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Les véritables effets de l'Union Européenne sur la Grèce

jeudi 1 janvier 2015 à 12:47
Les véritables effets de l'Union Européenne sur la Grèce

Ainsi le veut la Constitution : il y aura des élections anticipées en Grèce, qui devraient se tenir le 25 janvier. L’incapacité du Premier-Ministre Samaras à faire élire son candidat à la Présidence de la République (qui se fait en Grèce à une majorité qualifiée de 180 députés au parlement) a sonné l’heure des comptes. Elle vient aussi solder une politique inhumaine imposé par ce même Samaras aux ordres de la « Troïka », soit, rappelons le la Banque Centrale européenne, la Commission Européenne et le FMI. Elle solde de plus une politique des faux-semblants de ce gouvernement aux ordres, qui n’a ni rétabli les finances publiques (une partie des ressources fiscales sont « fictives » car la population n’a plus les moyens de les payer) ni provoqué un retour de la croissance. Il annonçait un « glorieux » 0,7% alors que le pays a connu une récession de près de -25% depuis 2009.

Ces élections sont un cas d’école de l’ingérence toujours plus pesante de l’Union européenne dans la vie démocratique des peuples. Diverses voix autorisées ont déjà menacé les électeurs grecs des pires maux s’ils votaient « mal ». Et, on le sait, SYRIZA, le parti de la gauche radicale, est en tête à ces élections. On a même vu, oh honte faite à tous les français, Pierre Moscovici, qui fut un déplorable ministre des finances se muer en un exécrable représentant de la Commission Européenne et aller à Athènes pour expliquer aux Grecs comment ils devaient voter. Il est vrai que c’est une habitude chez ce triste sire que de mentir sur commande ; il nous en avait donné la preuve déjà en 2012. Le FMI, par ailleurs a immédiatement suspendu son programme d’aide à la Grèce. Que l’on ne vienne plus nous parler de « démocratie » de la part des grandes organisations, soit européennes, soit internationales.

La situation de la Grèce peut se résumer en deux graphiques. Le premier indique l’évolution du PIB, comparé à 2007. L’effondrement du PIB est réellement spectaculaire et implique un appauvrissement d’une grande part de la population.

Graphique 1

 A - PIB

Source : Base de données du FMI

Mais il y a pire. Si l’on regarde l’investissement, que ce soit calculé en pourcentage du PIB ou calculé en euros constants, on constate un effondrement spectaculaire. En valeur, nous sommes en 2014 à 64% de la valeur des investissements de 1999. Cet effondrement, qui va bien au-delà d’une correction par rapport aux années 2000, marquée par les dépenses liées aux Jeux Olympiques, a plusieurs implications. Tout d’abord une destruction du capital par non-renouvellement, qui va poser un problème redoutable à la Grèce dans les années à venir. Faute d’entretien les infrastructures, qu’elles soient privées ou publiques, vont se dégrader ce qui va entraîner une montée des coûts d’entretien d’ici la fin de la décennie. Par ailleurs, la productivité du travail, non soutenue par un investissement qui fait défaut, va continuer à baisser, rendant plus que problématique le retour à une compétitivité de l’économie grecque. Seule, une baisse des salaires ou une dévaluation permettrait de maintenir les gains de productivité qui ont été payés aux prix fort par la population grecque.

Graphique 2

 A - Invest

Source : banse de données du FMI

On voit qu’à l’évidence ce n’est pas d’un prolongement de la politique d’austérité meurtrière (ou, l’austérité tue, le taux de mortalité a fortement augmenté en Grèce ces dernières années) dont le pays a besoin. Il lui faut d’urgence une politique de relance par l’engagement massifs de dépenses publiques. Mais, c’est ici que se noue le conflit entre un possible gouvernement de SYRIZA et les autorités de la Troïka. Le programme de SYRIZA, que les SONDAGES donnent actuellement largement en tête, prévoit entre autres les mesures suivantes :

  • Moratoire sur les dettes des ménages et des petits entrepreneurs aux banques ;
  • Hausse du salaire minimum ;
  • Annulation de près des deux tiers de la dette publique considérée comme « injuste ».
  • Instauration d'une « clause de développement » garantissant que les sommes dépensées pour une relance de l’économie ne seront pas comptabilisées dans le budget.
  • Recapitalisation des banques (dont la solvabilité est problématique), sans que les sommes en question soient comptabilisées dans la dette publique du pays.

