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Safran recrute des ingénieurs dans la data

jeudi 6 février 2020 à 16:16

Safran, groupe international de haute technologie opérant dans les domaines de l’aéronautique, de la défense et de l’espace, recrute des développeurs et ingénieurs data. Cette semaine, au travers de l’interview de Valérie Quiniou, nous vous proposons de découvrir l’entité Safran Analytics et ses métiers de data engineer et développeurs, afin de vous faire une idée des projets sur lesquels vous pourriez travailler.

Bonjour Valérie, pourriez-vous vous présenter ainsi que votre équipe ?

Valérie Quiniou :

Je suis responsable du pôle DevOps au sein de Safran Analytics, l’entité du Groupe chargée de coordonner nos activités dans le domaine du big data et de l’Analytics. Dans l’équipe, nous sommes une vingtaine de développeurs, data engineer et experts plateforme. Notre mission est de faire de l’exploitation des données un levier de performance pour le Groupe. Nous accompagnons nos sociétés dans la collecte et l’analyse des données qui, combinées à leurs expertises métiers, va permettre de développer de nouveaux services pour Safran et ses clients.

Mon équipe est pluridisciplinaire et nous sommes privilégiés, d’abord parce que nous travaillons avec des méthodes et des technologies innovantes avec les moyens d’un grand Groupe, mais aussi grâce aux challenges très stimulants qui nous sont soumis, sans parler de notre cadre de travail sur le plateau de Saclay qui est exceptionnel.

Quels types de profils managez-vous ?

Je manage à la fois des développeurs front-end / back-end / full stack ainsi que des data engineers. Je recrute activement tous ces profils même si, en ce moment, je mets l’accent sur le recrutement de data engineers. Ces derniers conçoivent pour Safran Analytics tous les pipelines data des différents projets et s’assurent que ces données soient correctement transmises et misent à disposition dans les délais et les performances attendues.

Je recherche également des experts techniques qui assurent le maintien, en condition opérationnelle, de notre plateforme.

Définition Data Engineer : 

"Le Data Engineer définit, développe, met en place et maintient les outils et infrastructures adéquats à l’analyse de la donnée par les équipes de Data Science. Il veille à créer une solution permettant le traitement de volumes importants de données tout en garantissant la sécurité de celles-ci. Il représente le premier maillon de la chaîne de traitement de données." source
Cyril Abad / CAPA Pictures / Safran

Quelles qualités demandez-vous aux candidats ?

Pour les profils de data engineer, nous recherchons des personnes qui, lorsqu’elles implémentent une solution, ne raisonnent pas uniquement en matière de développement from scratch, mais qui sont capables, au moment d’agir, de se demander s’il vaut mieux tout développer ou intégrer des solutions du marché, ou encore mixer les 2 possibilités. Pour les développeurs, comme nous privilégions beaucoup la méthode agile SCRUM et les technologies telles que JavaScript et React JS pour le front-end ou Python ou Spark pour le back-end, ces expériences sont importantes au moment du recrutement.

Que fait Safran Analytics exactement ?

Notre rôle est de travailler sur le traitement de la donnée à toutes les étapes de son acquisition depuis une source, qu’elle soit interne dans nos usines ou chez un client, en passant par son analyse et jusqu’à sa présentation.

Par exemple, en data manufacturing, nous pouvons avoir à étudier une ligne de production sur laquelle nous fabriquons une pièce X, et pour laquelle nous constatons une digression avec un taux de rebus en croissance. Notre rôle est d’analyser les données pour d’identifier les causes et que les actions correctives et préventives puissent être mises en place. C’est très motivant et notre mission a un impact concret sur le quotidien des sociétés Safran mais aussi sur celui de tous les clients du Groupe qui, pour la majorité, sont dans le secteur de l’aéronautique.

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Grâce à nos données, par exemple, les compagnies aériennes sont capables de maximiser le temps de vol de leurs appareils, tout en assurant une fiabilité maximale grâce à l’analyse de l’érosion et à la maintenance prédictive.

