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Algérie: Le groupe islamiste de Daesh, création de l'OTAN, revendique l'enlèvement d'un français

lundi 22 septembre 2014 à 23:36
Algérie: Le groupe islamiste de Daesh, création de l'OTAN, revendique l'enlèvement d'un français

Un enlèvement qui finira à 100% très mal

Algérie: Le groupe islamiste de Daesh, création de l'OTAN, revendique l'enlèvement d'un français

 

Alors que le Quai d'Orsay a confirmé l'enlèvement d'un Français en Algérie, un groupe lié à l'organisation de l'Etat islamique revendique le rapt...

Un groupe lié aux jihadistes de l'Etat islamique (EI) a revendiqué lundi dans une vidéo le rapt d'un Français en Algérie et menacé de l'exécuter dans les 24 heures si la France n'arrêtait pas ses frappes contre l'EI en Irak.

Dans cette vidéo, le groupe jihadiste algérien « Jund al-Khilafa » (les soldats du Califat), qui a fait allégeance à l'EI, montre l'otage, Hervé Pierre Gourdel, demandant au président français de le sortir de cette situation. Il est assis par terre entouré de deux hommes masqués et armés de kalachnikovs.

L'otage dit qu'il est originaire de Nice et qu'il est guide de haute montagne. Il précise être arrivé samedi en Algérie et avoir kidnappé été dimanche soir.

 

«Je laisse à Hollande, le président de l'Etat français criminel, le soin d'arrêter les attaques contre l'Etat islamique dans les 24 heures qui suivent la publication de ce communiqué ou son ressortissant Hervé Gourdel sera égorgé», déclare un des deux hommes armés dans cette vidéo.

La revendication de cet enlèvement a eu lieu quelques heures après un appel de l'EI à tuer des citoyens -notamment Américains et Français- des pays appartenant à la coalition internationale mise en place pour combattre ce groupe jihadiste en Irak et en Syrie.

Selon les autorités françaises et algériennes, le rapt a eu lieu dans la région de Tizi Ouzou, à une centaine de kilomètres à l'est d'Alger.

Des recherches toujours en cours

Dans un communiqué publié ce lundi soir par l'agence APS, le ministère algérien de l'Intérieur a expliqué que «des individus ont intercepté (dimanche) à 21h (20h GMT) à hauteur du village d'Aït Ouabane (...) un véhicule ayant à son bord un groupe d'Algériens accompagnés du ressortissant français Gourdel Hervé Pierre», âgé de 55 ans.

«Les assaillants, après avoir libéré ses compagnons algériens et abandonné le véhicule sur les lieux, ont gardé le ressortissant français et pris la fuite vers une direction inconnue», a ajouté le ministère, en soulignant que les recherches, aussitôt engagées par les services de sécurité, étaient «toujours en cours».

A la suite de l'enlèvement, le président français François Hollande s'est entretenu avec le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a indiqué la présidence française dans un communiqué.

«La coopération est totale»

«La coopération est totale entre la France et l'Algérie à tous les niveaux pour tenter de retrouver et de faire libérer notre compatriote. Nos services sont en contact permanent et les autorités algériennes agissent avec notre plein soutien», a-t-elle ajouté.

Le maire de Nice d'où est originaire l'otage, Christian Estrosi, a de son coté condamné «fermement cet acte inqualifiable qui consiste à prendre pour cible d'une guerre des victimes innocentes d'une manière intolérable».

La Kabylie, où le Français a été enlevé, est une région montagneuse et boisée à une centaine de km à l'est d'Alger. Elle reste un théâtre d'opérations de groupes armés islamistes, de nombreuses années après la fin de la guerre civile qui avait opposé dans les années 1990 l'armée à des groupes islamistes extrémistes.

 

Lire qui sont l'EI

 

Source article

Algérie: Le groupe islamiste de Daesh, création de l'OTAN, revendique l'enlèvement d'un français

La dictature bruxelloise veut interdire les journalistes russes en Europe

lundi 22 septembre 2014 à 23:31
La dictature bruxelloise veut interdire les journalistes russes en Europe

Une nouvelle qui fait pratiquement figure de bombe.

