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RHINOS, le robot qui sauve des vies

samedi 20 septembre 2014 à 15:38
RHINOS, le robot qui sauve des vies

Un outil d'avenir et indispendable

RHINOS, le robot qui sauve des vies

 

Totalement programmable par son utilisateur, RHINOS est un robot autonome dont la mission est effectuer des rondes ou des missions d'explorations.

Muni d'une caméra reliée à un ordinateur, RHINOS est extrêmement bien pensé car il permet de circuler sur tous les terrains, même sous la pluie. Le prochain modèle pourra même escalader les escaliers.

Ses atouts sont nombreux, et parce qu'il permet autant de sauver des vies que de sécuriser efficacement un terrain avant de lancer des opérations, nous vous le présentons ici, en exclusivité.

Tout moyen qui permet ou de sauver des vies ou de remplacer l'humain de manière intelligent mérite notre soutien.

Nous saluons donc l'initiative de cette entreprise par la présence de cet article.

De plus, son coût est abordable, ce qui rend le robot d'autant plus intéressant car  destination du grand public.

Ci-dessous une vidéo explicative.

La même société proposera dans quelques semaines une soeur dénommée incroyable, mais vous en serez davnatage dans quelques semaines...

A lire aussi sur leur site facebook

 

Marc Bildermann pour WikiStrike

Une comète de 50 km pourrait heurter Mars le 19 Octobre

samedi 20 septembre 2014 à 12:57
Une comète de 50 km pourrait heurter Mars le 19 Octobre

La NASA ne dit mot

La comète Siding Springs pourrait heurter Mars le 19 Octobre

 

 

Découverte le 3 janvier 2013, la comète  C/2013 A1 (Siding Spring) devrait faire un très proche passage près de Mars le 19 octobre à 18h21 utc. Les premiers calculs prévisionnels avaient établi qu'elle passerait dans l'orbite de la planète à une distance supérieure à 100.000 km de sa surface. Mais depuis, ces chiffres ont été revus à la baisse...

 

Selon certaines estimations, la comète pourrait se rapprocher à seulement 37.000 km de sa surface et il n'est donc pas exclu qu'elle percute la planète. Un évènement d'autant plus important que d'après les estimations, elle mesurerait entre 15 et 50 km de diamètre et aurait une vitesse de plus de 190.000 km/h. De quoi creuser un cratère d'au moins 500 km à la surface de la planète rouge et causer un véritable cataclysme à l'échelle cosmique.

Mais même dans le meilleur des cas où la collision serait évitée de justesse, un autre probléme se pose. En effet les comètes ne sont pas des astéroïdes, ce sont des amas de rochers, de graviers et de poussières qui sont maintenus ensemble par de la glace.

Au moment de s'approcher du soleil, celle ci se sublime et d'autres débris s'en détachent formant une queue longue et large qui peuvent s'étaler sur des milliers, voire des millions de kilomètres

Donc même si une collision avec le noyau dur et relativement petit de la comète est évitée,  le nuage de débris pourrait tout de même représenter un danger et s'il effleure  la planète, il pourrait mettre en danger certaines des sondes et des robots de la NASA.
Les débris charriés par la comète pourraient impacter Mars à une vitesse estimée à 50 km/s. Pour réduire le risque, la Nasa a d'ores et déjà modifié les orbites de ses sondes Mars Odyssey et Mars Reconnaissance.


Deux autres sondes spatiales  (MAVEN et MOM) sont en route pour Mars. La premiére devrait arriver juste avant la comète.

Quand aux rovers Opportunity et Curiosity, ils seraient en principe protégés par la mince couche atmosphère de Mars et bénéficient d'une place de choix pour assister au passage de la comète et le cas échéant, à son fantastique impact sur la surface de la planète.

 

Source

La crise? Pas pour les sociétés françaises d'autoroutes...

samedi 20 septembre 2014 à 12:46
La crise? Pas pour les sociétés françaises d'autoroutes...

Des coûts exubérants

La crise? Pas pour les sociétés françaises d'autoroutes...

 

 

Les sociétés françaises d'autoroutes affichent une rentabilité "exceptionnelle" qui ne se justifie "ni par leurs coûts ni par les risques auxquels elles sont exposées", estime l'Autorité de la concurrence. 

Dans un avis à paraître ce jeudi, que le journal Les Echos s'est procuré, l'Autorité estime que le poids de leur dette, mis en avant par ces sociétés pour justifier leurs profits, "apparaît largement soutenable et est par ailleurs géré dans l'intérêt des
actionnaires, à qui est distribuée la totalité de leur bénéfice". 


Après la Cour des comptes l'an passé, elle estime que la régulation de l'État dans ce domaine est "défaillante" et pointe un "déséquilibre des forces entre une administration isolée et des entreprises puissantes". 