Nous sommes énormément sollicités, nous travaillons sur des projets technologiques très différents et, s’il est nécessaire d’avoir des compétences techniques, il faut aussi avoir une culture large et à jour des technologies actuelles, pour prescrire les bonnes méthodes et les outils en fonction des besoins utilisateurs.

Un petit mot pour la fin ?

Oui, même si nous sommes un grand Groupe, nous avons au sein de Safran Analytics une parfaite autonomie et nous sommes capables, à la fois de nous investir dans des projets longs termes, tout en expérimentant de nouvelles choses au sein de notre « data garage » dans le cadre de projets annexes.

En ce moment par exemple, nous testons des montages avec de l’Arduino, des Raspberry, nous nous intéressons aux technologies de la Blockchain, les drones. C’est très enrichissant et ça nous donne plein d’idées pour le futur au sein d’Analytics !

Crédit photo : Benoit Vallet / Safran 

Interview réalisée dans le cadre de la campagne de recrutement SAFRAN

Quelques postes ouverts chez SAFRAN

Autodidacte, le plus beau métier du monde !

jeudi 6 février 2020 à 15:36

Je suis autodidacte. Depuis toujours. Je sais faire énormément de choses dans des domaines très variés. C’est une force même si l’absence de diplôme qui quelque part « valide » une compétence est quelque chose que je continue parfois à ressentir quand je me mets en contact avec la société normale.

Mais j’ai de la chance, car je n’ai besoin de me faire valider par personne. Je ne fais partie d’aucun groupe de quelque nature que ce soit, je n’ai de compte à rendre à personne, je prends mes propres décisions, je ne dépends d’aucune plateforme, d’aucun patron, d’aucune entreprise et quand quelqu’un ou quelque chose tente de m’enfermer, je sais me dérober très vite. Et malheureusement, si vous pensiez le contraire me concernant, sur l’un de ces points, c’est que vous êtes victime d’un préjugé :).

Évidemment, cela fait de moi quelqu’un de solitaire. J’ai des amis, je vous rassure, et je ne travaille pas complètement seul, mais dans ma tête, dans mes prises de décisions et dans mon quotidien, je fonctionne en autonomie totale. Quand je décide de quelque chose avec mon cerveau, je fais souvent le mauvais choix. Mais quand je décide avec mon coeur, je ne suis jamais déçu. J’ai mis des années à retenir la leçon, mais maintenant c’est bon, j’ai capté.

Être autodidacte, c’est savoir apprendre, comprendre et faire les choses, par soi-même. Cela ne veut pas dire que vous avez la science infuse ou que vous n’avez ni mentor ni professeur. Non. Cela veut tout simplement dire que vous êtes votre propre motivation et que vous ne vous limitez pas à une case ou à un programme d’enseignement. Être autodidacte c’est être libre de faire ses choix même si ça bouscule les uns et les autres.

Évidemment, il y a ce foutu syndrome de l’imposteur qui n’est au fond qu’un blocage que nous renvoie la société, mais il est possible de le dépasser, au moins ponctuellement.

Et quel plaisir d’apprendre tout le temps, d’être curieux et de pouvoir explorer de nouveaux thèmes sans se limiter à cette case dans laquelle « on » voulait nous ranger. « On » ce sont nos amis, nos professeurs, notre famille, nos collègues, de parfaits inconnus voire nous-mêmes si nous nous laissons convaincre par la bouillie verbale des autres. Mais chacun est capable de sortir de cette case et d’emprunter le chemin qu’il souhaite. Pas facile, mais possible.

Si je vous parle de ça, c’est parce qu’on m’a envoyé une série documentaire réalisée par Anaïs Volpé et Alexandre Desane qui sont eux-mêmes autodidactes et qui sont partis à la rencontre d’autres comme eux qui non seulement avaient le goût d’apprendre et la curiosité, mais qui surtout on eu le courage de lâcher la rampe pour prendre un chemin différent de celui auquel le « monde » les destinait.

