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Le Sénat vote la possibilité de destituer le président de la République

mercredi 22 octobre 2014 à 14:09
Le Sénat vote la possibilité de destituer le président de la République

Une simple révélation du SMS de Valou sur les sans-dents, et F.Hollande pourra être virer... Quand on sait que la Valérie sortait jadis avec un politique de droite....

 

Le Sénat vote la possibilité de destituer le président de la République

 

Le Sénat a voté mardi une loi afin d'avoir la possibilité de réunir le Parlement en Haute Cour, qui pourrait, en cas de manquements graves, destituer un président de la République.

 

Le rêve de certains responsables politiques prend forme au Sénat. Les parlementaires ont adopté une projet de loi fixant les modalités de destitution du chef de l'Etat par le Parlement. Il s'agit de mesures découlants de la réforme constitutionnelle de 2007, mais qui n'avaient pas encore été mises en place.

En janvier 2012, l'Assemblée nationale avait déjà voté ce projet de loi organique. Par 324 voix pour et 18 contre, celles des 18 sénateurs communistes, le Sénat a largement adopté ce texte. Il doit désormais être soumis au Conseil constitutionnel avant d'être promulgué.

» Destituer le président de la République, comment ça marche?

Mais la mise en place de ce texte ne signifie pas pour autant la destitution rapide et simple d'un président de la République. Pour cela, une procédure doit être engagée contre le chef de l'État en cas de «manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat».

L'une des deux chambres adopte alors une proposition de réunion de la Haute Cour, à la majorité des deux tiers. Cette proposition doit alors être immédiatement transmise et à l'autre chambre et approuvée également à la majorité des deux tiers. Le rejet de la proposition met fin à la procédure. Mais en cas d'adoption par les deux chambres, la Haute Cour se réunit. Celle-ci est constituée des parlementaires des deux chambres et est présidée par le président de l'Assemblée nationale.

Un débat s'engage alors et le chef de l'Etat peut être auditionné par les membres de la commission et participer aux débats. Dans la foulée, cette Haute Cour de parlementaire a un mois pour statuer sur la destitution du président de la République, via un vote à bulletins secrets. Pour être approuvée, cette destitution doit être voté à la majorité des deux tiers.

 

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Le plan malin de Poutine : petit manuel de combat contre l’empire mondial

mercredi 22 octobre 2014 à 13:45
Le plan malin de Poutine : petit manuel de combat contre l’empire mondial

Le Poutine stratégique

 

Le plan malin de Poutine : petit manuel de combat contre l’empire mondial

 

L’interminable hystérie dans le camp des patriotes obstinés, occasionnée par leur rejet catégorique de l’accord de cessez-le feu de Minsk qu’ils considèrent comme un abandon de la Novorossia, et comme la prise d’une des ‘tours du Kremlin’ par la junte de Kiev, voilà des émotions qui obscurcissent la raison, et empêchent la compréhension de certains aspects très importants des informations sans lesquelles on ne peut concevoir une vision complète de la confrontation géopolitique.

La direction russe est-elle cohérente ?

La Russie est dirigée par des personnes qui comprennent le sens des évènements en cours, aussi bien au niveau du Président que des ministres. D’autre part, les représentants du pouvoir considèrent opportun d’informer la population avec un maximum de transparence sur le chaos existant aux frontières de la Russie.

En conséquence, leurs actions sont au minimum réfléchies.

Indubitablement, leurs actions sont influencées de quelque façon par les représentants des milieux oligarchiques de l’industrie et de la finance. Toutefois cette influence n’est pas prépondérante, le pays n’est certainement pas dirigé par des personnes sans détermination ; ce que confirme l’arrestation de l’oligarque Evtoushenko.

Cela signifie qu’au Kremlin on ne se fait guère d’illusion à propos de la possibilité de trouver une entente avec l’Occident. Et l’on fait le constat que « si ce n’était l’Ukraine, tout autre moyen de politique extérieure ou intérieure eût été utilisé ».