Ce programme est contradictoire avec les règles européennes. Il ne faut pas s’en étonner. Aujourd’hui, 52% des grecs interrogés considèrent qu’ils se sentent plutôt étrangers aux idéaux européens[1]. Dans ce SONDAGE, réalisé par l’institut Gallup International, 52% des personnes interrogées considèrent qu’il serait préférable de retourner à la monnaie nationale (la Drachme) et seulement 32% considèrent qu’il faudrait conserver l’Euro. C’est un point important, et il est clair que les résultats de ce sondage sont intégrés par les diverses forces politiques grecques. Il entrainera une dynamique tant économique que politique mettant à mal les structures européennes qui imposent aux peuples cette politique d’austérité, et en premier lieu, l’Euro. Car, si l’on va à la crise entre la Grèce et les institutions européennes, les taux d’intérêts monteront immédiatement, provoquant une nouvelle crise en Italie. Or, dans ce pays, trois partis, le Movimente Cinque StelleForza Italia et la Ligue du Nord ont pris leur distance, et parfois de très grandes distances, avec le dogme de l’Euro. SYRIZA le sait qui, tenant compte des pressions scandaleuses sur la vie politique grecque par les institutions européennes, ruse avec ce programme. Mais, si Tsypras est élu, fort de la légitimité d’une élection, seule légitimité qui compte et qui soit, il fera entendre sa voix.

Tous les européens qui sont aujourd’hui révoltés à juste titre, tant économiquement que politiquement, par les agissements anti-démocratiques de la Commission et par les politiques d’austérité doivent se réjouir de cette élection. La chouette, animal emblématique d’Athéna, la déesse de la ruse et de la sagesse, doit manger le serpent Euro. Mais ils doivent, en même temps, envoyer un message clair à Tsypras et à SYRIZA : vous devez appliquer votre programme si vous êtes élus. Une trahison de plus serait une trahison de trop. Nous comprenons que vous rusiez jusqu’à l’élection. Mais après, il faudra appliquer votre programme, et tout votre programme. Ce qui se joue en Grèce aura des répercussions dans toute l’Europe, et en France en particulier. Elles peuvent être positives, si la lutte s’engage entre les peuples et les institutions européennes. Elles peuvent être aussi négatives dans le cas d’une nouvelle trahison. Car, ce qui se profile derrière la Grèce, c’est le problème de l’Italie et de l’Espagne. Oui, l’avenir de l’Europe et de la démocratie se jouera à Athènes, ce qui sera hautement symbolique.

 


[1] Gallup International

http://www.orbinternational.com/perch/resources/europeanattitudesresults.pdf, Décembre 2014. voir: www.Gallup-international.com

 

Source

Bactérie Xylella Fastidiosa: contamination mortelle, épidémie hors de contrôle en Italie

jeudi 1 janvier 2015 à 12:37
Bactérie Xylella Fastidiosa: contamination mortelle, épidémie hors de contrôle en Italie

 


 

Les élus et les services de la Collectivité Territoriale de Corse constatent (Symposium de Gallipoli) que l'Italie est incapable de lancer une riposte, face à ce risque de cataclysme écologique. A bref délai, dans les prochains mois, la bactérie pathogène Xylella fastidiosa menace donc la Corse, la Région Paca et au-delà toute l’Europe, via la contagion italienne.  Avec un impact économique d’ampleur. En Italie, 60 000 hectares de paysages sont définitivement dévastés dans les Pouilles par le « disseccamento spontaneo » de la Xylella Fastidiosa. 
 

