PROJET AUTOBLOG


Wikistrike

Site original : Wikistrike

⇐ retour index

Bill Gates transforme les excréments en eau potable (vidéo)

mardi 6 janvier 2015 à 20:03
Il est dangereux pour l'humanité mais personne ne le voit ni le sait vraiment

Il est dangereux pour l'humanité mais personne ne le voit ni le sait vraiment

Certain changeait l'eau en vin. Bill Gates fait  plus fort. Cette découverte pourrait être déterminante pour les pays les plus pauvres de la planète.

Pendant que la planète geek s'affole au CES de Las Vegas, le salon du high-tech, Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, se penche plus tôt sur le recyclage d'excréments. 

L'homme le plus riche de la planète joue à l'alchimiste avec des  matières fécales ou des boues d'épuration pour les besoins de sa fondation, dont l'objectif est d'approvisionner et assainir les pays pauvres. D'où cette machine, baptisée l'Omniprocessor, qui transforme les boues d'épurations et les déjections humaines en eau potable, en électricité et en cendre. 

Le procédé, développé par les ingénieurs de la Fondation Gates, est limpide comme de l'eau de roche. Cette mini-usine brûle les excréments et récupère les vapeurs pour en faire de l'eau. L'installation s'autoalimente grâce à la combustion. L'électricité produite peut de la sorte être distribuée ou revendue à des collectivités. 

"Cela prendra peut-être des années avant que ce procédé soit utilisé mondialement. Mais j'ai été vraiment impressionné par l'ingénierie. L'usine ne se contente pas d'enlever les excréments humains de l'eau, elle transforme les excréments en un bien avec une véritable valeur pour le marché. C'est l'illustration ultime de cette vieille expression: les ordures d'un homme font le trésor d'un autre", a déclaré Bill Gates sur son 
blog et repris par Mashable.

Le co-fondateur de Microsoft l'assure. "L'eau a un goût identique à celle provenant d'une bouteille".

Les Mayas auraient bien été anéantis par des sécheresses

mardi 6 janvier 2015 à 19:59
Ci-dessus, une photographie aérienne du Grand Trou Bleu, un gouffre sous-marin situé près des côtes d'Amérique centrale, dans lequel des analyses sédimentaires ont été réalisées afin d'éclaircir les raisons de la disparition de la civilisation Maya. Crédits : U.S. Geological Survey (USGS)

Ci-dessus, une photographie aérienne du Grand Trou Bleu, un gouffre sous-marin situé près des côtes d'Amérique centrale, dans lequel des analyses sédimentaires ont été réalisées afin d'éclaircir les raisons de la disparition de la civilisation Maya. Crédits : U.S. Geological Survey (USGS)

L'hypothèse selon laquelle la disparition de la civilisation Maya a été causée par des vagues de sécheresse vient d'être pratiquement confirmée par des analyses sédimentaires menées dans un gouffre sous-marin. 

En analysant les sédiments situés dans le Grand Trou Bleu, un gouffre sous-marin situé au large de la monarchie du Belize (Amérique centrale), des chercheurs ont vraisemblablement réussi à confirmer la théorie qui prévalait jusqu'ici pour expliquer la disparition de la civilisation Maya, laquelle avance que des vagues de sècheresse sont à l'origine de la disparition de cette ancienne civilisation. 

Comment ces scientifiques ont-il procédé pour confirmer cette théorie ? Pour comprendre, il faut d'abord savoir que lorsque de fortes pluies s'abattent dans la région, les roches volcaniques sont pour ainsi dire « laver » du titane qu'elles contiennent, lequel se déverse alors dans le Grand Trou Bleu. 

Or, en analysant la composition chimique des sédiments situés à l'intérieur de ce gouffre sous-marin, les auteurs de ces travaux se sont aperçus que les pluies avaient été particulièrement peu importantes entre l'an 800 et 1100 de notre ère. Ce qui renforce donc considérablement l'hypothèse selon laquelle la sécheresse serait à l'origine du déclin des Mayas. Ces périodes de sécheresse auraient en effet entraîné d'importantes famines, provoquant la disparition de cette civilisation. 

