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Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

lundi 27 octobre 2014 à 11:32
Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

Après avoir rédigé cette usine à gaz de constitution européenne, l’accordéoniste et ancien président de la république Valérie Giscard d’Estaing, donne son avis sur la situation de la France. Ce monsieur avec son comparse de l’époque Pompidou (ancien PDG de la banque Rothchild) et ancien président de la république lui aussi, non content d’avoir fait la fumeuse loi de 1973 permettant à la France d’emprunter aux banksters privés avec intérêts, plutôt qu’à notre banque de France à zéro % , ose ouvrir son clapet pour nous dire que nous allons à la catastrophe. (Intro par les Moutons enragés)

Pour Valéry Giscard d'Estaing, la France va sombrer comme la Grèce et devra demander l'aide du FMI !

 

L'ancien président Valéry Giscard d'Estaing estime que la France "risque de se retrouver dans la situation qu'a connue la Grèce" et de devoir "demander l'aide du FMI", dans une interview publiée samedi dans Le Figaro. Celui qui fut chef de l'Etat de 1974 à 1981, propose, avec le soutien d'Helmut Schmidt, chancelier allemand à la même époque, de former autour de l'euro un "ensemble homogène" d'une douzaine de pays dotés des mêmes règles budgétaires et fiscales, qu'il appelle "Europa".
 
Malgré une dette élevée, explique-t-il, "aujourd'hui nous sommes protégés par des taux d'intérêt très bas, mais c'est provisoire. La Fed (banque centrale américaine, ndlr) a annoncé son intention de relever ses taux d'intérêt dès que la conjoncture le permettra, probablement dans les 18 mois (...) Ce jour-là, notre pays risque de se retrouver dans la situation de la Grèce. Les pouvoirs publics seront conduits à demander l'aide du FMI".
 
Selon VGE, "le mécanisme de l'Europe a été disloqué avec le non français au référendum de 2005. Pour autant, les sondages l'attestent : une grande majorité de nos compatriotes ne veut en aucun cas abandonner l'euro ! Nous devons prendre appui sur ce soutien de l'opinion pour retrouver le fil du projet européen initial avec ceux qui, parmi nos voisins, le veulent bien. Et laisser les autres vivre leur vie". Feraient partie de cette union approfondie la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l'Espagne, le Portugal, l'Autriche, et "le moment venu la Pologne", précise-t-il, en ajoutant que "la participation de l'Irlande et de la Finlande peut être envisagée".
 
"Ces douze pays constitueraient un ensemble homogène que nous appellerons Europa. Son objectif est de compléter l'euro par une union budgétaire et fiscale, dotée à terme d'un Trésor public commun et d'un mécanisme de solidarité financière", détaille Valéry Giscard d'Estaing, qui défend cette thèse dans un livre "Europa - la dernière chance de l'Europe" (XO Editions), préfacé par Helmut Schmidt.

 

Source : Lci.tf1.fr