Quasiment la totalité des oliviers et autres végétaux y ont été infectés, nécrosés, désséchés… en une seule année ! Sans mesure opérationnelle, comme le confinement total, la quarantaine sévère, les contrôles rigoureux et l’arrachage massif : cette peste qui tue 200 espèces végétales, ce désert, pourrait s'étendre aux régions avoisinantes dans les prochains mois. Un scénario catastrophe probable selon les experts. 
Contre cette dissémination mortelle et ses insectes vecteurs (cicadelles), menaçant arbres fruitiers, plantes maraîchères, lauriers, vignes et chênes : il n’existe, à ce jour, aucun traitement scientifique. 
L’éradication reste impossible sur un végétal infecté par la bactérie X.fastidiosa, elle-même voyageant via les plants dits porteurs sains, via les plantes contaminées européennes, via les variétés ornementales tropicales fortement contagieuses. Elle sévit à Taiwan et aux Etats-Unis où les vignobles ont été arrachés dans 29 Etats. La Xylella détruit inexorablement en quelques mois ou quelques années… jusqu’aux racines, sans repousse, ni guérison. 
Les symptômes ? Selon la DRAAL - DGAL Aquitaine ils sont « variables selon les plantes atteintes, peuvent être confondus avec le stress hydriques, la sénescence, la carence nutritionnelles ». Ce sont des«  chloroses et brûlures foliaires, le desséchement des rameaux suivi de la mort des oliviers, amandiers, chênes, ormes, platanes sycomores… »
Ce cataclysme écologique en marche, laisse quasiment sans réaction le Ministère de l’Agriculture français qui n’a lancé aucune alerte auprès du grand public. En Corse, les services de l’Etat, alertés depuis octobre, réagissent mais faiblement en regard de la menace. Dernier espoir : 
José Bové, député EELV, adresse une interpellation écrite à la Commission Européenne tout début janvier. Les pouvoirs italiens sont inertes, et le service de presse de la Préfecture de la Région Paca n’a jamais entendu parler de la Xylella Fastidiosa (!). Les élus de Corse restent mobilisés et positionnées en avant-garde de la prise de conscience. Lors du Symposium scientifique de Gallipoli (22-23 oct. 2014) sur cette bactérie tueuse Xylella Fastidiosa (nov. 2014) les délégués insulaires (élus de l’Assemblée de Corse, Culletivu Xylella, CTC, ODARC, oleïculteurs, médias corses ) constatent avec effroi, que les autorités italiennes n’isolent pas correctement les zones infectées, contrairement aux préconisations européennes. 
Que la dévastation GAGNE, que même la vente publique et légale de plants d’oliviers continue… sans aucun contrôle. Qui fait quoi ? Qui évalue réellement les impacts de cette bactérie, absolument imparable, selon les scientifiques ? Agnès Simonpietri Conseillère Territoriale : « En Corse, le Ministère de l’Agriculture ne répond pas aux courriers successifs du Président de l’Odarc. Manifestement la question de la bactérie mortelle Xylella Fastidiosa n’intéresse pas les services de l’Etat. Nous ne sommes pas sur la même me longueur d’onde qu’eux, ils font une erreur majeure, car nous ne sommes pas les seuls concernés, au-delà des Alpes-Martimes il y a la région Paca avec ses oliviers, ses amandiers, ses fruitiers, ses vignobles ! En Corse, ce qui est un handicap insulaire deviendrait paradoxalement une chance. Nous demandons des mesures spécifiques plus sérieuses que les lettres, les minuscules affichettes sur les bateaux, les  contrôles aléatoires dans les ports de l’île, soit 1 ou 2 par semaine. La véritable grande campagne de sensibilisation des publics n’a pas commencé. » 
L’heure tourne ! Ultra conscients du danger qui se rapproche, les élus de Corse Femu a Corsica ont déposé une 2è question orale (20 déc.) après une motion votée (Ass. de Corse oct.). Si les italiens semblent démunis face à cette bactérie qui ravage des centaines d’hectares de culture : la France, cinquième puissance mondiale, fait un peu mieux pour la Corse-du-Sud et la Haute-Corse. Départements français insulaires, qui bénéficient d’une petite et temporaire protection naturelle. Comme un répit mais jusqu’à quand ? 
L’insularité serait un atout face à un tel désastre, mais la notion d’insularité, semble difficile à intégrer, depuis Paris, pour les services de l’Etat, y compris dans le domaine phytosanitaire dans le contexte des échanges commerciaux globaux tous azimuts. Une évidence que le Conseil Constitutionnel devrait admettre : les îles et la Corse ne sont pas « des régions comme les autres », et certaines demandent à exercer, à adapter les compétences sanitaires. 
Alerte rouge. Femu a Corsica , l’ODARC, l’Office de l’Environnement interpellent Paris et l’irlandais Phil Hogan, Commissaire Européen Agriculture et Développement rural. Saveriu Lucciani Conseiller Territorial Assemblée de Corse : « il y a urgence pour l’île à obtenir une dérogation restrictive sur l’importation de végétaux accompagnée de la mise ne quarantaine et contrôles renforcés. 