Cela signifie que les criailleries quant à un abandon, et tout ce qu’on peut y joindre, ne correspondent pas à la réalité, mais hypothèquent l’esprit patriotique combattif de la société russe.

La situation autour du cessez le feu, et des perspectives politico-sociales des autorités de Kiev sont parfaitement définies par le respecté Rostislav Ishenko, qui explique le sens du plan ‘malin’ de Poutine en regard de la Novorossia et des autorités de Kiev. Pour cette raison je ne vais pas m’étendre sur la problématique de la guerre civile ukrainienne dans le présent texte.

Ce qui nous occupe c’est l’existence, ou l’absence, d’un plan ‘malin’ dont dispose Poutine, et dont l’application permettrait à la Russie de vaincre dans sa confrontation avec les USA et l’UE, et d’effectuer les pas concrets qui renforceront les positions russes.

Le sens du plan ‘malin’ de Poutine au niveau mondial.

Pas une seule des tribus barbares aux frontières de l’empire romain n’aurait pu individuellement détruire la machine de guerre de cet empire, et entrer en vainqueur dans Rome. L’empire disposait de plus de ressources et de fantassins en vue de détruire son ennemi. Et les barbares étaient divisés et fonctionnaient sans coordination. Rome est tombée seulement lorsque ses structures dirigeantes se sont décomposées ; et l’armée a cessé d’exister. L’empire, petit à petit, perdait ses provinces, privé de ressources s’affaiblissait et perdait les moyens de s’opposer à ses ennemis.

Cela signifie que pour vaincre les USA, qui se considèrent comme les héritiers de l’empire romain, il faut :

  1. Se joindre à ceux qui souhaitent se libérer du pouvoir de Washington.
  2. Affaiblir la ‘nouvelle Rome’ de l’intérieur.
  3. La priver de la quantité nécessaire de ressources.

Les pays fatigués de l’hégémonie des USA se sont unis dans le cadre des BRICS, de l’OCS et de l’Union Douanière Eurasienne.

Affaiblir les USA de l’intérieur est très compliqué, car cela demande des actions spécifiques, une préparation de haut niveau des ONG et de spécialistes de révolutions colorées, dont ne disposent ni la Russie ni la Chine. Toutefois, les USA ne manquent pas de problèmes intérieurs qui ces derniers temps s’aggravent et transparaissent, tel qu’on le voit à Fergusson.

De cette façon, le moyen le plus efficace de s’opposer aux USA – c’est de les priver de ressources, ce pour quoi il faut au maximum refuser le produit-clé américain, à savoir le dollar au moyen duquel Washington opère la redistribution des ressources.

La réalisation du plan ‘malin’

Il convient ici de revenir aux informations et s’éloigner des assauts de l’hystérie médiatique.

Tout d’abord, en finir avec les achats d’obligations US et européennes qui pompent les réserves des Fonds russes. Au premier janvier, les fonds qui étaient utilisés à l’achat de ces obligations des « partenaires occidentaux », seront utilisés pour les besoins du trésor.

Ensuite, dans les structures profondes du parti « Russie Unie » se prépare une révolution économique par le haut.

Troisièmement se poursuit le rapprochement avec la Chine, auquel il est utile de s’arrêter plus précisément. En plus de la mise en route mémorable du projet de pipe-line « Force sibérienne » se poursuit un travail commun, déterminé et coordonné, de renforcement des moyens militaires ; ainsi que la stabilisation des partenaires d’Asie centrale. Par exemple, la Chine apparait comme investisseur principal au Tadjikistan. Toute une série de projets communs russo-chinois sont entrepris, depuis la construction aéronautique, jusqu’aux infrastructures en passant par les hélicoptères.

Cependant, un travail fondamental s’opère pour s’éloigner du dollar US dans les échanges commerciaux. Il est à souligner que les USA, par leurs actions à Hong-Kong, ont résolument irrité Pékin. Le niveau de soutien de la population chinoise est passé de 47% à 66% en un an, du fait de la confrontation avec l’Occident.

