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Korben

source: Korben

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SwiftGuard – Protégez vos ports USB sous macOS

samedi 18 novembre 2023 à 09:00

Si vous êtes sous Mac et que vous avez moyen confiance dans les rigolos qui partagent votre open space, j’ai un outil pour vous.

SwiftGuard est un outil de sécurité pour macOS qui offre une surveillance des ports USB, une liste blanche d’appareils autorisés et la possibilité de tout personnaliser aux petits oignons. Cet outil génial vise à protéger vos fichiers et à empêcher l’exfiltration de données, notamment dans les environnements publics.

Cette application anti-forensic se niche dans votre barre des tâches, scrutant les allées et venues sur vos ports USB.

Et si un intrus USB est détecté, SwiftGuard réagira au quart de tour, mettant votre système en hibernation ou l’éteignant carrément.

Mais ne vous inquiétez pas, vos fidèles périphériques à vous, seront sur liste blanche, et vous avez évidemment le contrôle des actions à exécuter, avec même un compte à rebours pour désarmer la procédure d’extinction.

Avec ce genre d’outil, il est possible également de déterminer qu’une clé USB connectée à l’ordinateur se comporte comme un sésame et qu’une fois qu’on la retire, l’ordinateur s’arrête. En attachant cette clé USB à votre poignet, si quelqu’un subtilise votre ordinateur pendant que vous l’utilisez, la clé sera déconnectée et le Mac s’éteindra automatiquement.

J’avoue, c’est pour les super paranos, ou pour les sociétés qui ont des protocoles de sécurités très élevés mais savoir que c’est possible, c’est déjà ça. En plus, c’est totalement open source, donc auditable et compilable sans soucis.

Bref, vous transformez votre Mac en forteresse numérique, et ça, c’est cool !

À télécharger ici !

Test de DisplayLink – Pour résoudre la limitation d’affichage externe des Macs Apple Silicon M1/M2/M3

samedi 18 novembre 2023 à 08:41

— contient des liens affiliés Amazon —

Ça fait un bon moment que je me suis habitué à avoir 3 écrans pour bosser. C’est très pratique notamment lors de mes lives Twitch où je peux partager un écran, suivre les commentaires en live et me garder une zone « off » pour faire des trucs que je ne souhaite pas montrer.

Seulement voilà, que ce soit avec le MacBook Air M2 ou l’iMac M3, comme ceux-ci ne sont pas équipés d’une puce Silicon Pro ou Ultra, impossible de brancher plus de 1 écran.

C’est relou et sur ce coup, je ne remercie pas Apple.

Mais c’était sans compter sur la techno Display Link qui permet de corriger ce désagrément. DisplayLink est une entreprise spécialisée dans le développement de logiciels et de puces qui facilitent la connexion entre les ordinateurs et les écrans qu’ils soient connectés en HDMI, en USB, Ethernet ou même Wi-Fi.

Leur technologie propriétaire est utilisée dans un tas de produits, notamment des docks et autres adaptateur USB-C / Thunderbolt. Leur modèle commercial repose sur la vente de puces et de licences pour leur technologie à des fabricants de matériel informatique, qui intègrent ensuite ces solutions dans leur matos.

Ça faisait un moment que j’en avais entendu parler, mais jusqu’à présent, j’avais toujours réussi à contourner le problème. Mais avec mon iMac M3, c’était mort. J’ai donc investi dans cet adaptateur de marque OWC et voici un petit article pour vous donner mon avis sur ce produit.

Ce boitier qui fait 12 cm sur 6 cm se branche sur un port Thunderbolt ou USB-C et dispose de 2 ports HDMI permettant de brancher 2 écrans 4K sur l’ordinateur. Idéal donc pour les utilisateurs de Mac Apple Silicon M1, M2 ou encore M3. Mais il peut également fonctionner sur les PC si votre ordinateur est incapable de gérer plus de 1 écran externe.

Techniquement, la solution de DisplayLink repose sur une combinaison de matériel et de logiciel. On y trouve donc une puce spéciale, conçue pour encoder et compresser les signaux vidéo. Lorsque l’utilisateur connecte un écran via un de ces adaptateurs, le signal vidéo de l’ordinateur est d’abord compressé via le logiciel DisplayLink puis une fois que le signal arrive aux écrans, la puce DisplayLink décompresse et reconstitue le signal vidéo, assurant que l’image affichée est fidèle à celle d’origine.

Cette méthode de compression et décompression offre une grande flexibilité dans les configurations d’affichage, et garantit une qualité d’image élevée. Bref, c’est plutôt ingénieux et ça rend possible l’utilisation de plusieurs écrans via un seul port USB-C Thunderbolt. Et vous pouvez évidemment faire de la copie d’écran ou de l’affichage étendu comme si c’était nativement.