Il faut lancer un diagnostic phytosanitaire territorial, afin de savoir si la bactérie est déjà présente sur l’île, en lien avec l’ODARC et l’Office de l’Environnement, l’Agriculture, les professionnels, l’INRA, l’Università di Corsica en lien avec l’ANSES (*) et l’EFPA (*). » En Corse une cellule de crise phytosanitaire sera-t-elle bientôt installée ? Les médias nationaux, y compris les télévisions publiques dont les JTs nationaux de France 2 et France 3, ont-ils fait des reportages sur place ? La réponse est non. Jean-Louis Lucciani, Conseiller Exécutif Président de l’Office du Développement Agricole Rural de Corse, est sur le pied de guerre contre la Xylella Fastidiosa. Il a constaté les paysages dévastés, l’intervention italienne totalement inopérante, 
la situation alarmante des Pouilles : « de l’aveu des spécialistes, tout le bassin méditerranéen est menacé par la bactérie. Les barrières sanitaires actuelles que les autorités italiennes se révèleront, sans utilité tant les zones infectées sont déjà nombreuses. Vous me demandez d’interpeler Paris et le Nouveau Commissaire Européen. Nous n'avons eu aucune réponse. Seul le gel des importations de végétaux, la concentration des flux sur un ou deux ports, la quarantaine et les contrôles systématiques, pourraient nous prémunir de l’introduction dans l’île de la bactérie. » Pierre Ghionga Conseiller Exécutif Pd de l’Office de l’Environnement pose la question des compétences, du rôle et des moyens de l’Etat qui délègue à la FREDON la surveillance du territoire : « moyens très insuffisants pour des contrôles exhaustifs, beaucoup de végétaux sont en milieu naturel et non cultivé. Il serait intéressant que les services de l’ETAT distribuent une brochure permettant de détecter les premiers symptômes de la bactérie et mettent en place un numéro vert. » En Corse, suite aux signalement de ventes illégales de plantes (travail au noir ou autorisations provisoires ) la Conseillère Territoriale Agnés Simonpietri constate : « nous téléphonons aux gendarmeries pour les contrôles sanitaires mais les services de l’Etat n’interviennent pas. Personne n’est disposé à réagir ».  Depuis janvier 2014 : la Préfecture de Région Corse a réalisé 280 analyses, 12 contrôles portuaires (21 bateaux) avec la FREDON, les Douanes, les transporteurs. Et 14 établissements professionnels locaux (oliviers, lierre, laurier, pittospurum, chêne, agrumes) sont surveillées. Les résultats?  « A ce jour, aucune anomalie n’a été constatée lors des contrôles portuaires et les analyses réalisées sur des prélèvements effectués au sein des établissements visités se sont révélées négatives. » Selon les experts, il est certain que  la bactérie pathogène atteindra la Corse. Le professeur Joseph Bové (INRA et Université Bordeaux 2 ) : « la Corse ne pourra échapper à la Xylella fastidiosa… » ( A lire dans Corse Net Infos, article de Charles Monti, les conclusions de la conférence de San Giuliano, sur la biologie de Xylella fastidiosa - http://www.corsenetinfos.fr/Selon-Joseph-Bove-la-Corse-ne-pourra-echapper-a-la-Xylella-fastidiosa_a12981.html). 
Faut-il un « blocus » pour protéger l’île de la Xylella Fastidiosa ? Daniel Sainte-Beuve responsable Filières végétales à l’ODARC, était présent au Symposium de Gallipoli. Son constat est accablant. Il estime que « la situation dans les Pouilles n’est plus sous contrôle. Les autres régions italiennes sont menacées, ajoute-t-il, et, très probablement, l'ensemble du bassin méditerranéen. Il faut mettre en alerte les professionels pépinièristes, horticulteurs, fleuristes, commerçants et informer toutes les popupations, touristes comme habitants, pour espérer prévenir ce cataclysme écologique. Et se rappeler que aucun foyer de Xylella n’a dans le monde n’a jamais été résorbé ! Quand elle y est, on ne s’en debarrasse plus !
Les Pouilles serait soi-disant une zone isolée depuis 2013 et 2014, mais on n’a pas vu d’oliviers arrachés, 60 000 hectares avérés sont touchés par la nouvelle souche Xylela Fastifio Codiro». Le Passeport Vert européen reste une passoire facile à contourner, car basé sur des contrôles aléatoire, menés par les pays exportateurs, et réalisés sur à peine 5% des plants.Cela ne fonctionne absolument pas, il existe une période latence dans les contaminations ainsi que des porteurs sains. Mais « les affaires sont les affaires » ajoute Daniel Sainte-Beuve car ce Passeport Vert européen entre en contradiction avec le dogme européen de la libre concurrence et de la libre circulation des biens et des personnes.