Lors de la 18eme session de la commission russo-chinoise de préparation des rencontres gouvernementales, le vice-premier ministre Wang Yang a déclaré ‘erronées’ les sanctions occidentales contre la Russie ; et a engagé la Russie et la Chine à donner une réponse appropriée aux pays occidentaux.

Au forum économique Russie-Chine, le président de la banque centrale de Chine, cinquième institution financière au monde, a déclaré qu’il « est indispensable de renforcer la coopération en matière d’opération en devises, et mettre fin au monopole du dollar. Ceci répond aux intérêts stratégiques des deux parties. » Le mécanisme de désintégration de l’hégémonie du dollar est pratiquement conçu.

Le 11 octobre la presse a annoncé que la Russie et la Chine ont conclu un accord sur les opérations swap (soit les opérations d’échanges en devises) pour les exportations en roubles et en yuans. Cet accord sera probablement signé encore en octobre.

Sans doute, après signature de cet accord ‘swap’, le nombre de candidats souhaitant s’abstenir du dollar devrait augmenter, car auparavant même la Turquie a fait part de son intérêt.

Le rapprochement avec l’Iran se poursuit. Téhéran et Moscou étudient une transaction « pétrole contre centrales électriques ». Comme l’Iran reste sous sanctions, et que les banques commerciales russes appréhendent de travailler avec les Perses, un travail s’effectue en vue d’établir une banque commune pour le financement des projets économiques et commerciaux mutuels.

Et ceci sans parler des activités ininterrompues pour le lancement de ‘l’espace économique eurasien’, auquel se joint l’Arménie, et auquel se joindrait la Kirghizie avant la fin de l’année.


Ainsi il existe bien un plan ‘malin’ de Poutine, dont le sens est la coopération avec ceux qui sont fatigués de l’hégémonie des USA, tout en privant conjointement les USA de leurs ressources, chacun renforçant son économie et se défendant de recourir au dollar dans les échanges. Et ceci étant, tant la Russie que la Chine s’interdisent de tomber dans les pièges qui leur sont tendus, sous forme de « parapluies jaunes » ou de participation ouverte à la guerre civile ukrainienne.

Si cela ne plait pas à quelqu’un, c’est son problème. Aux autres je souhaite d’avoir la tête claire et de la patience. La nouvelle Rome, sans faute, s’effondrera.

Traduit par Mufasa pour Réseau International

Préparez-vous à payer pour le régime néo-nazis ukrainien…

mercredi 22 octobre 2014 à 13:43
Préparez-vous à payer pour le régime néo-nazis ukrainien…

Le nouveau ministre de la défense ukrainien Stepan Poltorak, ancien commandant de la garde nationale et partisan du « nettoyage ethnique » du Donbass…

Préparez-vous à payer pour le régime néo-nazis ukrainien…

 

 

Le gaz à destination de l’Ukraine est toujours coupé par l’opérateur russe Gazprom, en attente du règlement de l’ardoise du gouvernement de Kiev qui se monte aujourd’hui à plus de 2.4 milliards d’euros. En l’état actuel, il manquera à l’Ukraine 5 milliards de mètres cubes de gaz pour passer l’hiver.

La dernière rencontre entre les présidents Poutine et Porochenko à Milan a cependant permis de débloquer le litige qui opposait le gouvernement ukrainien au fournisseur russe. Les deux hommes se sont mis d’accord sur un prix « intermédiaire » (jusqu’en mars) de 385  dollars le millier de mètres cubes contre 485 demandés initialement par Gazprom. Problème, cet accord demeure suspendu au paiement de la dette gazière de l’année dernière qui se monte encore à  plus de deux milliards d’euros. En l’absence de règlement, Gazprom ne rouvrira pas le robinet, ce qui risque de plonger non seulement l’Ukraine, mais également les Balkans, dans une crise énergétique en plein hiver, comme ce fut le cas en 2009.

