général français dénonce la manipulation dans l’affaire des attentats de Paris

mardi 17 février 2015 à 11:48
Un général français dénonce la manipulation dans l’affaire des attentats de Paris

Dans une lettre adressée à un officier musulman, le général français Henri Poncet s’élève contre les opérations de manipulation des émotions suscitées par les attentats contre le journal satirique Charlie Hebdo. Publiée par un site web, la lettre de cet officier supérieur confirme tout ce qui se dit sur la grosse machine propagandiste antimusulmans et anti-immigration qui s’est mise en branle depuis ces attentats meurtriers.

Rentrant des États-Unis quelques jours après les actions terroristes qui ont frappé la France, le général Poncet se joint ainsi à ces voix dissonantes qui dénoncent l’hypocrisie d’une classe politique en panne d’idées. « Je comprends ton malaise, car je me rappelle ton regard inquiet alors que, jeune sous-officier, tu venais d’être affecté à mon état-major et que, dans le cadre du petit tour que j’aimais faire régulièrement, j’étais entré à l’improviste dans ton bureau. Tu avais tout de suite vu que j’avais remarqué ton tapis de prière plié dans un coin. ‘Pratiquant ?’ t’avais-je demandé. Tu m’avais répondu par l’affirmative et j’avais vu ton soulagement quand j’avais ajouté : ‘Soldat français et musulman, pas de problème’ », a souligné cet officier supérieur de l’armée française.

Il poursuit dans sa lettre au capitaine Djamel : « Tu me dis également que tu t’es refusé de participer à un quelconque rassemblement. Je le comprends. L’élan émotionnel et spontané a été récupéré pour initier une opération de manipulation des foules qui a engendré ces manifestations de très grande ampleur. Je te rassure, si j’avais été en France, je m’en serais également abstenu ».

Cet ancien commandant des opérations spéciales ira plus loin en affirmant que « la liberté d’expression n’excuse pas tout et ne justifie en rien le droit à la caricature outrancière que j’assimile à l’insulte la plus méprisable ». Pour le général Henri Poncet, les caricatures de Charlie Hebdo ne sont donc pas de l’art. Elles ne cadrent pas non plus avec les valeurs républicaines ni avec le principe de la liberté d’expression et d’opinion. Il considère que la forte émotion suscitée par ces attentats a été utilisée par certains politiciens français au nom de la laïcité pour attiser leur haine du musulman.

« Gageons qu’avoir porté ces caricatures en valeur républicaine et en symbole de liberté, d’avoir voulu leur donner une caution nationale, va nous entraîner à chercher à marier la carpe et le lapin », avertit-il, rappelant ainsi ce qu’a écritAlbert Camus dans L’Homme révolté : « La liberté absolue raille la justice. La justice absolue nie la liberté. Pour être fécondes, les deux notions doivent trouver l’une dans l’autre leurs limites ».

Et toujours dans L’Homme révolté, il évoque cette limite en se référant aux Grecs et à « Némésis, déesse de la mesure, fatale aux démesurés ». Cet officier supérieur, révolté, estime que « c’est tout un pan de nos opérations psychologiques qui vient de s’écrouler. J’espère que nos autorités ne vont pas oublier que la liberté d’expression se décline aussi avec la responsabilité ». « Mais la classe politique, toutes catégories confondues, a voulu cacher son incurie et son incapacité à exercer les fonctions régaliennes de l’État depuis près de vingt ans », dénonce-t-il.

Il regrette qu’en se serrant les coudes, cette classe politique « ait joué à fond sur l’émotionnel pour ne pas se retrouver en position d’accusé par le peuple ». Il appelle ainsi le capitaine Djamel à ne pas baisser les yeux parce qu’il est musulman et à être fier de son armée. « De ton armée, Djamel, tu as le droit d’être fier, fier de toi-même, de tes frères d’armes. Tu peux regarder le drapeau de ton régiment sans baisser les yeux. Tu as droit au respect de tes concitoyens, de ton pays, de ton commandant en chef, parce que tu te bats pour la liberté, l’égalité et la fraternité », a conclu le général Henri Poncet.

Une lettre magistrale qui risque de soulever des vagues médiatiques dans l’Hexagone, plus particulièrement dans les milieux politico-médiatiques de Paris.

Rafik Meddour

Source : algeriepatriotique.com

Via http://www.cercledesvolontaires.fr/2015/02/16/un-general-francais-denonce-la-manipulation-dans-laffaire-des-attentats-de-paris-algerie-patriotique/

L’étrange arrivée de milliers de militaires américains au Koweït

mardi 17 février 2015 à 11:07
L’étrange arrivée de milliers de militaires américains au Koweït

Alors que les évolutions, en Irak, en Syrie et au Yémen ne cessent de retenir l’attention des opinions publiques, les sources d’information ont fait part de l’étrange arrivée de milliers de militaires américains, au Koweït.

Environ, 4.000 effectifs militaires US, dotés d’équipements militaires complets, dont des dizaines de chars et blindés, sont arrivés, vendredi, au Koweït. On est porté à croire que ces forces vont participer aux opérations contre le groupe Daesh, dans la région, notamment, en Irak. Avec l’arrivée, au Koweït, des nouveaux  militaires US, dont la plupart ont, déjà, participé à des missions, sur le sol irakien, ces forces constitueront la plus grande mission terrestre américaine, dans la région.

Les renforts américains, au Koweït, interviennent, quelques jours après que le Président américain, Barack Obama, avait remis au Congrès sa demande, pour obtenir l’autorisation de pouvoir utiliser le territoire koweïtien, dans le cadre de la lutte anti-Daesh, au Moyen-Orient. Dans le même temps, le commandement des forces américaines, dans la région, a annoncé, samedi, que 45 nouveaux effectifs venaient d’être envoyés, en Irak, pour y assurer la sécurité des lieux diplomatiques étatsuniens.

Ces renforts, d’ailleurs, étranges, s’effectuent, alors que les responsables irakiens, surtout, le président et le Premier ministre du pays, ont réitéré, plus d’une fois, n’avoir pas besoin de forces étrangères, pour combattre Daesh, sauf les aides logistiques ou en armement. A l’aide des peshmergas et des forces populaires, les forces irakiennes ont réussi, ces derniers mois, à libérer une grande partie des régions occupées par les terroristes, infligeant de lourds dégâts aux terroristes, que soutiennent certains Etats arabes ou occidentaux. Sur ce fond, certains experts estiment qu’à travers l’envoi limité des renforts militaires, en Irak, les Etats-Unis et leurs alliés régionaux cherchent à tirer profit, en quelque sorte, des nouvelles victoires de l’armée et du peuple irakiens, face aux terroristes.

En sous-évaluant les victoires des forces militaires et populaires irakiennes, face à Daesh, les Etats-Unis chercheraient, aussi, à entraver les efforts des irakiens, dans le cadre de la lutte contre ce groupe terroriste. Ce faisant, ils empêchent que les plans dangereux occidentaux, pour le peuple de ce pays et ceux de toute la région, soient révélés au monde ; or, le peuple et le gouvernement irakien ont réalisé que l’alliance internationale, dirigée par les Etats-Unis, n’est qu’une mascarade, dont l’objectif consiste à occuper, de nouveau, l’Irak.

http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/359340-l%E2%80%99%C3%A9trange-arriv%C3%A9e-de-milliers-de-militaires-am%C3%A9ricains-au-kowe%C3%AFt