Vous êtes-vous déjà demandé comment rendre votre compte Twitter qui poste vos news de blog, un peu plus « intelligent », ou du moins, un peu moins monotone ?

Et bien, aujourd’hui, je vais vous montrer comment faire exactement cela.

Dans cette vidéo, on va décortiquer ensemble un script Python qui permet de récupérer la dernière news d’un flux RSS, d’en faire un tweet unique grâce à ChatGPT et de poster tout ça sur Twitter. Oui, oui, vous avez bien lu : on va mixer l’automatisation de récupération de news et la magie de l’IA pour pondre des tweets qui ont du sens et de la saveur.

Un grand merci à mes Patreons

Je tenais à remercier du fond du cœur tous mes Patreons qui soutiennent ce genre de projets et permettent de continuer à explorer, à tester et à partager ces connaissances avec vous. Vous êtes les meilleurs ! ❤️

Pour ceux qui sont abonnés Patreon, vous pouvez d’ores et déjà récupérer le code source. Pour les autres, n’hésitez pas à jeter un œil à ma vidéo pour une démo en direct !

Et en bonus « Rien à voir », un petit morceau de musique :

Quand on commence à s’intéresser un peu à Docker, tout semble simple et léger, du moins en apparence. D’ailleurs, si vous débutez avec Docker, j’ai fait une vidéo d’initiation pour débutants pour mes Patreons que je vous offre à la fin de cet article.

Mais pour qu’une image Docker soit OK, il faut qu’elle ait été un minimum optimisé. Et ce n’est pas forcement instinctif, surtout quand on débute.

C’est pourquoi , je vous présente un outil aussi magique qu’un Fabien Olicard sous Caprisun, qui va non seulement vous permettre de comprendre la structure de vos images Docker de fond en comble, mais également d’optimiser leur taille et de libérer cet espace disque précieux dont on manque tous sur nos ordis. Cet outil c’est Dive.

Imaginez que vous êtes développeur ou administrateur système, et que vous devez régulièrement manipuler et gérer des images Docker. Vous savez qu’il est crucial d’optimiser ces images pour réduire leur taille et ainsi améliorer leur efficacité, mais vous ne savez pas par où commencer. Dive est là pour vous aider ! Avec cet outil, vous pourrez analyser facilement vos images Docker, découvrir les modifications effectuées à l’intérieur chaque couche et optimiser leur taille de manière efficace.

Tout d’abord, il suffit de remplacer la commande « docker build » par « dive build » pour analyser l’efficacité et l’espace gaspillé de votre image Docker.

dive <tag/id/digest de votre image>

Dive prend en charge plusieurs sources d’image et moteurs de conteneurs (à l’heure actuelle, Docker et Podman). Pour l’installation, Dive est disponible pour Ubuntu/Debian, RHEL/Centos, Arch Linux, Mac et Windows.

Pour l’installer sous macOS :

brew install dive

Pour l’installer sous Linux (Ubuntu / Debian) :

export DIVE_VERSION=$(curl -sL "https://api.github.com/repos/wagoodman/dive/releases/latest" | grep '"tag_name":' | sed -E 's/.*"v([^"]+)".*/\1/')

curl -OL https://github.com/wagoodman/dive/releases/download/v${DIVE_VERSION}/dive_${DIVE_VERSION}_linux_amd64.deb

sudo apt install ./dive_${DIVE_VERSION}_linux_amd64.deb

Intégrer Dive dans votre processus de CI (intégration continue) est également possible en utilisant la variable d’environnement CI=true. Vous pouvez même configurer des règles dans un fichier .dive-ci pour automatiser certaines vérifications et optimisations de vos images Docker.

Naviguer dans Dive est un jeu d’enfant grâce aux raccourcis clavier. Vous pourrez explorer les couches de vos images Docker, filtrer les fichiers, gérer les paramètres spécifiques à chaque couche et personnaliser l’interface utilisateur en créant un fichier de configuration.