 

 

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L’un des traitements les plus prescrits en France cause des dysfonctions cérébrales

jeudi 1 janvier 2015 à 09:41
L’un des traitements les plus prescrits en France cause des dysfonctions cérébrales

En 2008, les statines représentaient 76% du montant annuel des remboursements par l’assurance maladie en France, avec plus de 18 millions de prescriptions recensées. 

En 2011, c’est une statine, le Lipitor des laboratoires Pfizer, qui détenait le titre du médicament le plus vendu dans le monde… Pour un marché annuel de 13,3 milliards de dollars !

 A la lecture de cet article, vous constaterez, qu’en plus d’être un important scandale sanitaire c’est aussi un énorme gaspillage des caisses publiques. Les enjeux économiques de l’industrie pharmaceutique liés à ces médicaments étant énormes, ce n’est pas prêt de changer. Il revient donc aux patients de savoir dire non à la médication lorsqu’elle est systématique et outrancière (ce qui ne veut pas dire renier toute médication) pour adopter une stratégie de santé différente et proactive. Fawkes (Introduction par Réseau Inernational à qui nous souhaitons une bonne année)

*****

Les statines sont les médicaments les plus rentables de l’histoire de Big Pharma. Ils sont promus comme le médicament passe partout pour prévenir / traiter les maladies cardiaques. Une étude récente a révélé que près de 100% des hommes et 62% des femmes âgées de 66 à 75 devraient prendre des statines même si leur taux de cholestérol est normal. (1) (Ndt: les autorités ont la même stratégie morbide en conseillant aux personnes agées la vaccination antigrippale systématique…voyez un peu ce que cela a provoqué) .

En écoutant les cardiologues classiques, l’American Heart Association, l’American College of Cardiology et de nombreux autres groupes traditionnels, ils voudraient vous faire croire que les statines devraient être incluses directement dans notre approvisionnement en eau. Si les statines abaissaient considérablement le risque de maladie cardiaque, ce qui n’est pas le cas, et si les statines n’étaient pas associées à des effets indésirables, ce qui est le cas, alors je pourrais accepter une discussion sur l’utilisation répandue de celles-ci. Cependant, les statines sont associées à un large éventail de réactions indésirables graves qui devrait amener les médecins à réfléchir à deux fois ou au moins faire preuve de prudence lors de la prescription de cette classe de médicaments.

Regardons quelques-unes des réactions indésirables de ces statines. Les numéros suivants proviennent de la FDA Adverse Events Reporting System. L’information a été compilée par le docteur Philip Blair. Quand j’ai vu le grand nombre de réactions graves signalées pour les utilisateurs de statines recueillies à partir de l’analyse des données du Dr Blair, je me suis dit, « La vache! ». le Dr Blair a expliqué que les données de la FDA, rapportées par les médecins praticiens, montre l’association fréquente entre les statines et de nombreuses maladies graves. Gardez à l’esprit que très peu de réactions indésirables de médicaments (1-10%) sont effectivement signalées à la FDA (Ndt: ce chiffre est comparable en France). Cette information a été signalée par mon collègue le docteur Duanne Graveline. Celui-ci a subi deux événements transitoires d’amnésie globale et une neuropathie chronique dus aux statines. Il a écrit un excellent livre sur son expérience avec Lipitor. Le livre est intitulé,  » Lipitor, thief of memory .  » (Lipitor, Voleur de mémoire).

Les statines agissent en empoisonnant une enzyme (HMG-CoA réductase) qui est nécessaire pour produire le cholestérol, les hormones surrénales et sexuelles, les protéines de la mémoire et maintenir l’énergie cellulaire. Les plus fortes concentrations de cholestérol dans le corps se trouvent dans le cerveau. Devinez quel organe va en pâtir lorsque la production de cholestérol est bloqué? Tout vu, il s’agit du cerveau.