La dictature bruxelloise veut interdire les journalistes russes en Europe

 

 

Plusieurs politiciens de l'Union européenne insistent sur la « nécessité » d'interdire l'accès de l'Europe bruxelloise aux journalistes russes. Aveu de faiblesse, propagande du mainstream en panne ou simplement énième tentative de lutter contre la vérité et la liberté d'expression ? 

C'est bien connu, le mainstream occidental a dominé l'espace médiatique international durant de longues années. A un certain moment, on en est même arrivé à la situation dans laquelle des faits étaient totalement déformés du début à la fin, dans le simple but de justifier des interventions criminelles et néocoloniales, et de contrôler ainsi l'opinion publique aussi bien occidentale que mondiale, permettant de commettre sans impunité les crimes en question. Mais les temps changent. Le développement des nouvelles technologies, et notamment d'Internet, a permis l'apparition d'un nombre conséquent de médias alternatifs, y compris au sein même des Etats occidentaux. Cette révolution a notamment ouvert la voie à une diversification massive des sources d'information, ce qui au final permet à ceux qui le souhaitent de prendre note des informations issues de ces différentes sources, d'analyser les informations reçues et de se créer sa propre opinion, quel que soit le thème traité. Chose vraisemblablement à laquelle le mainstream n'était aucunement prêt. 

Peu étonnant donc que certaines voix s'élèvent au sein de l'Occident politique et médiatique pour tenter de contrer ces nouvelles sources informationnelles à l'heure où leurs médias vivent une véritable crise de confiance de la part de leurs propres concitoyens, sans parler même de leur influence en chute libre au niveau global. Le premier journaliste russe ayant été visé par les sanctions occidentales est le célèbre présentateur TV et directeur général de l'Agence d'information internationale Rossiya Segodnya, Dmitri Kisselev, devenant par la même occasion le premier journaliste au monde à faire officiellement objet de sanctions politiques de la part de ceux qui crient chaque jour qui passe que la liberté d'expression est un droit inébranlable. 

La junte kiévienne, le nouvel allié occidental, responsable par ailleurs de la mort de plusieurs journalistes russes comme étrangers, a de son côté déjà établi sa propre liste de journalistes russes et étrangers travaillant pour les médias de Russie et n'entrant pas dans le cadre du mainstream, qui sont désormais interdits d'accès sur le territoire ukrainien. Des choses à cacher ? Peur de la vérité ? Quoiqu'il en soit, le représentant de l'agence d'information ukrainienne UNIAN appartenant au sinistre oligarque israélo-ukrainien Igor Kolomoïsky, ce dernier étant parallèlement le principal sponsor local de l'expédition punitive des troupes néofascistes contre les habitants de Novorossia, lui se balade tranquillement à Moscou et se permet même de temps à autre, de raconter ses inepties lors de débats radio-télévisés russes, auxquels il est parfois invité. Pareil pour ses collègues travaillant en Russie pour les médias du mainstream et les agences de presse occidentales. 

Et aujourd'hui, cette « nouvelle » Ukraine demande officiellement à ses alliés bruxellois de fermer l'accès aux pays de l'UE à plus de 300 journalistes russes. Et d'après plusieurs sources, certains eurodéputés sont déjà prêts à soutenir cette « initiative ». Que l'Ukraine fascisante adopte une telle attitude n'est aucunement surprenant. Tout gouvernement qui adopte l'idéologie néofasciste comme modèle de développement utilise des méthodes qui sont propres à un tel régime. Mais si l'Europe bruxelloise, qui aime tellement donner des leçons en termes de démocratie, de droits de l'homme et de liberté d'expression, et ce aux quatre coins du monde, irait à faire de même, ce serait tout simplement un signal plus que clair à toute l'humanité que ceux qui se présentent en maîtres absolus de la liberté d'expression, seraient trop loin des idéaux qu'ils désirent « inspirer » au monde. Autre fait surprenant, même en pleine guerre froide, il n'était pas question de sanctionner des journalistes de part et d'autre. D'ailleurs, plusieurs journalistes et correspondants soviétiques ayant travaillé dans les pays occidentaux à cette période, affirment n'avoir jamais eu à faire face à de telles mesures, mêmes éventuelles. 