Ces gens sont beaux, inspirants et chargés en énergie positive ! Et j’ai la conviction que cela vous plaira et donnera du courage aux autodidactes en souffrance qui pourraient lire cet article, alors je la partage ici. Le travail d’Anaïs et d’Alexandre mérite beaucoup plus d’attention.

Bonne découverte à tous !


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Chrome ID – Comment Google vous traque à l’aide de Chrome ?

jeudi 6 février 2020 à 12:03

Bon, vous le savez, quand vous trainez sur le net, vous êtes traqué de partout. Cookies, empreinte de votre navigateur, stockage de vos requêtes adresse IP et j’en passe.

Alors bien sûr il est possible de brouiller les pistes à l’aide d’outils comme celui-ci ou des VPN, de la navigation privée, du nettoyage de cookie et grâce au RGPD, ça va un peu mieux aussi. Mais ces solutions techniques sont connues que de ceux qui mettent un peu les mains dans le cambouis.

Toutefois, les géants du net continuent de vous tracker. La preuve avec cette dernière innovation de Google qui l’air de rien, sous des arguments trompeurs liés au debug, a mis en place dans toutes les versions de Chrome >= 54, un identifiant unique généré aléatoirement lors de l’installation du navigateur.

En fonction de vos paramètres, ce Chrome ID est plus ou moins long et une fois que vous vous connectez avec votre compte Google, cet ID est forcement lié à votre identité. À l’aide du champ x-client-data (anciennement connu sous le nom de x-chrome-variations) transmis dans vos requêtes web, cet identifiant unique présent dans Chrome, pourra alors être transmis via n’importe quel service tiers Google présent dans les pages des sites sur lesquels vous surfez. Au hasard: Google Ads ! Mais aussi le captcha Google, les embed Youtube, les scripts Google Analytics, les fonts Google et j’en passe…

Ce Chrome ID encore assez confidentiel, c’est le petit tracker personnel que se réserve Google pour continuer à vous pister même quand vous prenez toutes vos précautions. Évidemment, Google se défend d’utiliser cet ID pour faire du tracking…

La solution ? Opter pour un navigateur qui n’implémente pas ce Chrome ID et vous débarrasser une bonne fois pour tout de Chrome.

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Faire fonctionner un Raspberry Pi Zero avec 2 piles AA

jeudi 6 février 2020 à 11:32

Si vous bricolez avec le Raspberry Pi Zero, voici un module d’extension qui risque de vous intéresser. Il s’agit d’une carte « Battery » qui permet de faire fonctionner votre Raspberry Pi en complète autonomie à l’aide de 2 piles AA.

Commercialisée pour 50$ par Gumstix, cette carte est compatible avec le Rpi Zero et le Zero W. Les piles peuvent d’ailleurs être rechargées directement au travers du Raspberry Pi à l’aide du câble micro USB. Et cette carte Gumstix Raspberry Pi Zero Battery IMU propose en plus une fonctionnalité gyroscope et accéléromètre 3 axes.

Couplée à une caméra, cette carte d’extension « Batterie » permet par exemple de streamer de la vidéo via le Wifi directement sur le Raspberry Pi Zero. En termes d’autonomie, 2 piles AA procurent environ 2h de vie à votre Rpi Zero.

Et il est aussi possible de customiser la carte de Gumstix pour lui rajouter des modules comme une puce GPS.

Notez aussi que bien que conçu pour le Zero et le Zero W, cette carte d’extension peut aussi être utilisée sur d’autres modèles de Raspberry Pi, mais forcément avec beaucoup moins d’autonomie.

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Aujourd’hui c’est la Journée Sans Portable ! Faut-il prendre ça au sérieux ? #journeesansportable,

jeudi 6 février 2020 à 10:46

Vous ne le savez peut-être pas, mais aujourd’hui c’est la Journée Sans Portable. Et oui ! Je ne savais même pas que ça existait, mais je remercie Olive qui me l’a fait remarquer sur Twitter. En grattant un peu, j’ai vu qu’elle a été créée en 2001 et s’étend maintenant sur plusieurs jours. Du 6 au 8 février pour être précis.