Tous les événements suivants ont eu lieu de 2004 à 2014 et ont été recueillis à partir des bases de données des effets indésirables de la FDA.
Le fonctionnement du cerveau: il y avait 36 ​​605 cas de dysfonctionnement du cerveau qui comprenait des troubles de la mémoire, des cas transitoires d’amnésie globale, de la confusion, de la paranoïa, de la désorientation, la dépression et la démence liée à l’utilisation des statines. Rappelez-vous, ce nombre représente à peine 1 à 10% du nombre réel de réactions indésirables aux médicaments.

Pouvez-vous imaginer à quelle vitesse la FDA aurait retiré du marché une vitamine s’il s’avérait qu’elle causait des dizaines de milliers de cas de dysfonctionnement du cerveau?

J’ai vu de nombreux patients souffrant d’un déclin de la fonction du cerveau prendre des statines. Savoir que les statines empoisonnent une enzyme nécessaire à la fabrication du cholestérol permettrait à quiconque de prédire que les problèmes de cerveau seront plus communs lors de l’utilisation des statines.

Les statines sont en fait responsables de nombreux effets indésirables supplémentaires. En fait, il y a plus de 100 000 rapports d’événements indésirables liés aux statines. En plus du cerveau, les statines affectent négativement le fonctionnement du foie, des reins et des muscles. J’évoquerais davantage les autres effets indésirables de ces médicaments dans des articles ultérieurs.

J’ai écrit dans mon livre, « Drugs That Don’t Work and Natural Therapies That Do » (« des médicaments qui ne marchent pas, des thérapies naturelles qui fonctionnent »), « Vous ne pouvez pas empoisonner une enzyme essentielle ou bloquer un récepteur important sur le long terme et en attendre un bon résultat. »

Peut-être pourrions-nous vivre avec tous ces effets indésirables de médicaments si les statines abaissaient considérablement le risque de maladie cardiovasculaire. Mais, ce n’est pas le cas. Les statines n’ont jamais démontré de façon convaincante qu’elles prévenaient une première crise cardiaque chez les hommes et les femmes. Chez les hommes, la meilleure des études sur les statines montre un risque réduit de 1-4% de développer une seconde crise cardiaque. Chez les femmes, les chiffres sont pires.

Cela est choquant pour moi que tant de praticiens de santé et la quai totalité des cardiologues prescrivent ces médicaments à n’importe quel patient. Les patients atteints de maladies cardiaques ne vont pas développer une maladie cardiaque due à un syndrome de carence en statines. Peut-être ces praticiens de santé devraient commencer à faire ce que les médecins ont appris à faire: rechercher la cause sous-jacente de la maladie et régler le problème.

Plus d’informations sur les statines peuvent être trouvées dans mon livre ainsi que des recommandations sur ce que vous pouvez faire pour éviter de prendre un médicament de ce type.

Références:

  1. JAMA Int. Med. Published online November 17, 2014. E1
  2. Duanne Graveline, M.D. Lipitor, Thief of Memory

Source: Dr Brownstein

Traduction: Fawkes News

Voici comment l’Occident soutient «Daech» !

jeudi 1 janvier 2015 à 09:30
Voici comment l’Occident soutient «Daech» !
Par Samer R. Zoughaib

De plus en plus d’experts et d’analystes s’interrogent sur l’attitude ambigüe des Occidentaux à l’égard des terroristes de «Daech». D’un côté, ils prétendent les combattre mais de l’autre, ils leur apportent un précieux soutien militaire et financier.

Moufid al-Baldaoui, caïmacam (préfet) du district de Balad, au nord de Bagdad, a révélé, samedi, qu’un avion de la Coalition internationale a largué, la veille, un ballon géant au-dessus d’une région où des combattants de «Daech» sont encerclés par les troupes irakiennes et les volontaires de la «Mobilisation populaire». Ce ballon est semblable à ceux qui contiennent des armes, des munitions et d’autres équipements militaires parachutés aux troupes des peshmergas dans d’autres régions du pays. M. Baldaoui a demandé aux autorités irakiennes d’ouvrir UNE ENQUÊTE pour connaitre la composition du colis largué aux terroristes et identifier le pays responsable de ce parachutage. Il a précisé que des centaines d’habitants de Balad ont été témoins de cet incident, qui a été filmé (pour visionner la vidéo, cliquer ici ).