En plus de sa fonctionnalité principale, l’adaptateur offre également une alimentation, permettant de recharger complètement un MacBook Pro ou MacBook Air M1 tout en faisant fonctionner deux écrans à partir d’un seul port.

Niveau prix, par contre, c’est assez cher, mais on paye la technologie qui se trouve dedans… Celui-ci est vendu un peu plus de 123 euros. Par contre, dès que je l’ai reçu, je l’ai branché, j’ai installé le soft DisplayLink et ça a tout de suite fonctionné. Je n’ai pas eu besoin de faire de paramétrage chelou et ça a même réglé les soucis de résolution que j’avais sur mes écrans externes.

Pour la petite histoire, l’un d’entre eux est 4K, mais l’image se retrouvait être bien baveuse une fois branché en direct sur un Mac avec une puce Silicon. Avec ce boitier d’OWC, ils ont été pris en charge par macOS aussi bien qu’un écran Apple officiel.

Pour info, le boitier que j’ai choisi permet de brancher uniquement 2 écrans supplémentaires mais il existe d’autres boitier DisplayLink qui permettent d’en connecter beaucoup plus. Je vous laisse aller voir ça.

Bref, c’est vraiment un truc indispensable si vous êtes passé un ordinateur Apple M1 / M2 / M3 et que vous galérez avec vos écrans externes. Là, avec ce boitier plus de souci.

AirConnect pour Synology – Quand votre matos Sonos, UPnP et Chromecast devient compatible AirPlay d’Apple

vendredi 17 novembre 2023 à 09:00

Si vous êtes équipé d’un iPhone ou d’un iPad et que vous adorez diffuser de la musique à l’aide d’AirPlay, vous êtes peut-être frustré de ne pas pouvoir le faire sur d’autres appareils Upnp, ChromeCast ou vos enceintes Sonos. En effet, ces protocoles et ce matériel n’ont rien à voir avec AirPlay et ne sont pas supportés par Apple.

Mais c’était sans compter sur le projet AirConnect pour Synology qui va vous permettre de rendre compatible AirPlay, l’ensemble des appareils Upnp et Chromecast de votre réseau. Ce package s’installe facilement sur les routeurs et les NAS Synology et sans aucune configuration, vous permettra de voir comme appareil AirPlay, tout ce qui ne l’est pas, y compris le matos Sonos.

Je l’ai mis en place chez moi et j’ai trouvé ça tellement génial que je vous en ai fait une vidéo tuto rapide :

AirConnect-Synology est un package compatible de la version 5.0 de DSM à la version 7.1 (attention, vérifiez bien quand même si votre architecture de NAS / Routeur est compatible).

A découvrir ici.

Utiliser Surfshark VPN pour sécuriser vos échanges avec ChatGPT

jeudi 16 novembre 2023 à 10:30

Surfshark Logo

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Vous le savez si vous lisez régulièrement mon site, mais Surfshark VPN est l’un de mes partenaires de longue date et surtout l’un des services cybersec dont je me sers depuis le plus longtemps. Et s’il y a un aspect que je n’ai pas encore abordé c’est comment un VPN peut s’adapter à la vague des nouveaux services récents, en priorités les fameuses IA (dont je parle à foison en ce moment).

Pour commencer, je vais vous rappelez ce qu’est ChatGPT pour ceux du fond qui n’auraient pas suivi 😉 Il s’agit d’un chatbot qui utilise l’Intelligence artificielle pour répondre et échanger avec un humain à l’autre bout, sous la forme d’une conversation assez classique. Répondre à vos questions, faire de la traduction, pondre du code de programmation, résumer un texte ou écrire un livre faire des traits d’humour … il peut faire beaucoup de choses. Et, sans être parfait, il le fait plutôt bien et de mieux en mieux au fil des mois.

Du coup si, comme moi, vous êtes un avide utilisateur de l’outil (c’est mon nouveau meilleur ami), un VPN va servir dans 2 cas. Déjà parce que ChatGPT n’est pas accessible depuis partout sur la planète. Car oui, certains pays l’ont tout simplement interdit. Surtout des pays qui ne vont pas vous surprendre (la Chine, l’Iran, la Corée du Nord ou la Russie notamment), mais aussi d’autres auquel nous n’aurions pas pensé, comme l’Italie en ce moment. Si vous habitez/voyagez, dans ces endroits, un VPN va vous permettre d’y accéder malgré tout. Rappelons aussi qu’il existe encore un flou autour du respect des droits RGPD de l’outil, ce qui pourrait à un moment l’amener à se faire bloquer chez nous.

Le second intérêt est de cacher votre réelle identité numérique à l’outil d’OpenAI. Car les discussions que vous avez avec l’IA peuvent souvent en dire beaucoup sur vous. En temps normal il va pouvoir « coupler » vos discussions ChatGPT avec votre adresse IP, vos cookies, votre email ou vos noms (donnés lors de la création du compte), voir vos données bancaires (si vous prenez l’option payante). Cela commence à faire pas mal de données.