Ce résultat a été présenté lors de la conférence annuelle de l'Union Américaine de Géophysique, qui se tenait du 15 au 19 décembre 2014 à San Francisco. Un résumé de ces travaux (en anglais) est disponible ici : 
"Centennial and Extreme Climate Variability in the Last 1500 Year from the Belize Central Shelf Lagoon (Central America): Successive Droughts and Floods Linked to the Demise of the Mayan Civilization"

 

Source

Une nouvelle étude ravive une hypothèse similaire à celle de Némésis comme cause des grandes extinctions

mardi 6 janvier 2015 à 19:57
Une nouvelle étude ravive une hypothèse similaire à celle de Némésis comme cause des grandes extinctions

Une étoile qui vient frôler notre système solaire, déclenchant une pluie de comètes sur la Terre ? Un tel scénario est loin d'être improbable, selon les estimations d'un astronome allemand. 

Imaginez la scène. Dans un futur indéterminé, une étoile surgit soudain du cosmos et vient frôler notre système solaire, à une distance de moins de trois années-lumière seulement. En raison des perturbations gravitationnelles provoquées par le passage cette étoile, quelques dizaines de milliers de comètes situées dans le 
nuage de Oort, cette zone sphérique entourant le système solaire et abritant plusieurs centaines de milliards de comètes, sont propulsées hors de ce dernier et filent vers l'intérieur du système solaire. Résultat : une pluie de comètes s'abat sur les différentes planètes du système solaire... dont la Terre. 

Pour étrange que puisse paraître ce scénario, il n'en serait pas moins possible, selon une nouvelle étude publiée par l'astronome allemand Coryn Bailer-Jones (Institut Max Planck d'astronomie, Allemagne), mise en ligne sur le serveur de prépublication ArXiv sous le titre 
"Close encounters of the stellar kind"

En effet, après avoir étudié la trajectoire de plus de 50 000 étoiles croisant dans notre galaxie à l'aide d'outils statistiques, l'astronome allemand a découvert que plus d'une cinquantaine d'entre elles seraient éventuellement susceptibles de venir frôler un jour notre système solaire. 

Plus précisément, Coryn Bailer-Jones a calculé que 42 étoiles, 14, et 4 étoiles pourraient respectivement venir dans l'avenir frôler le système solaire à des distances de 6,5 années-lumière, 3,25 années-lumière et 1,13 années-lumière. 

Parmi cette cinquantaine d'étoiles, celle qui pourrait venir frôler au plus près le système solaire est la naine rouge Hip 85605, actuellement située à 16 années-lumière du soleil. Selon les estimations de Coryn Bailer-Jones, cet évènement pourrait se produire d'ici 240 000 à 470 000 ans, et il verrait l'étoile Hip 85605 passer à une distance du système solaire comprise entre 0,13 et 0,65 années-lumière. D'après l'astronome allemand, la probabilité pour qu'un tel événement se produise est de l'ordre de 90 %. 

Dans 
un entretien accordé à la chaîne NBC News, le chercheur souligne toutefois le fait que, pour inquiétante que puisse paraître a priori une telle estimation, d'autres événements tout aussi redoutables sont à craindre à des échéances plus courtes, comme notamment la collision entre la Terre et un astéroïde géocroiseur.

 

Source JS

La crise s’est aggravée en 2014 : les 400 plus grandes fortunes mondiales ne se sont enrichies que de 92 milliards $

mardi 6 janvier 2015 à 16:40
La crise s’est aggravée en 2014 : les 400 plus grandes fortunes mondiales ne se sont enrichies que de 92 milliards $

Les 400 plus grandes fortunes du monde disposaient d’une fortune cumulée de 4100 milliards de dollars à la fin 2014, selon des données publiées par l’agence Bloomberg.