Ce n’est pas le premier incident du genre. Un officier de renseignement de l’armée irakienne et plusieurs autres experts ont révélé que des avions américains avaient largué des armes, des équipements et des rations alimentaires aux terroristes de «Daech» en difficulté dans la province de Diyala (Est de Bagdad), notamment dans la localité stratégique de Jaloula. Selon les mêmes sources, cette aide a permis aux terroristes, qui étaient sur le point de se rendre, de continuer de se battre pendant plusieurs jours. L’argument de l’erreur, invoqué par les responsables de la coalition pour expliquer ce parachutage, est peu convaincant, car ce jour-là, le 7 novembre, les avions de la coalition ont fait quatre passages, bien qu’ils aient été prévenu que les colis tombaient dans les régions contrôlées par les terroristes.

Le même scénario s’est reproduit fin novembre à trois reprises lors de la bataille de Jarf al-Sakhar, au sud de Bagdad. L’incident a suscité un tel émoi que le Premier ministre irakien, Haïdar al-Abadi, a protesté auprès du président américain Barak Obama. Lors de cette bataille, qui s’est terminée par la libération de cette région stratégique, les forces irakiennes ont capturé 300 terroristes de «Daech». L’un de leurs commandants a reconnu que ses hommes avaient profité des armes et des munitions larguées par des avions américains.

Ventes de pièces archéologiques en Occident

«Daech» profite aussi des largesses des Occidentaux pour alimenter ses caisses en devises fortes. UNE ENQUÊTE réalisée par Svetlana Kholodnova pour la «Voix de la Russe» révèle que l’organisation terroriste revend à des collectionneurs occidentaux les trésors archéologiques pillés en Irak et en Syrie. Ce marché lucratif, qui s’est essentiellement développé au Royaume-Uni, rapporterait plusieurs dizaines de millions de dollars. La journaliste ajoute que «seulement 1% des lots est intercepté par les forces de l’ordre, le reste s’éparpillant dans les pays d’Europe et aux Etats-Unis».

«Rien n’arrête les collectionneurs qui achètent les trésors aux terroristes», ajoute Mme Kholodnova avant de poursuivre: «Washington et les Européens affirment à l’unisson qu’il faut lutter contre l’EI et couper ses rentrées d’argent. Mais ces affirmations n’ont rien à voir avec la réalité. Selon les services de renseignement irakiens, suite au pillage de plusieurs lieux saints près de la ville syrienne de Nabak, les rebelles auraient empoché près de 40 millions de dollars.»

Ce flot de devises vient s’ajouter aux 50 à 100 millions de dollars générés tous les mois par «Daech» grâce au trafic de pétrole. Le brut est écoulé sur le marché noir via la Turquie et le Kurdistan irakien, au vu et au su des autorités, qui ne font rien pour mettre un terme à cette manne de dollars, qui permet à l’organisation terroriste d’entretenir une armée de plusieurs dizaines de milliers de combattants.

http://www.french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=13783&cid=324#.VKMtJ_-BOc

Nos meileurs voeux pour 2015

mercredi 31 décembre 2014 à 18:55
Nos meileurs voeux pour 2015

Une nouvelle année commence, la santé pour vous et vos proches évidemment, mais aussi du bonheur, de la douceur, de la découverte et de l’esprit.  Nous vous souhaitons de vivre pleinement, intensément, dans une sagesse bien arrosée.

Sur la planète Terre, 2015 s’annonce mouvementée, en occurrence et au regard du niveau de bassesse intellectuelle et morale de nos dirigeants, nous voulons par avance  adresser à notre « belle Bleue » nos plus plates excuses pour les dommages inévitables à venir.

En ce qui nous concerne, l’équipe de XikiStrike continuera à vous offrir une autre information que celle répandue par nos médias sous contrôle, en pensant à ce simple adage : « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ».

Chers WikiStrikers, nous savons que nous pouvons compter sur vous pour ne pas baisser les bras. Jamais. Pour la vérité politique, scientifique, archéologique, astronomique,  pour la défense des peuples du monde, pour la préservation de notre écosystème, pour la sauvegarde de notre biodiversité, contre tout ce qui nous détruit, ceux qui veulent nous contrôler, tout savoir de nous, contre ceux qui nous menottent, contre ceux qui se gavent sur notre dos, nous serons là, et nous dénoncerons.  

A vous tous, nous vous adressons nos meilleurs vœux pour 2015. 

 

L'équipe