Visiblement au XXIème siècle, cela est devenu d'actualité. Reste à penser que les leaders bruxellois n'iront pas encore plus dans le ridicule en copiant leurs « nouveaux amis » néofascistes. Le faire reviendrait à définitivement ouvrir les yeux à leurs propres citoyens, pour certains encore hésitants, que la vérité est bien ailleurs qu'au sein de l'Occident médiatique. Quant aux autres médias, russes et pas seulement, n'entrant pas dans cette logique du mainstream et connaissant une popularité montante sans précédent, leur influence ne ferait alors que s'accroitre encore plus rapidement pour devenir de véritables références en matière de réinformation. Et c'est peut-être pour la première depuis bien longtemps que l'Occident politique et médiatique serait en train de perdre la guerre d'information qu'il mène sans relâche contre ceux qui ne se soumettent pas à son diktat. Réalité du monde multipolaire oblige.

 

Source

L'OTAN par la Turquie soigne les monstres de l'Etat Islamique, une infirmière dégoûtée s'explique

lundi 22 septembre 2014 à 18:06
L'OTAN par la Turquie soigne les monstres de l'Etat Islamique, une infirmière dégoûtée s'explique

La coalition veut-elle les anéantir ou les soigner ?

L'OTAN par la Turquie soigne les monstres de l'Etat Islamique, une infirmière dégoûtée s'explique

 

Une infirmière travaillant dans un hôpital privé de Mersin, une ville et une province siutuée sur la côte méditerranéenne de Turquie, a déclaré aux autorités et au Parlement turcs être dégoûtée de soigner des membres de l’organisation terroriste EIIL, qui se nomme maintenant l’État islamique.

Dans un article d’information publié par le Taraf Daily mercredi [17 septembre 2014], l ‘infirmière, qui a été identifiée par ses seules initiales, E.G., , a dit au sujet des militants d’EIIL : « Nous les soignons et ils continuent à décapiter les gens. Je suis dégoûté de soigner les militants blessés d’EIIL ». E.G. a aussi écrit une lettre au Parlement et au Département de la Police nationale, disant qu’elle-même et ses collègues sont extrêmement perturbés par le fait d’avoir à soigner des gens « qui coupent des têtes ».

Taraf a rapporté que d’autres personnels soignants de Mersin, ainsi que dans d’autres provinces situées à la frontière syrienne, sont mal à l’aise avec le fait d’avoir à assister des militants d’EIIL, alors qu’ils sont responsables d’une violence extrême et de bains de sang au nord de l’Irak et en Syrie.

Dans la lettre qu’elle a écrite au Parlement et au Département de Police, E.G. a dit avoir été longtemps employée dans un hôpital privé à Mersin. Elle a dit que son hôpital a soigné de nombreux blessés syriens, qui s’étaient présentés comme des membres de l’opposition.

Elle a noté avoir découvert que la majorité des Syriens admis récemment à l’hôpital étaient des membres d’EIIL. « J’ai été extrêmement dérangée à ce sujet. Je suis véritablement désolée de cette situation. Je suis perturbée par le fait que ces gens sont traités dans nos hôpitaux, alors que notre peuple est retenu en otage de ces même personnes », a-t’elle écrit, selon l’article du Taraf.

EIIL garde en otage 46 Turcs et trois personnels consulaires, qui ne sont pas citoyens turcs, et ce durant les trois derniers mois.