Selon Vladimir Chizhov, l’ambassadeur de la Russie auprès de l’UE, Kiev attend que « l’aide internationale » règle sa facture, en menaçant une fois de plus de prendre les pays de l’UE en otage, en pompant illégalement le gaz russe transitant sur son territoire.

Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk a en effet déclaré le 16 octobre qu’il pourrait « y avoir des problèmes en ce qui concerne les livraisons de gaz russe vers l’Europe » et que l’Ukraine ne pouvait pas « garantir le transit ininterrompu du gaz russe vers l’Europe dans le cadre du contrat de transit actuel », ce qui revient à dire que l’Ukraine  se donne le droit de voler le gaz  destiné aux européens…

Second problème, l’Ukraine est un état en faillite, qui n’a même plus les moyens de continuer la guerre et compte pour cela sur l’aide internationale. Cependant, son statut d’état fantoche aux mains de Washington et de l’OTAN lui a permis de récolter une multitude de prêts des alliés des états-unis et des institutions internationales. Petit tour non exhaustif de tous les généreux donateurs :

La Banque Mondiale a débloqué une aide d’un total de 3.5 milliards de dollars pour soutenir l’économie ukrainienne.

750 millions ont été débloqués au moi de mai pour la « politique de développement ». Il s’agit officiellement d’améliorer l’efficacité des réseaux de chauffage (ça tombe bien !) et des infrastructures urbaines, notamment de distribution d’eau.

500 millions ont étés débloqués en août à destination du secteur bancaire. En contrepartie, la Banque Mondiale « aidera » Kiev à réformer son secteur bancaire, il est notamment prévu d’organiser un vaste audit.

 Le FMI a prévu de débloquer 17 milliards d’euros en échange de « réformes structurelles ».

La contrepartie de l’aide financière du FMI a consisté en un vaste plan de privatisation du secteur énergétique ainsi qu’à une réduction de la dépense publique et une baisse des pensions des fonctionnaires. Le gouvernement ukrainien compte vendre 164 entreprises d’ici un an, principalement dans les domaines énergétiques et sidérurgiques, ainsi que dans l’agro-alimentaire, les rares secteurs économiquement viables de l’économie ukrainienne vont ainsi passer aux mains d’oligarques ou de fonds d’investissements US.

Le gouvernement a également mis en place une hausse de la taxe sur le gaz de l’ordre de 50%.

L’Ukraine a reçu 3,2 milliards de dollars du crédit promis par le FMI début mai et 1,39 milliard de dollars début septembre. Le Fonds Monétaire va également débloquer une nouvelle tranche d’aide de 2.7 milliards d’ici la fin de l’année. Cependant, le directeur Europe du FMI Paul Thomsen a dors et déjà noté que l’Ukraine pourrait avoir besoin d’une « aide financière supplémentaire » qui pourrait se monter à « 19 milliards US en cas d’un scénario défavorable et de la poursuite de combats dans l’est du pays en 2015″. Le scénario économique défavorable est déjà acquis : le Fonds prévoit en effet une chute du PIB de 6.5% cette année et une inflation à 19%. Quant à la poursuite des combats, tout dépend des subventions occidentales, cela semble donc en bonne voie…

L’Union Européenne, par l’intermédiaire de la commission, a adopté un programme d’aide de 11 milliards d’euros au mois de mars.

3 milliards d’euros proviennent directement du budget de l’UE (et donc de vos impôts, youpiii), les 8 autres proviennent de la Banque Européenne d’Investissement ( c’est le moment d’investir en Ukraine…) et de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement.