Pour en savoir plus sur Dive et ses fonctionnalités, je vous invite à consulter le dépôt GitHub officiel ici. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour maîtriser cet outil fantastique, ainsi que des exemples et des astuces pour optimiser vos images Docker comme un pro.

Bonne optimisation à tous !

Si vous êtes comme moi, vous appréciez peut-être les jeux qui stimulent l’esprit sans trop se compliquer la tâche. Le genre de petits casse-têtes qui font travailler les méninges tout en offrant un moment de détente par exemple le fameux jeu « Gagne Ton Papa« , avec lequel je m’amuse beaucoup, surtout quand je joue avec des enfants.

C’est donc avec bonheur que je suis tombé sur « Blocks« , un nouveau jeu en ligne qui a su me rendra accro pendant un petit moment. Sa conception épurée rend l’expérience de jeu encore plus sympa.

Le principe du jeu est fondamentalement simple : on vous présente diverses figures géométriques, et votre défi est de les agencer correctement pour former un carré parfait. Cela peut sembler facile au début, mais ne vous y trompez pas ! Les 60 niveaux proposés augmentent progressivement en difficulté, ajoutant des couches de complexité à mesure que vous progressez.

L’interface minimaliste permet aux joueurs de se concentrer entièrement sur le puzzle, éliminant toute distraction inutile et vous avez même de la musique sympa pour vous accompagner.

Bref, la beauté de Blocks réside dans sa capacité à offrir un équilibre parfait entre la détente et le défi cérébral. Que vous ayez quelques minutes à perdre en attendant un rendez-vous, ou que vous cherchiez un moyen d’échapper à la monotonie du travail, Blocks est l’outil idéal pour vous vider l’esprit tout en vous amusant.

J’ai déniché pour vous une pépite qui ravira les fans de retrogaming et les nostalgiques de la grande époque des consoles 8-bits : un hack de The Legend of Zelda qui vous replonge dans l’univers de… Super Mario !

Vous vous souvenez de ces soirées passées à essayer de sauver la princesse Peach des griffes de ce stupide Bowser ?

Et bien, préparez-vous à revivre de palpitants moments avec cette ROM NES custom intitulée « The Legend of Super Mario – Save Mushroom Kingdom (La Légende de Super Mario – Sauvez le Royaume Champignon) » !

Dans ce hack audacieux, Bowser a encore une fois capturé la Princesse Peach et plongé le Royaume Champignon dans la tyrannie. Évidemment, vous incarnez notre cher Mario, le plombier héroïque, qui doit trouver les Super Stars pour sauver le Royaume. Mais attention, ce ne sera pas une promenade de santé : des affrontements contre des Goombas, des Koopas et d’autres créatures que vous connaissez bien, vous attendront dans votre quête des huit Super Stars.

Comme vous pouvez l’imaginer, cela donne un mélange explosif entre l’aventure épique de Zelda et le fun déjanté de Super Mario. Vous devrez vous frayer un chemin à travers des donjons remplis d’ennemis et résoudre des énigmes pour avancer dans votre mission de sauvetage. Chaque Super Star trouvée vous rapprochera de la victoire finale et de la libération du Royaume Champignon.

Trop coooool, non ?

Imaginez toutes les possibilités de gameplay avec cette rom : vous balader dans les niveaux de Super Mario comme on explore une map Zelda, résoudre des énigmes à la manière d’un héros légendaire qui porterait une bonne grosse moustache, et enfin vaincre Bowser pour sauver la princesse et le Royaume Champignon.

Pour ceux qui voudraient essayer ce hack, rendez-vous sur le site : Légende de Super Mario – Sauvez le Royaume Champignon. Vous y trouverez toutes les infos pour vous lancer dans cette aventure épique. Attention cependant, vous aurez besoin d’une copie ROM originale (ah ah !) du jeu NES The Legend of Zelda pour appliquer le hack et ainsi profiter de cette expérience unique.