E.G. a aussi écrit qu’elle avait « honte » d’avoir joué un rôle dans le traitement des militants. Elle a aussi déclaré que les combattants d’EIIL étaient enregistrés dans l’hôpital sous de fausses identités. Elle a dit qu’au mois d’août, un des commandants d’EIIL était soigné à l’hôpital où elle travaillait :  « Le commandant d’EIIL appelé Muhammet Ali R., qui a été admis à l’hôpital le 7  août, a été soigné dans la chambre 323. Nombre de ses gardes du corps ont monté la garde autour de l’hôpital. Beaucoup d’autres commandants d’EIIL comme lui, ainsi que des soldats, ont été soignés dans notre hôpital et sont retourné faire la guerre une fois leur traitement terminé. Je ne veux pas aider ces gens. Je veux que vous inspectiez ces hôpitaux. Et je renvoie les propriétaires de l’hôpital ainsi que sa direction à Dieu ».

Source : Nurse says she’s tired of treating ISIL terrorists (todayszaman.com, anglais, 17-09-2014)

 

The Vineyard

La Bretagne est juridiquement indépendante !

lundi 22 septembre 2014 à 16:18
La Bretagne est juridiquement indépendante !

C'est officiel, les bretons sont libérés de la France

 

La Bretagne est juridiquement indépendante !

 

A l'heure de la mondialisation, les pays connaissent des poussées régionalistes pour défendre leur identité.

 

Un livre, qui remet à leur place les faits historiques sur la Bretagne, circule sous le manteau et permet de savoir comment la Bretagne a été envahie, détruite, colonisée par la France : « Le livre bleu de la Bretagne » publié en 2013 par l'Association Bretonne de Culture de Plouray, qui est une Charte pour une Bretagne indépendante et souveraine, a été écrit par un comité constitué de personnalités bretonnes avec Louis Mélennec (docteur en droit et en médecine, diplômé d'études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles, diplômé d'études approfondies en histoire, ex-Consultant près le Médiateur de la République française). On apprend que la Bretagne est juridiquement indépendante et que la Bretagne n'est pas la France. Avec ses 97 pages, l'ouvrage disponible gratuitement sur le Net ouvre les yeux aux Bretons qui ont été manipulés, humiliés, exploités par la France et qui sont encore trahis par des élites bretonnes.

Culture admirable. « La France, depuis 1789, a procédé à un lavage des cerveaux si efficace, que les Bretons, honteux de leur langue, de leurs coutumes, de leurs costumes, les abandonnent, pour singer le modèle colonial, présenté comme Admirable, Remarquable, Unique, Universel, seul digne d'être admiré», dénonce les auteurs en guise d'introduction. Les auteurs dénoncent aussi la classe politique bretonne en ces mots, « la lamentable classe politique bretonne, soumise, à partir du XIXe siècle, a, non seulement accompagné cette œuvre de destruction, mais l'a précédée». Quinze années de recherches pointues dans les archives bretonnes ont permis d'obtenir ce livre qui donne aux lecteurs leurs racines. Les auteurs du livre bleu de la Bretagne expliquent que « les plus grandes difficultés, dans cette démarche, ont été créées par les Bretons eux-mêmes ; et pas seulement ceux qui sont définitivement lobotomisés». Ceux qui parlent la langue bretonne, et qui sont à la tête d'institutions bretonnes, ne font pas le travail indispensable pour la transmission et se limitent à vivre entre eux dans leur savoir. Ils ne vont pas assez à la rencontre de ceux et celles qui veulent apprendre la langue de leurs parents ou ils ne vont pas obliger les responsables politiques de la région à mettre en place une politique culturelle et linguistique adéquate. Il faut aussi parler des médias en Bretagne qui participent au déclin de cette merveilleuse culture bretonne et de l'élite politique actuelle en Bretagne qui favorise aujourd'hui la culture africaine à l'enseignement du breton.