A cela il faut ajouter 250 millions d’aide non remboursable à l’Ukraine (c’est cadeau !) destinés à « soutenir les nouvelles autorités de ce pays et à encourager les réformes ». C’est vrai que les néo-nazis de Svoboda se sentent de plus en plus seuls, ils sauront apprécier ce geste venant de véritables démocrates…

L’Allemagne a débloqué 525 millions d’euros afin de soutenir l’économie ukrainienne.

Selon le communiqué de la présidence ukrainienne, « l’Allemagne débloque 25 millions d’euros pour la construction de logements pour les personnes déplacées à l’intérieur du pays ainsi qu’un crédit de 500 millions d’euros destiné à restaurer l’infrastructure du Donbass« .

Oui, vous avez bien lu, l’Allemagne a débloqué 500 millions d’euros pour « rénover l’infrastructure du Donbass » (détruite par l’armée ukrainienne elle-même…) alors que cette région ne fait plus partie de l’Ukraine et n’en fera vraisemblablement plus jamais parti. De toute évidence cet argent ne peut que finir dans la poche des oligarques…

Le Japon a octroyé fin août 100 millions de dollars d’aide « macrofinancière »

L’aide « macrofinancière » est en réalité tout simplement destinée à éviter le défaut de paiement, mais « macrofinancière » ça fait tout de suite plus sérieux…

Les états-unis ont octroyé 290 millions de dollars d’aide et des « garanties financières » pour un montant d’1 milliard

C’est plutôt chiche alors qu’il s’agit des parrains du Maïdan, ils se sont cependant rattrapés par l’intermédiaire du FMI…

Fin septembre, Barack Obama a annoncé une rallonge de 25 millions de dollars, destiné à « couvrir la livraison d’équipements militaires et l’entraînement des forces armées ukrainiennes par le département de la Défense (5 M USD), ainsi que l’octroi d’aide non-létale provenant d’autres départements et institutions ». Voilà du concret.

Enfin, l’OTAN a prévu d’accorder 15 millions d’aide

« Selon M.Rasmussen, l’Alliance aidera Kiev à renforcer ses forces de sécurité dans les domaines de la cybersécurité, de la logistique, du commandement, du contrôle, des communications, ainsi que de la réhabilitation des soldats blessés dans les combats. »

Il faudra cependant expliquer à M Rasmussen qu’on ne « réhabilite » pas les soldats, on les soigne, à la rigueur…

Bon là, vous vous dites, ça fait beaucoup pour soutenir un gouvernement composé moitié d’oligarques corrompus, moitié de néo-nazis (en exagérant à peine). Mais rassurez-vous, tout ce pognon, ce n’est déjà pas assez :

L’Ukraine a besoin de beaucoup plus d’argent que l’Occident ne l’a promis, et 30 milliards de dollars d’assistance occidentale ne suffiront évidemment pas à Kiev, a estimé samedi le chef de la diplomatie ukrainienne Pavel Klimkine.

Le président Porochenko a lancé un vaste plan de modernisation de l’armée sur la période 2015/2017 pour un montant de 3 milliards d’euros. Cette somme (rappelez-vous, c’est en partie votre argent) devra servir à « moderniser, acheter et livrer à l’armée des avions, des hélicoptères, des navires de combats et des vedettes, et là, il ne s’agit que d’un modeste début ».

Rappelons ici que la guerre menée par l’armée ukrainienne dans le Donbass a fait plus de 3700 victimes civiles. 900 000 personnes auraient fuit les zones de combats selon l’ONU. Au 24 septembre,  390 000 réfugiés ukrainiens étaient enregistrés sur le territoire de la Russie.

Cependant, cela n’arrête pas nos « amis démocrates » à Kiev qui ont nommé le 14 octobre comme nouveau ministre de la défense le général Stepan Poltorak, qui a commandé les six derniers mois la garde nationale ukrainienne, principalement composée des néo-nazis de Secteur Droit, et qui s’est entre autre livrée à des exécutions de masse et probablement à du trafic d’organes… Selon RIA Novosti, les « observateurs indépendants estiment que Poltorak est un partisan convaincu des mesures militaires et policières draconiennes de nettoyage ethnique du Donbass et que sa nomination au poste de ministre de la défense signifie que Kiev est prêt à poursuivre la guerre dans le sud-est en appliquant la tactique de la «terre brûlée ».