Surtout si dans vos conversations avec l’IA vous lui posez des questions concernant des soucis de santé, des pensées, lui demander un plan alimentaire ou des séries d’exercices, quelles activités pratiquer dans telle ville, etc. Et ne riez pas, mais certains rentrent très vite dans le mood de lui partager leurs réflexions les plus intimes, surtout qu’il est possible de lui parler directement (Talk to ChatGPT). Vous avez vu le film Her ? Et bien ChatGPT peut très facilement devenir assez proche de vous, ou tout du moins savoir sur quoi vous êtes en train de travailler, ce que vous mettez en place dans votre quotidien & co.

Surfshark VPN va aider à cacher tout cela et à protéger votre vie privée. Grâce à leurs 3200 serveurs répartis dans plus de 100 pays, l’adresse IP rotative automatiquement, le chiffrement du trafic de bout en bout ou la création d’identité alternative (avec l’offre Surfshark One), sont autant d’options qui vont brouiller les pistes.

J’en profite pour rappeler quelques-uns des intérêts principaux de Surfshark :

Bref, quel que soit votre moyen de vous connecter aux outils d’intelligence artificielle, il vous protègera. Et pas que vous d’ailleurs puisque l’autre point fort de l’outil est de protéger un nombre illimité d’appareils en simultané. Toute la famille va pouvoir discuter avec son propre chatbot personnel. C’est quand même mieux que de se parler en vrai hein, on est en 2023 après tout. Les relations humaines c’est soooo 20e siècle.

En plus c’est toujours la bonne période pour profiter de l’offre à -86% sur leur abonnement 2 ans (+ 3 mois offerts). Du coup vous allez payer moins de 65€ (TVA comprise) pour 27 mois d’utilisation (2.4€/mois) ! Ou 90€ pour 28 mois si vous prenez l’offre Surfshark One avec le combo antivirus/alertes/identité alternative & co en plus. Vous pouvez même payer en cryptomonnaies, maintenant que ça remonte un peu.

Découvrir Surfshark VPN !

UserDiag – Pour résoudre les soucis de votre PC Windows

jeudi 16 novembre 2023 à 09:00

Vous connaissez ce moment frustrant où votre PC commence à faire des siennes et vous êtes là, sans aucune idée de comment le dépanner ???

Et bien bonne nouvelle, vous aurez maintenant un allié à vos côtés : UserDiag ! Cet outil va devenir, j’en suis sûr, votre nouveau compagnon de diagnostic, prêt à plonger dans les entrailles de votre machine Windows pour vérifier que tout roule comme sur des roulettes, aussi bien du côté matos que logiciel.

Pour résumer, lancer UserDiag, c’est comme lancer un contrôle technique de votre voiture mais sur votre PC. Il inspecte, il teste, et à la fin, il vous crache un rapport technique complet sur l’état de votre machine. Et si jamais il trouve quelque chose qui cloche, il vous propose évidemment des pistes de résolution.

Pas mal, non ?

La beauté de la chose, c’est que UserDiag ne se perd pas dans les méandres des longs et laborieux tests de stress ou des benchmarks, qui, avouons-le, peuvent vite devenir super relous. Non, son job à lui, c’est de simplement de vous dire si tout va bien ou si des petites retouches sont nécessaires.

Pour l’utiliser, rien de plus simple : vous le téléchargez, vous le lancez, puis vous choisissez l’un des trois profils proposés, et il s’occupe du reste. Il récupère toutes les infos sur votre BIOS, sur Windows, et sur les composants de votre ordinateur. Il fait même un petit stress test rapide (c’est promis) de vos composants, histoire de voir comment ils réagissent sous pression.

Et à la fin, tadaaaaa ! Il vous affiche un diagnostic complet dans votre navigateur. Vous n’avez alors plus qu’à vérifier que tout est en ordre.

Le diagnostic se présente en trois parties. La première, c’est la liste des conseils et des problèmes détectés. La deuxième, c’est un état des lieux de vos composants, pour vérifier que tout est bien configuré et à jour. Et la dernière, c’est une série de graphiques pour visualiser comment votre système réagit au fil du temps.

Un des atouts majeurs de UserDiag, c’est surtout son intégration avec HWiNFO, un outil de monitoring en temps réel que vous connaissez probablement. Grâce à lui, UserDiag peut vous fournir des relevés précis des tensions, des fréquences et des températures du système. Et évidemment, il est compatible avec les dernières générations de processeurs et les architectures récentes.

Bref, si vous avez des problèmes mystérieux à résoudre sur votre PC, ou que vous voulez simplement savoir ce qu’il a dans le ventre, je vous invite à aller faire un tour sur UserDiag, récupérer l’outil et lancer un petit check-up !