Toujours selon Les Echos, l'Autorité de la concurrence formule une série de recommandations, dont celle d'une révision du mécanisme d'indexation des péages sur l'inflation, proposant sur ce point une formule qui intégrerait le niveau de trafic. 

Mais elle reconnaît que c'est seulement à la fin des concessions actuelles, entre 2027 et 2033, que l'État sera réellement en mesure de remettre à plat la tarification et juge qu'il serait dans son intérêt, comme de celui des usagers, que les concessions ne soient pas prolongées. 

La publication de ce rapport intervient après la signature, depuis 2012, de nouveaux contrats de plan entre les sociétés d'autoroute et l'État qui prévoient l'allongement de la durée des concessions en échange de 3,6 milliards d'euros d'investissement. 

Ce plan, qui est en attente d'un feu vert de la 
Commission européenne, est critiqué par l'Autorité de la concurrence qui le juge "défavorable en l'état à la concurrence comme à l'intérêt du concédant et des usagers". 

Les sociétés d'autoroutes françaises sont contrôlées par Vinci (ASF, Escota et Cofiroute), Eiffage (APRR et Area) et l'espagnol Abertis (Sanef, SAPN).

 

Source Les Echos

Démocratie ? Quelques preuves sur le trucage du référendum écossais

samedi 20 septembre 2014 à 12:38
Démocratie ? Quelques preuves sur le trucage du référendum écossais

Tout es truqué

Démocratie ? Quelques preuves sur le trucage du référendum écossais

 

 

Le référendum en Ecosse aurait-il était truqué? Oseraient-ils nier la voix du peuple? Oui...sans aucun doute. Ils l'ont déjà fait pour les référendums européens et n'hésiteront pas à le refaire. Cette vidéo montre que l'une des personnes en charge du décompte des voix prend des bulletins qui étaient pour l'indépendance et les met dans la pile du Non. Il ne s'agit clairement pas d'une erreur mais d'un acte délibéré vu qu'elle en prend plusieurs d'un coup. La vidéo montre également que les bulletins du NON sur le haut de la pile seraient en fait des OUI. Ce référendum a tout l'air d'être d'une grosse arnaque. 

 

 


.Source

Attention, les épandages aériens de pesticides autorisés à 50 m de chez vous...

vendredi 19 septembre 2014 à 16:19
 Attention, les épandages aériens de pesticides autorisés à 50 m de chez vous...

Lecture obligatoire

Attention, les épandages aériens de pesticides autorisés à 50 m de chez vous...

 

 

L'arrêté relatif aux épandages aériens de pesticides, publié ce jour, fixe un périmètre de « sécurité » d'à peine 50 mètres entre la parcelle traité et les lieux de vie. Effectués avec des aéronefs ou hélicoptères, le respect de ces 50 mètres est totalement illusoire mais semble contenter les tenants d'une écologie hors-sol. 

Entre le 23 juin et le 15 juillet un projet d'arrêté, visant à définir les conditions des épandages aériens de produits phytosanitaires était soumis à laconsultation du grand public. 

Plus de 18 000 personnes ont envoyé un courriel au ministre de l'agriculture (via la 
cyberpétition mise en place par Agir pour l'Environnement) afin de réclamer une véritable interdiction des épandages aériens de pesticides ou à tout le monde la définition de normes réglementaires visant à limiter drastiquement les risques pour la santé des riverains. Plus de 99.8% des avis émis s'opposait aux épandages aériens. 

Entre le 
projet d'arrêté soumis à consultation et l'arrêté publié ce jour au Journal officiel, seul l'article 3 a été modifié. Cet article définissait un « danger » justifiant le recours aux épandages, à savoir « la hauteur des végétaux, la pente ou le dévers des parcelles ». Au terme d'une forte mobilisation citoyenne qui aura vu 99,8% des citoyens s'exprimer en faveur d'une interdiction stricte des épandages, un agriculteur pourra recourir aux épandages aériens de pesticides sans que la notion de danger soit clairement définie dans l'arrêté publié. 

L'arrêté fixe donc un périmètre de « sécurité » d'à peine 50 mètres entre la parcelle traité et les lieux de vie. Effectués avec des aéronefs ou hélicoptères, le respect de ces 50 mètres est totalement illusoire mais semble contenter les tenants d'une écologie hors-sol. Sur le papier, les ministères de l'Écologie et de l'Agriculture protègent donc les riverains. En réalité, ils ne protègent que les intérêts bien compris du lobby des pesticides. 

Pour Agir pour l'Environnement, l'autorisation de recourir aux épandages aériens de pesticides est un scandale sanitaire qui se double d'un scandale démocratique. La consultation mise en place par le gouvernement n'était qu'une illusion démocratique au service du lobby des pesticides.

 

Source ou lisez Sott.net