Cela se fera donc avec notre argent.

Mieux (ou plutôt, pire), Stepan Poltorak a rencontré  le sous-secrétaire britannique aux Affaires étrangères Simon Fraser mi octobre pour l’informer des types d’aide dont l’armée ukrainienne avait besoin. Ce dernier l’a assuré que « le gouvernement britannique était prêt à apporter un concours multiforme à l’armée ukrainienne ».

Source : Les Moutons Enragés

La moitié des produits d'hygiène pour bébé à éviter

mercredi 22 octobre 2014 à 12:18
La moitié des produits d'hygiène pour bébé à éviter

Danger pour les pioupious

La moitié des produits d'hygiène pour bébé à éviter

 

Substances allergisantes ou irritantes contenues dans certains parfums, conservateurs toxiques, perturbateurs endocriniens... Le magazine "60 millions de consommateurs" a testé les formules de 52 produits d'hygiène et de soin pour nourrisson, et plus de la moitié des produits (28 sur 52) se révèlent à proscrire, y compris des produits de grande marque, révèle RTL mercredi 22 octobre.

Mieux vaut privilégier les produits qui se rincent, et qui présentent une liste d'ingrédients restreinte, selon la radio. Des études scientifiques suggèrent en effet que l'excès de soins, et la multiplication des produits appliqués sur la peau du nourrisson, pourraient être responsables du développement de l'eczéma atopique, une maladie inflammatoire et chronique de la peau de plus en plus fréquente chez les enfants.

"Hypoallergénique?" Méfiance

Autre enseignement de cette enquête : les parents ne doivent pas se fier à la mention "hypoallergénique". Cette allégation santé n'est à ce jour encadrée par aucun référentiel précis. 11 produits testés l'affichent sur l'étiquette, alors qu'ils contiennent bel et bien des composés allergisants.

Toujours selon RTL, qui reprend "60 millions de consommateurs", les lingettes et crèmes pour bébé peuvent aussi présenter des risques. Certaines contiennent du phénoxy-éthanol, un conservateur toxique pour le foie et les globules rouges. L'agence nationale de sécurité du médicament recommande de ne pas les utiliser pour les enfants de moins de 3 ans. 

 

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Alain Soral et Dieudonné vont lancer leur propre parti politique

mercredi 22 octobre 2014 à 10:10
Alain Soral et Dieudonné vont lancer leur propre parti politique

ils dérangent, ils s'allient

Alain Soral et Dieudonné vont lancer leur propre parti politique

 

"Aujourd'hui, Egalité et Réconciliation se dissocie totalement du Front national, et va rouler pour lui-même, en tant que parti politique." En septembre, Alain Soral affichait son ambition de créer un parti politique. Mediapart publie mardi 21 octobre(article payant) des extraits des statuts de la future organisation que le pamphlétaire antisémite pilotera avec Dieudonné. 

Alain Soral et Dieudonné coprésidents

Ils ont simultanément créé une association de financement du parti Réconciliation nationale, ayant "pour objet exclusif de recueillir des fonds" et pour bénéficier des aides publiques en cas d’élection, selon le site d'information en ligne. Ils prépareraient leur demande d’agrément auprès de la commission des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Alain Bonnet, dit Soral, et Dieudonné M’bala M’bala seront tous deux coprésidents du parti. 

Dans une vidéo publiée le 17 septembre, Alain Soral avait annoncé son projet de"se dissocier totalement du Front national" à la suite des prises de position "pro-israéliennes" du conseiller international de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade. En 2009, Dieudonné et Soral avaient déjà tenté une incursion en politique, en se présentant sur la liste d'Ile-de-France du Parti antisioniste aux élections européennes.

 

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