Alors autant pour la journée sans tabac, sans alcool, sans achat ou sans régime (!!), je sais qu’il y en aura qui vont jouer le jeu et y arriver, mais la journée sans portable, c’est un autre genre de challenge.

En effet, le smartphone et plus généralement les réseaux sociaux génèrent pas mal de plaisir pour nos cerveaux déjà bien ramollis et torturés et il est quasi impossible de se défaire de son smartphone durant 24h, quand on l’utilise tous les jours.

D’ailleurs, pour quoi faire, me direz-vous ?

En effet, nous avons tous plus ou moins besoin de notre téléphone. Déjà pour le boulot, pour recevoir des appels, pour répondre à nos emails, mais aussi passer le temps… Alors la journée sans portable c’est possible (je fais déjà 1 mois sans portable chaque année), mais c’est quelque chose qui demande un peu de volonté.

Vous le savez sans doute, j’ai écrit un livre sur le sujet, qui s’appelle « Libérez-vous de votre smartphone » où j’aborde les problèmes de santé liés au smartphone et aux réseaux sociaux et où je délivre de nombreuses astuces pour décrocher de son téléphone. Le but n’est pas forcément de vivre sans téléphone portable, mais plutôt de s’en détacher en prenant conscience des usages que nous en faisons pour ne pas tomber dans l’excès. A savoir le stress, le manque ou une espèce de transe du scroll infini.

Comme pour toutes les addictions, il y a un moment où ça bascule. Ou c’est votre addiction qui prend les commandes et où vous n’êtes plus celui qui décide.

Alors la journée sans portable, c’est une excellente idée. Pourquoi pas. Mais tant que vous n’aurez pas détricoté l’usage que vous avez de votre smartphone et tant que vous n’aurez pas pris conscience de la manière dont votre cerveau s’y prend pour avoir son shoot régulier, vous ne pourrez pas réellement passer une journée sans smartphone (sauf si bien sûr vous n’êtes pas accro et déjà détaché du smartphone).

À la limite, ce qui peut être pas mal avec cette idée de la journée sans portable, c’est de tenter le coup pour mesure l’ampleur de votre addiction. Éteignez votre téléphone, prévenez vos proches que vous ne serez pas joignable et laissez-le dans un tiroir. Déjà, quitter la maison sans smartphone est une épreuve pour beaucoup. Pour ceux qui n’y arrivent pas, laissez-le, éteins, au fond de votre sac et observez à quels moments votre cerveau vous le réclame. Essayez de tenir le plus longtemps possible. Et vous verrez alors si vous êtes accro ou pas.

Et si vous l’êtes, et que vous voulez revenir à un mode de fonctionnement plus serein, loin de la dépendance, sans pour autant jeter votre téléphone à la poubelle, lisez mon livre, cela vous aidera.

A titre personnel, comme les personnes alcooliques, parfois je rechute. Mais globalement, je suis clairement moins dépendant de mon téléphone que l’année dernière. Comme je vous le disais, je sais maintenant passer des weekends voire 1 mois complet en vacances sans allumer le smartphone et sans consulter mes réseaux sociaux. Mais ça ne s’est pas fait sans douleur. Toutefois c’était un passage obligé pour sortir de ce tourbillon de stress / recherche du plaisir qui nous embrume la tête et qui quelque part nous coupe une bonne partie de la journée du monde extérieur.

Alors faut-il prendre cette journée sans portable au sérieux ? Je dirais non car cela ne vous apportera pas grand chose sur une seule petite journée. Par contre si vous êtes dans une démarche de santé, de développement personnel, de sortie de burn out ou d’un gros besoin de souffler et de vous sentir mieux, cette journée sans portable est un bon moyen de vous « tester » pour déterminer si vous êtes addict au smartphone ou pas. Une fois ce fait établit, à vous de voir ensuite si vous agissez sur du plus long terme ou si vous laissez couler.

Sur ce, bonne journée sans portable à tous et bon courage !

Libérez-vous de votre smartphone (éditeur : GERESO)


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