Cette fortune a augmenté de 2,3% en glissement annuel, soit 92 milliards de dollars.   Une hausse moins impressionnante qu’en 2013, lorsque les 300 personnes les plus riches avaient vu leur fortune croître de 500 milliards de dollars. Ce ralentissement s’explique essentiellement par les maigres performances des Bourses mondiales, notamment dans les pays émergents (Russie, Brésil…) ou en Europe. L’indice MSCI World n’a enregistré qu’une hausse de 4% cette année, contre +24% en 2013.

Bill Gates reste en tête du classement, avec une fortune estimée à 87,6 milliards de dollars (+9,1 milliards). Il devance Warren Buffett (+13,7 milliards à 74,5 milliards), qui a ravi la deuxième place au mexicain Carlos Slim, dont la richesse a fondu de 628 millions sur un an.

Les Américains trustent 10 des 15 plus grosses fortunes du monde, dont les deux premières avec Bill Gates et Warren Buffett, devant les deux frères industriels Charles et David Koch (plus de 100 milliards à eux deux), Larry Ellison (Oracle, 49,4 milliards) et la famille Walton, propriétaire du géant de la distribution Wall-Mart. Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, est devenu le 13ème homme le plus riche du monde, avec 35,3 milliards de dollars.

Le milliardaire chinois Jack Ma a vu sa fortune passer en un an de 3,6 à 28,7 milliards de dollars, lui permettant d’occuper le 22ème rang du classement Bloomberg. Cette montée en puissance de Jack Ma s’explique par l’introduction en Bourse de son groupe Alibaba, qui représente la  plus grosse IPO de l’histoire.

Un autre chinois, Wang Jialin, a vu sa fortune doubler à 25,3 milliards. A 60 ans, Wang Jialin est présent dans le mobilier commercial, le tourisme et la distribution et l’industrie des loisirs.

Au total,  cinq chinois figurent  parmi les 10 milliardaires ayant le plus augmenté leur fortune cette année. Selon Bloomberg, la richesse des 10 chinois les plus fortunés s’est accrue de 48 milliards de dollars en un an.

Sans surprise, les milliardaires russes ont globalement vu leurs fortunes fondre en raison notamment de la chute des prix du pétrole, le plongeon du rouble et les sanctions occidentales contre certains proches du Kremlin. Leonid Mikhelson (groupe gazier Novatek, -7,8 milliards), Alisher Ousmanov (Mettaloinvest, -6,5 milliards) ou encore Vladimir Lissine (-6,2 milliards) figurent parmi les plus touchés.

Par ailleurs, 86 nouvelles têtes ont gagné le titre de milliardaire, selon Bloomberg, sans entrer toutefois dans sa liste des 400, dont la barre d’entrée est située à 4 milliards.

Agence Ecofin

Russie: Des scientifiques déclarent que la région d'Oussinsk est devenue la zone de la pire catastrophe écologique du monde

mardi 6 janvier 2015 à 16:32
Russie: Des scientifiques déclarent que la région d'Oussinsk est devenue la zone de la pire catastrophe écologique du monde

Triste héritage de l'ancien empire soviétique: Les déversements d'hydrocarbures en Russie et en particulier dans la région d'Oussinsk dans la république des Komis sont moins spectaculaires que les catastrophes pétrolières habituellement médiatisées, comme celui du golfe du Mexique ou celui du delta du Niger ou encore ceux régulièrement signalés dans la mer du Nord, mais le goutte-à-goutte de brut en fuite généralisé depuis des décennies sur tout le réseau de pipelines de cette région nordique de la Russie  a fini par créer le pire désastre écologique pétrolier de notre planète. 

En effet c'est un bien triste visage qu'affiche le paysage de cette région russe; un réseau tentaculaire de pipelines en fuite et de zones d'extraction inhospitalières que les experts scientifiques du pays n'hésite pas a déclaré comme la zone de la pire catastrophe écologique du monde.