Pour appliquer le patch, vous pouvez le faire en mode soft-patching directement via l’un de ces émulateurs : RetroArch, Snes9x, VBA où vous devrez ouvrir le jeu + le patch, ou en appliquant directement le patch sur la ROM avec Multipatch pour macOS ou LunarIPS pour Windows.

Enfilez vos bottes de plombier et préparez-vous à explorer le Royaume Champignon comme jamais auparavant !

Les amis, laissez-moi vous présenter un logiciel fantastique qui va vous replonger dans les années 90 et raviver vos vieux souvenirs de jeux vidéo.

Vous souvenez-vous des aventures de Guybrush Threepwood dans Monkey Island ou des courses folles avec les TIE Fighters de Star Wars ?

Et bien, préparez-vous à revivre ces moments avec DREAMM, un émulateur exclusif aux jeux LucasArts qui vous permettra de rejouer à de nombreux jeux DOS, Windows et FM-Towns identiques aux originaux.

Alors, enfilez votre chapeau d’Indiana Jones et allons voir tout ça !

Créé par Aaron Giles, DREAMM fonctionne sous Windows, macOS et Linux 64 bits avec un support natif pour les processeurs Intel et ARM. Il prend en charge diverses éditions, langues et versions des jeux SCUMM, GrimE, Star Wars, Indiana Jones et autres jeux LucasArts.

Vous pouvez télécharger la dernière version de DREAMM en allant sur ce site.

Lorsque vous lancez DREAMM, vous accédez au Game Manager pour ajouter, configurer et exécuter les jeux. L’interface principale montre les icônes des jeux installés, et vous pouvez ajouter de nouveaux jeux à tout moment, sauf pendant une opération d’ajout en cours. Pour configurer et exécuter un jeu, cliquez simplement sur son icône ou naviguez avec les touches fléchées.

Sélectionnez un jeu et accédez à l’écran de configuration et de lancement, où des informations sur la compatibilité sont disponibles dans la zone d’état. Vous pouvez gérer l’installation en cliquant sur l’onglet MANAGE, où vous pourrez vérifier les fichiers, désinstaller le jeu et accéder aux données pertinentes du jeu.

Avec DREAMM, vous pouvez facilement explorer et configurer les dossiers de jeux, ainsi que les options audio et vidéo. Vous pouvez également contrôler la taille de l’écran du gestionnaire de jeux, basculer entre le mode fenêtré et plein écran et ajuster la taille avec des raccourcis clavier.

DREAMM nécessite les fichiers d’origine pour exécuter un jeu. Il prend en charge les images disque de disquettes (IMG, IMA, VFD) et de CD-ROM (ISO, CUE/BIN, MDS/MDF, CCD/IMG). Pour installer à partir d’images disque, sélectionnez toutes les images et faites-les glisser sur la fenêtre de DREAMM. Si vous possédez les disquettes ou CD-ROM d’origine, vous pouvez également les installer à partir de ces supports. Et si vous n’avez pas les jeux d’origine, sachez qu’il y a des démos sur Archive.org au moins pour tester.

Lors de l’installation d’un jeu via DREAMM, choisissez le lecteur C: comme cible et laissez l’installateur faire son travail. DREAMM détecte et transfère les jeux installés.

DREAMM émule vraiment les jeux au niveau du CPU et nécessite les fichiers exécutables originaux. Son concurrent ScummVM n’émule pas mais est une réécriture complète issu d’un reverse engineering. Donc le rendu n’est pas fidèle aux jeux d’origine, alors qu’avec DREAMM c’est 100% identique à l’expérience que vous avez pu avoir étant jeune. Mais les 2 outils fonctionnent très bien, on est sur du chipotage à ce niveau, il faut bien le reconnaitre.

DREAMM gère également les contrôles de joystick. Utilisez Alt+U⌘U ou F12 pour récupérer le contrôle de la souris si nécessaire.

Voilà, j’espère que ça vous aura donné envie de vous refaire un Indiana Jones ou de replonger dans un bon vieux Sam & Max.