Toujours occupée par la France. Louis Mélennec, docteur en droit, ex-consultant près le Médiateur de la République française, met les points sur les i : « En droit international, la Bretagne n'est en aucun cas une partie de la France, pas davantage une +province+ du pays autoproclamé +des droits de l'homme+. Envahie, détruite, soumise, pillée de ses finances, de ses hommes, des ses talents, la Bretagne est et reste, au regard des Principes généraux du droit et du droit international, une colonie, c’est à dire un pays occupé». La France continue d'occuper par la force la Bretagne. « L'occupation d'un pays par la force, même de longs siècles après son invasion, ne crée aucun droit au bénéfice de l'envahisseur. L'ONU vient de le rappeler, sous la forme d'une flagellation administrée à la France : ce pays est une puissance coloniale dans les îles de Polynésie, son seul droit dans ces territoires est de les évacuer. La prescription n'existant pas en matière de crimes contre l'humanité, il ne reste à sa charge que l'obligation de réparer les dégâts colossaux commis. La présence de la France en Bretagne relève des mêmes principes, car le droit est le même pour tous, et la force est le contraire du droit», explique Louis Mélennec. Pour Hazo Netanel, Président de l'Association Bretagne-Israël, 2010, « Le peuple Breton sort de cette léthargie, de ce confort d’esclave ou tout est mis à sa disposition par la déesse raison, pour mieux l'étouffer. Le chemin sera long encore jusqu'à l'indépendance mais c'est inéluctable. La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent... ». Grâce au « livre bleu de la Bretagne » on apprend que le texte connu sous le nom « d'Edit d'Union » présenté comme un traité, un accord bilatéral, conclu par deux puissances souveraines, a été publié unilatéralement par la France en août 1532 et ne fut qu'un tour de passe-passe juridique, initié et perpétré par la France seule où jamais les Bretons n'ont été consultés sur leur sort. Les Bretons n'ont ni négocié, ni participé à la rédaction de l'Edit d'Union et ils ne l'ont pas paraphé. /N

 

Source

 


Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_09_22/Breizh-La-Bretagne-est-juridiquement-independante-5328/

Les écoliers de Floride pourront apprendre le satanisme grâce à un livre de coloriage

lundi 22 septembre 2014 à 16:05
Les écoliers de Floride pourront apprendre le satanisme grâce à un livre de coloriage

Des petites cornes dans les fesses des enfants...

Les écoliers de Floride pourront apprendre le satanisme grâce à un livre de coloriage

 

 

Le livre de coloriage est un outil pédagogique très prisé pour expliquer certains événements (comme récemment l'avancée de l'Etat Islamique) ou certaines pratiques aux enfants aux Etats-Unis. Cette année, un livre de jeux et de coloriages, intitulé The Satanic Children's Book of Activities [Le livre d'activités des enfants sataniques], permettra aux écoliers de Floride d'apprendre les valeurs de la religion satanique.

Le mois dernier, des juges du comté d'Orange ont autorisé la diffusion de documents chrétiens et athées dans les écoles. Désormais, des brochures intitulées «Jésus est mort» et «Pourquoi je ne suis pas musulman» se retrouveront dans certaines classes américaines. Le temple satanique en a alors profité pour lui aussi user de ce droit, explique Raw Story

 

Le temple satanique a déclaré ne pas être d'accord avec cette décision de justice, raconte Washington TimesIl a également affirmé son attachement à la séparation entre l'Eglise et l'Etat. Cependant, il distribuera lui aussi ses brochures sur sa doctrine, sa philosophie, ses pratiques ainsi que des informations sur les droits à pratique le satanisme à l'école, explique un communiqué de presse

Selon Lucien Greaves, porte-parole du temple satanique, «si une école publique permet la distribution de brochures et de bibles aux écoliers –comme c'est le cas dans le comté d'Orange en Floride– nous pensons que notre devoir est de s'assurer que ces écoliers aient accès à une variété d'opinions religieuses différentes –en refusant de rester les bras croisés pendant qu'une seule voix religieuse domine le discours et diffuse de la propagande aux jeunes». 

A quoi Cerbère rêve-t-il? - dessine ta réponse dans la bulle.

Damien montre à sa classe comment faire un pentagramme inversé. Connecte les points pour en faire un toi-même.

Le porte-parole du temple poursuit: 

«Je suis certain que tous les enfants de ces écoles de Floride sont déjà instruits de la religion chrétienne et de sa bible, et il est possible que ce soit la première découverte de la pratique satanique pour ces enfants. Nous pensons que beaucoup d'écoliers seront curieux de voir ce que nous offrons.»

Slate