Les écologistes estiment qu'au moins 1 % de la production annuelle de pétrole de la Russie, soit 5 millions de tonnes de pétrole brut en fuite se déversent chaque année dans les écosystèmes de la région . 

Cela équivaut à la fuite d'un Deepwater Horizon tous les deux mois. 

La dégradation de toutes les infrastructures pétrolières et le climat rigoureux dans cette vaste zone d'extraction se sont combinés pour créer l'un des plus grand désastre écologique connu dans le Monde.

Le pétrole de la région suinte obstinément de partout, des canalisations rouillées, des pipelines dégradés et des vieux puits d'extraction. Il a déjà contaminé les sols pour des décennies, tué toutes les plantes des abords des infrastructures pétrolières, ainsi que tous les arbres alentours. Cette fuite constante et généralisée détruit et ronge petit à petit la nature, et avec le temps, inexorablement, tout les écosystèmes de la région. 

On estime même qu'environ un demi-million de tonnes de ces fuites se déversent chaque année dans les rivières de la région; Il faut rappeler que toutes ces rivières se jettent dans l'océan Arctique. Cette apport constant de pollution  bouleversent déjà l'équilibre délicat des régions côtières de l'Arctique Russe.

Toutes les fuites combinées de la région en font la plus vaste et la plus polluées des régions dans le monde, affirment les scientifiques, et en particulier le Dr Grigory Barenboim,chercheur principal à l'Académie russe de l'Institut des Sciences des problèmes de l'eau. 

Pas de chiffres précis sur l'ampleur des dégâts, mais Greenpeace estime qu'au moins 5 millions de tonnes fuient chaque année dans un pays produisant environ 500 million de tonnes par an. Le Dr Irina Ivshina, de l'Institut de l'Environnement et de la génétique des micro-organismes, institut financé par le gouvernement Russe, confirme cette estimation.

En 2010, Une rapport du Ministère des Ressources naturelles russe démontrait que 10 à 15 % des fuites de pétrole dans la république des Komis pénétraient dans les rivières, soit près de 500 000 tonnes de brut qui finissent par se déverser dans l'Arctique.Cette estimation est considérée comme très prudente: Le ministère russe du Développement économique a même signalé l'année dernière que ces déversements devraient plutôt être estimés à 20 millions de tonnes par an.

Ce chiffre abyssal semble être basé sur le fait que la plupart des petites fuites en Russie ne sont pas signalés. En effet selon la loi russe, les fuites de moins de 8 tonnes sont classés uniquement comme «incidents» et ne déclenchent aucune sanction judiciaire. Bien plus grave encore, la plupart des déversements d'hydrocarbures russes échappent à toutes détections, en effet la plupart d'entre eux se produisent dans les vastes étendues de la toundra dépeuplée, ces immenses forêts de conifères du nord du pays.

Appelé à commenter, le ministère des Ressources naturelles et le ministère de l'énergie ont confirmé qu'ils n'ont aucune données sur la quantité de brut en fuite dans les régions boisées.  

Même en ne prenant en compte que ce chiffre officiellement bas, la Russie reste de loin le pire pollueur pétrolier dans le monde.

Aujourd'hui les entreprises russes se déplacent vers l'Arctique pour tenter d'exploiter cet immense nouvel eldorado de l'or noir, mais là il reste difficile à extraire, et déclenche la crainte croissante des scientifiques du pays devant la possibilité d'une calamité environnementale potentielle.

Gazpromneft, filiale pétrolière du géant gazier Gazprom, se prépare aujourd'hui à forer en mer de Pechora dans l'Arctique, et nombreux sont ceux qui s'alarment, la plate-forme de forage semble technologiquement dépassée et la société ne pourrait pas faire face a des accidents potentiels.

 

© Nature Alerte